Qui l’eût cru ? C’est François Bayrou, l’homme des coteaux béarnais et de la ville du bon roi Henri, qui sonne le tocsin. C’est Bayrou, le grand méchant mou, qui ose dire – enfin – la vérité sur la situation financière catastrophique de la France. Les marchés bruissent et le Wall Street Journal s’inquiète désormais de la capacité du gouvernement à lever l’impôt. Soyons clairs. À analyse radicale, solution radicale. Il y a 170 milliards de déficit budgétaire annuel. Il faut donc sabrer 170 milliards de dépenses. Où ? Dans les dépenses nuisibles, pardi ! Ce qui suppose une rupture radicale avec l’idéologie dominante et les politiques qui la servent.
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Bayrou alerte sur la situation économique de la France : soyons radicaux !
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Suite à la publication de son plan pour que les Français paient moins : Sarah Knafo répond à la ministre de la Ville
La ministre de la Ville, Juliette Méadel, a réagi avec mépris sur X (ex Twitter) à la proposition de Sarah Knafo de supprimer le budget politique de la ville cliquez ici.
Voici la réponse que lui a adressé la députée européenne de Reconquête ! :
Madame la Ministre,
Merci pour ce charabia sentimental. Maintenant, je vais vous répondre point par point.
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Bien sûr qu’il faut en finir avec le budget de la politique de la Ville… et tout le reste !
C’est l’artillerie lourde, au nouveau du gouvernement et de ses soutiens, pour culpabiliser les Français qui oseraient ne pas se montrer favorables au plan Bayrou et à ses prétendus 43 milliards d’économie qui sauveraient le pays de la banqueroute. Le Premier ministre en est à appeler au secours tous les anciens qui auraient profité des Trente Glorieuses, en nous expliquant qu’ils devraient être à ses côtés.
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Euro numérique : la BCE en panique face au volontarisme américain
Depuis plusieurs années, la Banque centrale européenne (BCE) tente d’imposer son projet d’« euro numérique ». Un chantier censé assurer à l’Europe une place dans la course aux monnaies digitales, mais qui semble avancer à coups d’improvisations et de revirements spectaculaires. Dernier épisode en date : l’annonce d’un basculement vers l’utilisation d’une blockchain publique, comme Ethereum ou Solana, plutôt qu’un système fermé intégralement contrôlé par la BCE.
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Bayrou, c’est le Français moyen qui a laissé Macron nous surendetter pour l’Ukraine et Gaza ?
Salaud ! Ordure ! Manipulateur ! Exploiteur !
Désolée pour ce chapelet ordurier ? Mais y a-t-il d’autres mots pour qualifier la Macronie et son Premier ministre Bayrou qui ose, l’ordure, s’en prendre au Français moyen qui n’aurait pas de scrupule à limiter la dépense publique, le salaud… !
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Dette : la duperie de François Bayrou
François Bayrou, lanceur d’alerte ? C’est ce profil avantageux que le Premier ministre aimerait laisser, sur la question du surendettement public. Hier, il a présenté sa décision de solliciter la confiance du parlement, le 8 septembre, comme une audacieuse prise de risque. Le but : réveiller les consciences des Français sur l’état des finances publiques (3345 milliards d’euros de dettes, soit 113,9% du Pib). A l’entendre, il n’y aurait pas d’autres alternatives que de le suivre ou de laisser le pays sombrer.
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Immigration, subventions… 150 milliards de dépenses nuisibles ! – Jean-Yves Le Gallou sur Sunrise
Jean-Yves Le Gallou était interrogé par Nicolas Faure, sur sa chaîne YouTube Sunrise, à propos des dépenses publiques nuisibles et de la sortie du livre 3 000 milliards de dette – Ouvrons la chasse aux dépenses nuisibles ! Voici cet entretien.
Polémia -
Panique : la BCE improvise de plus en plus son euro numérique
La presse française étant ce qu’elle est (c’est à dire aussi subventionnée que médiocre), ce que Trump a réalisé en matière de cryptomonnaies est bien évidemment passé à peu près inaperçu de ce côté-ci de l’Atlantique. Pourtant, la Banque Centrale Européenne vient d’en faire récemment les frais…
Pour comprendre ce qui se passe, il faut remonter quelques semaines en arrière, et plus précisément mi-juillet.
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Arrêt d’éoliennes, chute d’Orsted : perte de subventions et soucis de dette
Un article de Henry Bonner
Le groupe Orsted connaît davantage de difficultés en Bourse… L’action baisse encore de 30 % en août, une chute de trois-quarts en 5 ans.
Les groupes du secteur de l’éolien en mer, comme Orsted, dépendent du recours à la dette pour le financement des parcs. Ensuite, ils cèdent des participations à des groupes d’investisseurs pour la génération de trésorerie. Ils réduisent ainsi le poids de leur dette. Comme vous le voyez ci-dessous, la dette d’Orsted atteint 91 milliards de kröner danois au dernier trimestre, soit 12 milliards d’euros.
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Non aux impôts, oui à l’arrêt des dépenses nuisibles !
Notre classe politique est en émoi : elle vient de découvrir nos déficits publics et notre endettement. Tous ceux qui sont aux manettes depuis des décennies donnent désormais des conseils d’économies et de réformes ! Voici ouvert le concours Lépine du déficit : chacun y va de sa solution miracle pour réduire notre dette et nos déficits. Pour la gauche la cause est entendue : il suffit d’augmenter les recettes, de « faire payer les riches » et taxer les superprofits. On connaît la chanson et ses résultats habituels ! Car pour réduire dettes et déficits il faut d’abord arrêter les dépenses nuisibles, au lieu d’augmenter les impôts et les taxes. Mais pour cela il faut disposer d’une ressource rare en France : le courage politique.