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Europe et Union européenne - Page 363

  • Belgique : des Marocains en logement social ont des biens immobiliers au Maroc, l’extrême-droite les fait expulser

    [Note de Fdesouche : MRE = Marocains Résidents à l’Etranger]

    […]
    L’opération d’espionnage menée par l’extrême droite a conduit au recensement des biens des MRE au Maroc. L’Alliance néo-flamande a mis à contribution une société néerlandaise spécialisée de lui recueillir des données précises. Il s’agit des images des biens, des factures d’eau et d’électricité, des copies de certificats de propriétés des biens.

    Ces données ont été ensuite communiquées aux sociétés de logement social. […]

    Face à cette situation désespérante, les MRE de la région flamande ont, dans une lettre, lancé un cri de détresse aux autorités marocaines. Ils craignent de se retrouver à la rue du jour au lendemain.

    Bladi.net

    Les Marocains résidant à l’étranger (MRE) arrivent en tête du classement des citoyens ayant obtenu la nationalité belge.
    […]
    Le Maroc occupe la première place du top 10, avec 9046 depuis début 2018 devant les Roumains (4236), les Polonais (2961) et les Italiens (2664).

    Bladi.net

    http://www.fdesouche.com/1324515-belgique-des-marocains-en-logement-social-ont-des-biens-immobiliers-au-maroc-lextreme-droite-les-fait-expulser

  • Impunité des Pakistanais violeurs d’enfants à Manchester, par Olivier Bault

    9533-20200117.jpgUne centaine de Pakistanais de Manchester ont pu continuer à violer ou abuser sexuellement en toute liberté au moins 57 pré-adolescentes et adolescentes parce que la police craignait que des arrestations engendrent des tensions raciales. « Ce qui a eu un énorme impact, c’est que le groupe des personnes incriminées était constitué principalement d’hommes asiatiques et que l’on nous disait d’essayer de trouver d’autres ethnies », a déclaré une ancienne enquêteuse de la police citée dans un rapport rendu public mardi en Grande-Bretagne. Ce rapport concerne une opération de la police du Grand Manchester, l’opération Augusta, lancée en 2004.

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  • L'article 63 du TFUE est l'une des premières causes des délocalisations et du chômage qui s'ensuit

  • Des milliers d’Espagnols dans la rue à l’appel de Vox contre le gouvernement d’union des gauches

    Des milliers d’Espagnols ont manifesté dans plusieurs villes du pays ce dimanche à l’appel du parti nationaliste Vox afin de dénoncer l’accord conclu entre le futur gouvernement de Pedro Sanchez et certains indépendantistes catalans.

    «España Existe»

    «L’Espagne existe» : c’est sous ce slogan que des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes d’Espagne ce 12 janvier, selon l’agence AFP et la presse ibérique. Ils entendaient dénoncer un gouvernement d’union des gauches «entre les mains des séparatistes».

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  • «La Croatie va continuer de refouler les migrants à la frontière» malgré l’élection d’un président social-démocrate

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    Trop divisée, la droite pourtant puissante en Croatie, a perdu l’élection présidentielle à la faveur des sociaux-démocrates emmenés par Zoran Milanovic. Un revirement politique qui devrait, sur le court terme, avoir peu d’incidence sur la politique migratoire en Croatie. Explications.

    Il prône un retour à une «Croatie normale» par opposition à la «Croatie authentique» et nationaliste défendue par la présidente conservatrice sortante Kolinda Grabar-Kitarovic : le social-démocrate Zoran Milanovic a été élu président de la Croatie, dimanche 5 janvier, à la surprise générale.

    D’après les résultats quasi définitifs de la Commission électorale, cet ancien diplomate de 53 ans a obtenu 52,7% des voix contre 47,3% pour sa rivale dont la rhétorique nationaliste et patriotique n’a pas su convaincre les nombreux électeurs ayant voté au premier tour pour un chanteur populiste de revenir dans le giron conservateur.

    Ex-premier ministre de décembre 2011 à janvier 2016 avec le parti social-démocrate (SPD), Zoran Milanovic est présenté comme un homme ambitieux, tolérant et tourné vers l’avenir promettant de faire de la Croatie une «République pour tous».

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  • L'Europe jusqu'à Vladivostok

    Histoire et géopolitique (1992)

    L’histoire connaît les cités-états : Thèbes, Sparte, Athènes, plus tard Venise, Florence, Milan, Gênes. Aujourd’hui elle connaît les Etats territoriaux : la France, l’Espagne, l’Angleterre, la Russie. Finalement elle découvre les Etats continentaux, tels que les Etats-Unis d’Amérique, la Chine actuelle et l’URSS d’hier. [1] L’Europe d’aujourd’hui subit une période de transformations. Elle doit passer du stade plus ou moins stable des Etats territoriaux au stade de l’Etat continental. Pour la majorité des gens, cette transition est entravée par l’inertie mentale, sans parler de la paresse de l’esprit.

    Bien que n’étant pas plus grande qu’un morceau de tissu, Sparte avait une forte vitalité, d’un point de vue historique, vivant avant tout dans son aspect militaire. Ses dimensions et ses ressources étaient suffisantes pour contenir une armée capable de gagner le respect de tous ses voisins.

    Nous approchons ici le problème basique de la vitalité des Etats. La cité-état historique fut supplantée par l’Etat territorial. L’Empire romain supplanta Athènes, Sparte, Thèbes. Et sans grand effort [2]. Aujourd’hui la vitalité historique de l’Etat dépend de sa vitalité militaire, qui à son tour dépend de sa vitalité économique ; ce qui nous conduit à l’alternative suivante :

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  • La crise des réfugiés n’est pas un phénomène naturel

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    Pourquoi plus de combattants de la liberté patriotiques sont nécessaires.

    • L’AfD allemande est le seul parti à proposer une solution aux migrants
    • DS: Les communautés doivent être détruites par le chômage et l’immigration de masse
    • Causer le chaos économique et social dans toute l’Europe
    • Protéger les Européens natifs

    La crise des réfugiés a suscité d’énormes inquiétudes dans des pays européens comme la Hongrie, l’Autriche et la Pologne. En réponse à l’arrivée de 7 000 migrants par jour sur le territoire hongrois en 2015, le gouvernement hongrois a rétabli le contrôle des frontières afin d’empêcher les hordes de réfugiés d’entrer dans le pays.

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  • La droite condamnée au populisme ?

    La droite en France joue actuellement son avenir. Il avait fallu rien de moins que Charles de Gaulle pour la réintroduire dans la vie politique. La nullité de ses épigones semble siffler la fin de l’intermède. Y aura-t-il encore une droite capable remporter les élections dans les décennies qui viennent ?

    Il existe une particularité de la vie politique française qui depuis des années frappe tous les commentateurs : c’est l'absence d'un vrai parti conservateur. Les Torries en Angleterre structurent la vie politique et même, lorsque passe un Churchill, déterminent la stature internationale de la perfide Albion. De leur côté, les chrétiens démocrates font, avec leurs alliés bavarois du CSU, la pluie et le beau temps Outre Rhin. Dans l'Hexagone, rien de tel. Les conservateurs existent à la marge dans un parti comme le Centre National des Indépendants et Paysans, le parti d'Antoine Pinay, qui est aujourd'hui un parti résiduel. Ils ne parviennent pas à s'organiser longtemps, victimes sans doute de la Révolution française, victimes de cette identification fantasmée entre la France et sa Révolution, qui empêche toute perspective contre-révolutionnaire, tout conservatisme, d'émerger de manière durable.

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  • Les deux populismes

    Numériser.jpegLes experts es Sciences politiques s'exercent à construire rhétorique-ment un monstre, contre lequel ils appellent à la haine, en le nommant « populisme » ou même, comme Ilvo Diamant! et Marc Lazar, « peuplecratie », c'est-à-dire, dans leur langue italienne d'origine, ce mixte inélégant de latin et de grec « popolocratia ». Pouvoir du peuple ? Peuple au pouvoir ? Dictature du référendum ? Exaltation autoritaire d'une identité fantasmée ? "Nous" contre "les autres" ? Le populisme vu par les experts, c'est un peu tout cela une horreur. Un anti-modèle que l'on peut stigmatiser tranquillement sans jamais être injuste. Une figurine spécialement fabriquée pour aimanter toutes les fléchettes, pour mériter toutes les critiques. Viviane Forester parlait de « l'horreur économique ». Le populisme aujourd'hui serait, sans qu'il y ait besoin de plus ample examen, « l'horreur politique ». Comment expliquer cette inflation médiatique des qualificatifs négatifs au sujet d'une réalité politique que personne (et pas même les spécialistes) ne se donnent la peine de définir « C'est l'un des mots les plus cornus de la science politique, un terme exceptionnellement vague » note par exemple la professeure de théorie politique Margaret Canovan. Nous comprenons très bien pourquoi ce vague et ce flou parce que le populiste, c'est l'autre, celui qui n'est pas en accord avec le système quoi qu'il pense. Celui donc que les tenants du système ne peuvent que détester, sans même éprouver le besoin de savoir ce qu'il pense.

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