Par Jarente de Senac
L’ex-roi Juan Carlos ne pouvait pas tenir longtemps face à une presse démocratique qui cherche des poux dans la tonsure à tout ce qui sort des clous pseudo égalitaires, des fausses fraternités et d’une liberté surveillée par une doxa droit de l'hommiste.
A la mort de Franco, le pays aurait pu sombrer dans une nouvelle guerre civile en raison d’un parti communiste qui avait relevé la tête et de socialistes qui nous la jouaient républicains dans sa version 1936. Franco passa le relai au jeune roi Juan Carlos, ce qui mit tout le monde d’accord. A la place d’un bouffon, il nomma un Premier ministre. On connaît la suite, les socialistes s’en sont mis plein les fouilles, la droite tomba dans un libéralisme idiot, mais le roi évitait toujours aux Espagnols de se foutrent sur la gueule. L’Eglise espagnole, n’en parlons pas, elle est toujours du côté d’un manche proche du bénitier. .