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Europe et Union européenne - Page 728

  • L’église polonaise défie gauchistes et musulmans !

    Voilà une église qui ne parle pas la langue de bois , prête à en découdre avec les gauchistes et les musulmans.

    Ce jeune prêtre harangue une foule qu’on aimerait bien voir en Europe de l’Ouest… Il est sûr que le salut viendra de l’Est, ils viendront épauler les patriotes contre l’invasion !

    Pologne : une foi catholique inoxydable !

    Un lecteur et ami (merci G. P. !) nous a signalé cette courte vidéo de prélude à la Marche pour l’Indépendance qui s’est déroulée à Varsovie le 11 novembre dernier. Une vidéo qui a été vue près de 400 000 fois et qui nous permet d’entendre le discours “tonique” d’un jeune prêtre polonais, le Père Jacek Międlar qui électrise littéralement une foule de patriotes catholiques polonais estimée à 170 000 personnes ! Cela vaut la peine d’être vu et écouté. C’est en polonais, bien sûr, mais ceux d’entre vous qui comprennent l’anglais peuvent suivre avec les sous-titres, sinon nous avons une traduction rapide depuis la version anglaise – sous la vidéo – des propos du prêtre. Décapant… Le prêtre a une page Facebook qui n’est pas mal non plus…

    pretre-polonais

    « La gloire soit à Jésus-Christ et à son saint Évangile.
    Mes bienaimés, les ennemis de la patrie et les ennemis de l’Église sont furieux aujourd’hui parce qu’ils voient une énorme, une colossale armée de patriotes, une armée de nationalistes, une armée de soutiens qui ont dans le cœur [la devise nationale polonaise] “Dieu, Honneur, Patrie” et qu’ils sont prêts à leur offrir leurs vies. Mais je suis plus que convaincu que la propagande gauchiste fera de son mieux pour nous détruire, pour détruite l’Église, pour détruire la nation polonaise. Nous ne les laisserons pas faire. Nous sommes l’Église militante. Nous sommes les guerriers de la grande Pologne. Ils ne sont même pas conscients que plus ils nous attaquent, et plus notre fierté grandit !
    Mes bienaimés, nous ne craignons pas les musulmans pacifiques, mais ils ne sont qu’une minorité. Nous craignons les fondamentalistes. Nous ne voulons pas de la violence, nous ne voulons pas d’agression au nom d’Allah… Nous devons nous y opposer. Nous ne voulons pas de la haine qu’il y a dans le Coran, dans la sourate 5 [contre les juifs et les chrétiens], mais nous voulons l’amour et la vérité de l’Évangile ! Nous voulons combattre avec le glaive de l’amour et de la vérité, un combat auquel nous appelle l’apôtre saint Paul au 6ème chapitre [de l’épître] aux Éphésiens [6, 14-17]. L’Évangile et pas le Coran !
    L’agression gauchiste et musulmane contre tout ce qui est chrétien et national nous fait très peur… Mais nous avons peur aussi que notre frayeur se transforme en haine. Et nous, comme chrétiens, nous ne devons pas permettre que cela arrive. C’est pourquoi nous, les chrétiens, nous voulons le dialogue. Mais personne ne veut discuter avec nous, au lieu de cela on nous traite de fascistes, de racistes, de xénophobes et de chiens d’infidèles. Nous ne le tolérons pas. Nos ne voulons pas nous battre avec le marteau qu’ils essaient de nous mettre dans les mains. Nous voulons combattre avec le glaive de la vérité. Avec le glaive de l’amour ! Avec la parole de l’Évangile. Avec le glaive qui est Jésus-Christ, notre Seigneur et notre Dieu vivant ».
    http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/video/pologne-une-foi-catholique-inoxydable

  • Des agriculteurs abandonnés par la République...

    Certains parlent de jacqueries quand ils évoquent la colère paysanne qui, ces jours derniers, éclate aux portes des villes, autour des centres commerciaux ou devant les préfectures et sous-préfectures du pays, et les mêmes croient se souvenir qu'elles ont précédées la Révolution française, ce qui n'est pas tout-à-fait exact, en définitive : en fait, c'est dans les débuts de cette Révolution que les paysans ont manifesté leur souhait d'un changement des règles rurales et la fin des anciens droits féodaux, dans un été marqué par la Grande Peur, mais, surtout, dans l'année 1793, lorsque la République voulut mobiliser tous les hommes valides pour aller faire une guerre que la Révolution avait désirée à défaut de pouvoir la faire seule... Si c'est la Vendée qui a marqué le plus les esprits, avec ce « peuple de géants », évoqué par Napoléon et par Victor Hugo, qui a défié l'ordre nouveau de Danton et Saint-Just, et tenu tête aux armées « bleues », c'est bien tout le monde paysan qui a souffert de la République belliciste qui lui a pris de nombreux bras pour les besoins de la guerre et lui a rendu nombre de cercueils.

    Aujourd'hui, les agriculteurs manifestent, victimes d'une guerre qui, pour n'en être pas militaire, fait des ravages dans nos campagnes, et se pare du nom de « mondialisation ». Il n'y a pas grand monde pour prendre la défense de ces manifestants au langage parfois vert, et je lis nombre de commentaires peu amènes sur la toile à leur encontre : « pollueurs », « assistés », « casseurs »... Cela ne correspond pas exactement à la complexité des réalités du monde agricole : qu'y a-t-il de commun entre le grand céréalier de la Beauce et le petit éleveur de porcs « bio » breton ? Entre un Beulin, patron très libéral d'une FNSEA de moins en moins considérée dans les campagnes, et un maraîcher du pays de Dol qui gagne à peine de quoi nourrir sa famille ?

    En fait, nombre de ces manifestants ont désormais compris le piège fatal de la société de « libre-échange » qui, en définitive, n'est qu'une loi de la jungle au bénéfice des grands groupes agroalimentaires et des actionnaires de ceux-ci, pour qui la fonction nourricière de l'agriculture passe après les profits qu'ils peuvent tirer de l'exploitation de la terre et de la sueur de ceux qui la travaillent.

    Sans doute faut-il désormais repenser l'agriculture et lui rendre la « mesure » que la société de consommation semble avoir définitivement oubliée : des exploitations à taille humaine, moins dépendantes de la mécanisation et d'une artificialisation qui, souvent, s'apparente à une « barbarisation » de la domestication des bêtes (ces usines à œufs, à lait ou à viande, entre autres) ou à une totale coupure avec les principes mêmes de la vie, végétale comme animale, sont plus utiles que cette ferme (sic!) des mille vaches que dénonce à juste titre Alain Finkielkraut...

    Refaire de nos campagnes des espaces de vie et de travail humain, et non les laisser devenir des déserts ruraux, est une nécessité que tout État digne de ce nom devrait comprendre et soutenir, ne serait-ce que pour combattre le chômage et le désœuvrement qui se répandent encore et toujours dans les villes et ses périphéries. Au regard de l'impuissance désolée d'un Stéphane Le Foll, je doute fortement que la République soit cet État-là...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1286:des-agriculteurs-abandonnes-par-la-republique&catid=50:2016&Itemid=61

  • Angers : Le FNJ 49 à la rencontre des agriculteurs en colère!

    Hier, mercredi 27 janvier, Aurore LAHONDES, responsable du FNJ du Maine et Loire est allée à la rencontre des agriculteurs manifestants devant la préfecture. Elle a pu discuter et questionner la moitié des personnes présentes.

    Elle est allée demander pourquoi ils étaient présents ce soir-là, et quelle était la cause de la révolte agricole. Elle souhaitait obtenir une réponse directe, sans le prisme déformant des médias subventionnés par le pouvoir : ce que les journalistes n’évoqueraient pas.

    La manifestation était organisée par deux syndicats, les JA (jeunes agriculteurs) et la FNSEA, les plus importants syndicats agricoles Français. « Au départ, je n’étais pas forcément la bienvenue, ces syndicats étant souvent affiliés à l’ex UMP. Mais après quelques échanges, l’accueil fut favorable : Nos amis agriculteurs avaient enfin une oreille pour les écouter sans opportunisme aucun ».

    Aurore a pu ainsi se rendre compte du désarroi des agriculteurs : « A bout, ils m’ont raconté que quoiqu’ils fassent ils perdraient au minimum 10 000 € chacun cette année. Les solutions proposées cet été par le président Hollande ne servant à rien puisqu’aucun d’entre eux n’en avait vu la couleur. »

    « Ils m’ont expliqué que le problème venait du fait qu’on leur demandait d’aligner leurs prix sur le marché européen mais qu’on ne leur donnait pas les moyens pour le mettre en œuvre. » Ces agriculteurscroulent sous les normes à respecter que certains autres pays européens n’ont pas à subir.

    Aurore continue à questionner, on lui expose « qu’en Espagne les agriculteurs ont le droit de doper les bêtes trop maigres avec des hormones, qu’en France personne ne le sait et que les agriculteurs Français ne peuvent pas lutter contre ça. »

    Mais, « Même si on les laissait utiliser ce genre de méthodes, ils n’en voudraient pas afin de préserver la qualité des produits que l’on trouve dans nos assiettes. »

    Pour nos amis agriculteurs deux solutions sont possibles pour sortir de cette impasse :

    • Soit la France reste dans l’Union Européenne et il faut que tous les pays lissent les normes pour garantir une vraie compétitivité, mais forcément la question se pose alors de la qualité des produits. Remarquez qu’avec l’arrivée du traité transatlantique mieux vaut ne pas se poser la question de ce qui se trouve dans nos assiettes, traité qui signerait d’ailleurs sans aucun doute possible la mort de tous nos petits agriculteurs.
    • Soit, et c’est la deuxième solution, La France sort de l’Union Européenne, ce machin technocratique : Privilégier la production française aux autres. Il n’y aurait ainsi plus ce couperet qui pèse si lourd sur nos agriculteurs ainsi ils pourraient vivre de leur travail en garantissant aux consommateurs la qualité qu’ils méritent.

    « Pourtant ils ont bon cœur nos agriculteurs, ils voudraient pouvoir embaucher, faire appel à des gens extérieurs qui dépendent de leurs filières, ils voudraient pouvoir prendre des apprentis et partager leur savoir. » poursuit Aurore,  « Cependant ils ne peuvent pas, n’ayant même pas les moyens de se verser un salaire. Ce soir-là ils ne demandaient pourtant pas grand-chose devant cette préfecture, théâtre de leur colère, seulement pouvoir vivre de leur travail. Et encore ils ne voulaient pas beaucoup, la plupart demandaient 800€ par mois comme salaire, pour qu’on leur donne l’envie de continuer le travail de la terre.

    Il y un an encore la tonne de lait valait 380€, elle tourne aujourd’hui autour de 250€. Cependant, vous l’avez sans aucun doute remarqué, le prix n’a pas le moins du monde baissé en magasin, ce serait plutôt le contraire ! Le problème vient des entreprises de transformation et des grandes surfaces qui préfèrent augmenter leurs marges plutôt que de faire vivre nos agriculteurs.

    Aurore a entendu de la bouche de tous qu’ils ne voulaient plus d’aides : Ils veulent tirer un salaire de leur travail, et qu’ils soient reconnus pour ça, ils ne supportent plus cet état de dépendance dans lequel l’état Français les a plongés.

    Le constat est sans équivoque, les agriculteurs demandent une refonte totale du système agricole qui est aujourd’hui invivable pour eux.

    Aurore conclu « Pour finir j’ai été remerciée par des agriculteurs ne partageant pas les opinions frontistes, pour m’être déplacé, pour les avoir écoutés, parce que les politiques n’écoutent plus leurs citoyens et que le front national était dans la rue avec eux ce soir-là ».

    Alors aujourd’hui au nom de la France et de ses citoyens malheureux, Aurore demande aux gouvernants de se tourner vers la rue, de regarder ce qui s’y passe et pour le bien des Français d’écouter les cris de douleurs qui se multiplient !

    http://fn-49.fr/2016/01/28/angers-le-fnj-49-a-la-rencontre-des-agriculteurs-en-colere/#more-1310

  • Un projet de génocide des peuples européens?

    Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens. 

    Le soft génocide volontaire et nihiliste  

    Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

    Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil  des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.        

    Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

    En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central  dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

    Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.  

    Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est  l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ?  Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.   

    Les axes stratégiques du soft génocide

    Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

    1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation  de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note  au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

    2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable. 

    3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.    

    4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

     5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

    6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants  d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.   

    7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader  l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures  des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste. 

    8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.  

    Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy,  non ? 

    Collabos contre résistants

    Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

    Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

    Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.   

    http://www.gfaye.com/un-projet-de-genocide-des-peuples-europeens/

  • Troquer la monnaie unique pour une monnaie commune ?

    Pour mobiliser leurs concitoyens au premier tour des prochaines élections présidentielles, les candidats souverainistes partisans d’une sortie de l’Europe actuelle et de son évocation démonstrative la plus emblématique – l’€uro -, doivent user d’un argumentaire qui ne heurte pas majoritairement leurs électeurs potentiels. Car pas moins de 56 % des Français sont opposés à la disparition de l’€uro et au retour au franc, suivant un sondage OpinionWay.
    L’exemple suisse offre un support discursif d’opportunité. La Tribune du 30 décembre 2015 publie un article de Romaric Godin sous le titre : « Les Suisses voteront pour ôter aux banques leur pouvoir de création monétaire. » Pour nous, n’est-ce pas le fondement d’une initiative stratégique qui viserait à démanteler insidieusement le mythe de l’€uro qui persiste dans l’esprit du public français ?
    Depuis plusieurs mois, l’inquiétude des épargnants s’accentue. Leur support privilégié, le Livret d’épargne populaire, est délaissé, les pauvres n’ont jamais été aussi nombreux, les déficits ne cessent de s’accentuer au profit des organismes financiers. La directive sur le redressement et la résolution des crises bancaires (BRRD) est perçue comme une spoliation par les épargnants sur les réseaux sociaux. Le gouvernement actuel et ses représentants, ainsi que les médias, ont été étrangement silencieux sur les répercussions des défaillances récentes auprès des déposants en Grèce et à Chypre, en ignorant les débats traitant de ces sujets, en Islande ainsi qu’en Irlande. Le gouvernement Valls a ainsi passé sous silence l’ordonnance n° 2015-1024 signée en catimini le 20 août 2015. Il l’a fait au mépris des Français qui estiment, à 71 %, que les banquiers n’ont pas tiré les leçons de la crise et qui adhèrent, à 74 %, à l’idée selon laquelle les banques n’accordent pas suffisamment de crédits aux entreprises.
    Pour mener ce combat, les partis qui sont et qui ont été au pouvoir ne peuvent être qu’inopérants face aux lobbys bancaires euro-atlantistes dont ils sont dépendants, non seulement par leurs supports logistiques, mais surtout par la collusion de leurs élites. Les règles changent, mais les initiés ne cessent d’innover pour les transgresser.
    La création monétaire doit redevenir un privilège de l’État-nation, pour que le déficit budgétaire qui enrichissait autrefois les sujets cesse d’appauvrir aujourd’hui les citoyens. La réappropriation par référendum de ce privilège royal doit systématiquement provoquer la sortie de l’eurogroupe et l’adoption d’une monnaie nationale avec, en contrepartie, un €uro monnaie commune.
    Les récents événements vécus par les Grecs et leur nouveau gouvernement qui s’est agenouillé devant les représentants de la BCE, du FMI et de la Commission européenne doivent nous inciter à prendre garde.
    Il convient d’assortir la proposition soumise à référendum d’un complément : le rétablissement de la fonction bancaire du Trésor public, indispensable support logistique de gestion étatique des transitions.

    Jean-Augustin Vincent - Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EuVVuyZFupcTiIEDkh.shtml

  • Ça se confirme : Erdogan fait du chantage aux « migrants »

    Nous l’évoquions récemment, la Turquie fait chanter l’UE avec la crise des « migrants ».

    Erdogan fait chanter l’Union européenne avec la crise des migrants. Tout le monde s’en doutait, mais cela a été confirmé par le site d’information grec euro2day.gr, repris depuis par le journal allemand Der Spiegel.

    Nous pouvons ouvrir les portes sur la Grèce et la Bulgarie n’importe quand et nous pouvons mettre les réfugiés dans des bus… Comment traiterez-vous alors les réfugiés si vous n’obtenez pas un accord ? Vous allez les tuer ?

    aurait déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan au président du Conseil européen Donald Tusk et à celui de la Commission Jean-Claude Juncker lors d’une rencontre en novembre dernier. Il aurait aussi ajouté :

    Il ne s’agira pas juste d’un seul garçon mort près des côtes turques, il y en aura 10 000, 15 000. Comment allez-vous faire face à ça ?

    L’Union européenne et la Commission européenne n’ont pas démenti ces informations, mais n’ont pas non plus souhaité les commenter. Bref, elles en attestent la véracité, mais tentent de les étouffer.

    Ankara et l’Union européenne (UE) ont signé en novembre un accord pour tenter d’enrayer le flot des migrants partant des côtes turques vers la Grèce. En échange de trois milliards d’euros et d’une relance du processus en vue de son adhésion, la Turquie s’est engagée à mieux contrôler ses frontières maritimes et à lutter contre les passeurs.
    Mais cet accord n’a eu que peu d’effet. Les Européens exigent des Turcs qu’ils agissent plus, vite. Les Turcs leur reprochent en retour de ne pas accueillir assez de réfugiés.

    Des révélations qui prennent un relief particulier au moment où Turcs et Européens se disputent sur le sort des Syriens fuyant les combats dans la région d’Alep et qui restent pour le moment bloqués à la frontière turco-syrienne.
    « La Turquie veut obtenir plus de concessions, notamment plus d’argent de l’UE », résume Marc Piérini, ex-ambassadeur de l’UE à Ankara, et chercheur à la fondation Carnegie Europe, « c’est un marchandage pas très glorieux, notamment pour l’Europe qui a mis sous le tapis ses valeurs de démocratie et de liberté ».

    Autre hypothèse avancée, la fixation de ces réfugiés le long de la frontière permettrait à Ankara de réaliser une zone-tampon empêchant les Kurdes d’occuper cette partie de la frontière.

    http://fr.novopress.info/198198/ca-se-confirme-erdogan-fait-du-chantage-aux-migrants/#more-198198

  • Cette « douce » colonisation de l’Europe par Arnaud FERRAND-LÉGER

    Parue en 1999, l’enquête du journaliste Rémi Kauffer montre que les firmes transnationales d’origine américaine ont déclaré la guerre aux États européens – donc à l’Union européenne. Dans cette guerre, tous les moyens sont utilisés parmi lesquels la désinformation. « Arme d’excellence du grand affrontement idéologique Est-Ouest, elle s’est muée en un instrument de guerre industrielle et commerciale redoutable » parce qu’il faut constamment conquérir de nouvelles parts de marché au détriment des rivaux. Quand la qualité du produit vendu ne suffit plus ou pas assez, « cette guerre se traduit par le conditionnement de l’opinion, la manipulation des consommateurs, le discrédit jeté sur la concurrence. En bref, le formatage des esprits ». Rémi Kauffer expose alors quelques facettes de ce conflit dans lequel la Grande-Bretagne joue la balance, tantôt du côté américain, tantôt du côté des Européens. Les exemples qu’il prend sont éclairants. Pourquoi la firme Total a-t-elle été violemment dénigrée par la presse internationale après qu’elle ait conclu un accord pétrolier avec la junte socialiste birmane ? Parce que les compagnies américaines guettaient le pétrole birman et elles se sont vengées d’être écartées du marché… 

    L’auteur consacre plusieurs chapitres à l’industrie du médicament. L’univers pharmaceutique est une véritable jungle hyper-concurrentielle où se côtoient des entreprises que Kauffer dépeint comme des « éléphants », des « tigres » et des « serpents » (les entreprises européennes). En s’appuyant sur des cas d’affrontements tels que le Redux/Isoméride ou le Prozac, il plonge le lecteur dans un univers peuplé de chausse-trappes et de pièges diaboliques destinés à faire perdre des milliards de dollars aux concurrents. Dans ce contexte de tensions permanentes, la désinformation « vise soit à jeter le discrédit sur un médicament par le mensonge et l’insinuation, soit, au contraire, à en vanter les mérites par l’hyperbole et la rumeur ». En évoquant la domination du « pharmanglais », il souligne aussi la grande attirance du modèle américain et n’hésite pas à montrer l’« américano-dépendance » psychologique des chercheurs européens exaspérés par les lourdeurs administratives et universitaires en cours en Europe. Il mentionne le copinage entre les firmes pharmaceutiques et la direction des universités américaines qui reçoivent des premières d’importantes subventions, déguisées ou non, et entre ces mêmes firmes et l’administration. Enfin, Rémi Kauffer présente l’ambition secrète de l’industrie pharmaceutique : médicaliser l’ensemble du corps social afin de ne découvrir que des malades imaginaires et ainsi d’écouler ses produits. En partant de cette intention, les campagnes de presse contre la médication biologique, voire contre le refus de la vaccination obligatoire, ne seraient-elles pas en fin de compte financées par les entreprises du médicament ? 

    La rivalité industrielle entre les deux rives de l’Atlantique se retrouve à propos d’Airbus. Pour conquérir 50 % du marché mondial et déjouer les nombreux coups tordus des avionneurs américaines, Airbus a usé des mêmes méthodes de guerre psychologique, avec succès ! Grâce à l’auteur, on découvre sa préhistoire. Dans les années 1960, chaque mois se réunit au restaurant La Trinité Saint-Honoré à Paris le Charles’Club. Fondé par le héros Pierre Clostermann, ce club informel regroupe onze gaullistes, anciens résistants ou de la France libre, et un douzième coopté, bien qu’il fut trop jeune pour avoir vécu les exploits de ses aînés. Un jour, le club invite Henri Ziegler dit « Zig ». Grand résistant, spécialiste de l’aéronautique et administrateur-directeur général de la Société des ateliers d’aviation Louis-Bréguet, l’ancien président d’Air-France dénonce avec virulence le projet franco-britannique du Concorde voulu par le Général de Gaulle. Il juge ce projet contraire à l’émergence d’une Europe industrielle à très haute qualification technique débarrassée de l’atlantisme. Comme alternative industrielle crédible, il suggère l’Aérobus qui deviendra plus tard Airbus. Enthousiasmés par le projet, les douze convives décident de le soutenir. Le cadet du groupe se transformera en porte-parole de « Zig » auprès du Premier ministre Georges Pompidou : il se nomme Jacques Chirac… Avec quarante ans d’avance, Henri Ziegler avait cerné et compris les enjeux stratégiques et économiques d’une industrie aéronautique européenne indépendante. Certes, Airbus continue à subir l’atlantisme de certains gouvernements. Sa version militaire d’avion transporteur A-400 M reste en suspens du fait des réticences budgétaires de Berlusconi. Les Européens ont là un instrument – très concret – d’affirmer leur émancipation de la tutelle américaine. En auront-ils l’audace ?

    Dans ce livre très riche en anecdotes révélatrices des coups fourrés, Kauffer ne rate pas les turpitudes bruxelloises en matière de désinformation. Lors de la crise de la vache folle, une note interne de la Commission déclarait : « Sur le plan général, il faut minimiser cette affaire en pratiquant la désinformation. Il vaut mieux dire que la presse a tendance à exagérer… » En janvier 1999, une autre note interne allait plus loin en exposant qu’« une dose de cynisme – et parfois d’hypocrisie – dans la manière de diffuser l’information est parfois nécessaire ». Et après, la Commission s’étonnera de la réaction violente des peuples ! On se demande parfois si les hauts fonctionnaires de Bruxelles n’auraient pas été formés par le KGB ? L’ouvrage de Rémi Kauffer a l’immense mérite d’indiquer que la puissance ne se restreint pas à la politique ou à la défense. Elle innerve toutes les sphères, de la santé à l’éducation, de la culture à la technique. Les Européens doivent réagir dans tous les domaines. 

    Arnaud Ferrand-Léger 

    Rémi Kauffer, L’arme de la désinformation. Les multinationales américaines en guerre contre l’Europe, Grasset, 1999, 311 p., 19,67 €.

    D’abord paru dans L’Esprit européen, n° 10, été 2003.

    http://www.europemaxima.com/

  • Au fait, avons-nous besoin d’une immigration d’origine extra-européenne ? par le Dr Bernard PLOUVIER

    L’année 2015 fut un grand cru de l’ignominie islamique en France : multiples attentats meurtriers, décapitation au couteau à céramique, assassinats d’enfants blancs et – c’est devenu une habitude depuis les années 1980 – multitude de viols de « petits culs blancs » par les honorables rejetons de l’immigration africaine et proche-orientale… avec à chaque fois la ritournelle « Allah akbar » éructée par le criminel, comme si la référence religieuse était une circonstance atténuante, voire une justification. 

    Elle fut également un grand cru de l’ignominie en Allemagne, en Suède, en Finlande, où les langues ne se sont déliées qu‘à l’occasion des violences (vols, viols et attentats pédophiles, incivilités permanentes à l’encontre des citoyens et des « forces de l’ordre ») perpétrées en Allemagne durant toute l’année, avec un pic exceptionnel dans la dernière nuit… là encore, il fallut le scandale de la Saint-Sylvestre pour apprendre que les « réfugiés » s’étaient aussi mal comportés en terres allemandes qu’à Calais (ou ailleurs en notre ex-beau pays). 

    Même si Français, Belges, Scandinaves et Germains semblent avoir la mémoire très courte en matière de vilenies islamiques, tout le monde n’a pas oublié les atrocités de 2014 : soldats et policiers britanniques et français poignardés (l’exemple de Joué-lès-Tours devrait être dans toutes les mémoires françaises, survenant un an juste avant la grande soirée du 13 novembre 2015), obligation faite à des Français d’hurler des slogans coraniques sous peine d’égorgement ou de castration (à Perpignan, entre autres endroits), sans oublier la recrudescence de vols, de mises à sac d’églises et de cimetières, d’attaques de magasins et, bien sûr, toujours les viols en tournante. 

    Or, en France, nous comptons, en estimation basse, 5 millions de chômeurs. Nos caisses sociales, ultra-déficitaires, ne sont maintenues en survie que par des emprunts, ce qui aggrave considérablement la Dette, et un déficit budgétaire toujours existant, malgré des promesses de sens contraire maintes fois renouvelées. Alors, pourquoi importer de nouveaux immigrants qui, par leur comportement de vandales ou de parasites (même les immigrants clandestins ont droit à une allocation d’État), non seulement n’apportent rien à la communauté nationale, en dehors de leur merveilleuse présence, mais aussi coûtent très cher ? 

    Devons-nous être les complices d’une immigration-invasion qui, à terme – dans un délai d’un demi- ou d’un siècle -, génèrera une substitution de population dominante en France, par le seul effet de la différence de comportement matrimonial entre les Françaises de souche européenne et les immigrées, qui conservent une natalité de type africain ou proche-oriental, favorisée par l’octroi des allocations familiales même à des immigrés qui n’ont pas encore ou jamais travaillé en France… alors que ces allocations ont été mises en place pour les familles de travailleurs ? 

    Dans un pays où l’on a enfin mis un terme aux guerres et guérillas de religions, faut-il importer une religion de type médiéval par son fanatisme, une religion où la guerre sainte – le Djihâd – est rendue obligatoire à tout fidèle en bonne santé par neuf sourates de son livre réputé saint, le Coran ? Et ce, au moment où un calife autoproclamé invente une nouvelle forme de terrorisme djihadiste ? Est-ce opportun, est-ce simplement raisonnable ? Après tout, la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État exige un culte strictement privé et réprime tout débordement. Avant la Grande Guerre, certains maires socialistes ou radicaux francs-maçons interdisaient le port de la soutane dans leur commune. De nos jours, on laisse des musulmans obstruer des rues sous prétexte de prière et on accepte l’amalgame entre « salles de prières » et salles de sports (de combat) !

    Enfin et surtout, pourquoi ne réprime-t-on pas les très nombreuses manifestations de haine islamique, les innombrables paroles et actes de racisme anti-Blancs ? Quel peut être, en définitive, l’intérêt d’importer d’honorables criminels, délinquants, trafiquants de drogues et d’armes ?

    La Nation française doit-elle être punie pour des crimes commis aux colonies il y a des siècles, au plus tard il y a quelques décennies ? Ou doit-elle être remerciée par les ex-colonisés pour avoir, à ses frais (car si la colonisation fut profitable à certains entrepreneurs et financiers, elle fut effroyablement coûteuse pour les contribuables français), introduit dans leurs pays d’origine : l’hygiène, la fin des guerres tribales, l’explosion des rendements agricoles, la mise en valeur du sous-sol, l’instruction publique, des routes, aérodromes et voies ferrées, faisant passer d’un coup au monde moderne l’Afrique noire qui en était restée au néolithique ou à l’âge de bronze, comme le Maghreb et le Proche-Orient passaient très rapidement du Moyen Âge à la modernité ? 

    Non seulement, l’immigration-invasion paraît une absurdité, démographique autant qu’économique, en période de chômage d’une ampleur inédite dans notre patrie, en plus d’être un crime contre la Nation. Mais la repentance n’est nullement ce qu’elle devrait être. Ce sont les immigrés qui devraient présenter leurs plus humbles excuses à la Nation française pour l’ignoble comportement en France des fruits pourris issus de leur milieu. 

    Dr Bernard Plouvier 

    • D’abord mis en ligne sur Synthèse nationale, le 16 janvier 2016.

    http://www.europemaxima.com/

  • La Lettre d’Allemagne – N°5

    Si l’on en croit la sagesse populaire frisonne, on ne peut dire que souffle la tempête que « lorsque les moutons défrisent ».

    Nul doute que les vieux Frisons sont restés de marbre lorsque Frauke Petry, la patronne de l’Alternative für Deutschland, (*) a osé – elle fut la première en Allemagne – évoquer l’emploi de la force armée pour sécuriser la frontière face aux migrants. Bien entendu, elle avait franchi une ligne rouge – qui trace donc ces lignes ? –, et l’occasion était trop belle pour les politiques de tout bord, les médias.

    Haro, donc : la Bête, enfin, sortait du bois, on allait pouvoir sortir les piques et les fourches.

    Pendant près d’une semaine, ce ne furent que déclarations péremptoires, condamnations sans appel. Le vice-chancelier et président du SPD se fendit d’une adresse au Verfassungsschutz, appelant cette véritable police politique à placer l’AfD sous surveillance – comme si cela n’était pas encore le cas. Un journaliste inspiré, observant la baisse d’un demi-point des intentions de vote entre les deux sondages hebdomadaires de l’institut INSA/YouGov encadrant le « Faux-pas », crut possible d’annoncer, sinon le retournement de l’opinion, au moins une prise de conscience… Las, dix jours ont passé depuis ce terrible propos, et l’AfD semble bel et bien installée durablement dans la position de troisième force politique d’Allemagne.

    La chancelière, quant à elle, contemple avec incrédulité et une inquiétude croissante la tempête qui s’annonce au sud avec le retour du printemps. Chez elle, en Mecklenburg-Vorpommern, elle a martelé sa volonté d’accélérer les procédures d’expulsion, les reconduites à la frontière, et de traiter sans ménagement les migrants délinquants. Elle aurait sans doute aimé que la presse ne s’étende pas sur le succès foudroyant de sa politique de retour – plus de 20.000 migrants renvoyés en 2015, deux fois plus qu’en 2014, certes, mais à mettre en balance avec les entrées. En attendant, le deuxième paquet législatif (Asylpaket 2) est toujours sur le métier, les partenaires de la Grande Coalition se déchirant pour savoir à quelles conditions le regroupement familial devrait être autorisé. Cette disposition est une exception : pour les mesures concrètes, il n’est jamais question que de retour.

    En matière de tempête, la chancelière sait pouvoir compter sur un spécialiste, en la personne de son ministre fédéral de l’Intérieur, Thomas de Maizière : n’a-t-il pas commandé à la pluie et au vent, à la foudre et au tonnerre ? Les éléments, fort opportunément annoncés comme déchaînés lors du Carnaval, ont provoqué l’annulation de nombreux défilés – éliminant du même coup des occasions de chute pour nombre de débiteurs de la chancelière, à peine 400 interpellations à Cologne, la police en tirait un bilan positif. Quel dommage que la réalité météorologique n’ait finalement pas été à la hauteur… Ne pourrait-il pas, ce bon Thomas, convoquer une nouvelle tempête le 13 mars prochain, pour décourager les électeurs de se rendre aux urnes ?

    François Stecher 29/01/2016

    (*) Ndlr : Le parti populiste allemand « Alternative pour l’Allemagne »(AfD), opposant radical à la politique migratoire de la chancelière Angela Merkel, est crédité de 13% d’intentions de vote, un record pour cette formation, selon une enquête récente, cité par l’AFP.

    Revue de presse

    • Crise des Réfugiés

    Tagesschau – 07.02.2016 – L’Allemagne sous le signe de la crise des Réfugiés
    La République qui a perdu son assurance
    La confiance dans la politique des réfugiés de la Grande Coalition se dissipe rapidement depuis six mois. L’Union et le SPD réagissent avec de nouveaux durcissements de la loi et donnent d’autant plus l’impression de perdre pied.

    http://www.tagesschau.de/inland/verunsicherte-republik-101.html
    (ndT : 81% des Allemands estiment que le gouvernement a perdu le contrôle de la situation)

    Die Welt – 08.02.2016 – Défilé du Carnaval en Bavière
    Le parquet enquête contre un « Asyl Panzer »
    Lors d’un défilé du Carnaval dans la ville bavaroise de Reichertshausen, il y avait une voiture maquillée en blindé de la Wehrmacht, avec l’inscription « Défense anti-migrants d’Ilmtal » et « Asylpaket III ». Le parquet enquête.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151982746/Staatsanwaltschaft-ermittelt-gegen-Asyl-Panzer.html

    Die Welt – 09.02.2016 – Demandeurs d’asile
    Un Bundesland n’expulse quasiment pas
    Même si seulement un tiers des demandeurs d’asile sont reconnus comme réfugiés, la plupart des autres restent dans le pays. L’expulsion dépend fortement du Land. La lanterne rouge est sous le feu des critiques.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151995020/Ein-Bundesland-schiebt-so-gut-wie-gar-nicht-ab.html

    • AfD

    Die Welt – 02.02.16 – Le fondateur du parti s’exprime
    Lucke trouve l’AfD « inhumaine et insupportable »
    Bernd Lucke reproche à son ancien parti d’être xénophobe. Et il n’est pas le seul à penser qu’une limite a été franchie : les intentions de vote pour l’AfD sombrent après le débat sur l’emploi des armes.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151748021/Lucke-findet-AfD-inhuman-und-nicht-zu-ertragen.html >
    (ndT : -0,5% en une semaine, -1% en deux semaines)

    Die Welt – 02.02.2016 – Elections aux Landtage en mars
    Le SPD redoute la victoire de l’AfD lors du « Super-Wahltag »
    Le 13 mars menace d’être un dimanche noir pour le SPD. On votera dans trois Länder, trois crashs sont possibles. L’espoir repose sur les mauvaises intentions de vote en faveur de Merkel, mais l’AfD apparaît comme le grand danger.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151934753/Am-Super-Wahltag-fuerchtet-die-SPD-den-Durchmarsch-der-AfD.html

    Die Welt – 07.02.2016 – Sondages
    L’AfD reste à un niveau record, à 12%
    La déclaration controversée de la patronne du parti, Frauke Petry, à propos de l’emploi des armes à feu contre les réfugiés n’affecte en rien les résultats des sondages pour l’AfD. Un Allemand sur dix pourrait choisir actuellement de voter pour la droite populiste.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151922219/AfD-bleibt-auf-Rekordhoch-von-zwoelf-Prozent.html

    • Société allemande

    FAZ – 09.02.2016 – Peur de la violence
    De plus en plus d’Allemands se procurent une autorisation pour détenir des armes d’autodéfense
    De plus en plus d’Allemands veulent pouvoir se défendre avec un pistolet d’alarme ou une bombe au poivre. Pour autant, est-ce que cela apporte plus de sécurité, en particulier lors de grosses manifestations comme le Carnaval ? Les experts sont inquiets.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/inland/zahl-der-antraege-fuer-kleinen-waffenschein-in-deutschland-steigt-14059926.html
    (ndT : 21.000 demandes supplémentaires…)

    FAZ – 01.02.2016 – Chrétiens conservateurs
    Les Radicaux
    Catholiques et protestants conservateurs ont enfin trouvé une force politique qui leur convient : l’AfD. Ils chauffent la salle contre les réfugiés et le pape. Les nouveaux héros se nomment Poutine et Orbán. Une contribution.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/inland/putin-orban-und-afd-rechte-christen-finden-politische-heimat-14043650.html

    Etranger proche

    Die Welt – 02.02.2016 – Crise des réfugiés
    La Suède est méconnaissable
    Des hébergements brûlent, une aide aux réfugiés est poignardée, des hooligans pourchassent des demandeurs d’asile, les jeunes migrants sont des criminels : que se passe-t-il en Suède, ce pays connu pour sa société ouverte ?

    http://www.welt.de/politik/ausland/article151774661/Schweden-ist-nicht-wiederzuerkennen.html

    Kronen Zeitung – 07.02.2016 – En tête avec 31%
    Sondage dominical : le FPÖ traverse la crise des migrants, durablement au sommet
    Une nouvelle preuve que la crise des réfugiés, qui dure désormais depuis des mois, fait les affaires de « l’opposition de la liberté » pour se maintenir durablement au sommet : selon l’actuelle ATV Österreich Trend, le FPÖ serait à 31%, suivi par l’ÖVP à 25% et le SPÖ à 23%.

    http://www.krone.at/Oesterreich/Sonntagsfrage_FPOe_durch_Asylkrise_im_Dauerhoch-Mit_31_Prozent_vorn-Story-494933

    Kronen Zeitung – 09.02.2016 – Nouvelles routes d’évitement
    Prochaine vague migratoire : l’armée de terre (ndT : autrichienne) sera aussi déployée à la frontière verte !
    « Les soldats aussi devront sécuriser la frontière verte », cela est déjà planifié au ministère de la Défense pour le prochain palier dans la crise croissante des réfugiés. Avec le début du contrôle frontalier durci à Spielfeld (à partir de lundi), on s’attend à un mouvement de déroutement du flot de réfugiés vers Nickelsdorf et le Brenner ; là aussi, des mesures de sécurisation sont en préparation.

    http://www.krone.at/Oesterreich/Naechste_Asylwelle_Heer_auch_an_die_gruene_Grenze!-Neue_Ausweichrouten-Story-495216

    http://www.polemia.com/la-lettre-dallemagne-n5/

  • Les trois leçons de Cologne (article paru dans L’Action Française n°2925 du 04 février 2016)

    En un mois, les agressions sexuelles de Cologne ont plus fait “bouger les lignes” que n’importe quel discours de bon sens sur l’incapacité de l’Europe à réellement supporter un afflux massif d’immigrants. Un symbole a chassé l’autre, et le corps précis d’Aylan Kurdi a été balayé par mille ombres allemandes, qui ont fait de Cologne le visage brumeux et nocturne du danger migratoire. Cologne a tout d’abord permis de dresser, à charge et à décharge, le véritable portrait de l’immigration. Ensuite, Cologne a permis de mettre à jour les contradictions des humanistes, écartelés entre deux causes. Enfin, les nations européennes, et l’Union elle-même, ont révélé leur incapacité à traiter de façon cohérente et unanime le problème. Trois leçons majeures.

    1) Révélations

    Les agressions sexuelles de Cologne ont eu un effet de dévoilement extraordinaire à plusieurs niveaux, en faisant voler en éclats le mythe d’un “immigré bon sauvage”, fuyant un mal dont il n’était que l’innocente victime, apportant à l’Occident le trésor de son cœur et de sa science, en pointant du doigt l’étrange traitement médiatique et politique du phénomène. Quel est le portrait du vrai migrant ? Les immigrés présents en Allemagne sont majoritairement des hommes, musulmans, seuls ou isolés, qui ont laissé leur famille derrière eux (ils n’ont pas droit au regroupement familial tant que nombre de formalités ne sont pas remplies), venus surtout pour des raisons économiques (le site Atlantico déclare que « selon l’agence Frontex, 60 % des migrants arrivés en Europe en décembre 2015 sont des migrants économiques et non des réfugiés politiques ») – et donc venus de pays qui n’ont rien à voir avec des zones de guerre. Pour dédouaner les Syriens des agressions, l’Allemagne a ainsi révélé que nombre d’immigrés interrogés ou arrêtés étaient en fait algériens ou marocains, ce qui au passage écorne le mythe d’une intégration réussie. Car que se passe-t-il à Düsseldorf, juste à côté de Cologne ? Le quartier dit du “Maghreb” recèle des bandes criminelles, qui sévissent aussi à Dortmund et Essen, et dont les membres viennent du Maroc et de l’Algérie. Un quartier où la présence des Maghrébins date des années soixante-dix… Un quartier criminogène : « à Düsseldorf, 40 % des jeunes Marocains et Algériens deviennent criminels au cours des douze premiers mois de leur séjour en Allemagne, contre 0,5 % pour les Syriens » (Libération, citant l’étude “Casablanca” de la police de Düsseldorf, menée en 2014).

    Bref, un immigrant n’est pas d’emblée un citoyen comme un autre par le seul fait qu’il réside en un endroit : il apporte avec lui toute (la richesse de) sa culture, qui n’est pas celle de son lieu de résidence – sauf à habiter dans des ghettos (et encore). On s’en doutait, mais pourquoi diable cet argument est-il aujourd’hui brandi pour absoudre les immigrés ? Il y a désormais, officiellement, une sociologie différente de l’immigré allemand. Il n’est plus cette statuette vertueuse et désirable, il a repris un poids de réalité conséquent. Le voilà mal intégré, désireux de faire venir sa famille, qui l’a envoyé en mission pour ce faire dans une perspective d’immigration économique sociale. Le voilà ghettoïsé, volontairement ou non. Le voilà clandestin et malfaiteur, volontairement ou non. Le voilà inadapté. Les journaux le découvrent, le révèlent, le considèrent avec étonnement, et même un peu d’indignation. Les politiques sont surpris, et déclarent, dans les villes, les régions et les pays, qu’il lui faut bien se comporter ou qu’il devra repartir (car l’immigré se retrouve nanti d’un pays d’origine, bien identifié, facilement repérable). Le voilà individualisé, en somme : là où Aylan avait réussi à indifférencier tous les immigrants, les viols de Cologne ont réussi à leur rendre leur individualité, à fragmenter les représentations. Désormais, il y a les intégrés et les autres, les coupables et les innocents, les hommes et les femmes, les légaux et les clandestins, les désirables et ceux dont on ne veut plus. Le temps de l’illusion économique et morale est fini. [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-trois-lecons-de-Cologne