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Europe et Union européenne - Page 363

  • (Royaume-Uni) Pour obtenir un visa de travail, il faudra désormais parler la langue du pays, être qualifié et avoir une proposition d’emploi

    Pour obtenir un visa de travail, il faudra désormais parler la langue du pays, être qualifié et avoir une proposition d’emploi

    C’est au Royaume-Uni que cela va s’appliquer. Pendant ce temps, Emmanuel annonce du vent sur le “séparatisme” islamiste et refuse de faire le lien entre immigration et islamisation :

    Dans le Royaume-Uni post-Brexit, les conditions imposées aux candidats à l’immigration seront beaucoup plus stricte qu’elles ne l’étaient auparavant. Un nouveau système à points, dévoilé ce mercredi, sera utilisé au 1er janvier 2021, à l’issue de la période de transition qui a débuté après la sortie de l’Union européenne le 31 janvier dernier.

    Pour obtenir son visa, le candidat devra présenter des compétences spécifiques, parler anglais et avoir déjà une proposition d’emploi avec un salaire minimum annuel de 25.600 livres (30.820 euros). Le niveau de diplôme requis a été abaissé d’une licence à l’équivalent du baccalauréat, pour permettre « une plus grande flexibilité ».

    « Nous répondons aux priorités des citoyens en introduisant un nouveau système à points qui fera baisser le nombre d’immigrés », a expliqué la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, saluant dans un communiqué un « moment historique » qui « met fin à la libre circulation ».

    Et contrairement à ce que l’article sous-entend, cette décision n’est pas due au Brexit mais à la volonté politique de Boris Johnson de faire diminuer l’immigration.

    https://www.lesalonbeige.fr/pour-obtenir-un-visa-de-travail-il-faudra-desormais-parler-la-langue-du-pays-etre-qualifie-et-avoir-une-proposition-demploi/

  • Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme

    Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.

    L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.

    Chapitre 1 : Aux sources d’une enquête, dans les arcanes du Palais des droits de l’homme

     

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  • Jean-Yves Le Gallou : “Il y a le droit des peuples à défendre leur identité et à refuser leur invasion”

    Jean-Yves Le Gallou : “Il y a le droit des peuples à défendre leur identité et à refuser leur invasion”

    Voici un vrai débat de fond au sujet de l’immigration sur RT France. Jean-Yves Le Gallou y fait face à l’experte immigrationniste Catherine Whitol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, et l’avocate de clandestins Danielle Babin.

  • L’Italie ouvre à nouveau grand ses portes à l’immigration-invasion

    L’Italie ouvre à nouveau grand ses portes à l’immigration-invasion

    Les Italiens vont très rapidement regretter Matteo Salvini, qui reviendra inévitablement au pouvoir :

    La nouvelle ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, a présenté lundi 17 février ses propositions de modification des “décrets sécurité” sur l’accueil des migrants (…)

    Concrètement, les bateaux des ONG ne pourront plus être bloqués à quaiLes amendes potentielles pour sauvetage de migrants vont être considérablement réduites. Les réfugiés vont bénéficier d’une meilleure protection sociale, avec des moyens accrus dans les préfectures. Les dossiers des personnes de santé fragile ou des parents de mineurs seront examinés prioritairement. Un simple permis de séjour permettra d’accéder aux services sociaux ou d’ouvrir un compte en banqueLa durée maximale du processus administratif pour obtenir la citoyenneté italienne sera réduite de quatre ans à deux ans.

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-ouvre-a-nouveau-grande-ses-portes-a-limmigration-invasion/

  • Le coup de poing d’Orban à l’immigration invasion

    Selon ce que rapporte le quotidien allemand  Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.

    La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.

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  • Sur le site officiel de l'Action française : Europe : la leçon Capétienne, l’éditorial de François Marcilhac.

    «  L’Europe, comme civilisation, comme Histoire, est bien vivante, a tweeté le Prince le 12 février. Mais au lendemain du Brexit, l’Union Européenne doit s’interroger sur sa capacité à fédérer autour de seuls principes économiques ou supranationaux.  »

    La parole princière se fait de moins en moins rare, et nous ne pouvons que nous en féliciter ! Non que le comte de Paris soit amené à s’exprimer sur l’actualité pour s’exprimer : il n’est pas un commentateur politique, mais sa fonction est bien d’éclairer les Français sur les grands enjeux et les grands principes de la politique française.

    Comme il le soulignait en conclusion d’un texte remarqué, publié à la fin de janvier, sur son blog et intitulé  : «  Il nous faut retrouver le temps du politique  » : «  Il est urgent de ne plus attendre. La France a de nombreux atouts. Son existence millénaire lui donne une intelligence exceptionnelle des relations internationales et le fait qu’elle soit une grande nation sans volonté de puissance impériale devrait lui permettre de jouer un rôle décisif dans l’équilibre et la composition des États en vue des actions communes imposées par les impératifs sociaux et écologiques », alors que, «  tenue par une Union européenne frappée d’inertie, [elle] ne sait pas comment jouer son rôle spécifique dans le concert des nations  » [1].

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  • L’euro au plus bas, signe de la relégation de l’économie européenne face à Trump

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    Cette semaine, l’euro a atteint le cours le plus bas depuis avril 2017, à 1,08 dollar pour un euro. Avril 2017, ça ne vous dit rien ? Ce sont les débuts de Trump à la Maison-Blanche, et rappelez-vous, tous les experts nous avaient prédit l’écroulement de l’économie américaine si son programme était appliqué. En fait, la hausse du dollar, depuis trois ans, traduit la confiance des marchés dans la politique suivie aux États-Unis et, a contrario, une défiance envers l’économie européenne engluée dans la stagnation. Depuis 2017, Trump applique fidèlement ses engagements et l’économie américaine se porte comme un charme : croissance à 3 %, chômage à 3 % correspondant en réalité au plein-emploi, hausse spectaculaire des salaires et du pouvoir d’achat, et la balance commerciale commence à se redresser.

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  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour: « Le passé de la droite française est l’avenir de la droite allemande .»

    La CDU est condamnée à mort et la montée de l’AfD, inexorable.

    Il est au moins un domaine où l’Allemagne a vingt ans de retard sur la France : la politique. L’épisode de Thuringe où des élus de la CDU ont accepté celles des populistes de l’AfD, provoquant un charivari médiatique et politique et la démission de la présidente de l’Union chrétienne démocrate, rappelle furieusement les élections régionales françaises de 1998

    Alors, quatre présidents de région de droite (RPR ou UDF) avaient accepté les voix du Front national pour être élus. Leurs noms sont largement oubliés aujourd’hui : Charles Millon, Jean-Pierre Soisson, Jacques Blanc et Charles Baur ; mais depuis, plus aucun membre de la droite, que ce soit sous le nom de l’UMP ou de LR, n’a osé les imiter. À l’époque, le président Jacques Chirac, celui du RPR, Philippe Séguin, et son numéro 2, Nicolas Sarkozy, étaient très fiers d’avoir expulsé les rebelles et fait respecter par les autres le «cordon sanitaire» entre la droite et «l’extrême droite».

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  • L’autre droite polonaise

    3538991730.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Quatre faits majeurs ont marqué les élections générales du 13 octobre dernier. La majorité gouvernementale constituée autour du PiS (Droit et Justice) de Jaroslaw Kaczynski est reconduite, ce qui est en soi un événement majeur depuis la fin du régime communiste en 1990.

    Si le PiS et ses alliés remportent la majorité absolue des sièges à la Diète, cette entente ne dispose que de 48 sièges sur cent au Sénat désormais présidé par un opposant de centre-droit. Disparue à l’occasion des élections précédentes, l’Alliance de la gauche démocratique retrouve une représentation parlementaire de 49 sièges. Animée par les agrariens du Parti paysan qui sert souvent de force d’appoint aux gouvernements de droite comme de gauche, la Coalition polonaise (30 députés) réunit les centristes de l’Union des démocrates européens, les libéraux-sociaux du Parti démocratique, les régionalistes de Silésie ensemble et les anciens populistes de Kukiz’15 désormais ralliés à la démocratie directe, au conservatisme libéral et à l’intégration européenne.

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  • «Amoureux de l’Italie» : après son renvoi devant la justice par le Sénat italien, Salvini se défend

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    Matteo Salvini pour «séquestration» de migrants en mer. Le chef de la Ligue risque 15 ans de prison et six à huit ans d’inéligibilité.

    Le Sénat italien a validé le 12 février le renvoi de Matteo Salvini devant un tribunal de Sicile, qui l’accuse d’«abus de pouvoir et de séquestration de personnes» pour avoir bloqué en mer un navire rempli de migrants clandestins prêt à accoster sur les côtes italiennes alors qu’il était ministre de l’Intérieur.

    Le natif de Milan – qui fédère la droite italienne derrière lui et dont le seul parti est crédité de plus de 30% d’intention de vote au niveau national – pourrait donc faire face à un tribunal pour avoir refusé plusieurs fois l’entrée dans le pays à 116 migrants naviguant à bord d’un navire des gardes-côtes italiens, le Gregoretti.

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