Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 9

  • C’est Nicolas qui paie. Chronique d’un aveuglement : Mediapart, la fiscalité et le refus du réel

    l faut lire Mediapart avec la même attention que l’on accorde à un journal de tranchée en 1916 : non pour s’informer, mais pour comprendre l’état moral de ceux qui continuent, contre toute évidence, à croire qu’ils tiennent la ligne de front. Le dernier papier consacré à l’expression populaire « C’est Nicolas qui paie » est un chef-d’œuvre involontaire de panique idéologique : on y voit deux scribes en apnée face à l’irruption du réel dans leur aquarium conceptuel.

    Lire la suite

  • France au bord du gouffre. « Ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage »… selon Moscovici

    Moscovici a été ministre de l’économie et des finances, un temps ministériel, souvenez-vous où il s’occupait de la chatte de Charlène sa jeune compagne de 25 ans d’âge. Je parle bien de l’animal évidemment, d’ailleurs c’était peut-être un chat, mais je n’aurais pas eu le même niveau d’attention dans une rubrique économique sans avoir recours à ce subterfuge sémantique. Bref, la dette il n’en avait pas grand-chose à faire à l’époque.

    Lire la suite

  • Déficit public : la Cour des comptes tire la sonnette d’alarme sur une dérive française hors de contrôle

    Endettement record, dépenses incontrôlées, absence de réforme : le rapport annuel de la Cour des comptes dévoile une situation budgétaire explosive.

    La Cour des comptes a publié, le 2 juillet 2025, son rapport annuel sur la situation et les perspectives des finances publiques en France. Le constat dressé est sévère, voire alarmant : le déficit public, loin de se résorber, continue de s’aggraver, atteignant 5,8 % du PIB en 2024, soit 168,6 milliards d’euros. Un chiffre qui place la France en tête des pays les plus déficitaires de la zone euro.

    Lire la suite

  • Alerte du patron de Stellantis. Le marché automobile français continue sa chute vertigineuse

    Les constats sont sans appel.

    Les voitures électriques ne trouvent pas preneur.

    Les camionnettes électriques se vendent encore plus mal.

    Essayez quand vous êtes artisan de travailler avec un truc qui transporte beaucoup de poids et qu’il faut recharger en permanence dans des coins sans borne. Ajoutez à cela que ce que vous transporter est lourd, et que votre camionnette en général c’est votre atelier, votre stock. Un technocrate vous dira d’aller la recharger pendant que vous bossez sur le chantier, oubliant, si malin qu’il soit… que si la borne est à 3 bornes à pieds c’est compliqué d’aller chercher le joint qu’il vous manque pour réparer le chauffe-eau en panne du technocrate… Alors vous savez quoi ? Les artisans n’achètent pas d’utilitaires électriques parce que ce n’est pas du tout adapté.

    Lire la suite

  • La catégorie olympique du transfert d’argent

    Les Jeux Olympiques de Paris ont coûté six milliards, soit trois fois plus que prévu, mais réalisent un bénéfice de 76 millions d’Euros, qui est bien sûr mis en avant. On peut toujours se dire que les promoteurs de l’événement, emmenés par le champion Tony Estanguet, sont très mauvais en calcul, mais ce n’est évidemment pas le cas. Ces JO font partie des événements de portée internationale, de nature à représenter la France et en ce sens, ils n’ont pas de prix en réalité et doivent être menés, comme dirait l’autre « quoi qu’il en coûte » et c’est justement sur ce type d’événements que la « pompe à fric » tourne à plein régime. Les annonces, les prévisions, servent juste à jauger de l’acceptabilité populaire, matraquée par les télévisions à la botte et le jeu consiste à présenter aux contribuables une facture à la fois acceptable et crédible, de manière à faire taire ceux qui expliquent que nous n’avons pas besoin de ces jeux, que le jeu n’en vaut pas la chandelle et ceux qui trouvent qu’il ne faut pas prendre le budget en considération, que l’important est le rayonnement de la France qui n’a pas de prix. La fenêtre de tir est donc étroite. Si le budget présenté est trop bas, le contribuable se doute qu’il est sous évalué à dessein. S’il est trop élevé, il n’y a pas d’engouement populaire pour un événement jugé « hors de prix ».

    Lire la suite

  • Hausse de l’euro… un gros problème pour la zone euro !

    La  BCE qui est la Banque centrale européenne « peut ignorer une appréciation de l’euro face au dollar jusqu’à 1,20 dollar, mais cela deviendrait beaucoup plus compliqué au-delà de ce niveau » selon le vice-président  de la BCE Luis de Guindos.

    Lire la suite

  • Les États-Unis renouvellent pour la cinquième fois la levée des sanctions contre les grandes banques russes

    Une directive renouvelée cinq fois

    Les États-Unis ont levé les sanctions imposées à un certain nombre de banques russes pour des opérations nucléaires civiles afin d’assurer l’achèvement de projets internationaux commencés avant le 21 novembre 2024, tels que l’extraction d’uranium, la production de combustible nucléaire et la construction de centrales nucléaires (par exemple, Paks 2 en Hongrie).

    Lire la suite

  • « Budget 2026, ne plus augmenter personne au lieu de diminuer tout le monde ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Ce à quoi vous assistez est un grand classique de la politique gouvernementale partout dans le monde mais qui a été érigé au rang d’art par nos mamamouchis en France.

    Le ballon d’essai.

    Le ballon d’essai consiste à avancer une mesure dans la presse.

    C’est soit une « confidence », soit un ministre qui parle et évoque une « piste », ou exprime ce qu’il faudrait sans doute faire.

    Puis on attend et on compte les hurlements.

    Vous connaissez l’applaudimètre ?

    Et bien le ballon d’essai c’est l’inverse.

    Lire la suite

  • (4) Une France en crise(s).

    19275913

    Non, les royalistes ne sont pas des « émigrés de l’intérieur » comme la République essaya de le faire croire dès son établissement frauduleux en 1792. Et les questions sociales ne sont pas pour eux des sous-dossiers qu’il s’agirait de traiter sans profondeur, avec une certaine condescendance. Lors du grand débat de 2023 sur les retraites, loin d’être inactifs et fatalistes, les royalistes sociaux réfléchirent aux enjeux et aux risques, argumentèrent contre les projets gouvernementaux, mais ils travaillèrent aussi à creuser des pistes nouvelles de réflexion, firent des propositions concrètes et refusèrent de tomber dans la démagogie facile. Ce travail, parfois ingrat, n’a jamais cessé, comme l’a démontré la session d’études de l’Action française à Aix-la-Provence, en février dernier. Voici, ci-dessous, la quatrième partie de mon intervention à ce séminaire…

    Lire la suite

  • Faux arrêts maladie : l’Assurance maladie serre la vis dès le 1er juillet avec un nouveau formulaire sécurisé

    À partir du 1er juillet 2025, l’Assurance maladie renforce sa lutte contre la fraude aux arrêts de travail en imposant un nouveau formulaire papier sécurisé. Une mesure prise en réaction à une explosion des fraudes, notamment via la vente de faux documents sur internet.

    Lire la suite