Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 263

  • En dix ans, la taxe foncière a augmenté de 34,7% en moyenne

    Dans certaines villes, les propriétaires doivent faire face à une envolée encore plus spectaculaire de l’impôt local.

    La taxe foncière a véritablement flambé en 10 ans. C’est ce que révèle une étude de l’Observatoire national des taxes foncières de 2019, publiée par l’Union Nationale des Propriétaires (UNPI) et rapportée par RMC.

    Ces dix dernières années, l’impôt des propriétaires immobiliers a en effet augmenté de 34,7% en moyenne. Et les grandes villes sont les plus touchées. À Paris par exemple, on observe un bond de 80% cette dernière décennie.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-dix-ans-la-taxe-fonciere-a-augmente-de-347-en-moyenne

  • L’insémination artificielle coûte 300 millions d’euros à l’assurance maladie

    L’insémination artificielle coûte 300 millions d’euros à l’assurance maladie

    Mardi, la Cour des comptes a rendu son rapport sur la sécurité sociale. Parmi les mesures d’économies, les sages proposent, entre autres, de se pencher sur la procréation médicalement assistée.

    En 2017, l’assistance médicale à la procréation a été à l’origine de 25 614 naissances (soit 3,3 % du total, contre 2 % au début des années 2000). Malgré un effort financier important, le taux de succès des tentatives de fécondation in vitro se situe seulement dans la moyenne européenne et présente d’importantes disparités entre centres clinico-biologiques, sur lesquelles le public est insuffisamment informé. Dans le cadre bioéthique en vigueur, les prises en charge d’actes médicaux et biologiques par l’assurance maladie doivent mieux prendre en compte les enjeux d’efficience de l’assistance médicale à la procréation.

    La Cour des comptes établit à 300 millions le coût de la PMA à l’assurance maladie. Aussi, elle s’est interrogée sur « l’organisation, le fonctionnement, le coût et les résultats du dispositif français tel qu’il se présente avant la révision en cours de la loi de bioéthique ».

    Elle propose d’ « analyser l’intérêt de l’insémination artificielle dans le traitement de l’infertilité pour justifier le nombre de tentatives prises en charge par l’Assurance maladie ».

    Actuellement, six PMA (par couple) sont remboursées par l’assurance maladie mais « certaines études pointent des chances de succès, dans certains cas précis, quasi nulles à partir de quatre ».

    49 367 tentatives d’insémination intra-utérine et 102 244 tentatives de FIV ont été recensées en 2016. Les 25 614 naissances vivantes enregistrées en 2016 doivent donc être mises en regard des 151 611 tentatives, toutes techniques confondues, recensées la même année.

    Les couples faisant appel à la PMA entrent dans un parcours comportant une succession de consultations, d’actes biologiques et cliniques, accompagnés pour la FIV d’un séjour hospitalier pour prélèvement d’ovocytes. Le financement de ce parcours est pris en charge à 100 % par l’assurance maladie jusqu’au 43ème anniversaire de la femme. Il en ressort pour la PMA réalisée avec les gamètes du couple un coût compris entre 845 € pour une tentative d’insémination artificielle et 4 419 € pour une tentative d’ICSI (FIV ou fécondation en éprouvette) suivie d’un transfert d’embryon congelé, incluant dans les deux cas un bilan de fertilité. Cette estimation doit être tenue pour un plancher, certains centres facturant un nombre plus élevé d’actes et de consultations dans le cadre d’une insémination ou d’une FIV. Par ailleurs, elle ne tient pas compte du coût pour l’assurance maladie de la morbidité attachée aux grossesses multiples, dont la fréquence demeure élevée en cas de PMA.

    Le coût moyen pour l’assurance maladie d’une naissance résultant d’une insémination artificielle ressortait en 2016 à 7 088 € et celui d’une naissance résultant d’une fécondation in vitro, toutes modalités confondues, à 13 849 €.

    https://www.lesalonbeige.fr/linsemination-artificielle-coute-300-millions-deuros-a-lassurance-maladie/

  • Le « trou de la sécu » atteindra les 5,4 milliards d’euros cette année

    Contrairement aux annonces faites par le Gouvernement fin 2018, qui prévoyait qu’en 2019, «pour la première fois depuis 18 ans, le régime général et le fonds de solidarité vieillesse (FSV) [seraient] excédentaires à hauteur de 700 millions d’euros», le «trou de la sécu», plutôt que de disparaître, atteindra cette année 5,4 milliards d’euros.

    Dans un rapport public publié mardi 8 octobre, la Cour des comptes explique cette tendance par le coût (2,7 milliards d’euros) des mesures d’urgence économiques et sociales de la fin de l’année 2018, aussi appelées «lois Gilets Jaunes», et par des prévisions trop optimistes, la masse salariale soumise à cotisation ayant augmenté moins que prévu avec un impact de 1 milliard d’euros.

    Depuis le début des années 1990, la sécurité sociale connaît un déficit permanent, (sauf en 2000-2001), que la récession économique de 2009 a porté à un niveau inédit. L’accumulation des déficits annuels a fini par constituer une dette sociale qui représente encore près de 120 milliards d’euros en 2019, répartis entre deux organismes, la Caisse nationale des Urssaf (l’Accos) et la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES).

    Source : RT

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-trou-de-la-secu-atteindra-les-54-milliards-deuros-en-2019

  • L'Etat meurtrier ou le démantèlement d'EDF

    edf.jpg

    Une fois de plus nos cranes d’œuf et les gaziers qui nous gouvernent veulent tuer l’un des fleurons de l’industrie française : EDF, entreprise intégralement payée par les Français et qui fait partie de leur patrimoine. Au même titre d’ailleurs que les autoroutes, bradés par un certain François Bayrou, alors ministre, au secteur privé.  Le projet « Hercule » porte bien mal son nom. Il vise à casser en deux EDF et lui ôterait ainsi toute force pour résister à la concurrence. Ce triste sort ne serait en fait que l’ultime étape d’un processus de démantèlement entamé depuis une vingtaine d’années, au cours desquelles se sont enchainées les fautes de gestion et les faiblesses des gouvernement successifs. La France vit un drame depuis Giscard : l’irresponsabilité de son personnel politique.

    Marianne dévoile le scandale

  • Foutoir à l'Hôpital

    Numériser.jpeg

    Rien ne semble pouvoir enrayer la grogne des urgences : ce sont 40 % des services qui sont en grève, six mois après le début du mouvement. Entre effets d’annonce et mesures comptables, la réponse du gouvernement est cohérente avec le style de Macron : mépris et enfumage.

    1, 83,150, 207 260. ce ne sont pas les numéros du bingo, mais le nombre de services d'urgences qui se sont mis en grève, au fil du temps. Depuis le 18 mars dernier, ce sont donc 40 % des 650 Services d'Accueil et d'Urgence (SAU) qui ont rejoint le mouvement.

    Une mobilisation inédite et silencieuse. Car bien sûr, hormis les banderoles derrières les comptoirs d'accueil et les manifestations, comme celles de la journée nationale de mobilisation du 26 septembre qui a vu des cortèges de blouses blanches un peu partout en France, ces services restent pour la plupart ouverts 24 h/24, 7j/7 et les grévistes soignent les patients. Une mobilisation qui fait tache d'huile, puisque pompiers, médecins hospitaliers et urgentistes rejoignent les infirmiers et aides-soignants.

    C'est l'hôpital Saint-Antoine, dans l'Est parisien, qui a mis le feu aux poudres cinq agressions entre janvier et mi-mars 2019 ont eu raison de la patience des personnels soignants. « Il est grand temps que l'agressivité et la violence dont nous faisons l'objet soient reconnues », réclame une infirmière. Mais rapidement, les syndicats pointent du doigt le manque de moyens « la politique de fermeture de lits que mène l'AP-HP surcharge les urgences de patients », dénonce une autre. Des heures d'attente pour les patients, des salles de pause transformées en chambres, des brancards dans les couloirs, des personnels débordés et épuisés le quotidien de centaines de services d'urgences en France donne raison aux grévistes.

    Un patient-mystère

    En juillet dernier, le député PCF Alain Bruneel a joué les patients-mystère aux urgences de Douai (Nord). Son récit est édifiant. Quand il arrive à 21 h 30 avec de supposés maux de ventre, « plus de 200 personnes, dont 59 enfants, étaient déjà passées dans la journée ». On le prévient 3h 20 d'attente. Il verra un médecin au bout de 6 heures. 6 heures dans la chaleur, sans manger ni boire, des patients accompagnant des personnes âgées aux toilettes, faute de personnel, ce dernier « toujours en mouvement, qui n’arrête jamais », « à bout de souffle », des brancards « en file indienne devant les trois box » de consultation.

    En août dernier, le collectif des urgentistes annonçait un record de durée « d'hospitalisation brancard » à Saint-Quentin, un patient de 70 ans a passé 6 jours et 12 heures sur un brancard, faute de lit d'hospitalisation.

    Face à cette embolie, les demandes des personnels soignants sont simples plus de lits, plus de personnel (la CGT en réclame 10 000), des hausses de salaires de 300 euros nets. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le gouvernement a tendu une oreille distraite à ces revendications. Mi-juin, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, annonçait fièrement avoir débloqué 70 millions d'euros. 55 étaient affectés à une prime de 100 euros nets pour les personnels et à une prime de coopération pour ceux qui accepteraient de nouvelles tâches, alors que les urgentistes demandaient à être moins débordés. Les 15 millions restant consacrés au recrutement de CDD pour l'été.

    Des demi-mesures qui ne font même pas une demi-satisfaction. L'exaspération monte. Le mouvement, qui en était alors à une centaine de services en grève, a continué à s'étendre.

    Un plan… sans Urgences

    Il ne s'agissait que d'une première étape, avait pourtant affirmé Agnès Buzyn. Au terme d'une « concertation », le gouvernement allait proposer « des mesures concrètes ». Ce sera le « pacte de refondation des urgences », présenté le 9 septembre, avec à la clef 750 millions d'euros « débloqués » sur quatre ans, « à 80% pour des embauches », claironnait Agnès Buzyn. Précisons que ces crédits ne sont pas débloqués, mais réaffectés. En clair, pas un sou de plus pour la santé en déshabillant Pierre pour habiller Paul, on déplace le problème. Les médecins de ville devront réserver des créneaux sans rendez-vous, en échange de la création de 3 500 postes d'assistants en cabinet. Décidément choyés, les médecins libéraux pourront aussi réaliser des examens simples et automatisés (glycémie…) avec, là encore, des aides au financement du matériel. Le plan financera également cinquante maisons médicales, censées désengorger les urgences elles seront tenues par des libéraux.

    Mais le gros morceau de ce plan - 340 millions - devra financer une plate-forme téléphonique chargée d'orienter les patients vers la meilleure structure, hôpital ou médecine de ville, envoyer au besoin une ambulance, voire prodiguer conseils médicaux ou même télédiagnostics. Si les contours de ce Service d'Accès aux Soins (SAS) sont encore flous, c'est en somme « le SAMU couplé avec Doc-tolib », le célèbre site de réservation de rendez-vous médicaux. De plus, avec le 15 (SAMU), le 18 (pompiers), le 112 (numéro d'urgence européen), il y a pléthore de numéros d'urgence. Seront-ils fusionnés ? Le SAS se rajoutera-t-il à la liste ? Mystère.

    Un lecteur attentif aura constaté que dans cette batterie de mesures, manquent, les urgences ! Il n'y est guère fait mention de création de postes ou de lits, ce qui semblait pourtant le plus, urgent. La ministre a bien promis quelques créations, mais surtout « une meilleure gestion des lits d'aval », c'est-à-dire ceux des services vers lesquels sont dirigés les patients après les urgences. « Les gestionnaires de lits c’est pour les chaînes hôtelières, c'est pas pour l'hôpital », rétorque un urgentiste. Le manque de lit en aval est d'ailleurs dû au développement de l'hospitalisation à la journée, pour réduire les coûts. C'est donc sans grande surprise que le mouvement, qui en était alors à 249 sites en grève, s'est poursuivi et étendu.

    Si mieux gérer les ressources existantes est bien sûr louable, Buzyn passe complètement à côté du problème, qui est pourtant simple la France a perdu 100 000 lits d'hospitalisation en 20 ans et 1 300 médecins généralistes en 10 ans. Les Ephad n’ont pas d'infirmier de nuit. Les urgences compensent en partie tous ces manques elles ont pris en charge 21,4 millions de passages en 2017 soit deux fois plus qu en 1996. Et aux SAU comme dans tout l'hôpital, les soignants dénoncent la lourdeur administrative croissante qui pèse sur leur temps de travail. Une soviétisation de la médecine qui touche d'ailleurs toute la santé. Un seul exemple entre numerus clausus et contraintes à l'installation, la France décourage ses étudiants, et importe massivement des médecins étrangers pour compenser.

    Consommateurs de prestations

    Il est néanmoins vrai que les patients sont aussi responsables de la situation ils sont de plus en plus nombreux à venir aux urgences par confort ou pour ne pas avancer les soins, entre autres les immigrés (lire « Invasion migratoire, aux urgences aussi »). Ils utilisent le système de santé « comme ils consomment du Mac Do », dénonce un urgentiste. Buzyn a prévu de rendre le tiers payant systématique pour les médecins de garde et de « responsabiliser » les patients afin qu'ils n'abusent pas du système. Cela - et son hypothétique centre d'appel - suffira-t-il pour baisser de 43 % le nombre de patients se rendant aux urgences, comme elle le souhaite ?

    Rien n est moins sûr. Le plan Buzyn semble surtout vouloir déporter une partie de la charge des urgences et de l'hôpital vers la médecine libérale, dans une logique comptable. Avec près de 30 milliards de dettes et un déficit à 890 millions en 2017 le problème est réel. Mais tandis que Macron déclarait en juin dernier, à Rouen, à une aide-soignante qu’ « il n'y avait pas d'argent, magique » pour l'hôpital, il en a trouvé pour le développement de l'Aide médicale d'État (1 milliard) ou les PME innovantes dans le digital (5 milliards). Les priorités d'un régime se lisent toujours dans son budget et les soignants savent lire.

    Richard Dalleau monde&vie 3 octobre 2019

  • Terrorisme : le gouvernement face à la réalité – Journal du mercredi 9 octobre

    1) Terrorisme : le gouvernement face à la réalité
    VO: Après l’hommage, les justifications. Mardi, Christophe Castaner a été sommé de s’expliquer après l’attentat à la préfecture de police de Paris. Face aux députés, le ministre de l’intérieur a été chahuté alors qu’Emmanuel Macron a appelé à la plus grande vigilance.

    2) Retraite : les retraités toujours mobilisés pour l’augmentation des pensions.

    VO : C’est la 8ème fois depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités ont défilé dans plusieurs villes de France avec pour principale revendication, une réelle revalorisation de leurs pensions et une augmentation de leur pouvoir d’achat.

    3) Yuka : l’appli qui vous veut du bien ?

    VO : Depuis quelques années, une application pour passer au crible vos achats fait un véritable tabac. Avec un système extrêmement simple, Yuka renseigne le consommateur au delà des messages marketing… Un procédé qui commence déjà à faire plier certains industriels de la distribution.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/terrorisme-le-gouvernement-face-a-la-realite-journal-du-mercredi-10-octobre

  • Lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique

    Lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique

    Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy revient sur le tome 2 des Mémoires de Jean-Marie Le Pen :

    […] Mais ce livre est surtout une passionnante leçon politique. Tout d’abord, je relève une insistance à laquelle nous ne sommes plus habitués sur les méfaits du fiscalisme. Jean-Marie Le Pen est connu comme le principal tribun contre l’ immigration de masse. On oublie trop qu’il est aussi un pourfendeur de l’État obèse. Ce n’est pas pour rien qu’il débuta en politique dans le mouvement de Pierre Poujade.

    Or, lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique: l’État-providence est la principale pompe aspirante de l’ immigration et l’ immigration oblige l’État-providence à grossir sans cesse. C’est pourquoi la ligne Philippot était vouée à l’échec : on ne peut pas sérieusement lutter contre l’ immigration en renforçant l’État-providence.

    Je note aussi un rapprochement dont nous n’avons plus l’habitude aujourd’hui : le lien entre avortement et dénatalité d’un côté et immigration de l’autre. La démographie n’est certes pas la seule raison de s’opposer à l’avortement. Mais, pour la survie du peuple français, il est impératif d’une part de stopper le grand remplacement et d’autre part de stopper le véritable génocide en cours (sait-on que plus de 10 millions de petits Français ont été légalement tués depuis 1975 ?).

    J’ai été également frappé par le plaidoyer pour la justice sociale. Le Pen fait observer que, si les travailleurs français avaient été correctement payés pour leur travail, l’oligarchie n’aurait pas pu faire venir en masse des travailleurs étrangers dont l’accueil coûte si cher (et pas seulement financièrement) à la nation. Une autre leçon touche à la «dédiabolisation». Très justement, l’auteur fait remarquer qu’il n’appartient pas au « diabolisé » de se « dédiaboliser ». Qu’on le veuille ou non, en s’opposant à la destruction de la France, on s’oppose à des intérêts puissants qui peuvent aisément vous grimer en « fascistes». C’est déplorable, mais c’est ainsi. Naturellement, il faut veiller à être aussi sérieux que possible, mais nous n’y pouvons rien et la stratégie de dédiabolisation est vouée à être extrêmement décevante.

    La dernière leçon politique que je voudrais relever ici concerne la droite. Jean-Marie Le Pen remarque avec beaucoup de franchise que, si Chirac avait été clairement de droite, le FN aurait rencontré un succès bien plus faible. Le FN est essentiellement le reproche vivant des électeurs de droite contre les trahisons de leurs représentants. Si cette leçon pouvait être méditée par les dirigeants des LR et du RN, ce livre pourrait être aussi la base d’une renaissance française !

    https://www.lesalonbeige.fr/lier-fiscalisme-et-immiationnisme-est-decisif-pour-le-combat-politique/

  • Nouvelle baisse de l’impôt sur le revenu en 2021: c'est non pour Edouard Philippe

    edouard philippe.JPGÉdouard Philippe a écarté dimanche 6 octobre une nouvelle baisse importante de l’impôt sur le revenu en 2021, dans un entretien au Journal du Dimanche

    Édouard Philippe s’est montré catégorique. Il n'y aura pas de nouvelle baisse importante des impôts en 2021, après celle de 5 milliards accordée en 2020.

    "Si vous me demandez si l'on baissera à nouveau l'impôt sur le revenu de 10 ou même de 5  milliards d'euros en 2021, je ne le crois pas !", a déclaré le Premier ministre dans un entretien au Journal du Dimanche.
    Pour le chef du gouvernement, la priorité demeure "la revalorisation du travail". "Nous voulons que le travail paie davantage", a-t-il expliqué. "Ceux qui travaillent doivent avoir un avantage réel sur les autres. Le pouvoir d'achat, il vient d’abord du salaire !", a ajouté Édouard Philippe.

    En avril dernier, à l’issue du Grand Débat, Emmanuel Macron avait annoncé, lors d'une conférence de presse à l’Elysée, une baisse de 5 milliards de l'impôt sur le revenu pour les classes moyennes applicable dés le 1er janvier 2020. Cette baisse concernera 15 millions de Français.
  • Racket: La SNCF coûte 224 euros à chaque Français [Vidéo]

    Selon les informations du quotidien L’Opinion, les contribuables payent 224 euros par personne, ou 905 euros par foyer fiscal, par an à la SNCF.Ces chiffres ont été calculés par l’ancien magistrat de la Cour des comptes, François Ecalle.
    Ainsi, les Français financent très largement le groupe de mobilité.

    Par ailleurs, François Ecalle a créé un site Fipeco.fr dédié à l’économie et la finance publique. – L’édito Eco de Nicolas Doze, du mardi 8 octobre 2019, sur BFMTV.
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://by-jipp.blogspot.com/

  • Elections municipales et monnaies locales

    Le groupe des Gilets Jaunes Constituants s’intéresse aux élections municipales de mars 2020. Cette vidéo est une réflexion sur les monnaies locales.