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économie et finance - Page 9

  • [POINT DE VUE] C. Morançais : le coup de rabot budgétaire qui fait couiner

    Capture d'écran France 3
    Capture d'écran France 3
    Alors que la France est au pied du mur budgétaire, une voix dissidente s'élève au sein d'une France dépensière et droguée à l'argent public : celle de Christelle Morançais, présidente du conseil régional des Pays de la Loire. Le courage et le souci de redresser le pays seraient-ils une tradition que cette ex-LR, aujourd'hui membre d'Horizons (le parti d'Édouard Philippe), aurait recueillie de son prédécesseur Bruno Retailleau, lui-même ayant été, jadis, dans le sillage de Philippe de Villiers ? La réconciliation récente de Villiers avec Retailleau, pour le départ du Vendée Globe, médiatisée dans Ouest-France montre que, malgré les divergences de parcours, ces grandes figures de l'Ouest savent se retrouver sur l'essentiel : l'identité de la France et la sécurité des Français. Mais si la France est en péril, c'est aussi à cause de la folle gestion socialisante que Macron a exacerbée, avec nos déficits abyssaux et nos 3.000 milliards de dette. Barnier a demandé aux collectivités locales de prendre leur part à l'effort, même si l'on sait que la part de ces collectivités dans la dette publique n'est que de 8 %. Il n'empêche, comme toujours en France, tous protestent, à droite comme à gauche. Pourtant, on sait bien qu'il y aurait des millions à économiser dans les politiques menées par ces grandes collectivités, notamment en faveur des migrants et des dingueries woke !

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  • Budget : l’irresponsabilité et les cachotteries de Borne, Attal et Le Maire

    Le récent rapport du Sénat pointe les responsabilités de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Gabriel Attal et Emmanuel Macron dans le dérapage du déficit
    Le récent rapport du Sénat pointe les responsabilités de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Gabriel Attal et Emmanuel Macron dans le dérapage du déficit

    Le récent rapport du Sénat pointe les responsabilités de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Gabriel Attal et Emmanuel Macron dans le dérapage du déficit. Des responsabilités assorties de cachotteries et tromperies qui ont conduit à la dette catastrophique actuelle dont le poids est porté par les générations futures.

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  • Quitte ou double avec Barnier

    Barnier veut consulter les oppositions, comprenez, ceux qui ont été écartés du gouvernement alors qu’ils étaient devant Macron ou les LR lors des dernières législatives, mais factuellement Barnier n’a que des opposants non ? Bref s’il fait cela c’est qu’il a dans l’idée de déclencher un 49.3 pour faire adopter son budget qui n’en finit pas d’être corrigé, retouché, amendé. Borne ne s’embarrassait pas autant, à peine la porte du palais Bourbon poussée, elle le dégainait et ça passait. Lui a dû faire croire qu’il écoutait les parlementaires, faute de disposer d’une majorité. Le jeu doit commencer à irriter Macron qui n’a pas l’habitude qu’on lui résiste et donc il est temps de siffler la fin de la récréation. Soit, jusque là rien ne bien novateur, ce qui l’est à revanche, c’est l’attitude qu’aura le RN face à une éventuelle motion de censure. Va-t-il une fois de plus s’abstenir de la voter, ou enfin saisir cette chance pour renverser Barnier et porter un coup dur à Macron ? L’enjeu est simple et pourtant de taille pour le RN, soit il s’affiche au soutien du peuple qui souffre, celui des agriculteurs, des petits commerçants, de ces salariés que le Sénat veut faire travailler gratuitement pendant 7 heures, rétablissant la corvée de l’ancien régime, nouvelle forme d’esclavagisme sous couvert de solidarité nationale, s’exonérant lui, bien entendu, de toute économie, de tout renoncement à ses propres privilèges, comme toujours. Soit il s’abstient, peu importe ses motivations et se place de facto comme l’assurance tout risque de Macron et de cette Europe mortifère, rompant définitivement avec le peuple, le trahissant une fois de plus, une fois de trop.

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  • Médicaments. L’alerte des laboratoires sur la désindustrialisation de notre pays.

    C’est très bien de se jeter des fleurs en se disant “qu’est-ce qu’on est bien nous”… ou autres “vous avez vu comment c’est pire aux Etats-Unis”. C’est encore mieux de dresser les vrais constats et de ne pas céder à la béatitude naïve. L’optimisme oui. Le volontarisme ? Oui aussi. Mais pas la béatitude naïve qui n’est rien d’autre que de l’aveuglement volontaire qui a pour conséquence d’encourager et de fabriquer l’inaction. On ne peut corriger que ce que l’on accepte comme étant mauvais, à améliorer ou à rendre plus fonctionnel.

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  • Dommage qu’on ne puisse pas offrir Matignon à Elon Musk

    Pour la France qui naturalise à tours de bras, y compris ceux qui n’ont rien demandé, le mieux serait d’adopter Elon. Il se dit amoureux de notre pays, de ses monuments, de ses fromages et de ses femmes. En plus, Gala et le très sérieux site Politico lui prêtent une idylle avec Giorgia Meloni. L’Italie, c’est la porte à côté.

    Pour lui prouver ses sentiments, au lieu de lui offrir des diamants (c’est trop banal) il pourrait acheter un sous-marin fantôme aux Russes (Vlad en propose deux ou trois d’occasion nickel) pour envoyer par le fond la flotte des envahisseurs. D’autant qu’il pourrait déjà se faire la main sur les rafiots qui pullulent sur le Rio Grande.

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  • France-Argentine : sur le terrain économique, Milei écrase Macron

    Argentine libertarian economist Javier Milei (R), legislator candidate for Avanza Libertad party, delivers a public open class of economy at San Martin square in Buenos Aires on October 19, 2021 ahead of the mid term elections to be held on November 14. (Photo by JUAN MABROMATA / AFP)
    Argentine libertarian economist Javier Milei (R), legislator candidate for Avanza Libertad party, delivers a public open class of economy at San Martin square in Buenos Aires on October 19, 2021 ahead of the mid term elections to be held on November 14. (Photo by JUAN MABROMATA / AFP)
    Les deux équipes nationales de rugby de France et d’Argentine se rencontrent ce 22 novembre, à 21h10, au Stade de France, près de Paris. Mais pour le Président Macron, la confrontation a intérêt à ne pas sortir du gazon. Car sur le terrain de l’économie, le match France-Argentine a des allures de déculottée. En moins d’un an, le diable Javier Milei et son objet fétiche, sa tronçonneuse brandie pour tailler dans les dépenses inutiles, ont coupé en rondelles les certitudes socialisantes du Président français et de ses amis mondialistes : elles n’avaient rien d’infaillible et rien de fatal, bien au contraire. Élu avec 56 % des voix le 19 novembre 2023, au pouvoir depuis décembre 2023, Milei montre qu’on peut sortir de cette doxa et collectionner les succès économiques. Qu’il faut quitter ces credo délétères pour se donner une chance de redresser nos États obèses.

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  • Lisnard sur France 2 sur la bureaucratie étouffante

    Ecoutez David Lisnard qui parle de la bureaucratie, ou des 1 800 pages de règlementation thermique pour les communes qui n’arrivent plus à rien ou avec des coûts totalement prohibitifs ce qui est totalement vrai.

    L’intérêt de cette vidéo n’est pas tant ce que dit David Lisnard dont j’apprécie le discours comme vous pouvez l’imaginer, mais la réaction de la présentatrice Anne-Sophie Lapix qui est effectivement prisonnière d’un logiciel intellectuel qui l’empêche totalement d’imaginer la moindre rupture avec notre monde normatif.

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  • La Russie utilisera le produit des avoirs gelés des investisseurs occidentaux

    par Boris Karpov

    La Russie utilisera le produit des avoirs gelés des investisseurs occidentaux.

    Des mesures de représailles seront prises après la mise en œuvre d’actions inamicales de la part des pays occidentaux, a déclaré le ministre russe des Finances Siluanov.

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  • Le Sénat a trouvé le truc pour renflouer la Sécu…

    Gérard_Larcher,_Président_du_Sénat_français,_Président_de_séance
    Notre Sécu va mal. Ce n’est rien de le dire. La preuve ? En 2024, nous dit un rapport de la Cour des Comptes publié le 24 octobre dernier, son déficit sera de 18 milliards en 2024, soit 7,5 milliards de plus que ce qui avait été prévu dans la loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) adoptée par 49.3 à la fin 2023. « Dans la dernière décennie, hors les deux années de crise sanitaire, un dépassement de la prévision initiale d’une telle ampleur est sans précédent », soulignent les magistrats de la rue Cambon. Si cela continue sur cette trajectoire, la Cour des Comptes estime même qu’en 2028, le déficit cumulé sera de… 100 milliards d’euros.

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  • Les éoliennes ? 18 milliards d’€ par an pour l’Etat et une électricité 2 fois plus cher que le nucléaire !

    Je vous laisse écouter ce député.

    Ce qu’il dit est vrai.

    L’énergie éolienne à un tarif prohibitif.

    Et il n’y a qu’en France et en Europe, avec des énarques et des europathes technocrates que l’on peut imaginer que dépenser 20 milliards par an pour payer des éoliennes pour décarbonner une énergie nucléaire à faible coût déjà décarbonée est une bonne idée.

    Oui.

    Il n’y a que ceux qui nous dirigent qui peuvent imaginer que c’est une bonne idée.

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