Par le Guatemala transitent les immigrés clandestins venus du Honduras et d’autres pays d’Amérique latine. Tous savent qu’une dernière étape les sépare de la Terre promise à la bannière étoilée : le Mexique. Celui-ci, gouverné par le démagogue Andrés López Manuel Obrador (« Amlo »), refuse d’accueillir les voyageurs longue durée. AMLO s’était signalé par un courrier adressé au roi d’Espagne et au pape François afin d’obtenir des excuses pour la conquista, la colonisation de l’Amérique au temps des Grandes découvertes. Son discours progressiste a donc cédé devant l’impératif de sauvegarder un pays, le Mexique, déjà traumatisé par l’explosion des violences dues au narcotrafic. Or, le commerce de la drogue est lié aux vagues migratoires, que les trafiquants encouragent pour y lever une main d’œuvre bon marché de « mules », c’est-à-dire de transporteurs.
Europe et Union européenne - Page 360
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Les frontières, seule solution à l’immigration-invasion, par Clément Martin (Les Identitaires)
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Petite généalogie du Pacte budgétaire européen (fin)
Marché commun, marché unique : les deux termes sont souvent confondus alors qu'ils désignent deux étapes très différentes dans l'histoire de la construction européenne. Le marché commun est l'objectif assigné par le Traité de Rome (1957), et consiste principalement à supprimer les droits de douanes entre les États membres, afin de favoriser la prospérité économique qui doit résulter de la libéralisation des échanges. Le marché commun reste cependant un marché international ou, plutôt, inter-étatique, respectueux de la souveraineté des États. Cette étape est atteinte dès 1968, avec une avance d'un an sur l'objectif initial. Au début des années 1970, les gouvernants de l'Europe décident d'aller plus loin dans la constitution d'un marché intégré, entamant la souveraineté des États et des peuples. Ils décident de créer un marché unique ou intérieur.
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Petite généalogie du Pacte budgétaire européen
L'objet du présent article est de repérer la filiation néo-libérale dans l'histoire de la construction européenne* et de montrer en quoi le Pacte budgétaire, innovant par certains aspects, s'inscrit cependant pleinement en continuité avec des choix fondamentaux exprimés dès les années 1980, au moment de la diffusion des idées néo-libérales en Europe** et de l'adoption de l'Acte unique européen (1986), qui traduit en langage juridique les principes du néo-libéralisme
« Dans le contexte de la montée générale du néo-libéralisme, écrit Perry Anderson, l'autosatisfaction des élites européennes et de leurs porte-parole accompagne le mépris des populations »(1).
Ce mépris des populations n'est cependant pas de la condescendance, mais un projet politique, qui transparaît très clairement dans un rapport de la Commission Trilatérale, en 1975, intitulé The Crisis of Democracy(2). Invités à formuler un diagnostic, les experts, Michel Çrozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki, constataient que les gouvernants étaient devenus incapables de gouverner du fait de la trop grande implication des gouvernés dans la vie politique et sociale et se lamentaient de l'excès de démocratie. Le développement de l'Union européenne est depuis venu compenser cet excès démocratique par un déficit qui n'est donc pas un défaut, mais un projet. Que le fonctionnement de l'Union ne doive pas être trop démocratique, c'est aussi ce que s'est attaché à démontrer et à justifier l'historien américain Andrew Moravcsik dans un ouvrage qui est aujourd'hui un classique de l'histoire de la construction européenne, The Choice for Europe(3). Nul doute que le Pacte budgétaire européen - un « pacte contre la démocratie »(4) - qui doit entrer bientôt en application illustre cette tendance.
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Le gouvernement hongrois déclare que la décapitation de Samuel Paty est liée à une immigration massive et incontrôlée en France
L’acte terroriste qui a eu lieu près de Paris est lié à une immigration massive et incontrôlée, a déclaré György Bakondi, conseiller principal du Premier ministre Viktor Orban pour la Sécurité intérieure, sur la chaîne d’actualités M1.
György Bakondi a déclaré qu’il y avait une grande menace terroriste en France et qu’il y avait eu plusieurs actes de terrorisme ces derniers temps. Le conseiller principal a également souligné qu’en raison de l’épidémie de coronavirus, une situation grave pourrait se développer pendant les périodes d’automne et d’hiver. En l’espèce, la question des frontières est d’une importance capitale.
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Échec à l'intox pseudo humanitaire
Votre chroniqueur tient à saluer aujourd'hui une analyse, enfin, réaliste de la situation migratoire aux frontières de l'Europe. C'est, en effet, l'honneur du quotidien Présent d'avoir publié en ligne ce 14 octobre l'article d'Olivier Bault, spécialiste de l'Europe centrale et danubienne, que l'on trouvera dans son intégralité ci-dessous.[1]
Ce regard tranche avec le lot quotidien fielleux des gros médias parisiens, alimentés par la désinformation pro- Frères musulmans qui s'emploient au désarmement moral de l'Europe, au nom du politiquement correct. Ce qui reste de la Chrétienté doit se ressaisir et se mobiliser pour défendre les confins de l'Europe, de la Baltique à la Mer Égée.
Voici donc l'article auquel L'Insolent n'a rien à ajouter, sinon le petit commentaire qu'on trouvera en bas de cette chronique :
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Finlande : les “Vrais Finlandais” (anti-immigration) sont devenus le parti politique préféré des 15-29 ans, selon un récent sondage
Finlande – Le parti de droite des “Vrais Finlandais” (Perussuomalaiset) est plus populaire que les Verts auprès des jeunes électeurs.
Selon un nouveau sondage, si des élections générales avaient lieu aujourd’hui, le parti des “Vrais Finlandais” (PS) serait le choix le plus populaire auprès des jeunes électeurs âgés de 15 à 29 ans.
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Myret Zaki La fin du dollar est programmée 2 ème partie
Les États-Unis seraient donc plus endettés que les pays européens ?
Si vous prenez la dette fédérale des États-Unis (16 000 milliards de dollars), vous arrivez à un ratio dette/PIB d'un peu plus de 100%, qui est à peu près du même niveau dans la zone euro. La différence, c'est la dette non provisionnée, c'est-à-dire tous les engagements futurs du gouvernement américains vis-à-vis des bénéficiaires des rentes de pension, santé et sécurité sociale (Medicare et Medicaid). Ces trois éléments additionnés font de la dette américaine un gouffre sans fond. On passe de 16 000 milliards à une dette - en réalité un déficit fiscal - extrêmement élevée de… 200 000 milliards de dollars. Ce sont les engagements futurs que le gouvernement fédéral doit à tous ses retraités. Même s'il s'agit d'un chiffre théorique, on voit bien que l'Amérique est déjà techniquement en faillite.
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Myret Zaki La fin du dollar est programmée
Propos recueillis par Patrick Péhèle
Née au Caire, Myret Zaki est rédactrice en chef adjoint du magazine économique suisse Bilan En trois ouvrages, UBS, les dessous d'un scandale, Le secret bancaire est mort, vive l'évasion fiscale et La fin du dollar, tous publiés aux éditions Favre, cette journaliste pugnace s'est imposée comme une des meilleures pédagogues de la crise financière. Pour elle, le dollar est devenue la plus grande bulle spéculative de l'histoire.
Éléments : Si on s'en tenait au titre de votre livre, La fin du dollar, et vu la crise que traverse actuellement l'euro, on pourrait penser que vous vous êtes trompée de sujet ou de monnaie ?
Myret Zaki : La première réaction de mes interlocuteurs lorsque mon livre a paru a été de me dire : vous auriez du écrire La fin de l'euro, et non La fin du dollar ! Pourtant, même aujourd'hui, je ne crois toujours pas à la fin de l'euro. Lorsque j'ai écrit ce livre, le consensus autour de la fin de l'euro était si écrasant que j'ai voulu, en toute conscience, expliquer que la véritable crise que nous vivons et qui explique les secousses de l'euro, c'est la fin du dollar comme monnaie de réserve internationale. Cette menace-là agrège en réalité des intérêts convergents qui déstabilisent l'euro.
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Le Rassemblement National va “lancer une offensive de grande ampleur qui va s’appeler Save Europe”
Marine #LePen a annoncé vendredi que son parti s'apprêtait "à lancer une offensive de grande ampleur qui va s'appeler Save Europe", en réaction au Pacte sur la migration et l'asile proposé par la Commission européenne
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Le Vlaams Belang, parti anti-immigration, reste en tête des sondages en Flandre, comment expliquer sa popularité ? “Les Belges ne se sentent plus chez eux”
Sondage après sondage, le Vlaams Belang confirme sa première place en Flandre. Comment expliquer le succès du parti de Tom Van Grieken ?
Tom Van Grieken est le politicien le plus populaire sur Facebook. La semaine dernière, sa page a passé le cap des 500.000 likes. Il dépasse ainsi de loin tous les autres responsables politiques de Belgique. “C’est un média intéressant. On reçoit directement des feedbacks des gens. On peut savoir si le message passe ou pas“, justifie le leader du Vlaams Belang, sur le plateau de De Zevende dag (VRT), ce dimanche.
La tactique est simple : investir en masse dans les réseaux sociaux pour contourner les médias traditionnels afin de cibler directement les électeurs potentiels. Avec plus de 600.000 followers, le Vlaams Belang parvient même à avoir une audience plus importante sur les réseaux sociaux que les médias audiovisuels de référence flamands, VTM (437.000 followers) et la VRT (390.000 followers).
(…)
Mais pourquoi les électeurs se tournent-ils vers le Vlaams Belang ? Jan Antonissen, journaliste et auteur du livre De Ontfatsoenlijken, pointe deux éléments : l’inégalité et l’identité. “La différence entre les gens devient de plus en plus grande. De plus en plus de personnes se sentent exclues de la société. Ils ne se sentent plus chez eux et trahis par les partis traditionnels.“
Dave Sinardet confirme : “La frustration est toujours présente vis-à-vis de la politique de migration, d’asile et de sécurité. Dans toute l’Europe, ce phénomène se produit. On le voit avec Marine Le Pen en France, Geert Wilders et Thierry Baudet aux Pays-Bas… “
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