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Europe et Union européenne - Page 364

  • Casapound une sacrée réussite

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    Dans notre n°34 consacré à la rupture et aux stratégies qui fonctionnent en Europe, nous nous étions entretenus avec notre camarade et maître d'oeuvre de Casapound, Gianluca lanone. Récemment, notre ami nous a donnés quelques chiffres ô combien éloquents sur cette expérience romaine. À nous, Français, de nous inspirer du modèle italien et de tailler notre route aussi bien.

    Mouvement totalement indépendant, éloigné des magouilles politiciennes à la Fini/Bossi, partis de rien, Casa Pound représente aujourd'hui en Italie

    - 2000 militants

    - 10 000 sympathisants

    - une organisation lycéenne le Blocco Stodentesco (120 représentants lycéens élus)

    - une organisation étudiante le Blocco Universitario

    - 3 conseillers d'arrondissement, 1 conseiller municipal

    - 50 locaux dans différentes villes italiennes

    - 15 librairies sur le territoire italien

    - 20 pubs/bars associatifs

    - 8 associations sportives (foot, hockey...)

    - plusieurs squats logeant des familles italiennes (Rome Casa Pound, Casa Montag)

    - Un journal mensuel (L'Occidentale)

    - Un journal trimestriel (Fare Quadrato)

    - Une radio internet (Radio Bandera Nera)

    - 25 rédactions en Italie et 10 à l'étranger France, Canada, Angleterre, Espagne, Pays-Bas, Grèce, Asie...)

    - Une webTV émettant 24h/24 ( Tortuga TV )

    - 10 sites internet

    - Ajoutons des troupes théâtrales, un cercle cinématographique, une galerie d'art, du soutien scolaire, de l'aide alimentaire, des concerts (dans leur salle romaine de l'Area 19 notamment).

    Toujours créatifs, nos camarades italiens ont aussi passé deux mois dans les Abruzzes après le tremblement de terre d'Aquila pour prendre la direction des secours à la demande du maire communiste du coin ! Ils ont aussi envahi l'émission de télé-réalité Big Brother (équivalent italien du Loft) pour dénoncer ce spectacle racoleur et vomitif. Ils ont organisé une action contre les délocalisations du constructeur Fiat à coups de banderoles "Fiat hait l'Italie !" Plus fort, ils ont ouvert un squat immigré près de la demeure des Agnielli (propriétaire de Fiat), dans un quartier très chic milanais, avec le slogan  "Fiat a amené les immigrés en Italie, nous amenons les immigrés à Fiat !" Ils ont organisé une manifestation "Basta l'immigrazzione" au moment des révoltes immigrées dans le sud de l'Italie. Enfin, ils ont chassé les dealers autour des gares de Milan, Turin et Gênes en faisant des cercles de bruit troublant leur trafic et obligeant les autorités à se saisir du problème. Pas mal, non ? 

    PG Réfléchir&Agir N°37 Hiver 2011

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  • Une attaque terroriste au couteau fait plusieurs victimes à Londres (Vidéo)

    Un individu armé d’un couteau a agressé plusieurs passants à Londres (Royaume-Uni) ce dimanche après-midi, dans le quartier de Streatham. L’assaillant a été neutralisé par balle par la police en pleine rue. Plusieurs victimes ont été poignardées, ont annoncé les autorités britanniques, précisant qu’il s’agissait d’un acte terroriste.

    «Un homme a été abattu par des officiers armés à Streatham (sud de Londres). A ce stade, un certain nombre de personnes auraient été poignardées. Les circonstances sont en cours d’évaluation; l’incident a été déclaré comme lié au terrorisme », a déclaré la police sur Twitter, en invitant la population à éviter la zone.

    Le dernier incident de ce type à Londres a eu lieu en novembre, lorsque la police a abattu un homme portant un faux gilet suicide qui a poignardé deux personnes à mort et en a blessé trois autres avant d’être jeté au sol par des passants. Les autorités ont appelé cela une attaque terroriste.

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  • Espagne – Le parti « populiste » Vox se lève contre l’enseignement de l’idéologie du genre à l’école

    En Espagne, le parti « populiste » Vox lance une proposition visant à protéger les enfants de l’enseignement « gender » à l’école : le « pin parental ». Chaque école, spécifie l’initiative de Vox, devra obtenir obligatoirement le consentement des parents pour les activités complémentaires durant lesquelles sont majoritairement enseignés l’éducation sexuelle, la théorie du genre, l’homosexualité comme orientation naturelle et autres thèmes lgbtqi+. Les parents pourront retirer leurs enfants si le contenu des ces activités complémentaires va « contre leur principes moraux ».

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  • Le défi de « Bojo » : réussir le Brexit !, par Christian Vanneste

    L’arrivée de Boris Johnson au 10 Downing Street laisse espérer la fin du tunnel… celui du Brexit. Le personnage est qualifié d’extravagant, d’excentrique, de tonitruant, d’imprévisible, certains diront donc de typiquement britannique. Pourtant, si ce souci d’afficher son originalité est une spécialité répandue chez les Anglais, on ne peut pas dire qu’elle ait été l’apanage de leurs hommes politiques, à l’exception imposante de Winston Churchill.

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  • Brexit : la Grande Bretagne quitte l'Europe. Mais en a-t-elle jamais été membre ?

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Fidèles à leur tradition, les Anglais ont choisi le grand large. 
    Il est bon que leur décision soit respectée. Nous qui nous sommes élevés contre la félonie du traité de Lisbonne reprenant les termes du projet constitutionnel rejeté par référendum en 2005, ne pouvons que nous en féliciter. Mais sortir du carcan de l'Union européenne — carcan relatif pour ce qui concerne le Royaume Uni —  de ses filets réglementaires et de son bric-à-brac d'impuissance est une chose. Construire une politique de relèvement national, mettre en place les conditions d'une redynamisation économique et commerciale et rebâtir un édifice d'indépendance en sont autant d'autres.

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  • Le Royaume-Uni sort officiellement de l’UE ce soir à minuit !

    31/01/2020 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Après dix années d’âpres négociations, le Royaume-Uni rejoignait la Communauté européenne, le 1er janvier 1973. Suivirent quarante années d’une histoire tourmentée due à la réticence de l’opinion britannique à clore « mille ans d’histoire ». Ainsi, le Royaume-Uni hésita constamment sur le degré de son investissement dans le processus communautaire. Son refus d’adopter l’euro en 1999 en est une illustration. En juillet 2012, les conservateurs, traditionnellement eurosceptiques, firent adopter une loi garantissant la tenue d’un référendum à l’horizon 2017. Ils souhaitaient ainsi sonder le peuple britannique sur une sortie éventuelle de l’UE. La date du référendum sur le Brexit fut fixée au 23 juin 2016 et, à la surprise générale, la sortie de l’UE l’emporta à 51,9%.

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  • ITALIE - SALVINI : Résultats des élections régionales du 26 Janvier 2020

  • Élections régionales en Italie, c’est avant tout la victoire du parti identitaire, Fratelli d’Italia

    Ce dimanche, c’était jour d’élections régionales dans certaines régions d’Italie.

    Les médias mainstream font leurs choux gras en annonçant la défaite de La Ligue de Matteo Salvini dans le bastion rouge qu’est l’Emilie-Romagne depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale et oublient de noter la victoire écrasante de la coalition de droite en Calabre : avec 55%,4% des voix la coalition de Salvini gagne 21% depuis 2014 et écrase une gauche à 30% et qui en faisait 61% en 2014, preuve de sa dégringolade .

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  • Après Brexit fera-t-on Frexit ou laisserons-nous encore les européistes se payer nos gueules ?

  • «L’Espagne a décidé d’être européenne en expulsant l’islam»

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    Quarante-trois ans, regard perçant et barbe bien taillée, il porte toujours sur lui un Smith & Wesson. Depuis qu’il a créé Vox en 2014, Santiago Abascal en a fait la troisième force politique du pays.

    Entretien avec celui qui a ressuscité la droite espagnole.

    Valeurs actuelles. Emmanuel Macron défend, notamment sur la question migratoire, la nécessité de l’Union européenne. Vous revendiquez au contraire la souveraineté nationale et le contrôle de vos frontières, spécialement à Gibraltar et dans les enclaves espagnoles au Maroc. L’échelon national est-il le bon pour gérer le problème de l’immigration ?

    Santiago Abascal. Le premier pas pour résoudre la question migratoire, c’est de respecter la souveraineté nationale et, par conséquent, les frontières. L’Union européenne impose depuis des décennies des politiques migratoires déconnectées de la réalité et des besoins des pays membres. Toute nation a l’autorité pour décider qui entre sur son territoire.

    Les courants mondialistes ont promu une société multiculturelle qui a échoué et appauvri la vie des citoyens dans tous les domaines : social, culturel et économique. Aujourd’hui, les femmes européennes ne peuvent pas marcher librement dans des quartiers de capitales comme Paris, Londres, Bruxelles, etc.

    En Espagne, nous ne sommes pas encore arrivés à une situation aussi dramatique, mais ce n’est qu’une question de temps si nous n’adoptons pas les mesures adéquates.
    Chez Vox, nous défendons donc une immigration légale, ordonnée et assimilable. Exactement le contraire de ce que font depuis des décennies les élites mondialistes.

    Vous avez critiqué par le passé Emmanuel Macron, « président mondialiste », et défendez l’identité espagnole. Pourquoi faire ce choix à l’heure de la mondialisation ?

    Le mondialisme poursuit la dissolution des États nations afin de renforcer les bases d’un nouvel ordre mondial dans lequel les décisions sont prises en dépit des intérêts nationaux, c’est-à-dire d’une manière antidémocratique qui ignore la souveraineté.

    C’est aux Espagnols de choisir le futur de l’Espagne, comme c’est aux Français de décider du futur de la France. Nous nous opposerons toujours aux projets totalitaires qui obligent les citoyens à penser d’une certaine manière, qui les contraint à détruire leurs racines et leur culture.

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