L’Union européenne est une vielle dame un peu gâteuse envahie par une foule de commissaires, d’élus et de fonctionnaires inutiles qui vivent à ses crochets. Veuve depuis très longtemps d’un homme entreprenant et courageux, l’Européen, dont le moule semble cassé, elle se contente de se mettre en scène et de compenser par une générosité aveugle son impotence. Deux images de ce triste tableau se télescopent : pendant que la Turquie exerce un odieux chantage aux migrants sur l’Europe, la Commission européenne reçoit une gamine de 17 ans venue donner une leçon d’écologie à des commissaires européens qui poussent la démagogie jusqu’à la traiter comme une personnalité alors qu’elle n’est qu’une créature médiatique inventée par le groupe de pression écologiste.
Europe et Union européenne - Page 368
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Et si l’Europe regardait vers la Grèce pour se réveiller ?
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Mythes et traditions d'Europe
Les traditions constituent un irremplaçable patrimoine spirituel car elles sont l'expression ritualisée des mythes qui hantent l'imaginaire collectif de nos peuples. Elles nous relient à notre origine, et affirment notre identité européenne, qui est plus que culturelle : sacrée.
À l'heure où la formidable recomposition politique qui se produit à l'Est est, peut-être, une chance historique pour l'affirmation de l'identité européenne, il est bon, il est nécessaire de rappeler que le socle de cette identité est culturel. N'en déplaise aux apôtres du cosmopolitisme, la culture européenne, pluri-millénaire, est enracinée dans l'âme des peuples. Elle se manifeste à travers les mythes et traditions qui sont, par le discours et les pratiques, l'expression d'un sens et d'un ordre symbolique, de nonnes mentales collectives qui viennent du fond des âges et ont survécu à toutes les vicissitudes de l'histoire.
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Marine Le Pen : «La France et l’Europe doivent venir au secours de la Grèce et inverser totalement la politique d’immigration»
Lors de son dernier meeting de campagne pour les municipales à Marseille, la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a demandé vendredi à la France et à l’Europe de venir en aide à la Grèce, confrontée à un afflux de migrants, afin «d’inverser totalement la politique d’immigration», accusant Recep Tayyip Erdogan de vouloir «islamiser l’Europe».
La dirigeante du RN s’en est prise longuement à la Turquie «qui veut nous faire chanter-payer «ou je vous laisse envahir»« et a dénoncé la «volonté clairement affichée et maintes fois réitérée d’Erdogan d’islamiser l’Europe». «Il l’avoue bien volontiers « l’Europe sera musulmane si Dieu le veut »», a-t-elle encore déclaré devant ses militants réunis au Palais des congrès.
«Comme des millions de vrais européens, nous nous sentons Grecs, au moment où le berceau de notre civilisation est l’objet d’une offensive migratoire d’ampleur continentale», a souligné Marine Le Pen dans un discours aux accents très identitaires.
Marine Le Pen a enfin fustigé les dirigeants français qui «ont oublié que la politique internationale est d’abord un rapport de forces» alors que «messieurs Trump et Poutine, eux, l’ont compris», avant d’attaquer l’UE qui, selon elle, est «l’histoire d’une grande duperie avec en sous-main des influences immigrationnistes à peine cachées comme celle du milliardaire (George) Soros», à la tête d’un réseau d’ONG de défense des droits, des migrants notamment.
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Cette fois, la route des Balkans est déjà fermée, par Olivier Bault
Il n’est pas inutile de rappeler les mots du directeur de Frontex lui-même dans une déclaration aux sénateurs français faite en juin 2016. Pour Fabrice Leggeri, la très forte réduction du nombre d’arrivées par la route de la Méditerranée orientale au début de l’année 2016 était due au « double effet de la fermeture des frontières sur la route des Balkans et de l’entrée en vigueur, le 20 mars, de l’accord passé entre l’UE et la Turquie ». Or la fermeture des frontières nationales dans les Balkans était consécutive, par effet domino, à la fermeture des frontières de l’Autriche en février 2016 appuyée par une action commune du V4 (Pologne, Tchéquie, Slovaquie et Hongrie) en soutien aux pays des Balkans, peu avant l’accord signé en mars avec la Turquie.
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Soros et la CEDH contre les peuples ? Analyse par Thibault Kerlirzin auteur de Soros l'Impérial
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Comment les « juges Soros » ont influencé la Cour européenne des droits de l’’homme
Trouvé sur Valeurs Actuelles : « Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.
L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.
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Sebastian Kurz : « L’Europe ne doit pas céder à la pression turque, bientôt ils seront des centaines de milliers, peut-être des millions »
Des milliers de migrants et de réfugiés affluent vers la frontière turco-grecque. Le chancelier autrichien Kurz accuse le président turc Erdogan d’avoir « organisé une attaque contre l’Europe » […]
Monsieur le Chancelier, l’Europe connaît un nouveau drame de réfugiés à sa frontière extérieure. Comment l’UE doit-elle réagir ?
Sebastian Kurz : résolu et uni à la fois. Ce que nous avons vécu en 2015 ne doit pas se répéter. Tous ceux qui ont dit à l’époque qu’elle avait besoin de frontières extérieures fonctionnelles doivent maintenant apporter leur plein soutien à la Grèce. Pour que ces frontières soient réellement protégées. Il ne peut y avoir une Europe sans frontières intérieures que si les frontières extérieures sont sécurisées.
Quelque 13 000 réfugiés sont bloqués à la frontière turco-grecque. Que va-t-il arriver aux gens ?
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La Hongrie protègera ses frontières « en toutes circonstances »
La Hongrie protègera ses frontières « en toutes circonstances » et ne laissera entrer aucun migrants illégaux, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto, après des entretiens avec le ministre de l’Intérieur serbe Nebojsa Stefanovic, à Belgrade lundi.
Pendant ce temps, l’Autriche envoie des unités de police à la frontière Serbo-hongroise, alors que la Hongrie a détaché des unités de police à la frontière Nord de la Macédoine, et de la Serbie.
« Pour nous, la sécurité du pays et le peuple hongrois est primordial. Les entretiens ont porté sur la protection des frontières, ainsi que la situation en Turquie et en Syrie, » a déclaré Szijjarto. Il a ajouté que les développements à la frontière entre la Turquie et la Grèce étaient inquiétantes et suggère que des centaines de milliers de migrants pourraient bientôt arriver dans les Balkans occidentaux.
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Eric Zemmour : « Erdogan est venu en Europe dire aux Turcs : Envahissez et colonisez l’Europe chrétienne » (Vidéo)
Eric Zemmour face à Hubert Vedrine dans Le Face A Face: « Je vous rappelle que Erdogan, il ne se cache pas. Il est venu en Europe pour dire au Turcs qui habitaient en Europe : Faite non pas 3 enfants mais 5. Il leur a dit que l’assimilation était un crime contre l’humanité, donc il leur a vraiment dit : Envahissez & colonisez l’Europe chrétienne ». (Face à l’info du 05/03/2020)
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Lesbos, camp des Saints, par Etienne Defay
La guerre des images a commencé. Samedi, le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé l’Europe d’une nouvelle vague migratoire. En moins d’une journée, près de 10 000 migrants ont alors été bloqués à la frontière grecque. Parmi eux, Syriens, Afghans et Irakiens ont été rejoints par environ 2 000 migrants supplémentaires. Alors que l’armée et la police parviennent à contenir l’afflux à proximité de Pazarkule, la population de l’île Lesbos fait rempart seule.
Sur son blog, l’historien et ethnologue Panagiotis Grigoriou décrit la situation de « guerre » dans laquelle se trouve la Grèce depuis plusieurs jours. « C’est une vaste opération montée par la Turquie et l’Union européenne », commente-t-il par téléphone, évoquant « plus qu’une simple invasion » sur fond d’islamisation.
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