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économie et finance - Page 755

  • De la croissance à la résilience

    Par Jean-Marc Jancovici

    Qui n’a jamais entendu que les arbres ne grimpaient pas jusqu’au ciel ? Que cela soit heureux ou malheureux est un débat intéressant, mais il en est un qui l’est bien plus : savoir quoi faire quand l’arbre a terminé sa croissance. Depuis 2007, et pris en monnaie constante, le PIB français n’a pas augmenté. Celui de l’Europe pas plus, celui du Japon a un peu diminué, et même celui des États-Unis est globalement ce qu’il était il y a 5 ans.

    L’économie sans croissance dans l’OCDE, c’est maintenant, et c’est parti pour durer un certain temps. Affreux ? Intolérable ? Peut-être, mais réel. Pour un individu pris isolément, l’arrêt de la croissance physique ne pose pas le moindre problème. Comme nous savons que cela arrivera, nous avons le temps de préparer des activités et des motifs d’espoir qui sont adaptés à l’évolution de notre situation physique.

    L’économie industrielle est à ce tournant que nous connaissons tous comme individus : elle a vieilli, et ne peut plus assurer la performance d’antan. Les mines et puits de pétrole sont moins généreux, l’espace encore disponible est plus difficile à trouver, et plus généralement toutes ces ressources que 15 milliards d’années d’évolution depuis le Big Bang ont mis gratuitement à notre disposition se font un peu plus tirer l’oreille pour devenir disponibles.

    Le problème, c’est que, tel l’artiste qui refuse de se voir vieillir, nous n’avons pas voulu voir le coup venir. On a beau se tourner partout, il n’existe pas la moindre production intellectuelle digne de ce nom sur ce que signifie de gérer un univers sans croissance. Cette question n’a pas besoin de savoir si la croissance est désirable ou pas : elle a vocation à explorer les modes de gestion qui permettent de conserver une société avec un bon moral si la croissance physique n’est pas ou plus là.

    Habituées aux coups durs, les entreprises sont un peu mieux armées, mais guère plus. Il leur reste aussi à opérer la difficile mutation de la performance à la résilience, qui ne garantira plus les rendements d’antan quand tout va bien, mais assurera la survie à des horizons de temps plus longs. Sacré défi!

    Les Échos   http://fortune.fdesouche.com/

  • Marion Maréchal-Le Pen : recherche sur l'embryon: la primauté de la science et du marché sur l’humain

    MmlpCommuniqué de presse de Marion Maréchal-Le Pen :

    "L’Assemblée nationale s’est prononcée aujourd’hui en faveur d’une proposition de loi radicale de gauche et soutenue par le Gouvernement concernant la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Ce texte majeur modifie la loi de 2004 en passant d’une interdiction de principe avec dérogation à une autorisation de principe assortie de conditions plus souples.

    Le débat a eu lieu en catimini, en quelques heures à peine et à l’insu des Français. Non content de ne pas respecter la loi de 2011 prévoyant un débat public sous forme d’états généraux pour les réformes éthiques, la ministre a demandé l’application de la procédure de « réserve des votes » empêchant ainsi les députés d’amender la proposition afin d’accélérer le débat.

    Par ce texte, l’humanité de l’embryon est niée par principe, l’humain en devenir sera réduit à l’état de matériau d’expérimentation au nom de la compétitivité scientifique. Et ce, alors même que l’utilisation des cellules souches adultes et du cordon ombilical sont à l’origine de la majeure partie des avancées scientifiques et qu’une solution alternative a été découverte par le chercheur japonais Yamanaka grâce aux cellules souches dites IPS.

    De surcroit, le texte a supprimé une disposition de la loi de 2011 prévoyant que les alternatives aux recherches sur l’embryon humain et conformes à l’éthique doivent être favorisées.

    Cette proposition est d’autant plus étonnante qu’une directive européenne de 2010 fixe comme objectif le remplacement total des procédures scientifiques appliquées aux animaux « sous forme embryonnaire ou fœtale » par des méthodes alternatives. Demain l’embryon humain vaudra moins que celui de la baleine…

    On peut s’étonner de la détermination du Gouvernement quand de nombreux chercheurs, comme le professeur Ménasché, affirment que l’ancien régime ne les empêchait pas de mener à bien leur recherche mais faisait obstacle aux investissements privés dans ce secteur…

    Pour toutes ces raisons, Marion Maréchal-Le Pen a voté contre ce texte et cosigné avec Jacques Bompard un amendement interdisant toute recherche sur l’embryon humain".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L'Assemblée nationale a cédé aux lobbies pharmaceutiques et à la culture de mort : l'embryon humain est chosifié et commercialisable

    Journée noire pour la France :

    "Le Parlement français a adopté aujourd'hui une proposition de loi qui autorise sous certaines conditions la recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires, malgré la vive opposition de la droite et des associations religieuses.

    La loi de 2011 prévoit une interdiction de la recherche sur les embryons mais assortie de dérogations accordées par l'Agence de biomédecine. La proposition de loi présentée par les radicaux de gauche prévoit de passer d'un régime "d'interdiction assorti de dérogations" à un régime "d'autorisation encadrée" de la recherche sur l'embryon". 

    On relira cet article de 2011 pour comprendre l'influence des lobbies.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Euromondialisme – 1.100 milliards déjà dépensés pour sauver l’euro !

    Le 11 juin, Charles Sannat, économiste, écrivait un édito intitulé « quel serait le véritable coût d’une sortie de l’euro », car de très nombreux lecteurs se posaient la question. Ce qu’il souhaitait entre autres démontrer dans cet article, c’était qu’il ne fallait pas non plus occulter le coût du maintien de la monnaie unique et le risque, à l’arrivée, de devoir assumer un double coût, celui du maintien et en cas d’échec, également celui de l’explosion de l’euro.

    Encore 3 ans à ce rythme et la France explosera, l’Italie aussi, sans même parler de l’Espagne. Les MES ou FESF ne seront plus suffisants et les digues seront emportées.

    À l’arrivée, nous devrons sans doute assumer un double coût. D’abord celui du maintien à tout prix de l’euro, puis son explosion, ce qui est le scénario catastrophe le plus coûteux. Belle affaire n’est-ce pas. »

     

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  • Opération Valérie Trierweiler à Paris

    COMMUNIQUÉ du Printemps Français : François et sa volaille

    un beau lâcher de poulets à Paris pour honorer la première poule de France, Valérie T. Samedi matin, le Printemps Français a lâché une basse-cour au pied de son immeuble parisien, gardé par deux poulets. Courant derrière nos coqs, les poulets de Manuel Valls tentaient de protéger la première poule de la République, et les plumes volaient
    Ça nous a bien fait rire, et c’est tout ce que ça nous rapportera. Car sinon, la dame à François, elle nous coûte de l’argent : soit c’est sa maitresse, et pourquoi l’entretenir sur un pied officiel, soit c’est sa concubine, et François a menti sur son patrimoine et ses revenus.
     
    Ce n’est qu’un mensonge de plus, de la part d’Hollandouille, qui veut bien du mariage pour tous mais n’en veut pas pour lui, qui veut bien changer la vie des Français mais refuse de toucher à son confort de célibataire à bonne fortune.
    Pourtant le temps des comptes est venu, ceux que la Cour lui jette dessus chaque matin, et le décompte de ses soutiens dans les sondages : la France n’a plus d’argent, François est à sec.

    PAS DE PETITES ÉCONOMIES, VALÉRIE N’A RIEN À FAIRE PARMI LES OFFICIELS DU 14 JUILLET !

    http://www.francepresseinfos.com/

  • L’euro, la crise et le grand hold-up

    Série internet basée sur le best-seller de Peter Mertens “Comment osent-ils ?- L’euro, la crise et le grand hold-up.

    En cinq épisodes, nous cherchons qui sont les gagnants et les perdants de la crise de l’euro. En nous demandant avant tout : quelle Europe souhaitons-nous?

    Partie 1: Une crise bancaire par semaine. Notre histoire commence à la chute du premier domino, lorsqu’éclata la bulle financière. Dans le présent épisode nous découvrons pourquoi les grandes réformes du secteur financier se font attendre.

    Partie 2: Le sauvetage du secteur financier a coûté des milliers de milliards. Dans le présent épisode, nous voyons à qui la facture a été présentée.


    Partie 3: C’est la crise et donc nous devons tous faire ceinture. Dans le présent épisode, nous constatons que cela ne vaut pas pour tout le monde.


    Partie 4: L’Union européenne est une union de concurrence et d’inégalité. Dans cet épisode, nous voyons comment l’Allemagne a donné l’exemple.


    Partie 5: L’Europe est à nous. Mais force est de constater que les grands groupes financiers et industriels se sont accaparés le projet. Est-ce là l’Europe que nous voulons ?

    http://fortune.fdesouche.com/

  • « La propriété, c'est le vol »

    Proudhon le disait, l’État socialiste le met en pratique, en empêchant les classes intermédiaires de se constituer un capital et en imposant des règles d'usage qui transforme le propriétaire en fonctionnaire administrant un bien dont il n'est plus libre de jouir : justice sociale ou ruine générale ?
    La haine marquée des socialistes français à l'égard des « Riches », catégorie imprécise et fantasmatique, tient à la fois de la nécessité de désigner un ennemi intérieur (moteur nécessaire à tout réformateur justifiant de ses échecs) et d'une conception foncièrement collectiviste de l'économie. Il ne s'agit pas de revenir ici sur cette idée chrétienne devenue folle d'une pauvreté érigée non pas comme vertu mais comme instrument de contrôle (la privation de toute fortune personnelle ayant pour unique but d'empêcher l'indépendance vis-à-vis de l’État), mais de considérer les actuels dispositifs, où toutes les classes moyennes ont appris avec ravissement qu'elles étaient riches (il suffit d'un revenu net de 4000 euros mensuels) en même temps qu'on leur assénait avec rigueur que cette richesse leur serait enlevée.
    Thésauriser, c'est mal
    La pression fiscale est à son comble, qu'il s'agisse des personnes physiques ou des personnes morales, et tout capital est vécu comme une spoliation doublée d'un scandale : celui qui thésaurise ne dépense pas ni n'investit, celui qui ne dépense pas ne soutient pas l'économie, celui qui ne soutient pas l'économie empêche celle-ci de redémarrer (puisque les socialistes sont convaincus qu'on ne relance la croissance que par la consommation...), bref celui qui ne dépense pas réduit les autres au chômage et à la misère. Sa propriété est vraiment un vol social, il thésaurise moins qu'il n'empêche l'argent de féconder la société. Il faut donc imposer tout et chacun, les plus-values de cession, les transactions financières, les droits de succession, diminuer les abattements fiscaux et relever le taux de TVA - tout ça non pas pour nourrir l’État mais au nom de la justice distributive (la même mesure devenant donc vertueuse ou vicieuse selon que la Gauche ou la Droite la propose). Le paradoxe est que ces mesures « d'encouragement » à l'investissement ont provoqué une baisse sans précédent des montants investis, car parallèlement à la pression fiscale, l’État continue à décourager l'entreprise privée (les modifications des règles de l'auto-entreprenariat étant emblématiques à cet égard) - et qui prendrait désormais le risque de se voir assujetti à l'ISF, qui taxe le capital constitué quand bien même il ne génère pas de revenus ?
    Le travail, c'est un capital
    Le travail lui-même devient un bien à partager, comme en témoignent les fameuses 35 heures, un bien collectif dont le salarié n'est pas propriétaire : tout est donc fait pour que l'organisation du travail soit elle aussi collective, en imposant d'employer (l'État se substituant parfois au marché, en comptant sur l'impôt pour financer ses embauches) - ou en faisant porter aux entreprises le poids de la taxation exceptionnelle à 75 % des revenus supérieurs à un million d'euros. Si les faillites à jet continu et les licenciements économiques en mode geyser diminuent la masse des emplois disponibles, l’État ne se sent pas responsable : la destruction d'un capital privé se retrouvera forcément selon un mystérieux et irrationnel « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » dans la masse d'argent publiquement distribuée qui permettra de financer mécaniquement des emplois (les fameux contrats de génération), de maintenir ou créer des emplois publics ou de dynamiser la consommation. L'idée que les emplois publics ne créent pas de valeur mais se contentent de distribuer un service « gratuit » semble n'effleurer personne, et l'évidente paupérisation des classes moyennes (qui perdent en plus le capital relationnel et intellectuel que représente une activité) n'est sans doute qu'un épiphénomène. Après tout, s'appauvrissant ils deviendront vertueux à proportion et pourront bénéficier des aides de l’État.
    Seul l’État a le droit d'abuser
    Quant au capital restant, il faut en diminuer le pouvoir de nuisance, en imposant des règles d'usage des biens immobiliers, par exemple : la vieille règle du jus utendi et abutendi (droit d'user et d'abuser) qui définissait la propriété est constamment remise en cause ; détenir un actif financier crée désormais plus d'obligations (temps de détention, règles de cession, etc.) que de richesse. L’État en arrive d'ailleurs à se « voler » lui-même : mauvais actionnaire dans sa gouvernance (mais est-ce vraiment le rôle de l'Etat que d'être actionnaire), insensible au cours de Bourse pour prendre ses décisions ou donner ses avis, ou prêt à donner ses terrains pour construire des logements sociaux (proposition du candidat Hollande comptée au rang des promesses tenues).
    Le paradoxe est bien sûr que cette haine des richesses se double d'un goût stupéfiant pour leur consommation, l’État providence étant d'une prodigalité folle, et témoigne d'une pensée magique qui veut que l'abondance soit un droit et qu'il existe forcément un trésor caché, inépuisable, que l’État socialiste a pour mission de trouver et de partager. En attendant, les recettes fiscales diminuent, la croissance ne revient pas, la France s'appauvrit, les fortunes fuient avant même que d'être constituées. La justice crée la ruine : amère consolation de se savoir vertueux.
    Hubert Champrun monde & vie 2 juillet 2013
    Lire Proudhon : http://kropot.free.fr/Proudhon-propriete.00.htm

  • Comment boucher les trous du budget de l’État, par Pieter KERSTENS

    Alors que tous les Chefs d’État, politiciens de gauche et de droite, ainsi que l’ensemble des médias nous répètent depuis des mois et des mois que « la Crise est derrière nous ! », dans tous les pays d’Europe, la préparation d’un budget et le respect des dépenses autorisées procurent de nombreux soucis aux Ministres des Finances.
    Alors que beaucoup de pays sont en récession et que des réformes structurelles doivent être imposées, sans doute impopulaires mais indispensables au redressement économique. Ce qui est développé ci-dessous concerne le « plat Pays », mais certains points pourraient s’exporter en France ou ailleurs…
    Après plusieurs mois de palabres, les califes qui gouvernent la Belgique n’ont évoqué que des « mesurettes » concernant les dépenses et les recettes de l’État. RIEN de sérieux…

    Pas un mot sur les déficits budgétaires qui s’annoncent, ni sur le gouffre de la dette publique de 380 milliards d’Euros -soit 33.000 € par habitant- qui augmente de plus de 1 milliard tous les mois … alors que la pression fiscale belge atteint 44% du PIB en 2012,  la 3ème plus élevée dans l’Europe des 27  ! ! !

    Pourtant, des mesures drastiques s’imposent, des décisions d’économies structurelles se font urgentes et une gestion journalière en « bon père de famille » doit primer sur la démagogie, le gaspillage des deniers publics et les privilèges octroyés à bon nombre de catégories de salariés du secteur public.
    Pour ne pas rejoindre la Grèce, l’Italie, le Portugal, Chypre, Malte ou l’Espagne sur le banc des cancres de l’Union Européenne, il serait utile d’examiner les propositions suivantes :
    1)      Revenir à l’horaire des 40 heures/semaine, sans hausse de salaire. Ceci permettrait une meilleure compétitivité de nos entreprises face à nos concurrents européens. Plus de 80% de nos échanges commerciaux se font avec l’Allemagne, la Hollande, la France, l’Italie et l’Espagne. Dans le passé, les baisses d’horaire ont bien eu lieu SANS baisse des salaires…
    2)      En Belgique, quand un jour férié tombe un week-end il est obligatoirement chômé et payé un jour ouvrable précédant ou suivant ! Dans la période calamiteuse que vit notre économie, il faut supprimer cette aberration. Cela ne représente que 2 ou 3 jours selon les années.
    3)      Rapatrier, avec des mesures coercitives si nécessaires, les capitaux placés par les belges à l’étranger et non déclarés, (en Suisse, au Luxembourg, au Lichtenstein, à Jersey, en Autriche, en Andorre, aux îles Turcs et Caicos, aux Seychelles, etc.…) qui sont estimés à 150 milliards d’Euros.
    4)      Que le gouvernement belge, et plus précisément les ministres de la Justice, de l’Intérieur et des Finances, se préoccupe du fléau du « travail au noir », des fausses factures et des revenus non déclarés.
    Selon 5 études réalisées en 20 ans par des universitaires et des parlementaires, l’économie souterraine représente plus de 70 milliards d’Euros TOUS LES ANS ! Ces fraudeurs volent leurs concitoyens de plus de 30 milliards € en taxes et impôts annuels, alors que par ailleurs ils bénéficient quand même de nos hôpitaux, des écoles pour leurs enfants, d’un système social très élaboré, de la Poste, de la Police ou des Pompiers, qu’ils ne refusent pas quand ils en ont besoin !
    5)      Il faut en terminer avec le chômage « ad vitam aeternam » qui a institué le chômeur professionnel et le type de famille « chomdu » où les grands-parents, les parents, les fils et petites-filles n’ont jamais connu le travail, alors que TOUS bénéficient d’allocations et aides diverses, sans avoir versé aucune cotisation. Il est courant de constater qu’une forte proportion de « chômeurs », en bonne santé, travaillent « au noir ». C’est scandaleux, incivique et intolérable.
    6)      Revoir les conditions d’octroi des aides distribuées par les Centre Publics d’Aides Sociales, en fonction des revenus réels des individus, de leur train de vie, de la durée de leurs cotisations et de la légalité de leur séjour sur le territoire.
    7)      Réexaminer les critères de distribution des deniers publics dont bénéficient les Asbl, associations de fait, groupements, fédérations, sociétés, parlementaires, mandataires publics, administrateurs d’organismes publics et autres fromages parapublics.
    8)      Stopper tous les versements à des pays (ou organisations à l’étranger) provenant de l’argent des contribuables et cesser les dépenses incongrues, aussi longtemps que l’Etat ne respectera pas les critères de Maastricht.
    Mais QUI donc pourrait avoir la volonté politique de faire adopter ces mesures de bon sens ? En effet la « solidarité » dont se gargarise la mafia socialaud-libéro-écolo-démagogique, ne devrait pas signifier que les travailleurs « fourmis » soient rackettés au bénéfice d’une multitude d’assistés « parasites ».
    OUI, les « pourriticards » de la gauche caviar, de la droite cosmopolite et du centre progressiste sont des nullités dont la suffisance le dispute à l’incompétence, uniquement préoccupés par leur cote de popularité et leur obsession d’être en place éligible lors des prochaines élections. Minables !
  • 2014 : nouvelle augmentation d'impôts

    A défaut de savoir faire des économies, la gauche montre qu'elle sait augmenter les impôts, encore et encore.

    "François Hollande a dévoilé dimanche un secret de Polichinelle. Dès la fin avril, le programme de stabilité envoyé par le gouvernement à Bruxelles prévoyait 6 milliards de hausse de prélèvements en 2014. Un chiffre toujours assumé par Bercy. Pire, pour compenser le rendement décroissant de certaines taxes, la Cour des comptes estime que la France va devoir trouver 12 milliards."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/