économie et finance - Page 260
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L'Union européenne est coupable de la mondialisation qui sévit sur les peuples européens
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Coronavirus : les Bourses européennes au bord du krach
« Dans le sillage de l’effondrement du pétrole, dû à la guerre des prix lancée par Ryad à la suite de l’échec des discussions entre l’OPEP et la Russie, les places financières mondiales sont aux abois. Le CAC 40 a ouvert en chute de 6,25 %, s’enfonçant dans le «bear market» (-20% depuis son plus haut du 21 février). Le taux à dix ans américain est tombé sous 0,5 %.
Les nouvelles autour du coronavirus ont eu le temps de s’accumuler durant le week-end. Résultat, lundi, la panique a gagné les marchés et les Bourses européennes se sont réveillées sous le choc.
Dans le sillage de l’effondrement du pétrole – qui a perdu 25 % -, les Bourses européennes s’enfoncent : le DAX, à Francfort, plonge de 7,4 % dans les premiers échanges. Tandis que le FTSE, à Londres, chute de 8 % Vendredi, ils avaient déjà respectivement perdu 3,26 % et 3,62 %. Madrid lâche 7 % et la Bourse d’Oslo dévisse de 12 %. Après près d’une heure de retard, la Bourse italienne, qui a perdu 17 % depuis le début de la crise sanitaire, a fini par ouvrir, en chute libre : le FTSE MIB perd 8 %. »
Source : Les Echos
http://www.contre-info.com/coronavirus-les-bourses-europeennes-au-bord-du-krach#more-61409
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Aux origines de la question sociale en France. Partie 2 : l'idéologie libérale des Lumières.
Après un rapide tableau de la situation économique de la France royale avant la fin du XVIIIe siècle et l’évocation des corporations et de l’ordre socio-professionnel de cette époque, il n’est pas inutile d’évoquer succinctement l’état d’esprit dominant sous les Lumières, véritable révolution dans la pensée du service et du temps (entre autres), à rebours de la conception royale de la justice : le règne de l’Argent et de la classe qui en vit et qui en fera système s’annonce…
L’organisation corporative de la société et de la production françaises a longtemps convenablement fonctionné et la puissance avérée et significative de l’économie nationale sous la royauté fondatrice et fédérative est indéniable. Mais cela signifie-t-il, pour autant, que la Monarchie d’Ancien Régime ne connaissait pas de problèmes sociaux ou qu’elle était un système parfait et intangible, insensible aux temps et à leurs contraintes, leurs évolutions ? Bien sûr que non !
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Un Système encore plus fragilisé
Marc Rousset
L’argent bon marché des banques centrales et les aides des États en milliards ne peuvent que soulager les effets de la crise ; ils ne combattent pas la cause de l’épidémie. On est en présence d’un choc économique de l’offre et d’un choc partiel de la demande (tourisme, transports aériens) tout à fait comparable, par son intensité, à celui de 2008, même s’il est de nature complètement différente. La réponse monétaire des banques centrales n’est pas appropriée : les baisses de taux ne sont faites que pour enrayer l’effondrement des marchés boursiers. La Fed – signe de pessimisme à long terme – a surpris, mardi, en réduisant ses taux de 0,5 % et programme une baisse supplémentaire de 0,5 % pour la mi-mars ; mais seul un vaccin de l’Institut Pasteur serait efficace. La Fed tire ses dernières munitions, tout comme la BCE, et n’aura plus aucune marge si la crise empire.
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BCE sous tension après la décision de la Fed
« La BCE sous pression après la décision de la Fed » titre l’AFP suite à la baisse surprise des taux directeurs aux Etats-Unis en raison du coronavirus.
Mais que va donc faire la Banque centrale européenne (BCE) se demande tous les investisseurs.
En effet la FED vient de baisser de 50 points de base soit un demi pourcent, mais que peut faire la BCE alors que les taux en Europe sont déjà négatifs ?
That is the question.
« De manière générale, les analystes jugent cependant l’effet d’un soutien monétaire limité, tant la crise appelle plutôt une intervention des Etats.
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Que font donc syndicats et consommateurs contre la ruine planifiée d’EDF et de son nucléaire ?
Voilà onze ans, la mise en coupe réglée du consommateur et du contribuable français commença avec l’insolite TARTAM (tarif réglementé transitoire d’ajustement du marché) permettant aux professionnels éligibles repentis de revenir au tarif régulé (ou réglementé) seulement majoré de 10 à 23 %, après avoir subi jusqu’à 70 % d’augmentation, avec la concurrence libre et non faussée à laquelle ils eurent seuls accès, dès 2004. Cerise institutionnelle sur le gâteau, ils obtinrent de jouir d’un tel privilège sans changer de fournisseurs « alternatifs », ce qui obligea l’État à compenser les pertes de ces derniers, sur le dos des autres clients, prioritairement domestiques, et fit dire au Canard enchaîné que la notion « d’éligibilité » s’apparente au privilège donné au boursicoteur de demander à Bercy de lui rembourser l’argent qu’il a retiré de la Caisse d’épargne pour spéculer sur le CAC 40.
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Charles Prats : « Il y a 2,5 millions de “fantômes” immatriculés qui perçoivent des prestations sociales tous les mois »
Les chiffres hallucinants de la fraude aux prestations sociales
Après son audition, ce mardi 3 mars, par la commission d’enquête parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, le magistrat Charles Parts revient sur son enquête au micro de Boulevard Voltaire.
Il apporte des précisions sur cette immense fraude qui s’élève à des centaines de millions d’euros, en raison du surnombre d’étrangers immatriculés dont on ne peut contrôler l’existence réelle. Il estime qu’« à l’heure où on réforme les retraites, on devrait prendre l’argent dans la poche des voleurs plutôt que dans celle des contribuables français ».
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Faut-il en finir avec les éoliennes ou multiplier leur nombre?
Jean-Louis Butré et Alexandre Roesch sur Sud Radio
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L'état manque d'argent voilà où en trouver.
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Coronavirus : les supermarchés pris d’assaut, la grande distribution bondit en Bourse
Tout a commencé vendredi dernier, cela s’est considérablement accéléré samedi.Lundi soir, les supermarchés, partout en Europe et même aux Etats-Unis, avaient été dévalisés en particulier les rayons des produits de première nécessité.Alors on entend de tout.« ‘Ha les imbéciles ».« Il ne faut pas avoir peur »… sans oublier le « c’est pas pire qu’une grippette ».Je vous rappelle l’adage rural … c’est à la fin de la foire que l’on compte les bouses.Bref, moi quand je vois les gens faire des réserves cela me comble d’aise.Je me dis, que plus nombreux seront les résilients plus nous seront collectivement résilients, robustes et solides dans la tempête.Je remarque aussi que si les gens font massivement des provisions, cela se fait en bon ordre, sans émeute, et de façon nettement plus calme que les black friday et autres moments d’hyperconsommation qui, eux, sont encensés.