Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 587

  • L’avenir de la Catalogne en suspens - Journal du lundi 9 octobre 2017

  • ALLONS-NOUS DÉCIDER DE SAUVER NOTRE CIVILISATION ?

    boulevard-voltaire-republique-islamique-de-france.jpg

    Les islamistes ont pignon sur rue en France. Les salafistes nous narguent. Les Frères musulmans prospèrent.

    L’attentat de Marseille qui a coûté la vie de deux jeunes femmes ayant croisé la route de Ahmed Hanachi, dont la liberté de mouvement et la présence sur notre territoire n’avaient pas lieu d’être, ne doit pas nous faire oublier la seule vraie question que nous devons nous poser : allons-nous enfin décider de sauver notre civilisation ?

    Plusieurs organes de presse, dont Le Figaro MagazineMarianneou Valeurs actuelles, ont cette semaine fait leurs titres sur l’islamisme et la complaisance qui l’entoure. Il aura fallu ce nouvel attentat – un de plus – pour débrider une partie de la presse sur ce sujet essentiel qui engage notre avenir.

    Il y a pourtant des années que le signal d’alarme a été tiré, et alors que de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la gravité de la situation, rien n’est fait par nos dirigeants pour résoudre le problème, mis à part des mesurettes consistant tantôt à créer des Numéros Verts, tantôt à traiter notre ennemi comme s’il était un délinquant de droit commun (quand il n’est pas qualifié de simple « déséquilibré »).

    Cet ennemi, puisque, comme l’a clairement affirmé le ministre de l’Intérieur, la France est « toujours en guerre », il serait enfin temps de le combattre si nous ne voulons pas continuer à compter les morts. Cela nécessite un courage politique qui va jusqu’à l’impensable : la volonté d’assurer la sauvegarde de la France et des Français, la pérennité de notre mode de vie, les valeurs autour desquelles nous avons su nous construire au fil des siècles.

    Au lieu de cela, les islamistes ont pignon sur rue en France. Les salafistes nous narguent. Les Frères musulmans prospèrent et leurs associations omniprésentes continuent leur lobbying islamiste avec la bénédiction des autorités, jusque parfois devant les tribunaux. Et ils gagnent. 

    Chaque attentat est, pour eux, l’occasion de se poser en pacifiques de service, pour avancer leurs pions et atteindre le même objectif que ceux qui tuent sauvagement : faire plier l’Occident pour y instaurer la loi islamique, avec à la clé les mêmes conséquences – notre destruction. Chantage à l’islamophobie, pressions sur les élus ou infiltration des institutions républicaines, toutes ces méthodes ne datent pas d’hier et ont été maintes fois dénoncées. En vain.

    Allons-nous regarder Rome brûler et déclamer des vers au milieu des flammes, comme Néron en son temps, ou allons-nous enfin réagir et mener ce combat qui engage notre survie : chasser l’islam hors de notre pays, sans faiblesse, sans compromis, sans discussions avec des pseudo-théologiens dont le seul but est de nous endormir ?

    Donner sa vie pour sauver nos libertés, d’autres l’ont fait avant nous pour nous les transmettre. Nous en avons hérité. Cet héritage nous oblige. Le reste n’est plus qu’une affaire de volonté.


    Ancien Policier, Président de l’Association Nationale de Défense Egalitaire de la Liberté d’Expression (ANDELE), membre du SIEL
  • La marâtre d’outre-Rhin

    Georges Feltin-Tracol

    Depuis les législatives du 24 septembre dernier, Angela Merkel rempile pour un quatrième mandat consécutif de chancelier allemand. Il est paradoxal que les mêmes commentateurs qui applaudissent le quinquennat renouvelable une seule fois et enragent à la seule idée que Vladimir Poutine puisse solliciter un nouveau mandat présidentiel de six ans l’an prochain, s’enthousiasment de cette réélection. Mais c’est une victoire à la Pyrrhus ! Avec l’arrivée massive de l’AfD et le retour fracassant des libéraux grâce à un chef de file à la limite lui aussi populiste, la configuration politique conventionnelle a explosé : le Bundestag se retrouve divisé en sept formations (la gauche radicale post-communiste, les sociaux-démocrates, les Verts, les libéraux, les chrétiens démocrates, leurs alliés conservateurs bavarois, et l’AfD). Le futur gouvernement fédéral sera bancal et fragile. Reconnaissons toutefois que dans la piètre faune politicienne occidentale actuelle, Angela Merkel ressemble plus à un bouledogue qu’aux caniches qu’elle côtoie avec une suffisance certaine…

    Elle dirige certes la première puissance économique d’Europe, mais ce modèle périclite en raison d’une austérité budgétaire décennale, d’une financiarisation incessante de son économie et d’un inquiétant déficit démographique. Le non-renouvellement des générations allemandes favorise la venue massive d’immigrés exigée par un patronat négrier toujours en quête de bénéficies énormes aux dépens des petites gens de souche. Les conservateurs âgés associent Merkel à une bonne grosse maman. Or, c’est une marâtre impitoyable pour les Grecs, les Portugais et les Italiens. Cette « Européenne » de pacotille empêche en outre toute avancée effective vers une Europe-puissance enfin dégagée des actions bellicistes de l’OTAN.

    Oui, Angela Merkel est une anti-européenne patentée ! Le Tribunal constitutionnel de Karlsruhe a insisté à plusieurs reprises sur la priorité de la souveraineté allemande par rapport au projet de construction européenne. Décision cocasse quant on sait la présence massive des troupes d’occupation étatsuniennes ainsi que l’intégration de la Bundeswehr dans les structures globalitaires de l’Alliance Atlantique. L’Allemagne ne dispose en réalité que d’une souveraineté limitée.

    En s’opposant avec constance aux initiatives de Charles de Gaulle, et ensuite de ses successeurs présidentiels français, Bonn, puis Berlin se détournent de toute véritable entente intergouvernementale européenne au profit d’une simple colonie marchande déracinée et métissée dans laquelle une Germanie sénile détiendrait une médiocre prépondérance.

    Angela Merkel administre une belle maison de retraite outre-Rhin sans comprendre que l’histoire l’a déjà lourdée. Plus que « Mère des Allemands », l’actuel chancelier est leur infirmière ès-euthanasie. Oui, Angela Merkel über alles, proclament les médiats du Système, jusqu’à son crash final… le plus tôt possible.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 47, diffusée sur Radio-Libertés, le 6 octobre 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L'Europe malade...

    Diapositive1.jpg

    Dans le merveilleux pays multiculturel qu’est la Grande Bretagne, les musulmans s’assurent que les blancs ne portent pas de ceinture d’explosifs avant de prendre l’avion alors que c’est précisément à cause de ces gens là que nous avons dû mettre en place ces mesures contraignantes…

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Hongrie ne changera pas sa politique à l’égard des migrants

    viktor-orban-600x400.jpg

    06/10/2017 – HONGRIE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est confirmé : la Hongrie continuera de refuser l’installation de migrants sur son territoire, a annoncé le Premier ministre hongrois Viktor Orban, lançant :

    « Ils font plus pour les droits des migrants que pour leurs propres citoyens »

    Il a également estimé que lier la question de l’immigration et celle du financement de la cohésion européenne s’opposaient aux règles communautaires et étaient immorales :

    « Nous devons prendre note de cette décision parce que nous ne pouvons pas saper les fondations de l’UE – et le respect du droit est une fondation de l’UE – mais dans le même temps l’arrêt de la Cour n’est pas une raison pour changer notre politique qui refuse les migrants. »

  • CRISE DE REGIME EN ESPAGNE

    XVM8785f434-8d37-11e5-bd61-5bbd91fb2ea5.jpg

    Robert Neboit

    Tout semble se conjurer pour provoquer la balkanisation de la vieille nation espagnole. Et l’aventurisme insolent du Président de la Généralité de Catalogne Carles Puigdemont et la bêtise et la lâcheté du Premier ministre espagnol Mariano Rajoy.

    Ce désastre annoncé, sinon certain, ne peut être compris si l’on ne prend pas un recul historique suffisant. Lorsque le général Franco, qui dirigeait l’Espagne entière depuis 1939, meurt en 1975, l’unité nationale n’est pas remise en cause, l’Espagne est sortie du sous-développement et la situation économique est saine. 42 ans après, il est difficile d’en dire autant. Le chômage est un des plus élevé d’Europe, les autonomismes régionaux catalans et basques tournent au sécessionisme, l’immigration afro-maghrébine, avant inexistante, explose.

    Que s’était-il donc passé ? Rappelons tout d’abord que, contrairement à l’histoire enseignée en France mais aussi en Espagne de nos jours, Franco ne s’est pas soulevé contre la République mais contre le régime du Front populaire dont les forces politiques ne respectaient pas la légalité républicaine (ils l’avaient déjà montré en 1934 lors du soulèvement des Asturies). Cette république-là, fort peu démocratique, réunissait tant bien que mal le PSOE, le PCE, les anarchistes et cela dans une alliance bancale avec les mouvements séparatistes catalans et basques. Il s’agissait de s’opposer à la fois aux forces révolutionnaires marxistes et anarchistes et antichrétienne ainsi qu’aux atteintes à l’unité nationale.

    Le soulèvement national ne s’était pas fait pour restaurer une monarchie libérale qui avait failli mais pour la sauvegarde de l’Espagne. Le Général Franco, qui était avant tout un conservateur pragmatique, utilisa le phalangisme, le carlisme et d’autres tendances sans jamais y adhérer totalement. La seule vraie constante du régime fut de s’appuyer sur l’Église catholique.

    Franco prépara sa succession en décidant de remettre sur le trône non pas l’héritier direct, Don Juan, mais le fils de celui-ci, Juan Carlos (le petit fils d’Alphonse XIII).

    Trois hypothèses pouvaient alors être imaginées :

    - La continuité du régime, le changement par la rupture, ou enfin la transition vers un régime de démocratie libérale.

    - La continuité sous la forme d’un État s’appuyant sur le catholicisme était devenue inenvisageable depuis que l’Église catholique avec le concile de Vatican II ait récusé cette tradtion. L’on vit une bonne partie du clergé se retourner contre le régime qui l’avait protégé des exactions et des massacres en 1936 et allant jusqu’à soutenir des mouvements marxistes ou autonomistes.

    - La rupture n’eut pas lieu car les nostalgiques du Front populaire n’avaient pas de soutien populaire (ce que montre bien le succès du referendum de 1976 auquel ils s’opposaient). Et également parce que l’armée était restée unie et s’y serait opposée.

    - Autre élément, une grande partie de la droite espagnole avait adhéré à l'Alliance populaire (devenue Parti populaire) de Manuel Fraga Iribarne, ancien ministre du Général, qui accepta la Constitution et qui incarnait ainsi, à tort ou à raison" une certaine continuité, alors que le "Bunker", constitué par Don Blas Pinar et la Phalange renaissante, la refusait et restait minoritaire.

    Il s'est donc produit une transition vers la démocratie dans le cadre légal du régime lui-même lors de ce même referendum du 15 décembre 1976. Ainsi Il n’y a pas eu d’effondrement du régime franquiste mais sa transformation progressive et de l’intérieur.

    Une des failles de ce processus fut que le principal acteur de la transition Adolfo Suarez, qui avait pourtant été Secrétaire général du "Movimiento" (NDLR : conglomérat des différentes structures politiques soutenant le régime), manqua de sagesse et de courage en laissant à la gauche héritière du Front populaire le monopole idéologique et culturel du fait du reniement subreptice puis affirmé de l’héritage de Franco. Cette gauche, qui n’avait rien oublié mais aussi rien appris, s’est alors mis à réécrire l’histoire sous le prisme d’un anti franquisme haineux pour bien sûr l’inculquer aux nouvelles générations. Cela ne fut possible que parce que la droite ne sut pas concilier cette évolution politique avec le respect de l’héritage et de la mémoire de Franco.

    L’autre erreur accomplie lors de la transition, et cela toujours au nom de l’anti-franquisme, a été de céder aux pressions des nationalistes basques et catalans en leur accordant des statuts particuliers dérogatoires. Cela allait bien au-delà d’une décentralisation permettant des autonomies raisonnables qui respectent l’unité du pays. Lors de la création de ces statuts d’autonomie dérogatoires des domaines fondamentaux furent cédés par le pouvoir central : l’éducation, les grands moyens d’information et même la police. Ce qui devait arriver arriva : les nationalistes régionaux s’en emparèrent, se victimisèrent en réécrivant l’histoire à leur guise, et insufflèrent la haine de l’Espagne. On chercha à imposer la langue régionale à une majorité hispanophone. Le résultat fut une grosse minorité d’exaltés s’imposant à une majorité silencieuse qui désapprouve mais n’ose pas s’affirmer.

    Le Premier ministre Rajoy joue un rôle désastreux, il ne voit le monde que par l’économie et son opposition à la sécession est à la fois inhabile et manque de sincérité. Faire intervenir les forces de l’ordre pour empêcher un referendum illégal et irrégulier quant à son organisation était inutile et contreproductif. Il s’oppose sans fermeté aux sécessionnistes pour mieux marchander des concessions comme il l’a déjà fait à de nombreuses reprises. Politique absurde car plus il lâche plus les exigences augmentent.

    La nouvelle monarchie espagnole avait pas mal déçu avec Juan Carlos mais il faut reconnaitre que son fils Philippe VI roi a heureusement surpris en prononçant un discours digne d’un roi garant de l’unité de son pays. Cette heureuse intervention arrive au moment où se développe enfin dans tout le pays un nouveau patriotisme espagnol. En Catalogne même les anti-indépendantistes n’ont plus peur de descendre eux aussi dans la rue.

    Un mouvement de redressement est donc en cours, mais ne pourra aboutir que par une transformation du régime actuel. Les principaux partis sont corrompus et indifférents à l’indépendance et à la grandeur de l’Espagne, et la gauche est dominante sur le plan culturel. Seule la fin de cette domination et l’apparition d’un grand parti de renouveau national pourront redresser l’Espagne. Cela prendra du temps mais les premiers signes d’un renouveau patriotique sont heureusement apparus. Les sécessionnistes et la fausse droite de Rajoy n’ont pas gagné la partie.

    22256819_883295148486490_8317579956984288585_o.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le Premier ministre danois reconnaît que des régions entières de son pays sont gouvernées par les musulmans

     DANEMARK (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Premier ministre danois conservateur libéral Lars Rasmussen a admis ouvertement que les musulmans dominaient déjà certaines parties de son pays. C’est dans une entrevue avec le journal Jylland sposten, le principal quotidien conservateur du pays, que le Premier ministre a estimé que dans certaines régions du Danemark, la loi danoise ne s’applique plus aujourd’hui. Là, les gangs musulmans font leurs propres lois. Beaucoup de clandestins ou migrants vivent grâce à l’assistance sociale.

    Le gouvernement a échoué

    Pour le ministre, le gouvernement a failli dans la lutte contre ces entreprises parallèles. Il explique : “Nous avançons et revenons en arrière : en un jour, nous discutons d’une interdiction de la burka, la prochaine fois, au sujet des écoles musulmanes”.
    Selon l’hebdomadaire autrichien Wochenblick, la grogne monte doucement au Danemark. Je cite : « Des politiciens inconséquents, pour qui leur pays et les droits de leurs concitoyens ne signifient rien, sont responsables de cette situation. Ils feraient mieux de démissionner au plus vite, avant qu’ils ne soient chassés du Parlement par des citoyens en colère. Les Danois en ont déjà tiré les premières conséquences. Selon les médias, la présence de l’armée sera renforcée à la frontière avec l’Allemagne.

    Cela entraverait la sécurité du pays

    Le Danemark n’est pas en reste pour le terrorisme et a subi plusieurs attentats islamistes. L’immigration de masse illégale qui s’entasse dans ces lieux n’y arrangerait rien.
    Dans les médias nationaux, ces zones sont déclarées comme les « ghettos » du Danemark, avec une large part de population extra européenne, de forts taux de chômage, pauvreté et criminalité. En 2016, le nombre de ces ghettos aurait été multiplié par cinq.

    https://fr.novopress.info/

  • La notion tant crainte de la Patrie, « Heimat », revient chez les Allemands, à cause de la mondialisation et de l’immigration

    C’est un article de l’agence Reuters qui le souligne à juste titre. Les Allemands développent un intérêt croissant pour une notion que l’histoire de leur XXe siècle (et leurs gouvernants) les avait poussés à évacuer, voire à nier, tant elle était jugée « dangereuse » : l’idée de « patrie », « Heimat ». On en devine les causes, par-delà la fatigue de décennies de repentance méthodique : cet afflux considérable de migrants « accueillis » récemment par le pays et de manière plus lointaine, la mondialisation globale (dont fait partie l’immigration) qui noie peu à peu les spécificités nationales.
    Les politiques tentent d’ores et déjà de récupérer un phénomène sur lequel s’est construit, notamment, le très récent succès du parti étiqueté d’extrême droite, l’AfD, l’Alternative pour l’Allemagne.

    Lire la suite sur REINFORMATION.TV

  • La France Vassale Christophe Brossier La France vassale des GAFA