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Europe et Union européenne - Page 709

  • Contre le pacifisme et pour l’usage de l’arme nucléaire contre l’État Islamique

    “La mosquée d’Athènes”, voilà qui pourrait devenir un titre de roman, d’horreur si je devais choisir le genre. Je fais référence ici à l’intense conflit autour de la construction d’un de ces lieux de culte de la fausse religion mahométane qui se multiplient en Europe de l’Ouest et du Sud.

    En lisant la presse grecque ces derniers jours, on apprend en effet que l’extrême-gauche au pouvoir en Grèce est déterminée à liquider ce qu’il reste de l’héritage spirituel de ce pays dont elle préside à l’effondrement.

    Le journal britannique Mail online rapporte (source) :

    Un officiel du ministère de l’Education et des Affaires Religieuses a déclaré qu’ils doivent avancer rapidement sur la construction de la mosquée qui été annoncée en 2006 mais qui est retardé par des recours.

    L’officiel indique : “C’est précisément en raison des récentes attaques terroristes que nous devons avancer rapidement sur la construction de la mosquée à Athènes. Chaque jour sans mosquée et imams officiels à Athènes, nous payons pour un risque accru de radicalisation des musulmans agissant dans l’ombre ou dans des lieux non officiels de culte”.

    Je publiais récemment un article sur ce même blog intitulé “Chaque attentat accroit la capitulation des élites, pas l’inverse” (lire ici). Le titre résume assez bien le propos et si je le cite ici c’est parce que ce n’est pas le fruit de conjectures délirantes de ma part mais d’une réalité observable, dans toute l’Europe occidentale.

    Dans ce cas d’espèce, c’est bien le gouvernement grec – pas moi – qui établit un lien entre terrorisme et nécessité de répondre aux exigences toujours plus croissantes de l’envahisseur musulman, d’origine orientale ou africaine. Ce que l’on appelle “l’apaisement”.

    Politique dont Churchill disait : “Un promoteur de l’apaisement, c’est quelqu’un qui nourrit le crocodile en espérant qu’il le mangera en dernier”.

    Psychologie du pacifisme

    Dans une article de 2009, traitant du pacifisme occidental d’avant-guerre dans un article intitulé A la guerre comme à la paix (lire ici), Annaëlle Lebovits parle du profil psychologique du pacifiste qui ne sera pas sans vous rappeler quelque chose de plus contemporain :

    “Le pacifiste se réfugie derrière des intentions droites et nobles, ses discours se parent d’humanisme, de foi en l’autre et de respect. Car la figure du faible enjoint la compassion […] La réciprocité absolue des rapports humains fait l’objet de la foi triviale qui meut le pacifiste. La bonté appelle la bonté, pense-t-il, et le respect, le respect ; seule la haine engendre la haine, les victimes sont des bourreaux qui s’ignorent. Le pacifiste nie ainsi sa dissemblance à l’ennemi.”

    Elle poursuit :

    Tout pris qu’il est dans ce rapport d’identification imaginaire à l’autre, le forçat de la paix en oublie de composer avec l’Autre. Il le fait d’autant plus facilement qu’il épouse tacitement le discours de cet autre, qu’il y repère un écho de vérité propre à rassembler ce que tout oppose en apparence.

    Annaëlle Lebovits tire de cette disposition d’esprit une conclusion pratique :

    Le pacifiste se prépare souvent une guerre plus franche que celle qu’il prétend éviter. Plus franche, parce que pour s’endormir au doux son de promesses de paix, il ne voit pas, ne peut pas voir venir la guerre. Loin que la réalité commande chez lui la stratégie à adopter, elle se conforme au contraire à la seule stratégie qui lui convienne : ne rien faire, s’aplatir toujours plus et respirer toujours moins fort.

    Vous vous souviendrez ici du fameux discours de Manuel Valls suite aux attentats de Charlie Hebdo : les agresseurs sont les agressés, les victimes sont les coupables. Les djihadistes, “fondamentalement bons”, se sont simplement “égarés” des suites d’une “ségrégation” dont ils seraient l’objet :

    Psychologie du revanchard

    Le Führer du Reich, Adolf Hitler, avait un projet géopolitique – l’unité allemande – et entendait en finir avec les conséquences du Traité de Versailles. Les Français ne concevaient pas à quel point le sentiment d’injustice avait forgé une génération vaincue d’Allemands qui entendaient réécrire l’histoire.

    Hitler ne cachait pas à quel point “l’apaisement” franco-anglais lui paraissait une marque de faiblesse et non, comme le pensaient ses adversaires, de magnanimité propre à le calmer. Il déclarait en 1939 :

    “J’ai vu à Munich les chefs des gouvernements français  et britanniques ; ce sont des créatures faibles et lamentables, incapables d’offrir une résistance quelconque.”

    Ce que ne comprennent pas, paradoxalement, les apologistes de “l’Autre”, c’est que “l’autre est autre” par définition. Et que ce dernier n’est pas réductible à soi-même, a fortiori quand il est racialement, culturellement et religieusement radicalement différent.

    Or, toutes les actions entreprises face à la menace reposent sur l’idée que les afro-musulmans – tant chez eux que chez nous – raisonnent dans les mêmes termes.

    Parce qu’ils sont fondamentalement mus par des desseins hostiles, revanchards et conquérants, la soif de l’ennemi allogène est inextinguible. Chaque tentative de conciliation est perçue comme un signe de faiblesse et constitue une puissante incitation à pousser l’avantage.

    Le cerveau reptilien des masses musulmanes ne conçoit pas autrement les mesures diplomatiques visant à les apaiser.

    Les élites nourrissent le crocodile

    Pour en revenir à la mosquée d’Athènes, capitale fondatrice de la civilisation euro-occidentale doit-on le rappeler, l’annonce depuis plusieurs années de ce projet avait instantanément été interprétée comme une brèche.

    L’ancien occupant ottoman tentait d’exploiter l’opportunité comme le rappelle cet article d’un site musulman qui, comme on le voit, n’a rien oublié (voir ici) :

    Suite à sa conversation avec le ministre grec Samaras Antonis à Doha, le Premier Ministre turc Recep Tayyip Erdogan a proposé de construire  une mosquée à Athènes […] En proposant de financer la construction de la mosquée d’Athènes, le premier ministre turc enlèvera ainsi un point crucial qui freine le dossier. Malheureusement, le Ministre grec a préféré rejeter l’offre de son homologue. La question d’une mosquée officielle à Athènes, se posait depuis plusieurs années. Alors que la Grèce est sur-endettée, le rejet d’une telle proposition est un comble, et une preuve de la difficile acceptation de l’islam dans le pays, et de l’influence de l’Église orthodoxe. Pour cette question, Athènes risque encore de rester l’exception de l’Union Européenne.

    Pour se plonger encore dans l’univers mental des masses musulmanes, je citerai cet extrait du site salafiste Islam & Infos sur le sujet (voir ici) :

    Bonne nouvelle pour les Grecs ! En effet, après des années de polémiques et de rebondissements, Athènes va enfin pouvoir avoir une Mosquée pour ses fidèles.

    Il est vrai que les musulmans d’Athènes sont confrontés à l‘islamophobie des militants d’extrême droite et même de certains habitants comme en novembre 2011 lors de la prière de l’aîd où ils se sont fait insulter et jeter des œufs en pleine prière.

    Vous aurez relevé l’impudence typique de la mentalité islamo-sémitique.

    Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, la notion d’égalité entre individus est absente dans les sociétés musulmanes, qu’elles soient arabes, maghrébines, turque, etc. Le fondement du rapport social est la soumission au plus fort. Dans ce contexte, la morale est contingente.

    L’extrême-gauche, je l’ai souvent dit, est vouée à se diluer dans le fanatisme islamique. Sa haine de la civilisation européenne, son nihilisme névrotique, la conduit inexorablement à collaborer.

    Il n’est pas surprenant que le gouvernement grec, situé dans les limbes du gauchisme trotskiste, réagisse de la sorte. Mais bien loin “d’apaiser” l’ogre, il aiguise son appétit.

    Toute concession à la progression de l’islam et de ses masses invasives devient une incitation à lahaine raciale contre les populations européennes et contre la civilisation helléno-chrétienne. Le meurtre alimente le meurtre, avec l’appui d’élites bourgeoises, émasculées et terrorisées.

    La logique pacifiste – ou “capitularde” plus exactement – a sa propre dynamique. Une fois le précédent posé, le contexte conditionne celle-ci. Si la Grèce construit une vaste mosquée dans sa capitale suite à des attentats à Bruxelles, combien en construira t-elle lorsque des attentats la frapperont directement ? Le double, le triple, le quintuple. La France a finalement donné l’exemple lorsqu’elle avait annoncé le “doublement du nombre de mosquées” suite aux attentats de Charlie Hebdo, posant ainsi l’objectif à 6 000 mosquées sur le territoire hexagonal (voir ici).

    Pour reprendre le mot de Churchill, ces élites sont bien décidées à “nourrir le crocodile”. Avec vous, vos enfants, vos amis, vos voisins, peu importe, tant que cela leur permet de continuer de rester au pouvoir.

    Être prêts pour l’escalade totale

    Quelle est la réaction à adopter ? J’étais personnellement favorable à l’utilisation, par l’armée française, d’une arme nucléaire tactique sur Raqqah, capitale de l’État Islamique. Car le combat n’est absolument pas conventionnel, mais idéologique et psychologique. Jusqu’à présent, aucun gouvernement n’a compris la nature de l’ennemi ni sa détermination.

    Une seule arme nucléaire tactique aurait suffi à terroriser la totalité des djihadistes concernés. Au surplus, une escalade progressive devrait être prévue pour frapper, avec toujours plus de force, tous les acteurs musulmans, états ou groupes, candidats à des représailles.

    Ce n’est pas tant d’avoir la volonté de recourir à l’arme nucléaire une seule fois qui était nécessaire que d’en faire la base technique d’une escalade exponentielle assumée selon la pensée stratégique clausewitzienne.

    Que les musulmans appliquent la chariah dans leurs pays m’indiffère. Elle l’est déjà en Arabie Saoudite et je m’en accommode parfaitement.

    Mais dès lors que leurs organisations tentent de frapper l’Europe, une puissante dissuasion doit être mise en place. Car c’est lui qui nous a désigné comme ennemi, n’en déplaise aux tenants de l’illusion pacifiste.

    La psychologie musulmane, comme je l’ai dit, n’admet que la force comme base du rapport social et politique. Toute idée visant à vouloir changer le fonctionnement de leurs sociétés est une imbécilité universaliste et égalitariste qui a été convaincue d’absurdité en Afghanistan ou en Irak. Des entreprises militaires sur lesquelles comptent par ailleurs la guérilla révolutionnaire islamique pour épuiser les armées occidentales et accroître leur propre poids.

    Ceux qui s’opposent à cette approche sont les mêmes qui conditionnent l’aggravation de la situation en incitant l’ennemi à l’audace. A ceux qui y voient une hypothèse délirante, je rappellerai simplement que c’est exactement en ces termes que les Alliés, la Russie et la Chine présentèrent l’alternative qui s’offrait au gouvernement japonais depuis Potsdam, le 26 juillet 1945 :

    « Nous appelons le gouvernement du Japon à annoncer dès maintenant la capitulation sans condition de toutes les forces armées japonaises […] La seule alternative pour le Japon est une destruction rapide et totale ».

    On ne peut demander cependant une telle chose à la France, dans la mesure où la marxisation de ses élites comme leur corruption morale et leur lâcheté les ont déjà fait acter de leur capitulation.

    Seules deux puissances me semblent avoir encore suffisamment de volonté et de courage pour user de la force nécessaire contre cet ennemi : les USA et la Russie.

    Nous devons répondre à cette guerre d’extermination qui nous a été déclarée. Toutes les manœuvres dilatoires ne feront qu’accroître le coût humain.

    http://borislelay.com/

  • Des flots ininterrompus

    3000715803.jpgA l’heure où nous bouclons ce numéro, les terroristes ont encore frappé. Trois jours après l’arrestation du dernier responsable en vie de la tuerie du 13 novembre à Paris, Salah Abdeslam, l’aéroport et le métro de Bruxelles ont été visés par des attaques meurtrières. C’est-à-dire que les terroristes, en dépit d’une présence policière massive, ont frappé, dans une sorte de riposte, le cœur du quartier européen de la capitale belge. Ainsi est l’ennemi islamiste : tapi au sein des populations, trouvant refuge dans des quartiers où il est protégé, il peut frapper n’importe où, n’importe quand, avec une rapidité d’exécution sans faille. L’idéologie dominante qui, il y a peu encore, osait parler d’« actes isolés », de « loups solitaires », voire même de simples « déséquilibrés », vole en éclat de façon dramatique. La vérité, c’est que le djihadisme, structuré et organisé, possède des réseaux et des relais partout en Europe. Nos élites dirigeantes ont laissé prospérer un communautarisme islamique en se voilant la face pour ne rien voir. Pour ces bonnes âmes, l’islam n’est-il pas la religion des réprouvés ? Leur responsabilité est aujourd’hui écrasante. Du renversement de Kadhafi, au moment même où le monde arabe implosait sous le coup de « printemps » prétendument « démocratiques » mais qui bénéficièrent d’abord aux islamistes de toutes obédiences, à la gestion de la crise syrienne, aboutissant au financement et à l’armement de groupes islamistes radicaux à seule fin de faire tomber Bachar al-Assad, le même humanitarisme manichéen a prévalu pour aboutir à ce désastre. Désastre consommé avec la décision abracadabrante et unilatérale d’Angela Merkel d’inviter tout le monde en Europe, provoquant un exode massif vers le Continent.

    Plus encore que la menace d’un Brexit, la crise migratoire pourrait porter le coup de grâce à une Europe qui ressemble de plus en plus à une citadelle assiégée, hérissée de barbelés. On le lira dans les pages de ce numéro de Politique magazine. Après 1,25 million de migrants en 2015, 250 000 sont déjà arrivés en Europe depuis le début de l’année, dont 150 000 en Grèce selon l’Organisation internationale pour les migrations. L’Allemagne d’Angela Merkel prévoit ainsi d’accueillir jusqu’à 3,6 millions de personnes d’ici à 2020 ! Loin de se tarir, le flot migratoire continue de jaillir sans interruption.

    Ce n’est pas l’accord signé le 18 mars entre Ankara et l’Union européenne qui résoudra le problème tant il paraît d’ores et déjà voué à l’échec. Pays en faillite et à l’état déficient, la Grèce n’a évidemment pas les moyens de fermer la « route de la mer Egée » ni de contrôler efficacement ses frontières. Organiser le renvoi systématique des arrivants vers la Turquie, même avec l’aide de l’Union européenne, est tout simplement pour elle une « tâche herculéenne », comme l’a dit, dans un trait d’humour involontaire, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker. Et c’est Erdogan qui se frotte les mains ! Une fois de plus, le régime turc, passé maître dans l’art du double-jeu, roule les Européens dans la farine.   

    Au terme de cet accord – concocté en toute opacité, selon son habitude, par Angela Merkel –, la Turquie empoche 6,6 milliards d’euros, en principe destinés à financer l’accueil des quelques 2,7 millions de réfugiés qu’elle abrite déjà sur son sol. Mais elle repart aussi avec la promesse d’une libéralisation des visas pour ses compatriotes et d’une prochaine réouverture des négociations d’adhésion à l’Union européenne. Pendant ce temps, ses forces armées continuent de massacrer les Kurdes qui sont nos alliés dans la lutte contre l’état islamique. état islamique qui vient de revendiquer les attentats de Bruxelles. Comprenne qui pourra… 

    Rédacteur en chef de Politique magazine

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Pays-Bas : Victoire du non sur l'accord d'association entre l'Ukraine et l'UE

    Le référendum néerlandais sur l'accord d'association entre l'Ukraine et l'Union européenne est valide, a affirmé hier soir l'agence de presse néerlandaise ANP, dans une projection basée sur près de 40% des votes. L'ANP prévoit une victoire du non avec 61% des voix, contre presque 38% pour les partisans de cet accord, avec une participation dépassant le minimum de 30% nécessaire pour la validation du scrutin

    Ce référendum est issu d’une initiative populaire. Naturellement, aucun citoyen lambda ne sait vraiment ce qu’est cet accord, et le référendum est en fait pour ou contre l’UE. C'est une défaite pour l’establishment européiste selon Yves Daoudal :

    1 – Cette majorité de non signifie que la majorité des Néerlandais est désormais contre l’UE. Un vrai cataclysme, dans un pays fondateur de la communauté européenne, membre du Bénélux qui en fut un noyau essentiel…

    2 – Cette majorité de non avec une participation supérieure à 30%oblige le gouvernement à ne pas ratifier l’accord Ukraine-UE conclu en 2014. Les Pays-Bas sont le seul pays à ne pas l’avoir ratifié, à cause de ce référendum. Et si les Pays-Bas ne ratifient pas l’accord, que se passera-t-il ? Eh bien, rien. Parce quel’accord est déjà mis en application, depuis le 1er novembre 2014 pour son volet politique, depuis le 1er janvier 2016 pour son volet économique. Pour le mettre en échec, il faudrait que les 27 autres pays en décident ainsi. Ce qui est inenvisageable. Les Néerlandais vont ainsi découvrir qu’ils peuvent voter ce qu’ils veulent, ça n’a aucun effet…

    Sauf que le résultat sera un renforcement sans doute sans précédent de l’euroscepticisme aux Pays-Bas, avec les conséquences qu’on imagine… au Royaume Uni, où la campagne du Brexit bat son plein.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/04/pays-bas-victoire-du-non-sur-laccord-dassociation-entre-lukraine-et-lue.html

  • Le totalitarisme rampant

    Comme toujours lorsqu’on aborde un sujet trop souvent traité par les media, il importe de le définir avec précision. Le totalitarisme n’est nullement propre à une idéologie : c’est le comportement de tout régime où l’on veut obtenir l’uniformité de comportement, de pensée et d’expression.
    Par définition donc, il s’agit d’un système où les maîtres de la vie politique et judiciaire imposent une réglementation sur tous les sujets, y compris l’exercice professionnel et la vie privée des individus, en plus d’un prêt à penser et de confusions sémantiques obligatoires, devenant des stéréotypes… du genre : « Seul le Blanc est raciste », ce qui fait hurler de rire qui a un peu fréquenté les études historiques et les quartiers chauds, riches en immigrés exotiques.
    Par la volonté des génies du soi-disant gouvernement européen, siégeant à Bruxelles, et du fait de la complicité active de leurs confrères qui font semblant de gouverner à Paris, Berlin, Londres, Rome et autres lieux, l’Europe occidentale est entrée dans un totalitarisme, encore mollasse et sournois, mais qui envahit progressivement toutes les activités quotidiennes.
    Jamais le régime nazi (que l’auteur de ces lignes connaît un peu cliquez ici) n’a légiféré sur la vie privée, hormis pour réprimer l’inceste, lutter contre le harcèlement sexuel sur le lieu de travail, interdire stupidement certaines unions (notamment avec ceux qui depuis 33 siècles pratiquent rituellement l’endogamie) et limiter la vitesse des automobiles en ville, en une période où les « démocrates » préféraient ignorer les crimes et délits sexuels et ne s’intéressaient guère aux accidents de la circulation.
    De nos jours, les parents et grands-parents deviennent délinquants s’ils calottent un rejeton grossier, arrogant ou malfaisant. De la même façon, il est mal vu de forcer les (pas toujours) charmants potaches à travailler plus et mieux : leçons et devoirs sont devenus presque intolérables, et l’on va même jusqu’à adapter l’orthographe française au crétinisme et à la débilité ambiants.
    L’agriculture et l’artisanat sont victimes d’une foule de décrets bruxellois qui règlementent jusqu’aux insecticides et pesticides, voire la fabrication des fromages, pour complaire à quelques ânes bâtés de l’écologie mondaine… et lorsque les rats pulluleront de nouveau, l’on pourra étudier in vivo ces cas de peste qui n’existent plus, de nos jours, que dans les zones les plus arriérées de la planète.
    De la même façon, l’on met une foule d’obstacles à l’obtention du gaz de schistes ou du pétrole de roches, par révérence aux multinationales qui ne veulent pas de cette concurrence, d’autant plus gênante que les coûts d’extraction sont moindres qu’on ne le pensait. Quant à la pollution des nappes phréatiques, c’est un argument stupide, bien digne des écologistes ignares : les zones d’extraction se situent à des centaines de mètres du niveau des nappes… au XVIIIe siècle, les mines de charbon étaient déjà réputées frelater les sources d’eau potable !
    Tout ce qui est utile aux véritables maîtres du jeu économico-politique devient ipso facto vérité évangélique : nécessité d’une immigration de masse avec, en corollaire, l’islam envisagé comme une religion de paix et d’amour ; réchauffement climatique ; notion de « rogue state » (État voyou… soit celui qui résiste à la globalo-mondialisation) ; la grande avancée technologique de la voiture électrique (sans trop se soucier de la fréquence du rechargement des batteries) ; le péril viral imminent, partant, la nécessité de donner de larges aumônes aux organismes quêtant pour l’Afrique (sans trop se soucier, là encore, de la véritable destination des sommes ainsi collectées) etc.
    Les grandes vérités, répétées jour après jour, sur tous les tons, par les media, les politiciens et les manifestants des rues et des boulevards sont, bien sûr : la nécessité du métissage universel, le « péril fasciste » et la « dérive sécuritaire »… en résumé, les slogans de la lutte très active de nos maîtres contre le bon sens et la simple autodéfense des Nations européennes, menacées dans leur existence même.
    Les Européens se croyaient débarrassés du totalitarisme depuis la fin du fanatisme chrétien et de l’impérialisme communiste. Fatale erreur ! On leur impose le fanatisme et l’obscurantisme médiéval de l’islam, la sottise des écologistes aussi arrogants qu’ignares – et qui font un tort considérable à la véritable écologie -, une réglementation multinationale grotesque – qui fait reculer d’année en année l’échéance d’une véritable union des Nations européennes -, un humanitarisme de pacotille, niais en apparence, très fortement mercantile dans sa triviale réalité – qui est une offense au principe même de la solidarité humaine.
    Notre époque est abjecte, non seulement par son hédonisme et sa platitude, mais aussi par la profonde médiocrité de sa propagande omniprésente, standardisée au point qu’on la retrouve quasi-identique dans tous les continents… « l’ennui naquit un jour de l’uniformité », a écrit notre La Fontaine. De la bêtise, de l’arrogance et de l’incompétence des maîtres, surgira l’insurrection dans chaque continent.
    Du totalitarisme globalo-mondialiste, naîtra l’Europe unie, la vraie : celle ces Nations de souche européenne.

    Dr Bernard Plouvier

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/04/07/le-totalitarisme-rampant-5785291.html

  • La conquête de l’Europe commence

    En Allemagne, à cause du laxisme – ou plutôt de la volonté complice de la catastrophique Mme Merkel – plus d’un million de ”réfugiés” se sont entassés depuis 2015. Avec tous les problèmes que cela pose. Du jamais vu. C’est l’accélération exponentielle d’un mouvement invasif qui débuta voici plus de trente ans. On passe du goutte-à-goutte au robinet ouvert. La Grèce est submergée. L’Europe est (volontairement) impuissante et ses élites complices, en proie à une logique masochiste d’autodestruction. « Nous n’avons encore rien vu en matière de poussée migratoire » dit Serge Michaïlov, chercheur à l’Iris (Le Figaro, 01/02/2016).

    Un mouvement d’invasion programmé

    Et il en arrive de partout, profitant de la guerre civile syrienne : de l’Afghanistan à l’Afrique subsaharienne en passant par toute l’Afrique du Nord. Ce n’est plus une immigration massive à jets continu mais bel et bien un mouvement d’invasion. Il risque d’être le début de la disparition par submersion des peuples et de la civilisation européenne millénaire, qui entre dans le projet de génocide (voir autre article de ce blog) des autorités qui gouvernent l’Europe contre ses peuples. La mort, la disparition des peuples européens est un projet qui, pour des raisons différentes, fédère plusieurs acteurs : une partie de la classe dirigeante politique en Europe (surtout à gauche mais pas seulement, voir Mme Merkel), la majorité de l’intelligentsia européenne de gauche ethnomasochiste, certains cercles politiques et économiques américains dirigeants qui veulent se débarrasser du concurrent européen et, évidemment, l’islam lui–même et ses différentes autorités gouvernementales et religieuses. 

    Je pèse mes mots : ce phénomène historique est beaucoup plus important et plus grave que les deux guerres mondiales de 1914–1918 et de 1939–1945 et que le communisme soviétique (1917–1991), et aura des conséquences beaucoup plus dévastatrices. 

    Ils arrivent par millions

    En 2015, 1,2 millions de migrants sont arrivés en Europe, dont 270.000 mineurs. Rien que sur les îles de Lesbos et de Keos, en mer Égée, on recense 3.000 arrivées par jour selon l’OIM (Office international pour les migrations). Ils sont recueillis, nourris, aidés, aux frais de l’Union européenne ; bien mieux traités que les populations locales paupérisées et au chômage ! Préférence étrangère… En Grèce, salle d’attente pour les prétendus réfugiés, 70.000 d’entre eux sont escomptés fin mars, bloqués en Grèce. 50.000 places d’hébergement provisoires sont prévues. Cet été, avec une météo clémente, les arrivées vont exploser. Depuis le début de janvier 2016, plus de 350.000 migrants sont déjà parvenus en Croatie, Slovénie, Serbie et Macédoine. Ce raz-de-marée humain de populations dépasse tout ce que l’Europe a connu dans son histoire.

    Destinations privilégiées : Allemagne, Europe de l’Ouest et du Nord. 2,7 millions de Syriens et d’Irakiens (et d’autres qui profitent de l’aubaine) sont en attente en Turquie. Sans oublier la ”route italienne” qui passe par la Méditerranée en provenance de Lybie. En Suède, pays le plus submergé d’Europe, 35.000 mineurs étrangers isolés ont été accueillis en 2015, à charge de la collectivité, soit 20% des migrants arrivés.

     Depuis le premier janvier 2016, 133.000 migrants ont débarqué en Grèce depuis la Turquie. En 2015, 470.000 migrants sont passés par Lesbos, principalement des jeunes hommes et pratiquement à 100% musulmans. Ils veulent rejoindre leurs communautés, déjà établies en Europe du nord et de l’ouest. Profitant  de la mollesse et de la faiblesse des Européens, les ”migrants”, sûrs de leurs bons droits, se montrent (comme à Calais d’ailleurs) revendicatifs, agressifs, certains qu’ils seront impunis,  inexpulsables et aidés par les associations ”humanitaires” et par l’État. Logique de l’envahisseur qui aurait tort de se gêner en se faisant passer pour une victime.

    Islam et Europe

    Par des murs de barbelés ou des législations, des États d’Europe centrale et des Balkans essaient de protéger l’Europe de l’invasion en fermant leurs frontières : Macédoine, Bulgarie, Hongrie, Pologne, Autriche, Slovénie, Serbie, Slovaquie. La ”route des Balkans” a vu passer plus d’un million de migrants en 2015. En Slovaquie, le Premier ministre sortant, Robert Fico, vient d’être reconduit après une campagne sur le refus d’accueillir tout réfugié « musulman ». Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’une invasion de l’Europe par l’islam pour appeler les choses par leur nom, ce qui doit réjouir Tarik Ramadan.

    Ces États contreviennent au traité de Schengen et désobéissent aux injonctions des fonctionnaires de l’Union européenne. Pour Nicolas Bay, secrétaire général du FN  : «  Ce que reprochent  en fait ces commissaires non élus aux gouvernements – démocratiquement élus eux – de la Pologne et de la Hongrie, c’est de ne pas se plier à leurs injonctions sur l’ ”accueil des migrants” et autres pulsions suicidaires ». (inValeurs actuelles, 03–09/03/2016, tribune Quand l’Union veut empêcher les nations d’Europe de se protéger ). Comme quoi les cadres du FN peuvent avoir sur ce sujet des idées pertinentes, loin de leur délirant programme économique socialo-étatiste. Mais cette négation de la civilisation européenne et de ses valeurs, de ses traditions, de son avenir par les institutions de Bruxelles n’est pas seulement le fait de l’UE en tant que telle, comme l’imagine M. Bay, mais surtout des gouvernements européens eux-mêmes. Il faut réfléchir à cette question.   

    Le chantage d’Erdogan et son objectif 

    Le problème central est évidemment le président de la Turquie, le ”sultan”, autocrate islamique Erdogan et son chantage : il négocie avec l’Allemagne – la France ne compte plus, dirigée par un bras cassé – en échange de milliards d’euros, le fait de bloquer l’immigration en provenance de Turquie, ce qui est un marché de dupes. Il exige aussi l’abolition des visas pour les visiteurs turcs dans l’espace Schengen et la reprise des négociations pour l’entrée de la Turquie dans l’UE. Le but d’Erdogan est exactement le même que celui des islamistes et de l’entité criminelle Dae’ch : islamiser l’Europe, vieux rêve millénaire. 

    Hans Werner Sinn, directeur de l’Institut pour la recherche économique de Munich (Ifo) : «  À chaque fois que l’Allemagne ne se montre pas assez docile, les Turcs laissent passer quelques réfugiés de plus vers l’Europe ». R. T. Ergogan suit une logique historique compréhensible  et intelligente qui est celle de l’Empire Ottoman qu’il essaie de ressusciter : la conquête de l’Europe sous la férule turque ; non plus par la force (militaire) mais par la ruse, celle de l’invasion  migratoire et de la démographie.   

    Le Pape François et l’ « invasion arabe » reconnue et acceptée

    « On peut parler d’invasion arabe [en Europe] c’est un fait social », a déclaré le Pape. Mais il s’en réjouit ! : «  combien d’invasions l’Europe a connu ! Et elle a toujours su se dépasser elle même, aller de l’avant pour se trouver ensuite comme agrandie par l’échange entre les cultures ». (Entretien avec des catholiques de gauche français, dans La Vie hebdo).  

    Naïveté ? Cynisme ? Aveuglement ? Ou bien mélange des trois ? En tout cas, le Pape, dans sa position sur les bienfaits supposés des ”invasions”, manifeste une méconnaissance totale de l’histoire, par ignorance ou dogmatisme idéologique. Il nomme ”échange” l’affrontement sanglant…Ses propos reflètent une étrange parenté avec les thèses trotskistes. D’où les soupçons sur son appartenance aux cercles sud–américains de la ”théologie de la libération”. Ses déclarations, en tout cas, ressemblent à celles de certains intellectuels gauchistes islamophiles.

     Le Pape François s’est déjà signalé pour ses encouragements moraux à l’immigration musulmane en Europe et son opposition à tout barrage, au nom d’une conception quelque peu délirante, ”devenue folle”, de la charité chrétienne. La hiérarchie catholique actuelle, de manière suicidaire et en opposition avec les opinions du ”peuple catholique ”, est sur une  ligne proche. En revanche les autorités religieuses de la communauté juive se gardent bien de prendre de telles positions, à cause de la corrélation évidente entre islamisation et antisémitisme. Quant aux persécutions contre les chrétiens d’Orient, elles passent en pertes et profits…   

    Lucidité d’intellectuels musulmans 

    Les plus lucides et courageux se trouvent souvent parmi des intellectuel(le)s arabo-musulman(e)s car sachant de quoi ils ou elles parlent. Par exemple, l’écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud, traîné dans la boue par les gauchistes et l’intelligentsia. Prix Goncourt du premier roman pour Meursault, contre–enquête, accusé d’islamophobie, péché central, il est victime d’une fatwa par les islamistes et d’un lynchage médiatique par l’intelligentsia collaborationniste de gauche française. Dans un entretien publié parLa Repubblica (« Cologne, lieu de fantasmes »),traduit dans Le Monde, il explique les agressions sexuelles commises contre des femmes allemandes à Cologne dans la nuit de la Saint Sylvestre par des immigrés et ”réfugiés” arabes, par la sexualité frustrée de l’homme arabo-musulman.

     Il a osé affirmer : « Le sexe est la plus grande misère dans le monde d’Allah. À tel point qu’il a donné naissance à ce porno–islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs fidèles : description d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux , fantasme de vierges pour le kamikaze ». Kamel Daoud est en fait accusé d’apostasie par les islamistes et leurs collaborateurs français. C’est un traître, un ”harki”. « Le verdict d’islamophobie  sert aujourd’hui d’inquisition », déclare–t–il.

     De même, Mohammed Sifaoui, auteur de Pourquoi l’islamisme séduit-il ?  écrit : « Les idiots utiles de gauche comme de droite empêchent […] au nom d’un relativisme culturel idiot la critique et la discussion des dogmes fanatiques ». Il est lui aussi victime d’une vindicte de la part de ses coreligionnaires comme de l’intelligentsia. Un autre écrivain algérien sulfureux est Boualem Sansal, très mal vu par les autorités de son pays, qui a fait scandale avec son roman d’anticipation 2084, décrivant « un monde dominé par l’islamisme radical ».  

    Les prédictions de l’Algérien Boualem Sansal

    Ce dernier, déclarait au magazine Vzebek et Rika : « bientôt, nous seront tous musulmans, alors, révisez votre Coran ». Dans l’Express : «  L’islamisme a trouvé dans la communauté maghrébine en France, fortement communautarisée, un terreau favorable » (24/02/ 2016).

    Avec la chute des cours du pétrole et du gaz, l’Algérie plonge dans la récession, puisque son régime, corrompu et incapable, ne fait pratiquement vivre le pays que des recettes des hydrocarbures exportés. Pour acheter la paix sociale et compenser le chômage endémique, le régime subventionne, « arrose » la population selon Sansal. Il prévoit une explosion dans une Algérie où les islamistes sont aux portes du pouvoir.

     « Un scénario syrien est possible en Algérie » déclare–t-il au Figaro (24/02/2016). Pour lui, son pays est une bombe à retardement : « Bouteflika a cédé la gestion du peuple aux islamistes. Dans les petites villes et les villages, ils sont maîtres du jeu et font régner leurs règles théocratiques terrifiantes. […] L’Algérie court vers le chaos. […] Un scénario d’esclavage, de terreur, sur le modèle syrien, me paraît tout à fait crédible. […] Le problème politique sera transformé en problème religieux et exporté hors des frontières algériennes jusqu’en Europe et singulièrement en France » (art. cité.) La France est donc menacée par une nouvelle vague d’immigration, de fuite massive en provenance d’Algérie. Ce qui entre évidemment dans les plans des islamistes.

    Mais Sansal va plus loin : « Peu à peu, le monde musulman se reconstruit et retrouve ses ambitions premières et sa volonté hégémonique . La frontière avec l’Occident commence à être abolie puisque maintenant l’islam politique s’ouvre des espaces à Londres, à Paris et à Bruxelles. On peut estimer que dans trente ans l’islamisme gouvernera l’ensemble du monde musulman qu’il aura unifié. Dans soixante ans, il partira à la conquête de la civilisation occidentale » (art. cité) Bien avant, probablement….Sansal est censuré et menacé dans son pays : «  Maintenant, la peur est partout, elle me suit, à Alger comme à Paris » (art. cité).

    Le pire scénario est probable

    Mais ces intellectuels musulmans lucides et courageux sont minoritaires. L’islam apaisé et réformé qu’ils appellent de leurs vœux est une utopie, infirmée par la réalité observée. Le plus extraordinaire des paradoxes  est la trahison de certaines élites européennes complices et organisatrices de l’immigration de masse et de l’islamisation, qui s’opposent à des minorités arabo-musulmanes lucides. Même configuration qu’entre 1940 et 1944 : la collaboration ; ou plus proches de nous : les ”porteurs de valises” du FLN. 

    La force de ce mouvement migratoire invasif, c’est qu’il s’appuie sur l’apitoiement provoqué dans une opinion versatile et émotive par les médias du système envers les ”réfugiés”, notamment les boat peoplequi se noient.

    Ces millions de migrants, musulmans à 95%, issus du Moyen–Orient, d’Afghanistan, d’Afrique du Nord et d’Afrique noire qui débarquent en Europe, s’ajoutant aux masses déjà présentes vont évidemment importer chez nous leurs désordres et leur chaos. L’islam sera au centre de cette explosion à venir bientôt. Ivan Rioufol, dans La guerre civile qui vient (éd. PGDR) évoque cette hypothèse probable. Nous devons nous préparer au pire.

    http://www.gfaye.com/la-conquete-de-leurope-commence-2/

  • Agressions de Cologne : au moins deux tiers de suspects d’Afrique du Nord !

    Les agresseurs de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, en Allemagne, n’étaient pas réfugiés, ils étaient juste… nord-africains ! Dans une dépêche abondamment relayée, notamment par Le Monde (capture d’écran), l’Agence France Presse établit en effet que, « selon un rapport publié par les autorités locales », « sur les 153 personnes suspectées d’avoir commis des agressions, notamment à caractère sexuel, 103 sont de nationalité algérienne ou marocaine » !

    « Dans le détail, ajoute l’AFP, 68 suspects disposent du statut de demandeur d’asile, 18 se trouvaient au moment des faits en situation illégale en Allemagne. La nationalité ou le statut de 47 d’entre eux n’a pas pu être établi avec certitude. » Les agressions sexuelles dont ont été victimes plusieurs centaines de femmes ne seraient donc pas liées à l’arrivée de migrants syriens en Allemagne, semble vouloir dire l’AFP. Et à l’immigration non plus ?

     

    http://fr.novopress.info/

  • Le vivre-ensemble est une utopie

    Les mots manquent face à la bêtise de nos élites...
    Yvan Mayeur, bourgmestre de Bruxelles, rencontrait hier Anne Hidalgo, maire de Paris.
    "Le vivre-ensemble, c’est un combat, un projet politique, ça ne va pas de soi. Que certains regardent le vivre-ensemble avec mépris ou condescendance, je m’en fiche!", a-t-il notamment déclaré.
    Et la maire de Paris de renchérir : "Ceux qui prônent le vivre-ensemble seraient des naïfs, de doux rêveurs, des bisounours? Je pense plutôt qu’il n’existe pas d’autre modèle possible, si ce n’est l’affrontement.
    Je n’accepte pas qu’on dise que notre discours est naïf, il est au contraire le plus réaliste et le plus pragmatique qui soit."
    Que dire...
    Il faut encore et toujours rappeler que :
    1/ L'immigration massive a été IMPOSÉE aux peuples européens qui sont tous majoritairement opposés à celle-ci.
    2/ Oui, le vivre-ensemble est un mirage idéologique, invalidé par l'analyse empirico-historique. La coexistence pacifique de peuples différents n'est pas possible sans A) le communautarisme et B) des frictions inter-communautaires pouvant aller jusqu'au nettoyage ethnique.
    3/ Le pragmatisme et le réalisme c'est de regarder la vérité en face et d'admettre que les élites se sont trompées sur toute la ligne depuis 50 ans. Si Anne Hidalgo était réellement pragmatique, elle tirerait sa révérence et prônerait la remigration.
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    Un exemple de vivre-ensemble en Afrique du Sud :
    08/07/2015 : Des fermiers blancs accueillent sur leurs terres des migrants subsahariens, déplacés à cause des conflits inter-ethniques régionaux.
    Aidés par les associations catholiques locales et par d'autres militants blancs, ils hébergent et nourrissent les migrants le temps qu'ils puissent envisager de poursuivre leur voyage.
    Source
    18/12/2015 : Les fermiers blancs sont obligés de quitter leur domaine face aux menaces de violences des migrants installés chez eux.
    Source
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    Le vivre-ensemble est une utopie. Ce mirage n'est rendu momentanément et trompeusement possible dans les sociétés occidentales que grâce au ciment que constitue la société de consommation.
    Que ce ciment s'effrite et l'Europe sera à feu et à sang...
    Ces fameux affrontements tant craints par Anne Hidalgo auront lieu.
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    Pour aller plus loin :
    Comprendre le gauchisme
    Défendre son identité n'est pas un crime
    Le vivre-ensemble en Allemagne
    Quand les gauchistes défendent des patriotes qui ne croient pas au vivre-ensemble

    http://www.ventscontraires.fr/2016/03/le-vivre-ensemble-est-une-utopie.html

  • France-Europe : entre guerre économique et chaos social

    Conférence de Michel Drac et Lucien Cerise à Nice

    4260515563.jpgL’association Culture populaire recevra Michel Drac et Lucien Cerise le samedi 9 avril 2016 à 15h à Nice pour une conférence sur le chaos en France et en Europe.

    On ne présente plus Michel Drac et Lucien Cerise, réunis par Culture Populaire pour la première fois à Nice. En suivant les travaux du premier, vous aurez compris que le « système » est entré dans une zone de « turbulences ». Mieux vaut attacher vos ceintures…

    Le capitalisme néolibéral mondialisé bute sur des limites technologiques et environnementales qui, à moins d’un miracle scientifique, rendent illusoire tout retour d’une croissance pérenne.

    Au cœur de ce « système », « l’Empire » thalassocratique à prédominance américaine voit sa suprématie remise en cause par l’émergence d’un contre-empire (Russie/Chine) offrant une porte de sortie vers un monde multipolaire.

    Les élites occidentales, sur la défensive, sont passées d’une politique de la carotte (redistribution équitable du rapport capital/travail) à celle du bâton (prédation financière et casse sociale) dont le terrain de jeu privilégié semble être malheureusement l’Europe.

    Nos invités viendront illustrer les méthodes de ce durcissement envers les peuples, et notamment envers le peuple français. Stratégie du choc et stratégies de la tension, ingénierie sociale et grand remplacement, rien ne nous sera épargné pour que la France, pièce fondamentale de l’échiquier européen, reste dans le giron impérial.

    Michel Drac est essayiste et diplômé d’école de commerce. Depuis une quinzaine d’années il travaille comme contrôleur de gestion. Il a cofondé en 2007 la maison d’édition Le Retour aux sources. Il est l’auteur de nombreux essais. Il est également fondateur du site Scriptoblog et spécialiste du système économique qu’il décrit comme une « pathologie globale ». Michel Drac intervient ponctuellement sur divers sites et journaux liés à la mouvance nationaliste.

    Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Venu sur le tard à la politique, il comprend à l’occasion du référendum de 2005 que la question de la souveraineté nationale est essentielle. Poussant sa réflexion plus loin, il s’intéresse aux notions de frontière et de limite, aussi bien dans le champ politique que dans les domaines psychologique, éthique ou comportemental.

    Réservations : merci de remplir le formulaire disponible sur le site de Culture populaire.

    Entrée : 7 euros.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/04/05/france-europe-entre-guerre-economique-et-chaos-social-5779573.html

  • Le pont aérien du grand remplacement est activé

    Dénoncé par l'auteur du 7ème Scénario et de la 8ème Plaie.

    Ce 4 avril le pont aérien migratoire entre l'Asie et l'Europe entre en activité, d'abord à une échelle expérimentale et rassurante.

    Communication oblige, les premiers avions ont débarqué les heureux élus à Hanovre, en Allemagne. Discrétion oblige, la presse n'a pas mentionné les aéroports concernés en France, aux Pays-Bas et en Finlande, certainement des aéroports internationaux desservant la Turquie. Communication oblige, les premiers amenés sont des familles avec enfants. Discrétion oblige, les jeunes hommes seuls, qui constituent l'essentiel des flux manoeuvrés par la Turquie, ne commenceront à être amenés qu'après que les journalistes aient fait leur moisson de photos familiales émouvantes et quitté les aéroports.

    L'opinion européenne passive a appris la mise en place de ce pont aérien avant-hier 2 avril, bien qu'une nouvelle voie d'entrée "dans l'Union Européenne d'une manière ordonnée" (mémo 15-5777 de la Commission Européenne du 5 octobre commenté par Stratediplo le 15), aux modalités pratiques imprécisées, ait été annoncée dès la signature de l'accord turco-uniopéen du 18 mars, accord dont l'idée avait été évoquée publiquement par la Commission Européenne le 7 mars. Seuls les lecteurs de la Huitième Plaie savaient depuis le 20 janvier qu'un pont aérien serait prochainement mis en place.

    On pensait que le prétexte initial en serait un incident humanitaire dans la neige hivernale, cependant les étapes ont pu être brûlées grâce à l'accord léonin proposé par la Turquie après l'annonce, par dix pays de transit, du rétablissement du contrôle de leurs frontières terrestres fin février. C'est dans le cadre de cet accord que l'Union Européenne a officialisé la reconduction de sa subvention de trois milliards d'euros à la Turquie (annoncée par Stratediplo le 29 novembre), la reprise du processus d'admission de la Turquie parmi une Union Européenne réduite aux membres que la Turquie accepte de reconnaître (et n'occupe pas militairement come Chypre), et l'accélération de la levée de l'obligation de visa pour les porteurs de passeport turc.

    En échange la Turquie prétendait accepter le retour des clandestins débarqués en Grèce par les Turcs et désormais bloqués en Grèce, ce qui n'est en réalité que l'application du droit international puisque tout intrus clandestin doit être refoulé vers le pays en provenance duquel il vient de s'introduire illégalement, qu'aucun pays ne peut accorder à un étranger un permis de transit (écrit ou tacite) vers un pays tiers qui n'a pas accordé d'autorisation d'entrée, et que tout pays est tenu de contrôler ses frontières et reste responsable des actions (incursions par exemple) menées à partir de son territoire vers les pays tiers. En pratique la Turquie a effectivement accepté aujourd'hui, pour la presse, le raccompagnement de 131 étrangers qui avaient fait intrusion illégalement en Grèce à partir de la Turquie, à la quasi-surprise d'ailleurs du maire et de la capitainerie du port de retour Dikili qui n'ont reçu aucune instruction du gouvernement turc. Les hors-la-loi ramenés étant essentiellement des Pakistanais et des Bengalis dont les pays refusent le retour, la Turquie tentera de les faire accepter par l'Union Européenne, comme tels ou comme prétendus Syriens.

    Le chiffre annoncé pour cette première phase du pont aérien est, selon l'accord du 18 mars, de 72000… "dans un premier temps" (selon l'expression désormais habituelle), et sera distribué selon la clef de répartition adoptée définitivement en septembre, en l'occurrence 20% pour la France qui a durement négocié pour obtenir plus que les misérables 14,17% que la Commission Européenne lui avait proposés en mai. Evidemment ces effectifs s'ajoutent à ceux des réinstallations durables et des relocalisations temporaires décidés l'année dernière, à titre essentiellement symbolique puisque portant sur moins d'un dixième du total des volontaires qui ont répondu à l'appel à l'intrusion illégale massive lancé par Angela Merkel et François Hollande le 25 août. Ce chiffre de 72000 sera donc, comme les précédents, rapidement dépassé.En vérité l'objectif d'un demi-million de Syriens certifiés à transférer directement de Turquie par voie aérienne, évoqué par Stratediplo dès octobre (bien avant la révélation d'un "accord secret" par Viktor Orbán), avait certainement déjà été augmenté en novembre et il n'est pas illogique de déduire qu'il ait été porté à un million et demi. Autant dire que ces vols concernant la fin de l'avant-garde (les primo-arrivants) ne font que commencer .

    Mais l'opération a surtout pour objet de familiariser les opinions européennes à la phase aérienne de cette "migration de remplacement", pour reprendre le titre du rapport de l'ONU du 21 mars 2000, par les images de ces familles souriantes qui commencent à descendre en ordre des avions qu'on leur a envoyés, tellement moins inquiétantes que les hordes de jeunes hommes qui enfonçaient de force les barrières frontalières en hurlant Allah Akhbar, l'année dernière.

    Car la phase suivante, sans préjudice des accords annoncés ou secrets avec la Turquie, et dès qu'on aura terminé la régularisation des deux millions d'intrus entrés par effraction dans l'espace Schengen l'année dernière, ce sera l'affrètement des vols plus lointains pour la mise en oeuvre de leur regroupement familial, estimé au bas mot à douze millions (six ayants-droit par ex-hors-la-loi). Il ne s'agit là que des douze millions d'ayants-droit au titre des deux millions d'intrus de 2015, pas encore des ayants-droits au titre des transférés aériens directs de 2016.

    En faisant le point des événements de 2015 et de leurs conséquences, on annonçait dans la Huitième Plaie le plus gros pont aérien qu'ait connu la courte histoire de l'aviation. Il a été inauguré ce 4 avril.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/04/le-pont-a%C3%A9rien-du-grand-remplacement-est-activ%C3%A9.html

  • Immigrés – Durs affrontements à la frontière italo-autrichienne

    Affrontements entre forces de l’ordre et migrants soutenus par les No-Borders au Brenner. Cailloux, feux de Bengale, projectiles divers et variés, lancés sur les policiers. Agents blessés, manifestants arrêtés. Pour imposer la réouverture de la frontière italo-autrichienne à l’immigration-invasion.

    A 1400 m d’altitude, le col qui sépare l’Italie de l’Autriche est pris d’assaut depuis des mois par des migrants qui veulent rejoindre les États providences du Nord. Mais l’Autriche a décidé de fermer ses frontières et de refouler tout clandestin, demandeur d’asile, migrant économique.

    Lire la suite