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Europe et Union européenne - Page 731

  • CALAIS : APPEL URGENT

    MINURNE soutient les Calaisiens qui luttent par tous moyens (des moyens de fortune) pour leur survie et le respect qui leur est légitimement dû comme à nous tous.

    La ville de Calais est devenue le “laboratoire d’essai de l’invasion migratoire. Si l’on n’y prend garde avec la plus extrême vigilance, les virus vont s’échapper de ce laboratoire et se répandre comme traînée de poudre sur toutes les terres de France, déjà bien menacées. Personne n’est à l’abri.

    Pour recevoir décemment des militants de toute la France et des pays voisins qui veulent soutenir Calais contre cette invasion grandissante,une association calaisienne que nous avons sélectionnée pour son sérieux et son action CONCRÈTE et efficace de tous les jours recherchela mise à disposition d’une grande salle pouvant accueillir une vingtaine de personnes à la fois par roulement, pendant 1 ou 2 mois, si possible dans un rayon de 60 km maximum de Calais. Des sanitaires sont indispensables, un coin cuisine serait bienvenu. Ce peut être une grange, un hangar, une salle des fêtes ou tout autre local abrité, de préférence chauffé, mais les détails peuvent s’arranger sur place. Cette association s’occupera de la literie mais vous pouvez aussi lui faire parvenir tout matériel de camping dont vous n’auriez plus l’usage et aussi des dons en nature (conserves, etc.) pour les opérations menées par l’association comme « sandwichs chauds pour les CRS » et autres en cours et à venir. Voir l’article À CALAIS COMME AILLEURS, LES ORDRES VIENNENT D’EN-HAUT. Rien n’est gaspillé : les surplus sont distribués aux Calaisiens de souche réellement nécessiteux. Et il y en a…

    Peut-être aussi avez-vous dans vos relations le maire d’une commune qui accepterait – sans aucune connotation politique – de participer à cet effort de solidarité patriote et accepterait de mettre à disposition unlocal municipal.

    La solidarité active et ouverte à l’endroit de nos Forces de l’Ordre est légitime, mais c’est aussi un élément essentiel à notre survie.

    Contactez MINURNE qui transmettra.

    Merci pour eux.

    Merci pour vous.

    LS
    luc.sommeyre@minurne.org

    http://www.minurne.org/

  • Une profession de mauvaise foi !

    La "merdiacratie" persiste et signe 
    Une meute de prétendus journalistes s'est déchaînée sur les réseaux à l'occasion de la diffusion du documentaire "Les masques de la Révolution" qui dénonce les racines et dérives brunes du nouveau pouvoir ukrainien. Cette "lettre ouverte à Paul Moreira" se révèle de fait un pamphlet propagandiste ou l'objection du système s'exprime par l'abjection de laquais médiatiques déshonorant la profession de journaliste
    En préambule, je tiens a préciser que le reportage de Paul Moreira dont je salue le travail et le courage est également selon moi entaché par des erreurs et des oublis et une forme trop sensationnaliste ("nobody is perfect"). Si je regrette que certain points ne soient pas abordés plus profondément comme le dossier des tireurs du Maïdan, force est de constater que l'objectif de ce reportage qui est de servir la Vérité à propos de ce choc de l'Histoire qui a frappé l'Ukraine il y 2 ans est atteint et j'en remercie chaleureusement son auteur. 
    "Mission accomplie !" 
    En effet car ce reportage honnête et salvateur sur le coup d'état du Maïdan et le massacre d'Odessa a le mérite de faire tomber les masques des vrais acteurs de la "Révolution du Maïdan", mais également de déranger les propagandistes médiatiques qui ont "couvert" les événements tout en jetant servilement un voile sur ce néonazisme ukrainien utilisé par les atlantistes cupides. 
    Pour regarder ce reportage et la polémique qu'il a suscité au moment de sa première diffusion :
    - L'annonce du reportage, le lien ici : Les aboiements des esclaves de maison 
    - La première diffusion du reportage, le lien ici : Les masques sont tombés
    La vérité dérange toujours...
    ...et les hérauts de ce mainstream médiatique occidental, excités par leurs agences de presse collabos, d'aboyer aujourd'hui en meute contre Paul Moreira. 
    Mais quelque part je les comprends ces esclaves du système qui, par intérêt, stupidité ou idéologie (cumul autorisé) préfèrent servir une pensée unique plutôt que la Vérité, quitte a bafouer sans vergogne la déontologie d'un des plus beaux métiers du monde qui devrait être par essence une vocation. En effet, ces "chiens de garde" du système politico-médiatique sont énervés car épinglés de facto dans ce reportage comme les complices de ces marionnettes meurtrières qui depuis le Maïdan servent une nouvelle guerre de préemption menée par les USA au coeur de l'Europe.  . 
    La réalité est que Paul Moreira a décidé de contrebalancer cette propagande honteuse menée par le mainstream médiatique des pays occidentaux servant cette ploutocratie mondialiste amorale, qui depuis plusieurs années allie à ses ambitions hégémoniques militaro-industrielles les pires ordures criminelles existantes, des égorgeurs islamistes aux massacreurs bandéristes.
    C'est tout à son honneur !
    Paul Moreira est un vrai journaliste d'investigation qui va sur le terrain inconnu de son enquête jusqu'à fouiller dans les poubelles de la pensée et des actes, quand d'autres se contentent de faire des safaris photos de quelques jours pour illustrer des conclusions pré-écrites dans les alcôves climatisées d'agences de presse validées par les ministères. 

  • L’espace Schengen en grand danger

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    La situation n’est plus tenable : face à l’invasion migratoire subie par l’Europe l’an passé, la Commission Européenne a été contrainte de réagir en se retournant contre la Grèce. Celle-ci constitue le trou béant par lequel transite la marée humaine. Un rapport de l’organisme Frontex, destiné à protéger les frontières, pointe du doigt la négligence des autorités grecques dans les contrôles aux frontières. Une procédure a été enclenchée le 2 février par la commission européenne ; le gouvernement grec dispose de 3 mois pour reprendre le contrôle des frontières.

    En cas d’échec, la Grèce ne sera pas directement exclue de l’espace Schengen : mais l’article 26 du code de Schengen sera appliqué : il prévoit le rétablissement du contrôle frontalier dans certaines zones de libre-circulation pour une durée de deux ans. Cela voudra dire que le pays sera isolé pendant toute cette durée.

    Il est manifeste qu’il est impossible pour un pays harcelé par les créanciers de mettre en place le dispositif sécuritaire nécessité par le contrôle des frontières, la reconduite des clandestins, etc. Les milliers d’îles ioniennes constituent un obstacle infranchissable au contrôle de l’immigration. Bernard Cazeneuve est hier venu visiter un hotspot : ce dispositif permet de prendre les empreintes, et d’examiner la situation des immigrés. Il en existe 5 pour l’instant, que le gouvernement grec s’est engagé à rendre opérationnels.

    L’espace Schengen semble donc vivre ses derniers mois : pourtant, dans une tentative de sauvetage désespérée, la grande presse publie unanimement une étude publiée mardi de façon fort opportune : réalisée par France Stratégies, elle fixe le coût de départ de l’espace Schengen à 10 millions d’euros par an.

    Le problème, c’est que personne ne désigne les avantages potentiels octroyés par un départ de l’espace Schengen : notre politique actuelle d’immigration, par exemple, représente un coût exorbitant. Or, dans un budget, on compare toujours les coûts avec les recettes ; ici, il n’y a que les coûts de la sortie de l’espace Schengen qui semblent dignes de l’attention de nos économistes et, partant, des journalistes.

    http://fr.novopress.info/197875/lespace-schengen-en-grand-danger/

  • Immigration : les Allemands plébiscitent le radicalisme

    AfD-vs-immigration

    Le parti Alternative für Deutschland (AfD) avait connu un premier succès en faisant son entrée au Parlement européen avec un discours eurosceptique. Mais depuis six mois, les campagnes réclamant la sortie de l’euro ont été remplacées par les slogans contre l’afflux d’immigrés, l’insécurité et le terrorisme.

    La semaine dernière, Frauke Petry, présidente de l’AfD, avait suscité la controverse médiatique en déclarant : « Aucun policier ne veut tirer sur un réfugié, je ne le veux pas non plus. Mais en dernière instance, on doit pouvoir avoir recours aux armes.« 

    Mais le tollé suscité parmi les politiciens et les journalistes s’est brisé devant cette réalité : plus l’AfD durcit son discours, plus les sondages lui sont favorables.

    Les candidats AfD sont maintenant évincés des plateaux télés mais ils grimpent à 12 à 13 % des intentions de vote.

    Il faut encore préciser que les agressions sexuelles massives du soir du réveillon de Nouvel An n’en finissent pas d’alimenter le débat. A ce jour, il n’y a aucune condamnation et les enquêteurs doutent qu’un immigré finisse un jour en prison pour ces agressions sexuelles. La police confirme par contre que les suspects sont en très grande majorité des Maghrébins et sont tous, statutairement, demandeurs d’asile ou réfugiés…

    http://www.medias-presse.info/immigration-les-allemands-plebiscitent-le-radicalisme/48712

  • En France, des associations et groupuscules veulent copier Pegida

    À l'appel de l'organisation anti-islam née en Allemagne, des rassemblements sont prévus dans 14 pays ce week-end, y compris en France.
    «Les Européens patriotiques contre l'islamisation de l'Occident»: c'est la signification en allemand de l'acronyme Pegida, le mouvement anti-islam et anti-immigration né à Dresde. Chaque lundi dans cette ville de la Saxe, plusieurs centaines de militants se retrouvent pour manifester, à grand renfort de drapeaux allemands, contre «l'islamisation» et la politique migratoire d'Angela Merkel, jugée laxiste. Selon Der Spiegel, certains membres fondateurs de ce collectif sont issus de groupuscules nationalistes. «Nous sommes le peuple», crient-ils lors de leurs déambulations nocturnes.
    Ces militants surfent sur l'actualité. La crise migratoire, les attentats de Paris, et plus récemment les violences sexuelles à Cologne sont convoqués dans les slogans pour mieux brocarder le processus d'«islamisation de l'Europe», qui se développe, selon eux. Mais en dehors des frontières de Dresde et des réseaux sociaux, Pegida reste un mouvement confidentiel.
    En France, des groupuscules, petits partis et associations s'emparent des mêmes idées et sont en lien avec l'organisation allemande. L'association Pegida France a été créée en juillet 2015, selon son président, Loïc Perdriel, un Normand de 25 ans. Celui qui se revendique «islamophobe» tente de fédérer sur les réseaux sociaux et aimerait voir des rassemblements hebdomadaires se former en France, comme en Allemagne. D'après lui, plusieurs membres de l'association française ont déjà manifesté à Dresde, et une délégation française s'y rendra samedi pour rencontrer les responsables et envisager des futures collaborations. L'influence de Pegida France est toutefois à nuancer. «Je n'ai pas le sentiment que Pegida en France existe, les gens ont peur de s'afficher dans la rue», constate Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, association pourtant proche de Pegida.
    Ces dernières semaines, les tentatives d'organiser un mouvement similaire à celui en Allemagne - et notamment fin janvier à Paris où une manifestation a été interdite - ont échoué.
    En France, ce sont notamment les associations Résistance Républicaine et Riposte Laïque qui entendent «unir les forces patriotes». Elles ont ainsi relayé la tenue ce week-end, 6 et 7 février, des «Journées européennes» de mobilisation contre «l'invasion migratoire et l'islamisation».
    À Saint-Brieuc et Calais, les manifestations ont été interdites par les autorités. «Que quelques personnes ne puissent pas exprimer leur solidarité avec les Calaisiens alors qu'il y a des manifestations des No Borders, ça n'a pas de sens!», déplore Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine, qui dénonce un «système stalinien totalitaire». La militante, qui se dit «de gauche», assure que les manifestants seront quand même dans la rue. «La fête aura belle et bien lieu (sic)», annonce Loïc Perdriel, président de Pegida France, sur Facebook. Il convoque un rassemblement devant la gare, puis un défilé, pour réclamer l'évacuation des camps de migrants. «Je me bats pour une cause: mon pays», affirme-t-il au Figaro.
    À Bordeaux, le rassemblement, organisé en «soutien aux femmes allemandes violées» est maintenu, devant le consulat d'Allemagne. À Montpellier, la Ligue du Midi appelle à un rassemblement devant la préfecture. À Paris, la manifestation a été transformée en journée débat, dimanche, à Rungis, pour contourner le risque de l'interdiction préfectorale. Plusieurs responsables d'associations et mouvements vont se succéder à la tribune, devant quelques centaines de personnes, comme l'espèrent les organisateurs. Renaud Camus, écrivain d'extrême droite, sera présent, comme Karim Ouchikh, représentant du SIEL. «Nous souhaitons créer un point de convergence, un rendez-vous pour ceux qui considèrent que la question de la submersion migratoire et du refus de la colonisation est essentielle», explique Renaud Camus. «Pour nous Pegida n'est pas une obsession. Nous avons une orientation politique différente, car eux sont plus dans la contestation de l'islam par rapport à notre ligne qui refuse le remplacement, par quelque peuplement que ce soit, de notre civilisation», poursuit l'écrivain.
    Week-end chargé pour l'extrême droite puisque dans le même temps le Front national tiendra son séminaire, dans l'Essonne. Karim Ouchikh sera aux deux rendez-vous et entend bien «mettre les pieds dans le plat» avec les responsables du parti de Marine Le Pen, sur les questions identitaires, quand ces derniers se montrent frileux sur le mouvement Pegida. «Le FN est une réponse adaptée et crédible face à l'immigration incontrôlée et à l'islamisme. Un mouvement tel que Pegida en France n'apporterait rien de plus», se conforte Nicolas Bay, secrétaire général du parti frontiste.

    Mathilde Siraud Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVuZZAlyucsHAdcrU.shtml

  • Belgique : des clandestins repartent chez eux

    Déçus par leur vie en Belgique, des clandestins décident de faire marche arrière et de rentrer chez eux. C’est le cas de centaines d’Irakiens, qui préfèrent regagner Bagdad plutôt que de rester dans un pays où ils vivent dans de mauvaises conditions et ont peu de chances de trouver un emploi.

    http://www.contre-info.com/

  • Des terroristes dans des centres de réfugiés

    Ce n'est pas un mythe colporté par les radicaux d'extrême droâte :

    "La police allemande a annoncé jeudi trois arrestations lors d'une opération d'envergure visant des Algériens, dont certains vivaient dans des centres de réfugiés, soupçonnés de préparer un attentat à Berlin en lien avec l'organisation Etat islamique.

    [...] Selon l'agence DPA, l'un des Algériens aurait eu des contacts avec la mouvance islamiste belge et s'est rendu au moins une fois ces dernières semaines dans le quartier de Molenbeek, à Bruxelles, d'où sont originaires des auteurs des attentats du 13 novembre à Paris.

    [...] Outre le foyer d'Attendorn, un autre centre d'accueil de demandeurs d'asile a été perquisitionné à Hanovre (nord).

    Ces opérations policières interviennent alors qu'ont démarré en fin de matinée les festivités du carnaval dans une grande partie de l'ouest de l'Allemagne, notamment à Cologne, réunissant des dizaines de milliers de personnes. Des mesures de sécurité renforcées ont été déployées dans la région de crainte d'attentats ou de répétition des agressions de masse, notamment sexuelles, enregistrées à Cologne la nuit du Nouvel An. Ces violences avaient été attribuées pour une large part à des ressortissants de pays d'Afrique du Nord.

    Selon des médias allemands, le principal suspect dans l'opération de jeudi, un homme de 35 ans, est arrivé en Allemagne à l'automne, en empruntant la route des Balkans comme des centaines de milliers de migrants. Il avait été enregistré à son arrivée en Bavière. La police berlinoise a aussi indiqué quecertains suspects avaient tenté de se faire passer pour des Syriens. Ceux-ci sont presque sûrs d'obtenir un statut de protection en Allemagne contrairement aux Algériens."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Janvier 2016 : les réactions en Europe se multiplient contre le Grand remplacement

    Ce n’est pas encore très flagrant en France, si ce n’est que les murmures circulent intensément, mais en revanche un nombre non négligeable de dirigeants européens commence à développer une certaine énergie pour tenter de ne pas laisser submerger leur pays et leur population par l’envahissement migratoire ou le Grand remplacement.

    ♦ Certaines mesures drastiques sont déjà prises à droite et à gauche. L’équipe de la Réinformation de Radio courtoisie en a relevé quelques unes. On les trouvera ci-après.

    Le Premier ministre slovaque dénonce la déferlante migratoire

    « Je sens que nous commettons maintenant dans l’Union européenne un suicide rituel, tout en le contemplant ». C’est ce qu’a affirmé le premier ministre slovaque social‑démocrate. Par ces termes, Robert Fico met en accusation la politique migratoire des pays européens. Robert Fico se déclare même prêt à envoyer 300 policiers slovaques patrouiller aux frontières extérieures de l’espace Schengen.

    La police allemande s’inquiète

    Le patron d’un syndicat de policier allemand a dénoncé l’incurie du gouvernement allemand dans le grand quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung. Il a démenti les propos lénifiants du ministre fédéral de l’Intérieur et affirmé « personne ne connaît le nombre exact de clandestins, pas même les politiques à Berlin ».

    L’opinion allemande commence à virer contre l’immigration

    De nouveaux sondages d’opinion en Allemagne créditent le parti anti‑immigration – AfD – de 13 % d’intention de vote sur l’ensemble de l’Allemagne. Ce qui devrait permettre à Alternative für Deutschland/Alternative pour l’Allemagne d’entrer dans les parlements régionaux, dès les élections de mars prochain en Saxe‑Anhalt, Rhénanie‑Palatinat et Bade‑Wurtemberg.

    L’Allemagne s’autorise à expulser certains envahisseurs gênants

    Le Parlement allemand a voté un projet de loi visant à l’expulser des délinquants étrangers. Le gouvernement indique que : « Ce projet prévoit que les délinquants étrangers peuvent être reconduits à la frontière lorsqu’ils sont condamnés à une peine de prison indépendamment du fait qu’elle soit avec sursis ou non ». Ainsi, une personne dite réfugiée peut se voir privée de sa carte de réfugié si elle commet une faute grave, par exemple des agressions sexuelles ou des vols à répétition.

    Les officiers autrichiens s’inquiètent

    En Autriche des officiers de haut rang ont déclaré dans un message publicitaire : « La sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée ». Pour ces officiers, les dangers deviennent alarmants. Le conflit Est‑Ouest entre la Russie et l’Otan, le terrorisme et l’immigration massive sont autant de dangers qui menacent la sécurité de l’Autriche. Toujours selon eux, une véritable destruction de l’armée a été planifiée, et la « volonté de défense de la population » serait systématiquement détruite et ridiculisée.

    La Suède engage la remigration

    La Suède a conclu le 19 janvier 2016, un accord de remigration avec le Maroc pour faciliter le retour de mineurs marocains clandestins.

    Le Danemark durcit sa politique d’asile

    Le Parlement danois a voté un projet de loi pour tenter de maîtriser les flux migratoires. La mesure la plus symbolique consiste à faire participer les demandeurs d’asile qui le peuvent aux frais élevés de leur accueil, plutôt que de ne solliciter que les contribuables. D’autres mesures sont prévues, par exemple pour retarder le regroupement familial. Pour les Danois, il s’agit d’une réponse à l’afflux d’immigrés transitant notamment par l’Allemagne – ce, dans un contexte où la Suède ne souhaite plus récupérer le trop‑plein transitant par le Danemark. Une décision très consensuelle : le gouvernement libéral, minoritaire, bénéficie du soutien de la droite populiste et même des sociaux‑démocrates.

    Les accords de Schengen s’acheminent vers une petite mort

    A l’approche d’élections régionales partielles et face à une population exaspérée par le comportement des clandestins, l’Allemagne a rétabli le contrôle à ses frontières. Pour les autorités européennes, cette décision unilatérale expose les accords de Schengen à une « mort clinique » à l’horizon de deux mois.

    Ce qui a conduit le Conseil de l’Union européenne à proposer de rétablir officiellement pour deux ans les contrôles aux frontières entre pays européens, comme le permettent les traités européens. La demande a été formulée auprès de la Commission européenne.

    Pour le moment, celle‑ci tergiverse. Mais la Grèce du souverainiste gauchiste Tsipras risque de se trouver isolée : avec une frontière ouverte sur la Turquie, mais sans possibilité de déstocker ses clandestins.

    PEGIDA mobilise les Européens

    PEGIDA et la Ligue de défense anglaise de Tommy Robinson appellent à manifester dans quatorze pays contre l’islamisation. Ces manifestations auront lieu le 6 et le 7 février. Riposte laïque organise en France une grande réunion de protestation à Rungis le dimanche 7 février. Le thème en est « Sauvons, notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur ». Plus d’informations sur la page Facebook de Riposte laïque.

    Nous vient d’Autriche

    Réseaux sociaux – Le sportif de l’extrême autrichien Felix Baumgartner est au cœur d’une polémique autour de la politique migratoire de l’Europe. L’homme qui a osé sauter en parachute depuis la stratosphère en 2012 a publié lundi sur sa page Facebook une critique virulente, où il traite les dirigeants européens d’idiots. La polémique enfle en Autriche, en Allemagne et en Suisse alémanique, où il est officiellement domicilié.

    Selon lui, « Un pays où quelqu’un qui pêche sans permis reçoit une amende, et où les gens peuvent passer les frontières sans passeport ne peut être dirigé que par des idiots !» Dixit l’Autrichien Felix Baumgartner, champion du monde de saut en parachute en 2012 — record battu depuis. (http://www.lacote.ch/)

    http://www.polemia.com/janvier-2016-les-reactions-en-europe-se-multiplient-contre-le-grand-remplacement-deuxieme-partie/

  • Préhistoire de notre temps

    Durant les années 1960, de puissants hommes d’affaires d’Europe occidentale avaient été mixés à leurs grands frères des USA au sein du Groupe Bilderberg, pour influencer la politique des États faibles (ceux d’Europe occidentale et scandinave).
    En 1973, la crème du Bilderberg fut assaisonnée de quelques magnats japonais et devint la Commission Trilatérale (à ne pas confondre avec la création, dans ces mêmes années 1960, de quelques chefs d’États du Tiers Monde : la Tricontinentale, dominée par des marxistes lassés de la tutelle des gérontes du Kremlin… c’est lors d’une réunion de cet organisme, en 1966, que Fidel Castro et quelques marxistes programmèrent à leur façon brouillonne le mouvement des années 1967-70, qui culmina en 68).
    Dans les séminaires fort discrets de la Trilatérale (en France : le Club Le Siècle), l’on enseigna aux Européens et aux Japonais que la protection sociale est un boulet économique et que, privatisée sur le mode US, elle serait plus efficace (sans ajouter à qui profiterait cette efficacité). Idem que seul le libre-échange est bon, que le capitalisme familial et strictement national est dépassé, que l’épargne des individus est très mauvaise, étant pernicieuse au Big Business. En 1999, lors du raout annuel de la Trilatérale, tenu à Davos et largement médiatisé une fois n’est pas coutume, l’on a lancé le slogan : « Mondialisation responsable », pour se concilier les gogos et même quelques écologistes bourgeois, et l’on a créé l’officine d’endoctrinement des clowns des media : le WEF (World Economic Forum).
    L’économie devint globale et la vie politique, sociale et sous-culturelle fut mondialisée, par l’effet d’un impératif économique… c’était sans compter avec la perversité de milliardaires islamo-pétroliers sunnites qui voulaient ressusciter le califat, estimant venue l’heure d’une nouvelle vague de conquêtes pour l’islam. Ces émirs, sultans et roitelets richissimes et fanatiques commencèrent par investir massivement dans l’immobilier et le luxe, puis ils comprirent qu’ils pouvaient investir dans les milieux (dans toutes les acceptions de ce terme) politiques, médiatiques et sportifs européens.
    À ce petit jeu, ils furent concurrencés par d’austères croyants, plus fanatiques et moins corrompus qu’eux. Ils tentèrent de les amadouer en finançant leurs achats d’armes et leur propagande, mais les exaltés prirent l’argent et poursuivirent leur délire politico-religieux, jusqu’au terrorisme global (visant aussi bien des musulmans que des infidèles), osant même coiffer les Saoudiens au poteau dans la résurrection du califat.
    Et nous en sommes là : une Europe occidentale, scandinave et danubienne envahie d’immigrés islamiques, venus d’Afrique noire et maghrébine, du Proche-Orient (Irak, Syrie) et du Moyen-Orient (Afghanistan et Pakistan). La façon dont ces envahisseurs ont « payé » leur voyage est à elle seule riche d’enseignements : les voyageurs ont été pour la grande majorité d’entre eux sponsorisés par des évergètes islamo-pétroliers.
    Que ces immigrants se comportent de façon violente et prédatrice n’a rien pour surprendre. On a envoyé de jeunes combattants, dépourvus de la moindre qualification technique, mais fanatisés, à qui l’on a promis gloire et richesse (en plus du paradis d’Allah), à l’unique condition de conquérir une partie riche du Dâr al-Harb… ce domaine de la guerre, où les infidèles doivent être traités de façon impitoyable.
    On veut bien admettre que nos politiciens n’aient rien vu venir… encore que l’efflorescence parallèle de mosquées et de cités de non-droit sur le sol national, la flambée de viols, les émeutes raciales auraient pu leur faire ouvrir un œil dès les années 1980, avant que la vague d’attentats, qui a débuté en 2014 dans notre pays, prouve à l’évidence que la programmation de la fin de l’Europe des Nations autochtones est l’un des buts de cette immigration-invasion, en plus du triomphe d’Allah, réputé tout-puissant, mais plus du tout miséricordieux.

    Bernard Plouvier*

    *Médecin, Bernard Plouvier est notamment l’auteur de plusieurs études historiques comme L’énigme Roosevelt ou Faux et usages de faux en histoire aux  Editions Dualpha ( http://francephi.com/?s=plouvier&post_type=product )

    Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVuVFEkpysqpyPvdV.shtml

  • Éric Zemmour : « David Cameron épluche les oignons, Donald Tusk pleure »

    Un compromis a été trouvé à Bruxelles entre les Anglais et les Européens pour éviter une sortie de l’Angleterre de l’Union européenne. Mais il ne semble satisfaire personne.

    « C’est la rencontre du sadique et du masochiste : l’un dit “fais-moi mal”, l’autre lui répond “pas question” ! », lâche Éric Zemmour. « Entre Londres et Bruxelles, les deux compères sont de mèche : c’est David Cameron qui épluche les oignons et Donald Tusk qui pleure », poursuit-il. Le journaliste note que « quand le Premier ministre anglais fait semblant de vouloir quitter l’Europe, le président du Conseil européen fait semblant de supporter toutes les offenses pour le retenir ». Il parle d’une « alliance de deux faibles » : d’un côté l’Anglais, « parce que son parti et son peuple veulent quitter l’Union européenne » ; de l’autre Bruxelles, « car la crise grecque et celle des migrants sont en train de saper un édifice européen déjà branlant ».

    Éric Zemmour enfonce le clou :

    Les oligarques européens ont sapé eux-mêmes des principes qu’ils jugeaient éternel. Comme l’URSS de jadis, cette construction impériale sans empire est en train de se désagréger. Tout acharnement thérapeutique serait contraire à sa mort dans la dignité.


    http://fr.novopress.info/