Angers, affichage de nos camarades de l'Alvarium.
Anvers, manif du Vlams belang devant le consulat turc...
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Angers, affichage de nos camarades de l'Alvarium.
Anvers, manif du Vlams belang devant le consulat turc...
Le parallèle est évident, il est impossible de passer à côté : exactement 2 500 ans après, les Thermopyles sont rejouées. Dans le rôle de Xerxès, Recep Tayyip Erdogan. Dans le rôle des 300 Spartiates et des 700 Thespiens, les soldats grecs. L’Orient leur a envoyé 30 000 soldats, mal équipés, affamés, mal payés, de toutes langues et tribus, c’est-à-dire programmés pour se servir sur le pays, par le pillage et le viol. Certes, les AR-15 ont remplacé les sarisses, mais jusqu’à la fin des temps les hommes porteront des casques pour se battre. Le cou crispé par le casque lourd, les poignets serrant les armes : le contexte change mais les sensations sont les mêmes, de l’hoplite au grenadier voltigeur. En – 480, les soldats se sont fait submerger par le nombre des guerriers, mais ont gagné un temps précieux, permettant à la Grèce de se préparer, si bien que la seconde guerre médique a été gagnée après les batailles de Salamine, Platées, puis du cap Mycale.
Sur son blog, l’historien et ethnologue Panagiotis Grigoriou décrit la situation de « guerre » dans laquelle se trouve la Grèce depuis plusieurs jours. « C’est une vaste opération montée par la Turquie et l’Union européenne », commente-t-il par téléphone, évoquant « plus qu’une simple invasion » sur fond d’islamisation.
« Ça n’est pas une question de racisme, c’est une question de faits », martèle-t-il au bout du fil. Samedi, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a menacé l’Europe d’une nouvelle vague migratoire. En moins d’une journée, près de 10.000 migrants ont, alors, été bloqués à la frontière grecque. Parmi eux, Syriens, Afghans et Irakiens débarquent en bus ou par avions affrétés, et ont été rejoints par environ 2.000 migrants supplémentaires. Alors que l’armée et la police parviennent à contenir l’afflux à proximité de Pazarkule, la population de l’île de Lesbos fait rempart seule. Elle a, notamment, empêché plusieurs embarcations d’accoster, s’en prenant aux journalistes et membres d’ONG pro-migrants. « Sur place, les élèves paradent fièrement derrière le drapeau national en soutien aux comités populaires contre les agissements totalitaires des politiciens qui agissent sous ordre du “gouvernement grec” au profit de l’invasion migratoire musulmane », souligne-t-il.
La Grande-Bretagne est sortie de l’Union européenne depuis le 1er février. Un événement historique que François Asselineau a voulu célébrer. Invité de « Politique & Eco », le président de l’Union Populaire Républicaine (UPR) revient sur la soirée qu’il a organisé lors de laquelle des personnalités de droite mais aussi de gauche se sont pressées : Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot, Gilles Casanova, Djordje Kuzmanovic, Jean-Frédéric Poisson… Dans l’attente des premiers bons résultats du premier ministre conservateur Boris Johnson, François Asselineau espère un effet domino du Brexit sur les autres Etats membres de l’UE…
Revoir Le Samedi Politique – Brexit : le calvaire des européistes – Avec C. Gave et F. Asselineau
https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n252-francois-asselineau-brexit-et-apres
Le duo (ou le duel) entre Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdoğan revêt la politique internationale d’une dimension personnelle remarquable.
Historiquement, la Russie et la Turquie ont toujours été des adversaires. Moscou se voulait la troisième Rome, après Byzance, dont elle perpétue le christianisme orthodoxe. Elle a toujours considéré le verrou des détroits de la mer Noire comme une insupportable limite à son accès à la liberté des mers. Or, c’est la Turquie qui en a la clef. Une grande partie des territoires gagnés par l’Empire tsariste l’a été à la suite de victoires sur les Turcs. La révolution bolchevique a malheureusement donné aux Turcs la région de Kars, qui était russe avant 1914, et peuplée d’Arméniens. La Turquie, depuis le début du XXe siècle, tend à réaliser une homogénéité ethnique et religieuse. Les chrétiens, qui constituaient un tiers de la population anatolienne en 1900, sont évalués dans une fourchette comprise entre 2 % et 0,2 % de la population.
Il est assurément trop tôt pour prévoir où conduira véritablement, et jusqu'où ira, la volonté affichée du gouvernement turc d'inonder l'Europe de réfugiés et d'immigrants. Certains prenaient peut-être jusqu'ici cette menace, maintes fois réitérée par Erdogan, pour une rodomontade qui ne serait jamais mise à exécution. Sur la forme la tradition ottomane retrouvée ne se dément pas. Et c'est sans doute ce qui, le 28 février en fin de matinée encore, amenait le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg à exprimer la "totale solidarité" des membres du Conseil Atlantique avec leur inconstante et infidèle alliée.
Après un entretien téléphonique du 27 avec Mevlut Cavusoglu, ministre des affaires étrangères à Ankara, l'article 4 du traité signé à Washington en 1949 avait même été invoqué. Or, c'est dans l'affaire syrienne que la clause était supposée fonctionner. Depuis 2011, Erdogan en compagnie des islamistes, prétend défendre les droits de l'homme dans ce pays, contre ce que les médias ont pris l'habitude d'appeler l'armée du régime, élément de langage désignant tout simplement l'armée régulière, d'un pays juridiquement souverain depuis 1946, détaché de l'Empire ottoman depuis le traité de Sèvres.
La Grèce a annoncé qu’un exercice militaire à balles réelles a été menée dans la région d’Evros en mer Égée, près de la frontière turque.
Selon l’annonce faite par le quatrième corps d’armée grec, l’exercice a commencé lundi et a duré 24 heures le long de la frontière turco-grecque.
Depuis lundi 2 mars, les soldats grecs multiplient les exercices de tirs à balles réelles. Près de la frontière, les agriculteurs sont sous le choc : « C’est incroyable. Ils tirent pour de vrai, c’est la guerre ! »
Il a également déclaré que des munitions réelles ont été utilisées lors de l’exercice ainsi que des armes lourdes et légères. L’annonce a également rappelé que les habitants ne devaient pas se promener dans les environs pendant ces exercices risqués.
Selon les médias grecs, la décision de mener cet exercice a été prise lors du Conseil gouvernemental qui s’est tenu dimanche sous la présidence du Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. C’est un signal que la Grèce intensifie les mesures de sécurité le long de ses frontières pour faire face à cette crise migratoire.
Les clandestins ont bien compris que le jeu médiatique étaient un très bon argument pour faciliter leur entrée en Europe. C’est ainsi que des clandestins à la frontière de la Grèce font pleurer leurs enfants avant de les montrer aux caméras des journalistes !
Communiqué de la Dissidence Française
En ouvrant les frontières turques au passage de milliers d’immigrés clandestins qui souhaitent se rendre en Europe, le président turc Recep Tayyip Erdogan a franchi une nouvelle étape dans l’inadmissible chantage à l’invasion migratoire qu’il exerce contre les pays européens depuis plusieurs mois.
Par son invraisemblable laxisme migratoire et ses atermoiements diplomatiques avec la Turquie d’Erdogan, à qui elle a volontairement délégué la gestion des flux migratoires en provenance du Proche et du Moyen-Orient, l’Union Européenne s’est elle-même exposée aux pressions et aux menaces du régime turc. Face à cette diplomatie agressive, l’Union Européenne fait une nouvelle fois la démonstration de son incapacité à peser sur la scène internationale et à protéger les intérêts de ses états membres. L’OTAN – dont est membre la Turquie – apparaît plus divisé que jamais, et le gouvernement Macron se montre incapable d’assumer une position de fermeté face au régime turc.
Seule et en première ligne face à cette nouvelle vague de migration sauvage, la Grèce continue d’empêcher le franchissement de ses frontières et se refuse à tolérer l’immigration illégale.
La Dissidence Française appelle à la solidarité avec le peuple grec dans cette nouvelle crise diplomatique et migratoire, et rappelle que seule une politique de fermeté en matière d’immigration, et de souveraineté en matière diplomatique, pourra permettre à la France de sortir de l’étau dans lequel les élites mondialistes l’ont enfermé.
Pour la France et les Français d’abord !
Des milliers de jeunes hommes (d’après l’Organisation internationale des migrations [OIM], au moins 13.000 ; les Turcs parlent de 78.000 personnes) amassés sur les côtes turques, arrivés en trains, bus, voitures et à pied, donnent l’impression d’assister au déclenchement d’une grande offensive militaire contre l’Europe. Sauf qu’il s’agit de civils, syriens en majorité. Ils s’apprêteraient à envahir l’Europe au signal d’Erdoğan. Ce dernier leur a indiqué les itinéraires à suivre via des cartes de la télé turque. Toutes ces routes mènent à Paris et Berlin. Pourquoi vers la France et l’Allemagne ? Parce qu’il sait que leurs dirigeants sont des capitulards qui laisseront les États-Unis, la Russie, l’Iran, la Turquie et les pays du Golfe s’essuyer leurs pieds sur eux.