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Europe et Union européenne - Page 360

  • Allemagne : fusillade d’Hanau, amalgames à tous les étages !

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    Quand il y a un attentat islamiste, les médias invoquent un « déséquilibré » et refusent tout « amalgame » avec l’islam. Quand un tueur allemand, manifestement dérangé, procède à deux fusillades dans des bars à chicha à Hanau près de Francfort, foin de ces pudeurs !

    Amalgames autorisés

    « Fusillades en Allemagne : le spectre du terrorisme d’extrême droite », selon LCI.
    « Fusillades en Allemagne : le tireur avait une vision profondément raciste », selon Le Parisien.
    « Stupeur à Hanau, ville multiculturelle cible d’un attentat raciste », selon Orange.
    « Fusillades de Hanau : « l’extrême droite a banalisé un discours de haine contre des minorités ethniques et confessionnelles », selon France Info. Et pour bien enfoncer le clou, France Info fait parler une universitaire gauchiste de Rennes, Valérie Dubstaff, qui déclare : « Le terrorisme d’extrême droite ne nuit pas au vote de l’AFD » (…) « Les gens ne font pas le lien entre les terroristes et l’extrême droite politique qui attise les haines ».

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  • La Turquie ouvre ses frontières avec l’Europe, et « ne retiendra plus » les migrants

    Selon les médias turcs, la décision a été prise pendant un conseil de sécurité extraordinaire présidé par le chef de l’Etat, Recep Tayyip Erdogan.

    Après la mort d’au moins trente-trois militaires turcs dans une frappe aérienne dans la région d’Idlib (nord-ouest de la Syrie) jeudi, Ankara a menacé l’Europe d’ouvrir la porte aux réfugiés syriens hébergés en Turquie. « Nous ne retiendrons plus ceux qui veulent se rendre en Europe », a déclaré, vendredi 28 mars, un haut responsable turc sous couvert d’anonymat.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-turquie-ouvre-ses-frontieres-avec-leurope-et-ne-retiendra-plus-les-migrants

  • Nouveau centre de migrants à Lesbos : les manifestants font fuir la police antiémeute

    Des affrontements d’une violence inédite se sont déroulés mardi et mercredi sur l’île grecque de Lesbos. Provoquant la fuite des renforts policiers envoyés pour protéger la construction d’un centre pour migrants. Mais l’hostilité des habitants traduit surtout une exaspération face à une crise migratoire dont le reste de l’Europe s’est déchargée, transformant les îles grecques en prisons à ciel ouvert.

    «On a gagné cette bataille-là. Ils sont repartis !» soulignait jeudi un habitant de Lesbos joint au téléphone, en commentant quasiment en direct le départ anticipé vers Athènes de quelque 200 CRS, dépêchés sur l’île grecque trois jours auparavant. Ils avaient surgi lundi soir, telle une armada de petits soldats casqués sortis du ventre d’un paquebot sur le port de Mytilène, capitale de l’île. Leur mission ? Sécuriser la construction d’un nouveau centre fermé pour les migrants, auquel les habitants sont majoritairement hostiles. A l’issue de deux journées d’émeutes qui ont transformé Lesbos en véritable champ de bataille, les renforts policiers ont donc battu en retraite. Jamais, il est vrai, l’île n’avait connu des affrontements d’une telle ampleur.

    Libération

    https://www.tvlibertes.com/actus/nouveau-centre-de-migrants-a-lesbos-les-manifestants-font-fuir-la-police-antiemeute

  • Conflits d’intérêt à la CEDH : Une semaine après, l’Europe ouvre les yeux…

    Conflits d’intérêt à la CEDH : Une semaine après, l’Europe ouvre les yeux…

    Le 19 février, l’ECLJ a rendu public un RAPPORT exceptionnel dévoilant les relations et les nombreux conflits d’intérêts entre 18 juges et 7 ONG actives à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Pour les 10 dernières années seulement, pas moins de 88 cas dans lesquels un juge a siégé dans une affaire impliquant l’ONG dont il fut collaborateur.

    La principale ONG concernée est l’Open Society de George Soros qui se distingue non seulement par son idéologie, mais aussi par le nombre de juges qui lui sont liés (12) et par le fait qu’elle finance les six autres organisations identifiées dans ce rapport.

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  • Boris Johnson réforme le visa de travail, «première étape d’une refonte de tout le système d’immigration»

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    Le Brexit derrière lui, Boris Johnson s’attelle à une nouvelle réforme, celle de l’immigration, avec un visa à points privilégiant les travailleurs très qualifiés. Une mesure qui ne plaît ni à l’opposition travailliste ni au patronat. Décryptage de ce projet de loi avec Jean-Paul Gourévitch, auteur d’ouvrages sur l’immigration.

    Le visa de travail coûtera très cher au Royaume-Uni à partir de l’année prochaine. Si le projet de loi préconisé par Priti Patel, ministre de l’Intérieur, est adopté, il faudra le 1er janvier 2021 pour les nouveaux arrivants, parler anglais et présenter une proposition d’emploi avec un salaire minimum de 30.820 euros par an. 70 points seront ainsi nécessaires pour obtenir le visa. Affirmant se conformer au «message clair» envoyé par les Britanniques lors du référendum de 2016 décidant la sortie de l’Union européenne, la femme politique a envoyé un signal sans ambiguïté:

    «Notre économie ne doit plus dépendre d’une main-d’œuvre bon marché en provenance d’Europe, mais se concentrer plutôt sur l’investissement dans la technologie et l’automatisation.»

    Si ces mesures ne concernent pas les 3,2 millions de ressortissants de l’UE qui ont demandé à résider avant la fin de la période de transition, la réforme suscite des craintes de pénurie de travailleurs peu qualifiés dans de nombreux secteurs économiques tels que l’alimentation, la santé, la construction ou encore l’hôtellerie. Sputnik a interrogé Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, auteur du livre Le Grand remplacement, réalité ou intox? (Ed. Pierre-Guillaume de Roux).

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  • Déclin agricole et désertification rurale

    6a00d8341c715453ef0240a5109aac200b-320wi.jpgIl est encore temps de s'y rendre : depuis 1964, le salon de l'Agriculture de Paris reste l'occasion d'un immense rassemblement populaire, peut-être le préféré des Français. Et, comme chaque année depuis 56 ans il offre aux politiques et aux médias une occasion dont ils ne répugnent pas de se servir. On y ouvre, en effet en direction du public, et surtout le premier jour, une fantastique boîte aux mensonges et aux folies de l'hexagone.

    Le marché reste significatif. Au tarif de 15 euros pour les adultes, 8 euros pour les enfants de 6 à 12 ans, le spectacle n'est évidemment pas donné. En 2019, le Salon accueillait à Paris 633 000 visiteurs soit 40 000 de moins que l'année précédente. Sans disposer à l'instant des statistiques relatives aux stands des exposants eux-mêmes, il reste clair qu'il s'agit toujours d'une matière profitable. Nous nous trouvons donc en présence, aussi, de ce que Fernand Raynaud appelait, sur un texte rédigé par le souvent génial Francis Blanche, un gala organisé au profit des organisateurs de gala.

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  • Slovaquie : à l’approche des élections, un parti d’extrême-droite prônant l’expulsion des Roms fait un carton chez les jeunes

    À l’approche des élections législatives du 29 février, le Parti populaire-Notre Slovaquie (LSNS) de Marian Kotleba profite du marasme politique pour gagner la confiance d’un nombre croissant d’électeurs désabusés.

    (…) Courrier international

    (…) Avec 10,4 % des voix, selon un sondage, ce parti (…) ne se contente pas de concurrencer les deux principaux partis (donnés à 17%), il semble également faire un carton parmi les jeunes.

    Un cinquième des 18-33 ans sont prêts à soutenir ce parti d’extrême-droite qui prône l’expulsion de la minorité rom, selon l’enquête.

    Pour le politologue Radoslav Stefancik, de l’Université d’économie de Bratislava, ces chiffres montrent l’importance du vote de protestation.

    « Les jeunes votent pour le LSNS parce qu’ils veulent être différents de leurs parents », a-t-il déclaré au BIRN. « Pour eux, le parti représente un nouveau type de politique et des politiciens qui ont le courage de dire les choses en faisant la sourde oreille au politiquement correct ».

    Notant que la rébellion des jeunes est naturelle dans toute société, Stefancik a ajouté : « Les jeunes ont une plus grande tolérance pour les solutions radicales ».

    (…) Lors des élections générales de mars 2016, (…) le parti LSNS a obtenu 14 sièges au sein du Conseil national, l’organe législatif de la Slovaquie, qui compte 150 membres. Kotleba lui-même a récolté un peu plus de 156.000 votes.

    (…) Environ 70 % des votes du LSNS ont été exprimés par des personnes âgées entre 18 et 39 ans.

    (…) Balkan Insight

    https://www.fdesouche.com/1342425-slovaquie-a-lapproche-des-elections-un-parti-dextreme-droite-pronant-lexpulsion-des-roms-fait-un-carton-chez-les-jeunes

  • Coronavirus en Italie : la faute au « progressisme » du gouvernement

    Beaucoup se demandent pourquoi l’ est devenue la porte d’entrée du coronavirus en Europe alors que la péninsule s’est équipée très rapidement de caméras thermiques pour repérer les personnes fiévreuses débarquant aux aéroports.L’explication est très simple : c’est la faute directe, pleine et entière du « progressisme » du gouvernement Conte.
    Et probablement aussi de ses manœuvres politicardes.
    Revenons aux faits : le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie.
    Pourquoi donc ?
    Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri par Matteo Salvini, qu’il est désormais de bon ton de récuser en toute circonstance, un peu comme on le fait en France avec Marine Le Pen. D’autant que ce même Premier ministre et ce même gouvernement collaboraient, il y a quelques mois à peine, avec l’« affreuse » Lega de l’« ignoble » Salvini : il lui faut, à présent, donner des gages de sa décontamination du virus populiste…
    Comment donc justifier, aux yeux de la population, ce refus catégorique de la quarantaine ?

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