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économie et finance - Page 679

  • Regard écologique sur la fiscalité écologique

    « L’idée de bâtir une fiscalité écologique est devenue une antienne incontournable. »
    Notre contributeur, Frédéric Malaval, nous a remis aux fins de publication une étude assez fournie sur la fiscalité écologique. Le sujet est rude et ardu. Néanmoins, en cette période politique que vivent les Français, où tout n’est que réformes (potentielles ou éventuelles), cette analyse est intéressante par le rappel des enjeux environnementaux et écologiques et la présentation d’une proposition fiscale simple. Voici cette étude, avec son introduction ci-après ...
    Polémia
    Introduction
    Confrontée à une situation financière délicate, la hausse des impôts suscite irritations et doutes sur son efficacité à moyen terme. Pour apaiser les esprits, le gouvernement de la Ve République promet une réforme fiscale. Une fois encore ce serpent de mer refait surface. En parallèle, l’idée de bâtir une fiscalité écologique est devenue une antienne incontournable.
    Pourtant, réaliser l’un et/ou l’autre est plus que délicat. Réformer la fiscalité revient à bouleverser les fragiles équilibres sociaux dont elle est une des conséquences ; quant à la fiscalité écologique, elle soulève davantage d’interrogations que de consensus.
    Aussi, cet article, trop bref, va-t-il  tenter d’en exposer les enjeux et aboutir à une proposition simple : supprimer la récupération de la TVA dans le processus de création de valeur ajoutée… monétarisée. Le pendant de cette mesure serait la suppression de tous les impôts, taxes et charges sociales sur les personnes physiques ou morales (IRPP, ISF, IS, CSG, etc.).
    Précisons d’emblée que ce sujet mériterait plusieurs ouvrages savants, mais le temps n’est pas encore venu de leur réalisation. Aussi ce court article se contentera-t-il de donner des pistes sans tenter de trop les argumenter. La production du soussigné, elle-même issue des écrits de grands noms de la littérature écologiste ou environnementale, permettra d’en saisir l’origine et les motivations. Une recherche sur Internet aidera à en savoir plus. Pour le moment, contentons-nous de lancer l’idée.
    La proposition structurant ce texte est issue d’une approche écosystémique. On attirera donc l’attention du lecteur sur le fait que tout ceci s’organise au sein d’un paradigme écosystémique en devenir, alors que la pensée contemporaine est encore largement nourrie d’un paradigme classique élaboré il y a plusieurs siècles, mais que les évolutions de l’écosphère pendant la seconde moitié du XXe siècle obligent à subsumer. Ceci est abordé dans l’article.
    Ces précautions étant posées, cet article commencera par une introduction aux différentes conceptions de la fiscalité à travers les âges. Puis, après avoir rappelé les principaux enjeux environnementaux et écologiques, nous résumerons les assises à partir desquelles sera développée la proposition centrale de cet article. La conclusion évoquera quelques pistes complémentaires.
    Voir le texte intégral en Pdf en cliquant ICI
    Frédéric Malaval, 3/03/2014
    http://www.polemia.com/regard-ecologique-sur-la-fiscalite-ecologique/

  • La nouvelle méthode pour « décourager » l’immigration clandestine…

    Si nous pensions que la générosité de la France n'était plus à démontrer et qu'il pouvait donc y être mis fin, nous nous fourvoyions.

    L’ARH (l’Aide au retour humanitaire), allocation allouée majoritairement aux étrangers d’origine européenne en situation irrégulière ou non, est passée en janvier 2013 de 300 euros par adulte et 100 euros par enfant à respectivement 50 et 30 euros, hors le coût de réacheminement dans les pays d’origine, essentiellement Roumanie et Bulgarie. Si nous pensions ainsi réaliser quelques économies, Arno Klarsfeld, à l’époque directeur de l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) nous détrompait superbement : l’économie réalisée est réaffectée à la réinsertion des étrangers… dans leur pays d’origine.

    En 2009, plus de 12.000 personnes en ont bénéficié, pour la plupart des Roumains et des Bulgares.

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  • Le Traité transatlantique

    Les négociations pour le Traité transatlantique ont commencé en loucedé et personne ne se soucie, étrangement, d’en parler. Faut-il en accuser notre insouciance, ou plutôt notre regard médusé sur le sort intérieur fait à la France de François Hollande et sur l’inertie de l’Union européenne ? Que l’on juge que ce n’est pas un sujet d’actualité, qu’il sera bon d’en parler à Pâques ou à la Trinité, ou simplement que l’on s’en contrefoute, le fait est que le pire est devant nous : la construction de l’Europe à la bruxelloise sera de la petite bière devant le maëlstrom que l’on nous prépare. Pour se limiter à quelques chiffres très simples, cet accord concerne rien moins que la moitié du PIB mondial et 40 % des échanges mondiaux : de quoi bien entendu aiguiser les appétits, et aussi – bizarrement on en parle moins – entraîner les dégâts économiques les plus graves.

    Les peuples étant décidément jugés trop bêtes pour avoir un avis sur une question si importante, le mois de mars devrait voir se dérouler à Bruxelles le quatrième « round » comme on dit de négociations, et toujours dans le plus grand secret, même si le cher commissaire européen afférent annonce une grande « négociation publique ». L’agenda des technocrates prévoit, grand seigneur, que l’accord soit soumis en 2015 au Conseil européen et au vote des députés, lorsqu’il aura été achevé. La technique est rodée et commence à être connue : on vous ficelle un bon traité de derrière les fagots, puis on vous explique que le refuser serait passéiste, réactionnaire, signe de fermeture et de repli, et que de toute façon vous n’avez rien d’autre à proposer à la place, ce qui démontre parfaitement votre mauvaise volonté.

    Il est toujours malaisé de négocier avec plus grand que soi – la France en a fait l’amère expérience avec l’Allemagne lors du Traité de Maastricht – et les États-Unis, qui disposent de la monnaie de réserve mondiale, sont toujours une puissance plus importante que l’Europe, n’en déplaise aux optimistes. L’Europe a réussi dès le début à abstraire la « culture » du débat – on se demande bien pourquoi si l’on ignore les rapports incestueux qu’entretiennent ensemble les artistes, les intellectuels et les politiques qui sont globalement pour un monde sans frontières tant que ça ne salit pas leur rue – mais pour le reste, tout est négociable : l’agriculture, qui a bien besoin de la concurrence des OGM américains, l’énergie, et nous aurons le gaz de schiste, toutes sortes de produits manufacturés dont nous avons certainement bien besoin, incapables que nous sommes de les produire ici.

    Ce Traité, d’obédience ultralibérale si l’on en juge à ses buts autant qu’aux experts et lobbies qui le fomentent, introduirait de plus une nouvelle norme juridique qui permettrait à des entreprises de poursuivre un État souverain dont elles jugeraient que la réglementation a porté atteinte à leurs intérêts. Typiquement anglo-saxonne, cette mesure a déjà permis à des gros cigarettiers de faire condamner l’État australien, et autoriserait demain les multinationales de l’énergie à plaider contre la France qui interdit l’exploitation de gaz de schiste.

    La suite sur le site de la Nef

    Jacques de Guillebon

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-Traite-transatlantique

  • Les millions de Warren Buffet pour l'avortement

    Sur son blog, Jeanne Smits relaie une enquête de National Review, citée par LifeSite, qui révèle l'ampleur des dons de Warren Buffet, quatrième fortune mondiale (60 milliards $) et premier donateur individuel américain, en faveur du "contrôle de la population".

    "En 2011, 115 millions de dollars sont venus au secours de groupes de promotion de l'avortement légal, et une belle part de la somme a doté des organisations qui financent l'avortement pour des femmes à bas revenus. (...)

    • A lui seul, selon [la journaliste] Betsy Woodruff, Warren Buffet a financé à hauteur de 21 millions de dollars la National Abortion Federation Hotline Fund, une ligne téléphonique ouverte aux femmes qui désirent avorter mais n'en ont pas les moyens. Le budget opérationnel de ce fonds est de 26 millions de dollars…
    • Le Planning familial américain (Planned Parenthood) a bénéficié en 2011 de 40 millions de dollars de dollars de la part de Buffett, mais celui-ci a également pris soin de verser un million de dollars à l'Abortion Access Project (près du tiers de son budget annuel) dont l'objet est d'étendre l'avortement aux hôpitaux catholiques et aux communautés conservatrices où la pratique est interdite ou mal vue.
    • Voilà pour les Etats-Unis. Dans le reste du monde, Buffett choisit les pays pauvres où il  cherche à faire diminuer la natalité : pour y contribuer, voyez ce don de 16 millions de dollars à un groupe nommé DKT International, qui se vante sur son site d'avoir éliminé par avortement quelque 1, 2 million d'« enfants non désirés » en Inde, en Ethiopie, au Mozambique et ailleurs en 2013. D'autres dons profitent à la promotion de la pilule abortive RU 486 dans les pays en voie de développement.
    Mais s'il donne beaucoup, il n'en parle jamais."

    Louise Tudy

  • Pourquoi les Allemands n’ont guère envie de se fâcher avec Poutine

    La Russie fournit un tiers du gaz naturel et du pétrole [consommé par] l’Allemagne. Et leurs économies sont si imbriquées que l’idée même de sanctions effraient les champions de l’exportation.

    Sanktionen nein danke ! S’il est un patronat qui veut éviter toute sanction économique contre Moscou, c’est bien l’allemand. Les deux économies sont tellement imbriquées que Berlin aurait énormément à perdre. Les échanges entre l’Allemagne et la Russie s’élèvent à près de 80 milliards d’euros (4 fois plus que la France).

    L’hebdomadaire Wirtschaftswoche résumait cette semaine : “Plus de 6.000 entreprises, de la multinationale aux PME, sont présentes en Russie, où elles ont investi directement plus de 20 milliards. 300.000 emplois dépendent en Allemagne de ces échanges“. Berlin est le deuxième fournisseur de Moscou, après Pékin (la France, 8ème).

    D’ailleurs jeudi 6 mars, alors que la crise ukrainienne battait son plein et que le Kremlin ne semblait pas disposé à faire baisser la tension, Sigmar Gabriel, ministre de l’économie et Vice chancelier est allé à Moscou, en voyage officiel et a rencontré Poutine. Cette visite “prévue de longue date“, a-t-on précisé à Berlin, portait sur la “politique énergétique et de développement économique“. Elle va tout à fait dans le sens de la diplomatie allemande : pas de coup de menton, un pragmatisme qui respecte les intérêts bien compris de chacun.

    Des sanctions qui pourraient coûter cher

    Car la Russie pourvoit aux besoins énergétiques de notre voisin : elle lui fournit 31% de son gaz naturel (contre moins de 10% en France) et 35 % du pétrole qu’elle consomme. En échange, l’Allemagne lui vend des biens pour une valeur d’une quarantaine de milliards d’euros, essentiellement des machines-outils, de la chimie et des automobiles. Metro, Volkswagen, BMW ou Daimler sont des acteurs de poids.

    Tout au long de la semaine, la presse Outre Rhin y est allée de ses avertissements contre les sanctions, comparées par exemple à “un poison coulant dans le sang“, par le quotidien Süddeutsche Zeitung. “Chaque sanction a son prix“, mettait en garde le quotidien des affaires Handelsblatt, en écho à l’hebdomadaire Focus qui parlait de “spirale des sanctions“.

    L’économiste star, Wener Sinn, patron de l’institut de Munich IFO, estimait, quant à lui que les représailles économiques contre Moscou mettraient en danger la transition énergétique allemande, qui rend le pays “encore plus dépendant des importations russes“.

    Schröder fait du [lobbying] pro-russe

    Le 3 mars, l’ex chancelier Gerhard Schröder était à l’ambassade d’Allemagne à Paris devant un parterre de politiques et d’hommes d’affaires français. Soucieux de pacifier le débat, il a émis des doutes sur l’utilité des armes économiques. “A quoi servirait d’appeler au boycott de la Russie, alors que l’on ignore qui va en pâtir le plus ?“, avait notamment déclaré ce proche de Poutine, qui appelle le patron du Kremlin son “ami” et qui l’a invité à la fête de ses 60 ans.

    Il n’est pas le seul Allemand proche de Moscou. Plusieurs politiques et hommes d’affaires de premier plan se sont reconvertis dans le lobbying pour la puissance orientale. Dernier en date, Peter Löscher, ancien président de Siemens qui vient tout juste d’être embauché par un oligarque.

    Challenges

    http://fortune.fdesouche.com/331711-pourquoi-les-allemands-nont-guere-envie-de-se-facher-avec-poutine

  • Rendez-nous notre argent !

     

    C’est un hiver si doux qu’on en viendrait presque à croire au bonheur revenu. Vous savez, ce bonheur qu’on ne reconnaissait pas toujours comme tel mais qui alliait la douceur de vivre dans le plus beau pays du monde et la croyance en un avenir encore meilleur. Mais voilà, « c’était avant », comme le dit Alain Delon dans une publicité.

     

    Qu’est-il donc arrivé à la France pour que tant d’atouts aient été gâchés, au point que notre pays est devenu le plus pessimiste du monde ? Il est arrivé que le communisme a progressivement et inexorablement envahi tous les secteurs d’activité et tué à la fois la liberté et la prospérité. Le communisme ? s’étonneront certains. Oui, le communisme, même si en France on l’appelle le socialisme. Mais c’est exactement la même chose.

     

    Quand les Français qui travaillent se voient confisquer la quasi-totalité de ce qu’ils gagnent, c’est le communisme. Quand chaque jour qui passe voit le pouvoir supprimer des libertés, c’est le communisme. Quand les médias récitent tous la même litanie de mensonges, c’est le communisme. Quand seuls vivent bien dans notre pays les membres de la nomenklatura constituée par les énarques et les élus nationaux, c’est le communisme. Quand aucun politicien ne formule la moindre proposition susceptible de délivrer les Français du carcan où le régime les tient enfermés, c’est le communisme.

     

    Parce que dans le communisme, ce n’est pas le peuple qui choisit ses dirigeants : ils se cooptent entre eux et celui qui se risquerait à proposer un changement perdrait toute chance d’être coopté. Les élections ? Pur simulacre. Elles ne servent qu’à donner l’illusion d’une alternance. Mais c’est toujours la même politique, élections après élections.

     

    Cicéron avait eu une phrase magnifique à l’adresse du factieux Catilina : « Jusqu’à quand abuseras-tu de notre patience ? » Il nous faut aujourd’hui un nouveau Cicéron qui apostrophera les dictateurs français et appellera le peuple à les chasser.

     

    Quelle est la légitimité de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui aspirent à les remplacer ? Ils n’en ont aucune. Le peuple les élit faute de mieux, tout simplement parce ceux qui mériteraient, par leurs qualités et leur honnêteté, de gouverner la France sont empêchés de se faire connaître par la conjuration des médias.

     

    Alors oui, ces gens du pouvoir abusent de notre patience. Mais la patience a des limites. Elles sont aujourd’hui atteintes. Il n’est projet dans le peuple que de manifestations, de révoltes, de punitions. Il ne manque plus que la coalition des mécontentements et surtout le message qui les transmutera en mot d’ordre et qui renversera le régime. Je n’en vois qu’un seul : « Rendez-nous notre argent ! »

     

    Rendez-nous l’argent de nos salaires : la moitié de ce que nous gagnons nous est confisquée par la Sécurité sociale, et l’autre moitié par les impôts. Avec l’argent qu’on va nous rendre, nous allons remettre la France en marche, car nous consommerons, nous investirons, nous ferons des projets, nous aurons de nouveau un avenir. Rendez-nous notre argent, à nous petits entrepreneurs, artisans, commerçants, professions libérales : nous créerons des emplois, de la richesse pour tout le monde, nous redonnerons vie à l’économie de notre pays.

     

    Il faut décréter l’illégitimité des prélèvements. Tout impôt est un impôt de trop, toute cotisation sociale est une cotisation de trop. Il faut tout remettre en question. Une fois l’hémorragie arrêtée, on édictera une fiscalité raisonnable, une protection sociale fondée sur la liberté, des aides aux vrais nécessiteux. Et il fera à nouveau bon vivre en France.

     

    Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/post/78838479596/rendez-nous-notre-argent#.UxooJV4sRXY

  • Grèce en état de choc

    Un documentaire d’Alexandre Leraître et David Gendreau

    Depuis 2009 et l’avènement de la crise de la zone euro, tout semble avoir été dit sur la Grèce, surtout le pire : un peuple de tricheurs, de fraudeurs, de cueilleurs d’olives…

    À rebours du discours des médias dominants, Kontre Kulture se propose ici de revenir aux origines de la crise grecque, en mettant en lumière tant le rôle de la haute finance dans le maquillage des comptes publics que l’impact de l’euro et les conséquences sociales et politiques dévastatrices des plans d’austérité.

    Les analyses d’intellectuels grecs, français et britanniques tels que Mikis Théodorakis, Nigel Farage, Pierre Jovanovic, Michel Drac et Dimitris Konstantakopoulos, combinées à un reportage de terrain sur le quotidien dans le pays, montrent la terrible réalité d’une crise qui ne fait que commencer. Grèce en état de choc nous donne en effet un avant-goût des difficultés auxquelles toute l’Europe devra faire face demain.

    Sous-titres grecs et anglais inclus !

    La bande-annonce en français : à voir ici

  • Vente de SFR : 5 questions pour tout comprendre

    Numéricable et Bouygues Telecom ont déposé leur offre de reprise de SFR. Nous sommes donc sur le point de revenir à un marché des télécoms tenus par trois opérateurs seulement… comme avant l’arrivée de Free... Lire la suite »

  • Le séisme économique approche à grands pas pour la France

    Le séisme économique approche à grands pas pour la France from France Libre on Vimeo.

  • Bretagne : encore un portique écotaxe mis hors d’état de nuire

    Un portique écotaxe situé sur la nationale 12, à hauteur de Montauban-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine), entre Rennes et Saint-Brieuc, a été endommagé dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 mars par un incendie volontaire.

    Des pneus ont été enflammés au pied d’un des deux piliers de la structure, l’endommageant sur près d’un mètre, selon la gendarmerie, prévenue par un automobiliste (socialiste ? UMPiste ?) mercredi vers 23 heures.

    « Il n’y a pas de danger au niveau de la stabilité du portique, mais les experts ont décidé de le faire retirer », ont précisé les autorités.
    Plus d’une dizaine de portiques électroniques ont été endommagés dans l’Ouest ces derniers mois.

    http://www.contre-info.com/