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Comparé à l’agité perpétuel de l’Élysée, vous avez tous remarqué le calme olympien que Poutine affiche en permanence, alors qu’il mène une guerre longue face à l’Ukraine soutenue par cinquante nations, qui s’obstinent à poursuivre une guerre ingagnable.
Si le Tsar est si serein, c’est qu’il sait très bien que la Russie et son peuple peuvent relever tous les défis et ne craignent personne.
Capture d'écran Présidence de la République française
15 % de taxes. C’est donc le résultat de cette petite heure de négociations entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, avant que le président des États-Unis n’aille faire sa petite partie de golf. Bien que l’Union européenne promeuve la place des femmes dans la société, celle qui préside aux destinées du continent, alors que personne n’a voté pour elle, semble abonnée aux rôles de potiche – et ce, au moins, depuis la réception de Charles Michel par Erdoğan, quand elle était restée sur le sofa pendant que les hommes parlaient. Ici, même jeu : Ursula, mon petit, vous nous apporterez les contrats et j’irai faire mon parcours ensuite.
Ceux qui, en Europe, acceptent comme un moindre mal l’imposition unilatérale de droits de douane de 15% et plus par les Etats-Unis, pensent avoir passé un accord avec un partenaire fiable, qui leur assure la stabilité et la visibilité nécessaire à leurs affaires. Un doute devrait pourtant les effleurer : le rançonnage et la vente forcée sont-ils les méthodes d’un chef d’État soucieux des intérêts de son pays ou celles d’un mafieux sur la parole duquel il ne faut pas trop compter? La lettre du 12 juillet, dans laquelle Donald Trump me- naçait l’UE de barrières commerciales encore plus élevées, stipule : « Ces droits pourront être modifiés, à la hausse ou à la baisse, selon l’évolu- tion de nos relations. »
Avec des centaines de Vélib dérobés ou abandonnés chaque semaine, il faut revenir sur cette idée saugrenue des transports partagés, un genre de licorne économique complètement hors sol et qui ne tient que par l’argent public. Le concept des vélos et voitures en libre-service est apparu à Amsterdam en 1965, dans les milieux associatifs et libertaires, c’est donc, non pas un concept économique mais un concept politique, pétri de bonnes intentions totalement éthérées, carrément conceptuelles, qui dès l’origine est totalement déconnecté de l’économie réelle. A Paris, avec les vols et dégradations, il manque environ, en permanence, 15 % du parc, une paille et des tarifs en hausse permanente, car ici comme ailleurs, les gens honnêtes paient pour les actes des voyous, rarement inquiétés, évidemment.
Les États-Unis vont commencer à pomper de l'argent d'Europe. Donald Trump a annoncé un nouvel accord commercial. Les États-Unis vont instaurer un droit de douane de base de 15% sur les marchandises en provenance de l'UE.
Afin de réduire les droits de douane américains, la Commission européenne, c’est-à-dire Ursula von der Leyen, a promis aux États-Unis de remplacer entièrement le pétrole et le gaz russes par du GNL et du combustible nucléaire américains. « Les achats de produits énergétiques américains diversifieront nos sources d'approvisionnement et contribueront à la sécurité énergétique de l'Europe. Nous remplacerons le gaz et le pétrole russes par d'importants achats de GNL, de pétrole et de combustibles nucléaires américains », a-t-elle déclaré dans sa conférence de presse.
Je me suis longuement tâté les deux choses puis je me suis dit que je ne pouvais pas vous cacher un nouveau dessous des cartes propre à vous faire hurler. Vous allez rire comme un vieux monocle jaune en cavale que l’aventurier Bob Morane d’Indochine recherche désespérément depuis un bail, de Bangkok à Paris puis de Saïgon à Tokyo, plus que Susan qui l’a depuis longtemps plaqué pour Madone.
À mesure que Nicolas, 30 ans, se fait connaître sur les réseaux sociaux, les médias grand public s’intéressent à ce nouveau « mème » social et relatent, avec tous leurs biais, ce qu’ils voient derrière le personnage fictif subissant un contrat social qu’il n’a pas demandé et qui devient de plus en plus coûteux.
Sans surprise, leur représentation médiatique est souvent caricaturale et c’est donc aussi sans grand étonnement que, lorsque la politicaillerie française s’empare du sujet, elle ne trouve guère mieux à faire qu’à polariser les Français sur les questions pourtant légitimes que ce personnage soulève.
15 % de taxes douanières, une obligation d’acheter 750 milliards de dollars d’énergie américaine, 600 milliards d’investissements forcés sur le sol US, tout cela pour « éviter la guerre commerciale » que de toute façon, nous n’avons pas les moyens de mener. Ben voyons… heureusement que Trump était présenté comme un malade mental, tout comme Poutine d’ailleurs, qui s’en sort bien mieux que nous… comment croire que Von-der-Leyen, mandatée par les Européens pour mener cette discussion, se soit faite avoir ? Mais non, elle est consentante pardi, elle est allée voir Trump pour finir de nous liquider, comment pourrait-on en douter ?
Les États-Unis vont commencer à pomper de l'argent d'Europe. Donald Trump a annoncé un nouvel accord commercial. Les États-Unis vont instaurer un droit de douane de base de 15% sur les marchandises en provenance de l'UE.
Afin de réduire les droits de douane américains, la Commission européenne, c’est-à-dire Ursula von der Leyen, a promis aux États-Unis de remplacer entièrement le pétrole et le gaz russes par du GNL et du combustible nucléaire américains. « Les achats de produits énergétiques américains diversifieront nos sources d'approvisionnement et contribueront à la sécurité énergétique de l'Europe. Nous remplacerons le gaz et le pétrole russes par d'importants achats de GNL, de pétrole et de combustibles nucléaires américains », a-t-elle déclaré dans sa conférence de presse.