Tout a été dit, ou sera dit sur la chute de François Bayrou, une chute qui s’apparente à un de ces suicides politiques français où, au lieu de perdre la vie, le suicidé reçoit une retraite et moult nouveaux privilèges. Devrions-nous regretter le rituel du sepuku ?
Pourtant, avant de jeter à la face du Béarnais les parpaings que mérite son attitude, nous devons nous interroger : ciblons-nous la bonne victime ?