Europe et Union européenne - Page 272
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Journées d'études à Madrid
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Le masochisme énergétique de l’Europe
Par Samuel Furfari *
L’opiniâtreté de l’UE de saboter son économie au nom d’objectifs climatiques irréalisables restera dans l’histoire comme la cause de la vassalisation envers la Chine et l’Inde du continent qui avait inventé la modernité et la technologie. Il est urgent que l’UE s’arrête dans sa course folle, mais j’ai peu d’espoir que cette décision soit prise. Il nous restera le plaisir dérisoire d’avoir prévenu.
(*) professeur de géopolitique de l’énergie à l’Université libre de Bruxelles, ancien haut fonctionnaire de la Commission européenne.
Source : Les Echos, 22/12/2021
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« Nous ne le ferons pas et nous ne laisserons personne entrer » : Viktor Orban annonce que son pays ne changera pas sa politique migratoire, malgré la condamnation par la Cour de Justice de l’UE pour non-respect du droit européen
Condamné par la Cour de Justice de l’Union pour non-respect du droit européen, le premier ministre hongrois a annoncé que son pays ne modifierait pas sa politique migratoire.
« Suite à la décision de la cour constitutionnelle, le gouvernement a examiné nos options, et nous avons décidé que nous ne ferions rien pour changer la façon dont la frontière est protégée. Autrement dit : nous maintiendrons exactement l’ordre que nous avons mis en place jusqu’à présent. Même si la Cour européenne nous a demandé de le modifier, nous ne le ferons pas et nous ne laisserons personne entrer », a déclaré le Premier ministre hongrois.
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A Bucarest, les opposants à la dictature sanitaire assiègent le Parlement roumain
Roumanie – La colère populaire grimpe à l’encontre des autorités politiques qui imposent des restrictions sanitaires injustifiées. Les manifestations rassemblent de plus en plus de monde à Bucarest. Et le Parlement roumain a littéralement été assiégé, entraînant un mouvement de panique parmi les quelques députés présents.
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La France et l'Europe : le "Que faire ?" de Jacques Julliard. Partie 3 : La vaine Union européenne ?
La France et l’Europe ne sont pas les seules dimensions du monde, et le monde n’obéit pas à la France ni à l’Europe, ce qui n’est pas si mal, en définitive : les civilisations sont diverses dans l’espace comme dans le temps, et résumer le monde à un seul mode d’appréhension de celui-ci serait une négation de ce qu’il est, depuis que les hommes existent « en société » (ce qui est d’ailleurs la condition même de la vie humaine, hormis pour les Robinson Crusoé et les ermites qui, par le fait ou la volonté assumée, se retrouvent seuls à assumer les contraintes et les joies de la vie).
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Les magouilles des députés européens ont des chances de porter une adversaire de l’IVG à la tête du Parlement de Strasbourg. Un miracle !*
Décidément, les voies du Seigneur sont bien impénétrables si l’on considère les grandes manœuvres de ces derniers jours, à Strabourg, alors que l’échéance du départ de David Sassoli, le président du Parlement européen, approche. Mardi 14 décembre, le sujet a animé nombre de débats entre eurodéputés. Car, quarante-deux ans après avoir porté à la tête de l’institution Simone Veil, qui venait de légaliser l’interruption volontaire de grossesse en France, les parlementaires européens sont tentés d’y élire une autre femme, la Maltaise Roberta Metsola, membre du Parti populaire européen (PPE, droite) qui n’a jamais caché son opposition à l’avortement !
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64 millions d’euros de subventions européennes accordées à des associations liées aux Frères musulmans
Si la Commission Européenne et le Conseil de l’Europe oeuvrent au quotidien contre la défense de l’identité, de la famille et de la civilisation européenne, ces deux institutions composées de fonctionnaires non élus ont la main généreuse (avec l’argent du contribuable européen) quand il s’agit d’accorder des fonds à des associations liées aux Frères musulmans et aux islamistes.
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MACRON L'EUROPÉEN
Avec la visite d'Emmanuel Macron à Budapest hier chez Viktor Orban, la PFUE (ça ne se prononce pas sinon ça fait pfffuuu...) est lancée. Le 9 décembre dernier le président a présenté le grand catalogue des actions européennes de la France à la barre, il va enfin revêtir la toge écarlate de César, la couronne fermée de Charlemagne ou le bicorne de Napoléon, au choix, et il tutoie déjà le pape qui n'est pas son cousin.
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La France et l'Europe : le "Que faire ?" de Jacques Julliard. Partie 2 : La fin de l'espérance européenne ?
L’Union européenne se signale aujourd’hui par une impuissance qui pourrait faire penser à son inexistence pure et simple, s’il n’y avait un drapeau, une monnaie unique et des discours qui font à peine frémir ce grand corps inerte : « L’Europe va-t-elle sortir de l’histoire ? », comme Jacques Julliard en évoque, crûment et de la manière la plus simple, la possibilité ? Le constat est dur, amer pour celui qui a été, un temps, un ardent partisan de cette construction européenne qui, désormais, s’apparente plutôt à une « déconstruction » de l’intérieur : « Pour la plupart de ses habitants, elle n’est plus une espérance, mais une vieille habitude. Si elle disparaissait dans la nuit, qui donc, en dehors de Bruxelles, s’en apercevrait au matin ? ».
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Armement : Macron le liquidateur
Macron, éternel cocu du couple franco-allemand ? C’est particulièrement flagrant dans l’industrie de l’armement, où les coopérations industrielles conduisent systématiquement à déshabiller Paris pour habiller Berlin.
Cela devient une sale habitude. L'Allemagne a encore donné un coup de poignard dans le dos de l’industrie d'armement française, dans un silence total de Macron.