
Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :
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Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :
Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.
Le terme « protectionnisme » est généralement considéré comme péjoratif dans le monde économique, au même titre que « isolationnisme » et « populisme ». À une époque où le globalisme est considéré comme la panacée de l’évolution sociale et géopolitique, l’idée de prendre du recul et de reconsidérer la notion d’indépendance et d’autonomie est odieuse. Les globalistes et les progressistes soutiennent qu’il n’y a pas de retour en arrière possible et qu’eux seuls connaissent la voie à suivre.
Il est plutôt commode qu’ils soient devenus les prophètes autoproclamés de la bonne politique économique, n’est-ce pas ?
par Emilien Lacombe
Bruxelles débloque 800 milliards d’euros sans consulter les États, alors que des négociations de paix se profilent.
L’UE finance l’effort de guerre pendant que le monde parle de paix
Friedrich Merz, « radical modéré » qui réinvente tout, même lui-même
Qui aurait cru que Friedrich Merz, ce parangon de la rigueur budgétaire, l’homme qui voulait faire pleurer les fonctionnaires à la simple évocation du mot « dépense », allait se muer en grand architecte de la gabegie publique ? C’est pourtant ce qui se passe sous nos yeux ébahis : le chancelier fraîchement élu se lance dans un marathon de dépenses digne d’un oligarque en goguette sur la Côte d’Azur.
Des informations divulguées sur la région de Koursk en Russie confirment que des milliers de soldats ukrainiens sont en fait encerclés par les forces russes, mais aujourd'hui, il y a un « rebondissement ».
Selon des informations fuyant de la zone de combat, outre les troupes ukrainiennes bloquées, il y aurait trente (30) commandants en service actif des armées officielles de plusieurs pays de l'OTAN.
par Manlio Dinucci
Pendant qu’États-Unis et Ukraine proposent à la Russie un cessez-le-feu de 30 jours qui n’aborde aucune des questions qui sont à l’origine de la guerre, le Groupe européen des Cinq, les dits «volontaires» – France, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie et Pologne – se sont engagés à armer toujours plus l’Ukraine pour maintenir une belligérance continue contre la Russie. Et s’accroît en conséquence le gouffre d’argent public qui, soustrait aux dépenses sociales, se déverse dans les caisses des industries guerrières.
Le gouvernement autrichien a annoncé mercredi 12 mars la suspension immédiate des procédures de regroupement familial pour les migrants, une décision justifiée par la nécessité de limiter la pression exercée sur les infrastructures publiques et le système social du pays. Cette mesure, prise par la coalition gouvernementale dirigée par le Parti populaire autrichien (ÖVP), marque un tournant significatif dans la politique migratoire du pays.
À peine l’idée lancée, le plan de réarmement de l’UE, devant être financé à hauteur de 800 milliards d’euros, se heurte à la réalité politique et économique. D’abord, l’UE n’a pas encore cette somme et un premier pays de l’UE et de l’OTAN refuse ce projet.
Le Parlement néerlandais vient de voter contre le plan de réarmement de l'Europe. Alors que TF1 relance la question de toucher à l'épargne des Français pour pour financer ce réarmement, le chemin sur l’économie de guerre prévoit la réalisation de grosses économies sur le dos des salariés, des travailleurs, des retraités et des chômeurs et sur les structures de santé. Bruxelles envisage un sacrifice des populations.