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élections - Page 185

  • Rioufol : «Mélenchon se refuse d’aborder les problèmes d’immigration et d’Islam. Marine Le Pen a eu raison de renommer son parti “France Islamiste”»

    Ivan Rioufol (Le Figaro) analyse les faibles intentions de vote pour la France Insoumise : «Mélenchon a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés” (…) mais Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes centraux d’immigration, de communautarisme, d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens (…) Marine Le Pen a eu raison (de dire “France Insoumise” = “France Islamiste”), elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire.»
    – CNEWS, 24 mai 2019, 17h32

    « Mélenchon n’a vu que d’un oeil. Il a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, ça il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés”. Tous les deux avaient le même discours qui s’adressait à cette France périphérique, à cette France oubliée, à cette France des Gilets Jaunes – les Gilets Jaunes n’étaient pas toute cette France périphérique mais ils en ont été le symbole – donc Mélenchon et Le Pen, de ce point de vue là parlaient d’un même langage et c’était parfois très similaire, étonnamment similaire, mais on a bien vu que Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes qui sont centraux dont j’ai parlé tout-à-l’heure, c’est-à-dire les problèmes d’immigration, les problèmes de communautarisme, les problèmes d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens, il suffit de lire son programme qui est un programme de mon point de vue complètement éthéré et complètement aberrant de vouloir absolument aller dans le sens de la flatterie des communautarismes, de la flatterie allant dans le communautarisme, de la flatterie de l’Islam politique, et donc dans la flatterie de l’Islamisme. Et donc il est là, il s’est fourvoyé en brouillant son image de Républicain laïque pour donner corps aujourd’hui à des revendications identitaires. »

    Sur le fait que Marine Le Pen ait renommé “France Insoumise” en “France Islamiste” : « C’est un propos très polémique, mais elle a raison, c’est-à-dire qu’elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire, de cette dérive qui de mon point de vue est une dérive en effet électoraliste et qui va vers une sorte d’acquiescement à une idéologie, l’idéologie islamiste, qui est une idéologie qui est en tout incompatible avec la démocratie. Donc c’est une erreur fondamentale que paie Mélenchon, et je pense que les électeurs s’en aperçoivent, sinon il n’y a aucune raison qu’il ait ce score-là. »

    http://www.fdesouche.com/1212029-rioufol-melenchon-se-refuse-daborder-les-problemes-dimmigration-et-dislam-marine-le-pen-a-eu-raison-de-renommer-son-parti-france-islamiste

  • «Papa pour qui tu vas voter aux européennes?» L’édito de Charles SANNAT

    «Papa pour qui tu vas voter aux européennes?» L’édito de Charles SANNATpar Charles Sannat | 23 Mai 2019 | 
    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
    J’ai quelques enfants à la maison, et en cette période d’élections européennes, évidemment, le sujet est régulièrement abordé, que ce soit dans les cours des récré, avec les copains, les profs ou les maîtresses pour mes plus jeune et évidemment lors de nos repas à table.La question qui devait-être posée fût bien posée!
    « Dis papa, pour qui tu vas voter aux européennes »?
    Vaste sujet mes enfants.
    Mais, avant de ne pas répondre à votre question (oui je sais même en famille mes raisonnements peuvent être tortueux, mais jamais tordus contrairement à d’autres!), il faut que je vous parle de l’article 3 de notre Constitution. 
    La Constitution les enfants, c’est ce qui fixe les grands principes de fonctionnement de notre pays, de nos institutions et de nos droits. 
    La Constitution est la base de tout, et autrefois, l’esprit de notre Constitution était fort beau. 
    Ces derniers temps l’esprit et la lettre se sont quelques peu désaccordés.
    Article 3
    Modifié par LOI constitutionnelle n°2008-724 du 23 juillet … – art. 1 
    La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
    Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.
    Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution. Il est toujours universel, égal et secret.
    Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques.
    « Il est toujours universel, égal et secret »! 
    Voyez-vous les enfants, le vote est toujours secret. 
    C’est important ce secret, et cela montre d’ailleurs les limites de la transparence que certains voudraient totale. 
    Une transparence totale est à proscrire par tous les moyens car elle mènerait en réalité à une dictature. Souvent l’enfer est pavé de bonnes intentions. 
    Vous devez comprendre que la Constitution préserve le secret de votre vote et de vos convictions politiques. 
    C’est parce que le vote est secret que vous êtes libres de voter pour la liste ou le candidat que vous souhaitez sans être soumis à des pressions de quelques sortes que ce soit.
    Ce secret du vote permet à chacun d’être libres. Ce n’est pas rien.
    Vous vous apercevrez aussi quand vous serez grand, et vous avez déjà pu commencer à le voir, que les sujets politiques peuvent déchaîner les passions et provoquer de grandes disputes même au sein des familles! 
    Il faut savoir donc être discret, et le vote fait partie de l’intimité politique de chacun. 
    Vous pouvez vexer, être jugé, parfois être condamné par les autres, ou incompris, pris pour un imbécile, bref, la discrétion sur la chose politique est importante.
    Oui mais toi papa tu n’es pas discret, ça se voit que tu n’aimes pas Macron!

    Je n’ai rien contre l’homme, je pense même qu’il fait certaines choses bien, notamment une partie de la loi dite Pacte pour les petites entreprises, c’est essentiellement des mesures de type technique mais c’est utile pour simplifier la vie compliquée des petits patrons. 
    Je pense en revanche, et Macron n’est pas le seul, tous l’on été avant lui, que la politique mondialiste et européiste actuelle est le cimetière de notre souveraineté, de la France et notre prospérité.
    Plus nous avons d’Europe et moins cela va bien. 
    On nous explique alors qu’il faut plus d’Europe, une Europe des peuples, une Europe sociale, une Europe gentille, une Europe aimable et puis les gens votent poliment pour l’Europe, parce que » l’Europe c’est la paix ». 
    Puis nous avons moins de paix, moins de prospérité et plus de problèmes.
    J’ai presque 45 ans, et comme vous, j’écoutais les grands même quand j’étais enfant. 
    Le discours n’a pas changé, il n’a pas varié.
    Le mensonge est le même et cela fait 40 ans qu’il dure.
    Alors je ne vous dirais pas évidemment pour qui je vais voter, mais vous avez dans la belle brochette réunie dans cette petite vidéo tous ceux pour qui il est évident que je ne voterai pas parce qu’ils nous prennent pour des cons depuis 40 ans, ce qui commence à faire très long. Trop long!
    Un homme politique a récemment dit, « on n’est pas un peu enceinte quand on est une femme. De la même manière on n’est pas un peu souverain. On l’est ou on ne l’est pas. »
    La souveraineté de ne négocie pas. Elle ne s’abdique pas. Elle ne s’abandonne pas.
    Vous êtes les seuls à être les mieux placés pour décider pour vous-même ce qui est bon ou pas.
    C’est vous qui savez si vous avez envie de manger des pâtes ce soir ou des haricots verts, pas le camarade commissaire politique européen à l’alimentation dans sa tour d’ivoire à Bruxelles.
    Au niveau national il en va de même.
     Les Italiens sont les mieux placés pour savoir ce qui est bon à Rome. 
    Les Polonais pour décider de ce qui est le plus adapté à Varsovie…. etc.
    L’Union Européenne est un terrible échec et ce sont les Anglais qui sont en train avec leur non-Brexit de rendre un fier service au Parlement européen en envoyant un énorme bataillon de députés eurosceptiques et pro-…Brexit tant le déni de démocratie est hallucinant.
    L’Union Européenne est une structure où les commissaires européens qui édictent les directives sont nommés sans jamais être élus, et ces technocrates décident de ma vie sans que je ne puisse même les choisir.
    L’implication d’un tel fonctionnement est évident. 
    Quand ceux qui dirigent sont nommés et pas élus, alors vous n’avez pas à faire à une démocratie.
    Il faut donc désigner l’Union Européenne pour ce qu’elle est à savoir une dictature même soft.
    On ne négocie pas avec une dictature.
    On la combat.
    Vous pouvez donc en déduire que votre papa ne votera pas pour un parti « pro-européen » et « pro-mondialiste » et « pro-euro ».
    Pour le reste, ce sera dans le secret de l’isoloir que les choses se passeront, et il en est mieux ainsi.
    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
    Charles SANNAT

  • Un entretien avec Vincent Vauclin (liste Reconquête – Dissidence française) sur Paris-Vox

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    Propos recueillis par Etienne Lafage

    Paris Vox cliquez ici

    Paris Vox – Qu’est-ce qui pousse une liste patriote radicale à se présenter aux élections européennes ? Avec des faibles moyens financiers, sans temps de parole dans les débats télévisés, à peine de quoi livrer des bulletins de vote et des affiches dans chaque bureau, Vincent Vauclin parvient tout de même à exister parmi les 33 autres candidats du scrutin. À quelques jours des élections européennes, le président de la Dissidence Française, à la tête de la Liste de la Reconquête, répond aux questions de Paris Vox.

    QUEL EST LE BUT DE PRÉSENTER UNE LISTE DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?

    La Liste de la Reconquête présentée par la Dissidence Française est une réponse à la crise de représentation politique qui traverse notre pays. L’aseptisation du débat public par le politiquement correct tue la pensée critique et appauvrit considérablement l’offre idéologique de la plupart partis politiques entre lesquels les différences ne sont plus que de degrés, et non de nature. Or, face à la menace que le Grand Remplacement et l’islamisation font peser sur la civilisation européenne, face à la lobbycratie de Bruxelles qui oeuvre méthodiquement au démantèlement de toutes nos souverainetés, nous avons considéré qu’il était temps de brusquer le conformisme ambiant pour proposer une offre politique radicalement nouvelle.

    QUEL MESSAGE VOULEZ-VOUS PORTER AUPRÈS DES ÉLECTEURS ?

     

    Ouvrez les yeux avant qu’il ne soit trop tard. Le nombre de mosquées a été multiplié par seize en quarante ans. L’islam est devenu la première des religions pratiquées en Seine-Saint-Denis. La France compte plus de 750 Zones Urbaines Sensibles (ZUS) abritant 5 millions de musulmans, et où ce sont les prêcheurs islamistes et les dealers qui font la loi. Ces quelques chiffres proviennent directement du Ministère de l’Intérieur et ne souffrent d’aucune équivoque. Ils témoignent d’un bouleversement identitaire considérable dont il est temps de prendre la mesure et de saisir les implications. Car compte-tenu des vagues de naturalisations massives opérées par tous les gouvernements depuis 30 ans, de la dynamique démographique des populations immigrées, et des flux migratoires intarissables qui drainent chaque année près de 400 000 immigrés supplémentaires dans notre pays, nous serons bientôt minoritaires sur notre propre sol. La délinquance, le chômage et le terrorisme ne sont que des symptômes d’un phénomène bien plus diffus et inquiétant, et face auquel les imposteurs de la fausse droite sont tétanisés. Jamais les Français n’ont été consultés par référendum sur l’immigration massive. Jamais on ne leur a demandé s’ils voulaient vivre dans une société multiculturelle. En votant pour la Liste de la Reconquête le 26 mai prochain, ils pourront envoyer un signal très clair qui contribuera à faire bouger les lignes à droite.

    IL N’Y AVAIT, POUR VOUS, AUCUNE LISTE PATRIOTE QUI MÉRITAIT VOTRE VOIX ?

    Que ce soit le RN de Marine Le Pen, DLF de Dupont-Aignan, ou LP de Philippot, leur patriotisme s’arrête aux bornes du politiquement correct. Ils sont certes les premiers à montrer les dents contre le port du voile à l’école ou les repas halal dans les cantines, mais il ne s’agit en réalité que de postures et de démagogie sur des thématiques secondaires. Car dès lors qu’il s’agit d’aller au bout du raisonnement, c’est-à-dire de constater la réalité du Grand Remplacement, et de considérer que seule l’inversion des flux migratoires (la remigration) permettra de préserver notre pays du spectre de la sédition communautarisme, il n’y a plus personne. Il suffit de regarder leurs programmes : ils se contentent tous de quelques incantations contre l’immigration clandestine et pensent encore pouvoir relancer le processus d’assimilation des étrangers quand tout démontre le contraire. En résumé, ils ont 30 ans de retard, ils n’ont pas pris la mesure des enjeux et préfèrent se coucher devant la gauche – et devant les médias – plutôt que de prendre le risque d’assumer un discours de vérité sur ce qui est en train de se jouer dans notre pays : un génocide par substitution.

    QUE RÉPONDEZ VOUS À CEUX QUI APPELLENT À VOTER RN, EN TANT QUE « VOTE UTILE » ?

    Le vote véritablement utile, c’est celui des convictions. On vote pour un projet, pour une vision du monde, et pour faire entendre sa voix dans le débat public. Se contenter de « voter contre », c’est s’assurer d’être l’instrument de démagogues et de carriéristes qui n’ont plus aucune garantie à vous donner sur le fond, puisqu’ils sont assurés que quoi qu’ils fassent et quoi qu’ils disent, ils pourront toujours compter sur le « vote utile » pour sauver leur place. Or c’est précisément pour cette raison que la politique se résume aujourd’hui à des querelles de boutiquiers, et que le débat public s’appauvrit en faisant l’impasse sur les grands enjeux de notre temps.

    À QUELQUES JOURS DES ÉLECTIONS, QUEL BILAN TIREZ-VOUS DE CETTE CAMPAGNE ÉLECTORALE ?

    C’est une première pour nous : la Dissidence Française a opéré sa transformation en parti politique il y a moins d’un an, en octobre 2018. En quelques semaines, nous avons réussi à bâtir une liste d’union des nationalistes pour les européennes, à mobiliser tous les courants de notre famille politique pour lancer cette campagne, et à médiatiser largement nos idées. En cela, c’est déjà une grande victoire. Quel que soit le score que nous ferons, nous pouvons être fiers du travail que nous avons accompli en un temps record et avec des moyens très faibles si on les compare à ceux des partis du Système. Sans subventions publiques ni ressources occultes, nous avons fait imprimer et expédier des milliers d’affiches, des dizaines de milliers de tracts et de bulletins de vote, tout cela grâce à la mobilisation remarquable de mes colistiers et des militants de la Dissidence Française. Mais cette campagne nous laisse également un goût amer, car elle n’est qu’un simulacre de démocratie, tant par la partialité arrogante des médias que par son caractère censitaire : beaucoup d’électeurs l’ignorent, mais l’impression et la distribution des bulletins de vote est à la charge des listes qui se présentent. Contrairement à la plupart des pays européens, ce n’est pas l’Etat qui finance directement l’impression des bulletins de vote pour les mettre à disposition des électeurs, mais bien les listes et les candidats. Et à moins de disposer d’un budget de plusieurs centaines de milliers d’euros, il est tout simplement impossible d’approvisionner tous les bureaux de vote en bulletins de vote. Ainsi, la Liste de la Reconquête – comme une quinzaine d’autres « petites listes » – a dû se résoudre à appeler ses électeurs à imprimer eux-même leur bulletin pour voter, ce qui est tout simplement un scandale dans un pays prétendument démocratique.

    CETTE CAMPAGNE MARQUE UNE NOUVELLE ÉTAPE POUR VOTRE MOUVEMENT, DU CHANGEMENT EST À PRÉVOIR À LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?

    Je vous rassure, pas sur le fond. Nous ne naviguons pas à vue au gré des sondages, ni au gré des succès ou des échecs électoraux. Ce qui fait l’ADN de notre organisation, c’est une volonté affirmée de renverser la table, de bousculer le politiquement correct et de clore définitivement la parenthèse soixante-huitarde. Et si les grandes lignes de notre programme ne varieront pas, nous les préciserons et les développerons encore davantage pour les rendre plus audibles. Sur la forme par contre, nous sommes très flexibles et capables de nous adapter aux circonstances comme nous l’avons démontré lors de cette campagne. Ainsi, je pense que la Dissidence Française a vocation à se développer, à élargir son audience et multiplier les initiatives militantes et électorales pour démasquer les imposteurs de la fausse droite et faire émerger un véritable pôle de droite alternative.

    QUEL VISION DE L’EUROPE DOIT PORTER LE CAMP NATIONAL ?

    Contre la lobbycratie de Bruxelles, qui organise l’invasion migratoire du continent européen et sa mise sous tutelle par la finance et les grandes multinationales, nous voulons l’Europe des identités, des souverainetés et des subsidiarités. L’Europe que nous voulons n’oppose pas la région à la nation, ni la nation au continent, elle célèbre ses racines et exalte sa volonté de puissance pour reconquérir sa place dans l’espace et dans le temps. Face aux défis posés par la mondialisation économique et la crise écologique, par la pression démographique de l’Afrique et l’avènement d’un monde multipolaire, par les mutations technologiques et le poids croissant des firmes transnationales, les peuples européens ont une responsabilité historique : celle d’être à la hauteur de leurs aïeux en oeuvrant à l’édification d’une Confédération de nations libres dans une Europe indépendante, délivrée des tutelles et des carcans qui aujourd’hui l’enserrent.

    QUE PROPOSER FACE À UN SYSTÈME QUI NE CONVIENT À PLUS PERSONNE ?

    Les utopies soixante-huitardes ont failli et les mirages du « progrès » se dissipent. Dopée à la surconsommation et à l’individualisme pendant des décennies, la société moderne s’est érigée contre tout ce qui subsistait de normes naturelles, de traditions et d’usages populaires pour y substituer des formes standardisées de socialité. L’avènement du libéralisme-libertaire fut celui de la réification de l’ensemble des rapports sociaux. Le multiculturalisme a fait le lit d’une sédition communautariste qui met en péril l’unité nationale et la paix civile. En résumé, nous vivons une crise profonde de civilisation qui ne trouvera pas de réponse dans les incantations électorales des partis du Système, lesquels se contentent de répéter les mêmes slogans stéréotypés, et se gardent bien d’évoquer les vrais enjeux. Ce que nous proposons ? Une véritable révolution conservatrice, identitaire, sociale et culturelle, destinée à porter un coup d’arrêt définitif à la subversion libérale et mondialiste, et à remettre la France sur les rails de sa destinée. On ne fera pas l’économie d’une rupture nette avec les idéaux mortifères du « progrès » – du libéralisme au féminisme, en passant par l’antiracisme et le laxisme généralisé – si l’on veut véritablement tourner oeuvrer au redressement national.

    QUELLES LEÇONS TIREZ-VOUS DES GILETS JAUNES ?

    Cette mobilisation fut un moment historique, auquel nous avons bien évidemment participé dès ses débuts. C’était l’affrontement du pays réel contre le pays légal, de la France périphérique contre la lobbycratie hydroponique. Mais la répression policière, sa récupération par l’extrême-gauche et le glissement sociologique de la contestation (déplacement des ronds-points vers les grandes villes) ont eu raison de cette éruption révolutionnaire. Il n’en demeure pas moins que le régime a tremblé, et que les causes latentes de cet épisode sont toujours là : crise de représentation politique, précarité généralisée, sentiment d’effacement et de déclassement, préférence étrangère, matraquage fiscal etc… En tant qu’avant-garde, les nationalistes ont donc désormais la responsabilité de proposer une issue politique à cette colère, et c’est ce à quoi nous nous sommes employés en présentant la candidature de la Liste de la Reconquête pour les élections européennes. Notre message aux Gilets Jaunes de la première heure est très clair : le 26 mai, votez pour flanquer une bonne droite au Système !

    IL EST VENU LE TEMPS DE LA RECONQUÊTE ?

    Les lignes bougent partout en Europe, ce qui était impensable hier devient possible aujourd’hui. Alors que s’ouvre une séquence de recomposition politique majeure, nous avons la possibilité d’apporter une réponse à la déréliction de la droite et de faire entendre une voix radicalement différente. Ce mouvement de reconquête que nous sommes en train d’amorcer pourrait bien changer la donne, si les électeurs se mobilisent pour donner du poids à notre candidature et une légitimité à notre démarche. Aidez-nous à relever le défi !

    Pour voter pour la Liste de la Reconquête, téléchargez le bulletin de vote en cliquant ici.

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  • Un entretien avec Vincent Vauclin (liste Reconquête - Dissidence française) sur Paris-Vox

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    Propos recueillis par Etienne Lafage

    Paris Vox cliquez ici

    Paris Vox – Qu’est-ce qui pousse une liste patriote radicale à se présenter aux élections européennes ? Avec des faibles moyens financiers, sans temps de parole dans les débats télévisés, à peine de quoi livrer des bulletins de vote et des affiches dans chaque bureau, Vincent Vauclin parvient tout de même à exister parmi les 33 autres candidats du scrutin. À quelques jours des élections européennes, le président de la Dissidence Française, à la tête de la Liste de la Reconquête, répond aux questions de Paris Vox.

    QUEL EST LE BUT DE PRÉSENTER UNE LISTE DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?

    La Liste de la Reconquête présentée par la Dissidence Française est une réponse à la crise de représentation politique qui traverse notre pays. L’aseptisation du débat public par le politiquement correct tue la pensée critique et appauvrit considérablement l’offre idéologique de la plupart partis politiques entre lesquels les différences ne sont plus que de degrés, et non de nature. Or, face à la menace que le Grand Remplacement et l’islamisation font peser sur la civilisation européenne, face à la lobbycratie de Bruxelles qui oeuvre méthodiquement au démantèlement de toutes nos souverainetés, nous avons considéré qu’il était temps de brusquer le conformisme ambiant pour proposer une offre politique radicalement nouvelle.

    QUEL MESSAGE VOULEZ-VOUS PORTER AUPRÈS DES ÉLECTEURS ?

    Ouvrez les yeux avant qu’il ne soit trop tard. Le nombre de mosquées a été multiplié par seize en quarante ans. L’islam est devenu la première des religions pratiquées en Seine-Saint-Denis. La France compte plus de 750 Zones Urbaines Sensibles (ZUS) abritant 5 millions de musulmans, et où ce sont les prêcheurs islamistes et les dealers qui font la loi. Ces quelques chiffres proviennent directement du Ministère de l’Intérieur et ne souffrent d’aucune équivoque. Ils témoignent d’un bouleversement identitaire considérable dont il est temps de prendre la mesure et de saisir les implications. Car compte-tenu des vagues de naturalisations massives opérées par tous les gouvernements depuis 30 ans, de la dynamique démographique des populations immigrées, et des flux migratoires intarissables qui drainent chaque année près de 400 000 immigrés supplémentaires dans notre pays, nous serons bientôt minoritaires sur notre propre sol. La délinquance, le chômage et le terrorisme ne sont que des symptômes d’un phénomène bien plus diffus et inquiétant, et face auquel les imposteurs de la fausse droite sont tétanisés. Jamais les Français n’ont été consultés par référendum sur l’immigration massive. Jamais on ne leur a demandé s’ils voulaient vivre dans une société multiculturelle. En votant pour la Liste de la Reconquête le 26 mai prochain, ils pourront envoyer un signal très clair qui contribuera à faire bouger les lignes à droite.

    IL N’Y AVAIT, POUR VOUS, AUCUNE LISTE PATRIOTE QUI MÉRITAIT VOTRE VOIX ?

    Que ce soit le RN de Marine Le Pen, DLF de Dupont-Aignan, ou LP de Philippot, leur patriotisme s’arrête aux bornes du politiquement correct. Ils sont certes les premiers à montrer les dents contre le port du voile à l’école ou les repas halal dans les cantines, mais il ne s’agit en réalité que de postures et de démagogie sur des thématiques secondaires. Car dès lors qu’il s’agit d’aller au bout du raisonnement, c’est-à-dire de constater la réalité du Grand Remplacement, et de considérer que seule l’inversion des flux migratoires (la remigration) permettra de préserver notre pays du spectre de la sédition communautarisme, il n’y a plus personne. Il suffit de regarder leurs programmes : ils se contentent tous de quelques incantations contre l’immigration clandestine et pensent encore pouvoir relancer le processus d’assimilation des étrangers quand tout démontre le contraire. En résumé, ils ont 30 ans de retard, ils n’ont pas pris la mesure des enjeux et préfèrent se coucher devant la gauche – et devant les médias – plutôt que de prendre le risque d’assumer un discours de vérité sur ce qui est en train de se jouer dans notre pays : un génocide par substitution.

    QUE RÉPONDEZ VOUS À CEUX QUI APPELLENT À VOTER RN, EN TANT QUE « VOTE UTILE » ?

    Le vote véritablement utile, c’est celui des convictions. On vote pour un projet, pour une vision du monde, et pour faire entendre sa voix dans le débat public. Se contenter de « voter contre », c’est s’assurer d’être l’instrument de démagogues et de carriéristes qui n’ont plus aucune garantie à vous donner sur le fond, puisqu’ils sont assurés que quoi qu’ils fassent et quoi qu’ils disent, ils pourront toujours compter sur le « vote utile » pour sauver leur place. Or c’est précisément pour cette raison que la politique se résume aujourd’hui à des querelles de boutiquiers, et que le débat public s’appauvrit en faisant l’impasse sur les grands enjeux de notre temps.

    À QUELQUES JOURS DES ÉLECTIONS, QUEL BILAN TIREZ-VOUS DE CETTE CAMPAGNE ÉLECTORALE ?

    C’est une première pour nous : la Dissidence Française a opéré sa transformation en parti politique il y a moins d’un an, en octobre 2018. En quelques semaines, nous avons réussi à bâtir une liste d’union des nationalistes pour les européennes, à mobiliser tous les courants de notre famille politique pour lancer cette campagne, et à médiatiser largement nos idées. En cela, c’est déjà une grande victoire. Quel que soit le score que nous ferons, nous pouvons être fiers du travail que nous avons accompli en un temps record et avec des moyens très faibles si on les compare à ceux des partis du Système. Sans subventions publiques ni ressources occultes, nous avons fait imprimer et expédier des milliers d’affiches, des dizaines de milliers de tracts et de bulletins de vote, tout cela grâce à la mobilisation remarquable de mes colistiers et des militants de la Dissidence Française. Mais cette campagne nous laisse également un goût amer, car elle n’est qu’un simulacre de démocratie, tant par la partialité arrogante des médias que par son caractère censitaire : beaucoup d’électeurs l’ignorent, mais l’impression et la distribution des bulletins de vote est à la charge des listes qui se présentent. Contrairement à la plupart des pays européens, ce n’est pas l’Etat qui finance directement l’impression des bulletins de vote pour les mettre à disposition des électeurs, mais bien les listes et les candidats. Et à moins de disposer d’un budget de plusieurs centaines de milliers d’euros, il est tout simplement impossible d’approvisionner tous les bureaux de vote en bulletins de vote. Ainsi, la Liste de la Reconquête – comme une quinzaine d’autres « petites listes » – a dû se résoudre à appeler ses électeurs à imprimer eux-même leur bulletin pour voter, ce qui est tout simplement un scandale dans un pays prétendument démocratique.

    CETTE CAMPAGNE MARQUE UNE NOUVELLE ÉTAPE POUR VOTRE MOUVEMENT, DU CHANGEMENT EST À PRÉVOIR À LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?

    Je vous rassure, pas sur le fond. Nous ne naviguons pas à vue au gré des sondages, ni au gré des succès ou des échecs électoraux. Ce qui fait l’ADN de notre organisation, c’est une volonté affirmée de renverser la table, de bousculer le politiquement correct et de clore définitivement la parenthèse soixante-huitarde. Et si les grandes lignes de notre programme ne varieront pas, nous les préciserons et les développerons encore davantage pour les rendre plus audibles. Sur la forme par contre, nous sommes très flexibles et capables de nous adapter aux circonstances comme nous l’avons démontré lors de cette campagne. Ainsi, je pense que la Dissidence Française a vocation à se développer, à élargir son audience et multiplier les initiatives militantes et électorales pour démasquer les imposteurs de la fausse droite et faire émerger un véritable pôle de droite alternative.

    QUEL VISION DE L’EUROPE DOIT PORTER LE CAMP NATIONAL ?

    Contre la lobbycratie de Bruxelles, qui organise l’invasion migratoire du continent européen et sa mise sous tutelle par la finance et les grandes multinationales, nous voulons l’Europe des identités, des souverainetés et des subsidiarités. L’Europe que nous voulons n’oppose pas la région à la nation, ni la nation au continent, elle célèbre ses racines et exalte sa volonté de puissance pour reconquérir sa place dans l’espace et dans le temps. Face aux défis posés par la mondialisation économique et la crise écologique, par la pression démographique de l’Afrique et l’avènement d’un monde multipolaire, par les mutations technologiques et le poids croissant des firmes transnationales, les peuples européens ont une responsabilité historique : celle d’être à la hauteur de leurs aïeux en oeuvrant à l’édification d’une Confédération de nations libres dans une Europe indépendante, délivrée des tutelles et des carcans qui aujourd’hui l’enserrent.

    QUE PROPOSER FACE À UN SYSTÈME QUI NE CONVIENT À PLUS PERSONNE ?

    Les utopies soixante-huitardes ont failli et les mirages du « progrès » se dissipent. Dopée à la surconsommation et à l’individualisme pendant des décennies, la société moderne s’est érigée contre tout ce qui subsistait de normes naturelles, de traditions et d’usages populaires pour y substituer des formes standardisées de socialité. L’avènement du libéralisme-libertaire fut celui de la réification de l’ensemble des rapports sociaux. Le multiculturalisme a fait le lit d’une sédition communautariste qui met en péril l’unité nationale et la paix civile. En résumé, nous vivons une crise profonde de civilisation qui ne trouvera pas de réponse dans les incantations électorales des partis du Système, lesquels se contentent de répéter les mêmes slogans stéréotypés, et se gardent bien d’évoquer les vrais enjeux. Ce que nous proposons ? Une véritable révolution conservatrice, identitaire, sociale et culturelle, destinée à porter un coup d’arrêt définitif à la subversion libérale et mondialiste, et à remettre la France sur les rails de sa destinée. On ne fera pas l’économie d’une rupture nette avec les idéaux mortifères du « progrès » – du libéralisme au féminisme, en passant par l’antiracisme et le laxisme généralisé – si l’on veut véritablement tourner oeuvrer au redressement national.

    QUELLES LEÇONS TIREZ-VOUS DES GILETS JAUNES ?

    Cette mobilisation fut un moment historique, auquel nous avons bien évidemment participé dès ses débuts. C’était l’affrontement du pays réel contre le pays légal, de la France périphérique contre la lobbycratie hydroponique. Mais la répression policière, sa récupération par l’extrême-gauche et le glissement sociologique de la contestation (déplacement des ronds-points vers les grandes villes) ont eu raison de cette éruption révolutionnaire. Il n’en demeure pas moins que le régime a tremblé, et que les causes latentes de cet épisode sont toujours là : crise de représentation politique, précarité généralisée, sentiment d’effacement et de déclassement, préférence étrangère, matraquage fiscal etc… En tant qu’avant-garde, les nationalistes ont donc désormais la responsabilité de proposer une issue politique à cette colère, et c’est ce à quoi nous nous sommes employés en présentant la candidature de la Liste de la Reconquête pour les élections européennes. Notre message aux Gilets Jaunes de la première heure est très clair : le 26 mai, votez pour flanquer une bonne droite au Système !

    IL EST VENU LE TEMPS DE LA RECONQUÊTE ?

    Les lignes bougent partout en Europe, ce qui était impensable hier devient possible aujourd’hui. Alors que s’ouvre une séquence de recomposition politique majeure, nous avons la possibilité d’apporter une réponse à la déréliction de la droite et de faire entendre une voix radicalement différente. Ce mouvement de reconquête que nous sommes en train d’amorcer pourrait bien changer la donne, si les électeurs se mobilisent pour donner du poids à notre candidature et une légitimité à notre démarche. Aidez-nous à relever le défi !

    Pour voter pour la Liste de la Reconquête, téléchargez le bulletin de vote en cliquant ici.

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  • Les ingérences du commissaire Timmermans dans les campagnes électorales polonaise et hongroise

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    Frans Timmermans, premier vice-président de la Commission européenne chargé des questions liées à la Charte des droits fondamentaux et à l’État de droit, ne cache même plus son jeu. Alors qu’il est le principal responsable des attaques incessantes de la Commission contre la Pologne depuis l’arrivée au pouvoir du PiS, à l’automne 2015, et notamment de la procédure de sanction lancée sous le régime de l’article 7, en décembre 2017, il revendiquait, mardi, avoir « combattu »l’actuel gouvernement polonais « pendant les trois dernières années » parce qu’il considère que la Pologne « mérite une justice indépendante ». Sûr de lui, il a ajouté « et parce que je sais que la majorité au sein de la société polonaise est d’accord avec moi ».

    Ce Hollandais, membre d’un parti travailliste qui a obtenu 5,7 % des voix aux dernières élections législatives aux Pays-Bas, participait, mardi 21 mai, à un meeting électoral du parti de la gauche LGBT Wiosna, dirigé par l’ex-maire de Słupsk, le militant pro-LGBT anticlérical Robert Biedroń. Expliquant les raisons de son engagement, le premier vice-président de la Commission européenne, censé, en tant que tel – en vertu du traité sur l’Union européenne –, défendre les intérêts de tous les États membres de l’Union européenne et ne pas mener d’activité incompatible avec sa fonction, a estimé que « les Polonais sont de plus en plus pour l’Europe » et que le parti Wiosna (« Printemps ») est un parti « pour les gens qui sont ouverts, qui ont des opinions de gauche, libérales, mais qui ne se sentaient tout à fait chez eux dans aucun autre parti et qui se sont enfin sentis chez eux quand est arrivé Wiosna ».

    Dans les sondages, le parti « LGBTiste » Wiosna est crédité de 7-8 % des intentions de vote pour le 26 mai. Outre sa fonction de premier vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans est le spitzenkandidat du Parti socialiste européen pour la présidence de la prochaine Commission européenne. Dans le passé, il s’est prononcé à plusieurs reprises en faveur de ce que la Commission cherche à imposer le « mariage gay » à tous les États membres, même si la régulation du mariage n’entre pas dans les compétences de l’Union européenne.

    Samedi, le premier vice-président de la Commission européenne prenait part à un meeting électoral du Parti socialiste hongrois MSZP où il affirmait que le Premier ministre Viktor Orbán « et ses amis Strache, Salvini et Farage sont des admirateurs de Poutine dont le but est clairement l’affaiblissement et la désintégration de l’Europe ».

    Olivier Bault

    https://www.bvoltaire.fr/les-ingerences-du-commissaire-timmermans-dans-la-campagne-electorale-polonaise-et-hongroise/

  • Européennes : un avant dernier débat et beaucoup d’interrogations – Journal du jeudi 23 mai 2019

     

    Européennes : un avant dernier débat et beaucoup d’interrogations

    Mercredi soir se déroulait l’avant dernier débat des élections européennes, l’occasion d’une passe d’armes entre Marine Le Pen et Laurent Wauquiez… Mais en dehors de joutes oratoires, l’organisation de ces agapes télévisées et du choix des participants posent question.

    Pharmacie : le grand déplacement !

    Des fermetures massives de pharmacies en France ! L’exercice 2018 a vu de nombreuses officines fermer leurs portes… une restructuration du secteur est en cours avec, à la clé, une concentration des pharmacies derrière des grands groupes.

    Afrique du Sud : l’ANC par défaut

    L’Afrique du Sud repart sur les mêmes bases. Malgré de graves difficultés économiques et ethniques, le congrès national africain et le président Cyril Ramaphosa ont été reconduits à la tête de la nation arc-en-ciel.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-un-avant-dernier-debat-et-beaucoup-dinterrogations-journal-du-jeudi-23-mai-2019

  • Élections européennes en Grande-Bretagne : une claque pour l’Union Européenne, les pro-brexit en tête

    Nigel Farage, l’empêcheur de tourner en rond de l’Union européenne, est de retour pour le plus grand dam des Conservateurs et des Travaillistes.

    L’accord sur le Brexit n’ayant pas eu lieu, du à l’incompétence volontaire de Teresa May et à la résistance anti-Brexit des technocrates bruxellois, les Britanniques votent aujourd’hui pour les élections européennes, dans un contexte défavorable aux deux partis traditionnels incapables de répondre aux expectatives pro-Brexit des électeurs.

    Mais pour le plus grand triomphe du “Parti du Brexit” (Brexit Party ), le nouveau parti de Nigel Farage, le leader de la sortie de l’UE en 2016 et revenu sur le devant de la scène après l’échec de Teresa May à trouver un accord sur le Brexit, à quelques semaines des élections européennes. Le credo, simple, unique du Brexit Party : « Le vote pro-Brexit au référendum de 2016 doit être respecté. »

    La victoire assurée des partisans du Brexit signe la fin du règne de Teresa May. Le nouvel accord qu’elle a négocié et présenté aux parlementaires britanniques mardi dernier a fait frémir de rage nombre de ses collègues qui ont demandé sa démission immédiate : en cause, la concession faite aux desiderata de Bruxelles si hostile au Brexit, et qui consiste en l’organisation d’un nouveau referendum avant la ratification de la loi de sortie de l’UE !

    A l’heure actuelle, le Parti du Brexit est crédité de plus de 34 % des intentions de votes, largement devant les Conservateurs qui peineraient à atteindre la barre des 10 % et des Travaillistes à tout juste 20 %.

    Résultat dimanche prochain après le vote dans tous les pays européens.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/elections-europeennes-en-grande-bretagne-une-claque-pour-lunion-europeenne-les-pro-brexit-en-tete/108751/

  • «Dans la totalité du monde médiatique, il y a un malaise, un problème Macron»

    Entretien du 21/5/2019 avec Frédéric Saint-Clair, analyste politique. 
    Il réagit pour RT France à la décision de la Voix du Nord et du quotidien Le Télégramme de boycotter l'interview d'Emmanuel Macron notamment à cause de la relecture demandé par l'Elysée avant la publication de l'article.

  • ÉLECTIONS ÉLECTIONS EUROPÉENNES 2019 : LE CLIP DE CAMPAGNE DE LA FRANCE INSOUMISEEUROPÉENNES 2019 : LE CLIP DE CAMPAGNE DE LA FRANCE INSOUMISE

  • A Bruxelles, LR vote toujours à gauche. Qu’en pense Bellamy ?

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    Ne ratez pas le Présent de demain vendredi 24 mai dans lequel Olivier Bault vous permet de voir comment les députés LR et RN ont voté sur les questions sociétales durant la législature passée au parlement européen.   

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