Pour commencer, au vu de la première réaction manifestée par le ministre turc de l’énergie, les autorités turques ne s’attendaient pas à cette annonce. Pourtant, cette proposition a été accueillie avec beaucoup d’enthousiasme : deux jours plus tard, Recep Tayyip Erdoğan a donné pour instruction au gouvernement de travailler sur la possibilité de créer le terminal aussitôt que possible, et a même présenté certains détails du projet. Par exemple, ce terminal pourrait être établi dans la province turque de Thrace, dans la zone européenne de la Turquie, proche des frontières de la Grèce et de la Bulgarie.
Europe et Union européenne - Page 274
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Moscou et Ankara misent sur l’éclatement de l’Union européenne
Le 12 octobre, durant la Semaine de l’Énergie russe, Vladimir Poutine a émis une proposition en vue de constituer un terminal gazier international en Turquie, pour compenser la perte de capacité de livraison du gaz vers l’Europe découlant des attaques terroristes menées contre les gazoducs Nord Stream.Plusieurs raisons font que cette proposition a constitué une surprise. -
Hongrie : Un impôt sur les profits de crise plutôt qu’un appauvrissement du peuple

par Kla.TV.
Les hommes politiques de l’UE ne semblent plus avoir qu’un seul objectif : se distancier de la Russie et la mettre à genoux par des sanctions. Mais c’est en premier lieu la population qui en paie le prix. Le chef du gouvernement hongrois Viktor Orban prouve qu’il est possible de faire autrement. Dès le début du conflit, il s’est placé devant son peuple pour le protéger
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Le gaz russe s'éloigne de l'Ouest pour se diriger vers la Chine, selon les données de Gazprom

Les expéditions vers les pays, hors de la Communauté des Etats intdépendants (CEI), ont chuté de 42,6 % de janvier à octobre par rapport à la même période de l'année dernière, a annoncé Gazprom mardi. Selon le rapport du géant russe, les exportations se sont élevées à 91,2 milliards de mètres cubes (bcm) de gaz, soit 67,6 bcm de moins qu'au cours des dix premiers mois de 2021.
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Pour résoudre la pénurie de travailleurs qualifiés, l’Europe veut… assouplir le séjour des migrants
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Les causes de la crise anglaise
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LA REPUBLIQUE TCHEQUE EN GRANDE CRISE SOCIALE : Le peuple est dans la rue…Ras le bol des sanctions contre la Russie…Les prix deviennent inabordables, cette crise n’a aucun sens, il est temps de SORTIR de l’OTAN !

Ras le bol de la flambée des prix de la nourriture, de l’énergie et du logement, des dizaines de milliers de manifestants tchèques ont dénoncé vendredi leur gouvernement, exigeant la démission du gouvernement du Premier ministre conservateur Petr Fiala, le retrait de l’OTAN et la négociation d’achats de gaz à la Russie.
« Il s’agit d’un nouveau renouveau national et son objectif est que la République tchèque soit indépendante », a déclaré l’organisateur Ladislav Vrabel. « Quand je vois cette très forte mobilisation, personne ne peut arrêter ce mouvement spontané. »
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Crise énergétique : Le ministre des finances allemand Christian Lindner demande que le gaz naturel soit produit par fracturation dans le pays

L'Allemagne devrait étudier la question de la production nationale de gaz de schiste par fracturation, qui est actuellement interdite dans le pays, a déclaré le ministre des finances Christian Lindner dans une interview accordée au groupe de médias Funke, cité par l'agence TASS.
Cette technologie permet d'extraire le pétrole et le gaz de la roche de schiste en la brisant avec un liquide sous pression, notamment de l'eau et des produits chimiques. La technique est utilisée en Allemagne depuis les années 1960 pour extraire le gaz naturel de réserves conventionnelles, notamment de grès et de pierres carbonatées. Environ un tiers du gaz naturel produit dans le pays provient de réserves exploitées par fracturation.
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CRISE DE L'ÉNERGIE : L'EUROPE BIENTÔT À L'ARRÊT ?
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La Russie face à l’Europe, géopolitique et panslavisme
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Mette Frederiksen, Première ministre social-démocrate du Danemark : “Ce sont les classes populaires qui payent le prix de l’immigration de masse”

Au Danemark, les élections législatives s’annoncent très serrées le 1er novembre. Dix-sept partis sont en lice en vue de former un gouvernement de coalition. Mais sur le thème de l’immigration, tous semblent désormais d’accord : pas d’assouplissements en vue concernant l’accueil des réfugiés et des immigrés, une politique parmi les plus dures en Europe.
Au cœur de la campagne, il y a les problèmes de pénuries de personnel dans le domaine de la santé et les questions liées à l’économie et au coût de l’énergie. À droite et à gauche, tous les partis y vont de leurs propositions. Mais l’immigration n’est plus un sujet.
Un adulte sur 10 ne votera pas le 1er novembre, un adulte sur 10 né au Danemark, mais de parents étrangers. Voilà l’une des conséquences de la fin du droit du sol, qui date de 2001. C’était le premier signe d’un durcissement opéré par la droite, arrivée au pouvoir grâce au soutien de l’extrême droite. Depuis, les idées du Parti du peuple danois, le parti anti-immigration, ont gagné du terrain jusque dans les rangs du parti social-démocrate.

