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Europe et Union européenne - Page 705

  • Congratulations !

    Il n’est pas coutume, sur ce site qui a à cœur de défendre la France, son histoire, sa culture, d’utiliser des termes anglais. Mais comment féliciter le peuple d’outre-manche pour sa clairvoyance au sujet de l’union européenne ? En refusant de rester membre de cette entité mondialiste, les Anglais viennent de donner un coup de canif au projet mortifère qui vise à faire disparaître les nations.

    Nous ne sommes néanmoins pas naïfs, nous ne croyons pas en la sainte urne pour arrêter la décadence dans laquelle nous sommes plongés (sinon, elle serait tout simplement interdite, comme la liberté d’expression qui n’est pas totale et qui se limite à ce qui est admis par la loi). Cependant, cette victoire fait quand même chaud au cœur. Pourtant, toutes les manœuvres ont été utilisées pour que le « in » l’emporte : On a prétendu aux Anglais une catastrophe économique (alors que l’Angleterre n’est même pas membre de l’euro), et faisant fi de toute déontologie, les mondialistes ont récupéré l’assassinat d’une député travailliste la semaine dernière par un fou. Malgré cela, les Anglais ont exprimé leur vœu de sortir de l’union européenne, et nous ne pouvons que les en féliciter.

    Il est intéressant de voir comment le système va s’y prendre pour gérer cette défaite : Vont-ils refaire voter les Anglais comme ils l’avait fait aux Irlandais après que ceux-ci eurent rejeté par référendum un de leurs projets ? Ou vont-ils changer par voie parlementaire les accords pour que l’Angleterre soit officiellement (légalement) en dehors de l’union, mais que, dans les faits y reste : Cela pourra s’appeler partenariat privilégié, tout autre néologisme pouvant faire l’affaire afin de maquiller la magouille. Et cela ressemblera comme deux gouttes d’eau à ce qui avait été fait après que les Français et les Hollandais eurent rejeté par voie référendaire, en 2005, le projet de constitution européenne et qui s’est néanmoins imposé quatre ans plus tard par le traité de Lisbonne, validé uniquement par voie législative.

    http://www.contre-info.com/

  • Le Brexit l'emporte

    C'est TVLibertés qui nous apprend ce matin que le Brexit l'emporte :

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    A 6h35, 93% des bulletins dépouillés, 48,2% pour rester dans l' / 51,8% pour la sortie de l' (écart de 1 080 000 voix).

    Marie Bethanie

  • Tout opposant à l’Europe est, en puissance, un assassin par procuration

    Tout eurosceptique ne doit pas être tenu pour un opposant, mais pour un criminel qu’il convient de réduire.

    Est-ce la panique de voir, jeudi prochain, les Britanniques choisir la liberté ?

    En tout cas, l’assassinat de la députée travailliste Jo Cox par un prétendu nationaliste britannique, surtout connu pour ses antécédents psychiatriques, a manifestement libéré la parole europhile. Et c’est un discours totalement décomplexé que les nouveaux chiens de garde de l’oligarchie européiste tiennent désormais, à quelques heures du référendum par lequel les sujets de Sa Gracieuse Majesté doivent décider s’ils restent ou non au sein de l’Union européenne.

    Après Maïtena Biraben interrogeant le plus sérieusement du monde, sur Canal+ vendredi dernier, Florian Philippot, qui croit tout d’abord à une plaisanterie, sur la responsabilité du FN dans le meurtre de la députée Jo Cox, c’est l’eurobéat bien connu Jean Quatremer qui, sur son blog Coulisses de Bruxelles, abrité par Libération, demande tout aussi sérieusement, ce lundi 19 juin, à propos du même fait divers : « Qui sème la haine ? » Et d’assener, avec l’autorité d’une directive de la Commission européenne : « Il faut le dire clairement : ceux qui font campagne en prônant le nationalisme, en stigmatisant l’immigré, en accusant les “élites” d’être inféodées à une Union européenne qui ne serait autre qu’un “IVe Reich” ou une nouvelle “UESSR”, ceux-là poussent les esprits faibles à la violence. » Ajoutant : « On n’a encore jamais vu un pro-européen, un démocrate-chrétien ou un social-démocrate commettre un attentat ou tuer son voisin. » Et d’en conclure que ceux que nos pro-européens orwelliens appellent de manière nuancée « europhobes », pour mieux criminaliser l’euroscepticisme au même titre que toutes les phobies judiciarisées, sont des pousse-au-crime par le simple fait d’être patriotes, de refuser les diktat bruxellois et d’émettre des doutes sur la légitimité démocratique tant des élites que des institutions européennes. [...]

    François Marcilhac - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tout-opposant-a-l-Europe-est-en

  • Flash Actu du 19 juin 2016 !

    Dans ce numéro, Hervé Van Laethem vous parle de la conférence donnée à Bruxelles sur l’Aube Dorée ainsi que la situation explosive sur notre territoire avec des réseaux djihadistes toujours bien présents.

    https://www.nation.be/2016/06/20/flash-actu-du-19-juin-2016/

  • Journal du Jeudi 23 Juin 2016 - Brexit / Bruxelles craint l’effet domino

  • Nicolas Bay (FN) : "On ne peut pas ne pas faire le constat de cet échec total de l'Union européenne"

    Nicolas Bay, secrétaire général du FN, à propos du Brexit sur France Info :

    "Une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne serait l'occasion d'émettre un signal très fort en direction de tous les peuples d'Europe qui aspirent à une Europe construite totalement différemment. Il ne s'agit pas d'être antieuropéen, il s'agit de constater tous les échecs.

    Cela n'empêcherait pas de maintenir le partenariat. La réalité c'est que la France a rayonné à travers le monde bien avant l'Union européenne qui entrave nos libertés. On ne peut pas ne pas faire le constat de cet échec total de l'Union européenne.

    Schengen, on nous l'avait vendu comme un espace de libre circulation à l'intérieur des Etats membres, avec une maîtrise des frontières extérieures.Il n'y a aucune maîtrise des frontières extérieures. Les frontières sud de l'Europe sont de véritable passoires. Ce qui est extraordinaire avec Schengen c'est qu'on les [les migrants] laisse entrer librement en France, mais ensuite on les empêche de sortir parce que les Britanniques ont été plus prudents et ne sont pas dans Schengen"

    Philippe Carhon

  • Les hooligans russes prouvent que Schengen est une passoire

    Il est inquiétant de constater qu’un hooligan expulsé pour des faits de violence ait pu revenir sans problème sur le territoire national.

    Il ne faut pas critiquer pour critiquer. L’Euro 2016 est, par bien des aspects, une belle fête populaire et sportive. Les stades sont magnifiques, remplis des chants des supporters les plus sympathiques, à l’instar des Irlandais ou des Gallois. En revanche, l’événement a été gâché par des violences quasi quotidiennes entre groupes de hooligans, principalement des Anglais et des Russes, renforcés ponctuellement par des casseurs locaux. Les autorités françaises n’ont pas été en mesure d’assurer correctement la sécurité de la compétition.

    Notre gouvernement semble ne plus vivre avec nous, totalement déconnecté de la réalité. Ainsi, les ministres des Sports et de l’Intérieur ont présenté, après dix jours de compétition, le bilan de sécurité de l’Euro 2016 comme étant « globalement positif », malgré des violences qui ont conduit à (excusez du peu) 557 interpellations. Mais de qui se moquent-ils ? Patrick Kanner et Bernard Cazeneuve sont-ils aveugles ? Ont-ils comparé l’Euro 2016 avec les compétitions précédentes qui se sont tenues en Europe au cours des quinze dernières années, exemptes de violences comparables à celles qu’ont pu connaître les villes de Marseille, Nice, Lille ou Lyon ?

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  • L'Europe en crise existentielle!

    L'Europe, faut-il y croire? La question taraude les Européens qui, de plus en plus nombreux, s'interrogent sur l'avenir d'une Union faite de bric et de broc. Et ce ne sont pas les eurosceptiques qui les démentiront, dont le Royaume-Uni en donne un avant-goût. Le «Brexit» - British exit, ou sortie de la Grande-Bretagne de l'UE - excite et désole des Européens qui ne savent où se situer dans un ensemble [l'Union européenne] qui n'arrive ni à convaincre ni à prendre les contours d'un gouvernement européen avéré. Les Européens ne s'y retrouvent simplement pas dans un pouvoir bruxellois en décalage par rapport aux réalités européennes. S'il existe une «Union européenne», il n'existe pas en revanche des «citoyens européens». Les Français, Belges, Allemands, Italiens, Anglais et les 23 autres nationalités ne se sentent seulement pas européens. De fait, les Européens, si autant ils existent, vivent une crise existentielle et sont de plus en plus nombreux à refuser l'autocratie d'un pouvoir non élu. C'est sans doute là le noeud gordien du problème européen au moment où les notions de liberté et de démocratie se sont potentiellement élargies. On ne s'intéresse pas suffisamment à cet aspect de la question alors que les citoyens européens ne se reconnaissent pas dans des dirigeants «cooptés», sans lien avec les populations. En fait, dès le départ, le projet européen était une utopie, issu d'un rêve sans consistance dès lors qu'il ne s'inscrivait pas dans la perspective d'une «nationalité-identité» européenne. La crise des réfugiés a d'ailleurs été un révélateur de la faiblesse de la notion identitaire européenne lorsque chaque pays a retrouvé ses réflexes nationalistes, s'enfermant sur son quant-à-soi, nourrissant une xénophobie poussée par un populisme exacerbé. De fait, eurosceptisme et populisme s'alimentent l'un l'autre. La bureaucratie bruxelloise a fait le reste, mettant à mal les souverainetés nationales, quand l'élite bruxelloise prend l'ascendant sur les Etats nationaux. En fait, les Européens sentent confusément comme un défaut, un manque dans une UE sans âme sous l'emprise des multinationales. La dérive s'est accentuée ces dernières années, l'UE s'éloignant des peuples tout en se rapprochant d'une mondialisation sous la férule des multinationales. Le corollaire étant celui de la disparition progressive des Etats nations sans que, pour autant, soit offerte une citoyenneté européenne de rechange. Dans un accès de lucidité, le président du Conseil de l'UE, Donald Tusk a jugé récemment que l'Union, «obsédée avec l'idée d'une intégration instantanée et totale», n'avait «pas remarqué que les gens ordinaires, les citoyens européens, ne partagent pas notre euro-enthousiasme». Sans doute que le dirigeant européen n'est pas allé au fond de son analyse - ou ne voit pas le problème sous cet angle - car la première anomalie de l'UE est que ses dirigeants [commissaires «ministres»] ne sont pas élus par les citoyens européens, alors que la Commission européenne [le pouvoir européen installé à Bruxelles] prend de plus en plus de l'ascendant sur les Etats, imposant des lois qui prennent le pas sur les lois nationales. En fait, depuis une trentaine d'années, les Etats européens ont transféré des parts de plus en plus importantes de leurs pouvoirs à l'Union européenne dont, rappelle-t-on, les institutions ne sont pas démocratiques, ne serait-ce que du fait que la Commission européenne ne rend pas compte aux Européens, ni n'est «limogée». Si le Parlement européen est élu au suffrage universel, certes, ses pouvoirs de décision sont limités et n'a que peu d'influence sur la gestion des affaires européennes par l'UE. Il suffit de noter que le «gouvernement» européen [la Commission européenne] n'est pas issu d'une élection normale par les citoyens européens. Ce n'est pas cela la démocratie dont se réclame l'UE. En effet, quelle différence peut-il y avoir entre la Commission européenne (non élue et cooptée) et le Soviet suprême en ex-Urss tout aussi coopté? Aucune! Les deux pouvoirs sont (ou ont été) désignés dans l'opacité totale. Et vive la démocratie! Et ce sont ces gens qui parlent des libertés au nom de l'Europe et des Européens, qui décident pour le devenir du monde et, partant, pour d'autres peuples. Aussi, l'Europe des 28 fait-elle face à un déficit flagrant de démocratie, surtout pour des pays férus de «libertés» et de «démocratie». Ce que sans doute les pro-Brixit, plus tournés naturellement vers les Etats-Unis, ont compris sans le dire explicitement.
     

    http://populismes.blogspot.fr/2016/06/leurope-en-crise-existentielle.html

  • La Hongrie refuse que l’Union européenne décide à sa place pour des traités comme le TAFTA

    Hongrie, Budapest – Le Parlement hongrois a voté une motion visant à contrer le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (PTCI ; TTIP en anglais) aussi connu sous le nom de traité de libre-échange transatlantique (TAFTA en anglais) et l’accord économique et commercial global (AECG ; CETA en anglais), mais aussi l’Accord sur le Commerce des Services (ACS / TiSA). 
    Proposé par le député vert Schiffer, du parti LMP (La politique peut être différente), cette motion vise à pousser le gouvernement à, tout d’abord, tirer des lignes rouges ne pouvant pas être franchies, en particulier dans des domaines tels que les normes environnementales et sanitaires , les réglementations sociales et démocratiques, les droits des consommateurs, ou même le droit. Le deuxième point visé par cette motion est de pousser le gouvernement à changer le mode de ratification de ces traités. 
    Depuis le traité de Lisbonne de 2007, ces traités sont négociés par la Commission européenne uniquement, et ratifiés par l’Union européenne, tant qu’ils ne comprennent pas les dispositions légales « non commerciales ». Avec cette motion, les députés hongrois veulent classer ces traités commerciaux comme « accord mixte », considérant que ce traité est bien plus qu’un simple traité commercial. La Commission européenne aurait alors à faire signer le document par chaque État membre avant la mise en vigueur du traité. 
    La motion a été acceptée par 178 oui, 5 abstentions et 2 non (le Parlement hongrois a 199 sièges). 

  • [Lyon] UE : SORTIR OU MOURIR !

    UE : SORTIR OU MOURIR ! À quelques jours du vote historique des Britanniques, les militants de l’AF Lyon rappelaient aujourd’hui même aux Lyonnais que la souveraineté nationale est pleine et entière ou n’est pas du tout. Vive la France, Vive le Roi !