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international - Page 527

  • Politique & Eco n° 237 avec Pierre Jovanovic – Taux négatifs, assurance-vie, banques : voyage en absurdie


    Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour sa revue de presse

    1) La mort de l’assurance vie

    – Quand quatre banques sont contraintes de recapitaliser leur filiales assurance-vie
    – Toujours la folie des taux négatifs
    – Madame Lagarde : contentez vous de votre salaire, quant à votre épargne, n’y comptez pas !
    – Ambrose Evans-Pritchard (Telegraph) sur le rôle criminel des banquiers centraux
    – Le FMI découvre les effets désastreux des taux d’intérêts négatifs

    2) La fin du modèle bancaire

    – Quand les banquiers mettent en cause… le climat !
    – La banque centrale hollandaise parle d’or à tous les sens du terme
    – Une crise totalement inédite
    – Deutsche Bank, socialisation des pertes ou solidarité européenne ?
    – Les fonds de garantie en cas de faillite des banques : c’est peanuts
    – Détérioration des services bancaires, rubrique in vivo, vos rapports avec les banquiers
    – Les analyses pertinentes de Jean-Pierre Chevalier, Torquemada des bilans bancaires
    – Les effets de levier dangereux
    – BNP, SG, Natixis… aperçu des soucis bancaires
    – L’information selon BFM

    La trahison du peuple français par les députés de la République en Marche. Mondialisation de la colère populaire.

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n-237-avec-pierre-jovanovic-taux-negatifs-assurance-vie-banques-voyage-en-absurdie

  • Un observatoire des médias (trop) indépendant menacé à son tour, par Francis Bergeron

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    L’Ojim est un observatoire du journalisme, organisme indépendant, créé en 2012 à l’initiative de Claude Chollet. Son ambition est de publier en ligne des informations sur les journalistes, les groupes de presse, mais aussi – et c’est là que l’Ojim se distingue d’autres officines du même genre – sur « les conflits d’intérêts, les agendas idéologiques cachés ». De ce point de vue, son travail s’apparente davantage à celui du regretté Emmanuel Ratier qu’à un site spécialisé sur l’information des médias. Il diffuse sur Internet, via le site www.ojim.fr, et l’accès est gratuit. En huit ans, il a publié 4 000 articles, dont 220 portraits de journalistes.

    Le 9 octobre, le dénommé Ramzi Khiroun attaque l’Ojim pour « injures publiques ». L’Ojim a publié une biographie de ce monsieur Khiroun, personnage de l’ombre, que Le Nouvel Observateur a eu l’occasion de présenter comme « l’homme le plus influent de France ». Sans doute quand il travaillait auprès de Strauss-Kahn, à une époque où le coquin de ces dames était présenté comme le futur président de la République. De façon certes un peu expéditive, l’article de l’Ojim le présente comme « exécuteur des basses œuvres de DSK ». Mais on a bien compris qu’il n’y a pas là allusion aux frasques sexuelles de DSK mais à leur proximité professionnelle et donc politique, dans la lignée de ce qu’avait écrit Le Nouvel Observateur.

    Si Ramzi Khiroun a été décoré de la Légion d’honneur, remise par François Hollande en personne, on se doute bien que ce n’est pas pour avoir trempé dans les turpitudes de l’ancien ministre socialiste, mais pour des services rendus, de nature vraisemblablement politique, ces services qui lui avaient valu cette réputation d’homme le plus influent de France, de la part d’un hebdomadaire considéré comme le porte-parole officieux du Parti socialiste.

    Il n’empêche que cette simple phrase « exécuteur des basses œuvres de DSK » vaut à l’Ojim, par le biais de son directeur, d’être traîné devant les tribunaux. Khiroun réclame une condamnation à 12 000 euros d’amende et des dommages et intérêts non chiffrables, sans compter les frais d’avocat. De quoi mettre en danger l’existence même de ce site de réinformation, dont le travail repose sur un petit noyau d’animateurs. L’affaire n’est pas encore jugée, mais le risque est bien là.

    Comme l’écrit Claude Chollet, le procès qui s’annonce « s’inscrit dans un ensemble de mesures visant à faire taire toute voie dissidente ou à la rendre invisible ». Et Chollet attire l’attention sur la prise en main des réseaux sociaux pour faire disparaître les paroles non conformes. « Il faut donc passer par des voies alternatives : la newsletter, les réseaux cryptés, et sans doute le retour au papier ». C’est ce que les lecteurs de Présent ont compris, eux aussi : il est infiniment plus compliqué de censurer la presse écrite que l’information des réseaux sociaux, et de ce point de vue l’information papier, le plus cher des médias, a néanmoins encore son utilité et donc un avenir.

    Dans l’URSS totalitaire, rédacteurs et diffuseurs de samizdats avaient fini par s’imposer. La réinformation de la France du XXIe siècle pourrait nécessiter d’en passer aussi par là.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 19 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/216071/un-observatoire-des-medias-trop-independant-menace-a-son-tour-par-francis-bergeron/

  • Sommet de Nairobi : nouvel échec pour les pro-avortements

    Sommet de Nairobi : nouvel échec pour les pro-avortements

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Vingt-cinq ans après la conférence du Caire où une coalition de chrétiens et de musulmans avait empêché la reconnaissance internationale d’un droit à l’avortement, les ennemis du droit à la vie pensaient retourner la situation à la Conférence internationale sur la population et le développement (ICPD) organisée du 12 au 14 octobre à Nairobi, au Kenya, par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) ainsi que par les gouvernements du Danemark et du pays hôte.

    Pour remettre en cause le consensus qui avait été atteint en 1994 au Caire – un consensus qui reconnaît le droit à la vie et refuse la promotion de l’avortement comme méthode de planification familiale –, les organisateurs avaient commencé par exclure de la conférence de Nairobi les organisations pro-vie afin de ne laisser la parole qu’aux partisans de l’avortement dans cette réunion rassemblant les représentants de 160 Etats (contre 179 au Caire il y a 25 ans). Parmi les nombreuses victimes de ces pratiques discriminatoires, la Manif pour tous, qui fait pourtant partie des ONG dotées d’un statut consultatif auprès de l’ONU. Très peu nombreuses étaient donc les organisations pro-vie à cette conférence internationale où il devait être question de planification des naissances et de « droits reproductifs », un euphémisme qui dans le langage de l’ONU désigne généralement le droit de tuer les enfants dans le ventre de leur mère.

    Dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal, cette politique d’exclusion en amont des voix pouvant remettre en cause une déclaration finale préparée d’avance, et où il est question de droit à l’avortement et d’unions entre personnes du même sexe, a fait dire à un membre du Congrès américain, le républicain Chris Smith, que « les extrémistes de l’avortement confisquent l’ONU ». Quant au Vatican, il a tout simplement décidé de ne pas participer en raison du fait que l’« accès universel aux droits sexuels et reproductifs » avait été placé au centre des discussions. Le 8 novembre, la mission diplomatique du Saint-Siège auprès de l’ONU avait regretté « la décision des organisateurs […] de se concentrer sur quelques thèmes controversés et clivants qui ne jouissent pas d’un consensus international et ne reflètent pas le programme de l’ICPD pour la population et le développement ».

    Le 6 novembre, les évêques de plusieurs pays d’Afrique avaient estimé que la conférence des Nations unies qui allait se réunir à Nairobi serait « destructive pour l’humanité et les valeurs liées à la vie humaine ». La conférence des évêques du Kenya avait elle-même publié un communiqué condamnant les objectifs de cette conférence. Une manifestation a eu lieu le 11 novembre à Nairobi et une pétition contenant 87 000 signatures a été remise au président Uhuru Kenyatta pour lui demander de rejeter le programme de la conférence. Plusieurs parlementaires kényans ont également protesté contre le programme de la conférence et rappelé que la Constitution de leur pays garantit la protection du droit à la vie de chaque être humain dès sa conception.

    Certaines des organisations pro-vie exclues des faux débats de l’ICPD avaient organisé un sommet alternatif dans la capitale kényane, avec la participation de représentants de différents pays ainsi que du nonce apostolique. Le dernier jour du sommet de Nairobi, une vingtaine de pays, et pas des moindres, ont officiellement protesté contre la déclaration finale de l’ICPD et ont redit que le consensus international sur les droits de l’homme ne couvre pas les « droits sexuels et reproductifs » ni la notion d’avortement « sûr ». Il s’agissait des Etats-Unis, de la Russie, du Brésil, de la Pologne, de la Hongrie, ainsi que de plusieurs pays d’Amérique latine, d’Afrique et du monde musulman.

    https://www.lesalonbeige.fr/sommet-de-nairobi-nouvel-echec-pour-les-pro-avortements/

  • Grand Entretien de Pierre Yves Rougeyron partie 3 : Brexit, UE, conflits, Turquie, Trump

  • Populisme et christianisme

    Populisme et christianisme

    A la suite du dictionnaire du conservatisme, Olivier Dard, Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois viennent de publier un Dictionnaire des populismes. De Donald Trump à Vladmiri Poutine, en passant par Mateeo Salvini, Viktor Orban, Jean-Marie Le Pen ou Jair Bolsonaro, le populisme ringardise les vieux appareils politiques. Mais qu’est-ce que le populisme ? D’où vient-il ? Quels sont ses théoriciens ? Que signifie la vague planétaire qui l’incarne ? D’abstention à Zola, 260 notices et entrées rédigés par une centaine de contributeurs internationaux font de ce dictionnaire est la somme qui manquait sur la question.

    Depuis un demi-siècle, les auteurs butent sur une définition. Sans doute parce que la réalité renvoie moins à un populisme qu’à des populismes. D’où le choix assumé du pluriel pour rendre compte de la richesse, de l’épaisseur et de la diversité du phénomène : un choix qui explique aussi bien le titre de ce livre que sa forme de dictionnaire.

    La notice sur christianismes (au pluriel) alterne entre récupération de la religion chrétienne comme marqueur culturel face à l’islam et affinités entre populisme et christianisme :

    Le populisme restaure d’une manière modernisée une symbolique sacrale du pouvoir qui avait été évidée, pour reprendre une formule de Claude Lefort, par la dynamique du libéralisme politique. La conception d’un Etat neutre qui n’aurait pour fonction que d’arbitrer les conflits résultant de l’exercice de la liberté individuelle, se trouve disqualifiée par l’identification populiste faite entre l’Etat et un peuple singularisé par son héritage culturel, religieux et éventuellement ethnique propre. Cette substitution du corps du peuple aux procédures judiciaires et légales-rationnelles, garantes des droits individuels, renoue avec la construction symbolique de la monarchie sacrée. De manière analogue à la distinction entre les deux corps du roi décrite par Ernst Kantorowicz, la réthorique populiste rappelle que les titulaires du pouvoir ne sont légitimes qu’en tant qu’incarnation passagère de l’identité du peuple, ce corps immortel que l’histoire ne peut altérer.

    https://www.lesalonbeige.fr/populisme-et-christianisme/

  • Un krach plus que certain, une crise politique probable, une révolution pas impossible

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    Le CAC 40 sur le chemin des 6.000 points, au plus haut depuis douze ans, suite à un épisode supplémentaire du vaudeville de la négociation commerciale Chine/USA, alors que l’unique et seule raison est un marché abreuvé de liquidités et des taux d’intérêt ridiculement bas. « Une hausse de misère », en fait, dans des marchés de très faibles volumes, concentrée sur quelques entreprises très performantes, telles que LVMH, en hausse de 57 % depuis le début de l’année, première capitalisation de la zone euro avec une valeur en Bourse supérieure à 205 milliards d’euros !

    Les Bourses s’envolent en même temps que les risques d’explosion des bulles boursières, immobilières et obligataires avec un coefficient de Fisher cours/bénéfice à New York de 29, déjà supérieur à celui de la crise des « subprimes » de 2008. Le CAC 40 se dirige vers le record absolu des 7.000 en France de septembre 2000, avec un coefficient de 45 à New York, soit près de trois fois la moyenne annuelle séculaire de long terme de 15,2. Il y a trop de raisons, en France et dans le monde, pour qu’il n’y ait pas d’explosion économique et politique dans notre pays.

    Même si les fondamentaux sont toujours solides, l’économie allemande en panne vient juste d’échapper à la récession tandis que les investissements d’équipements ont reculé dans l’industrie, que les exportations d’automobiles en Chine et aux États-Unis sont menacées à terme. Le Japon affiche une croissance quasi nulle, avec un taux d’endettement de 250 % du PIB et une Banque du Japon qui détient, par l’intermédiaire de fonds d’investissement, 40 % des actions japonaises de la Bourse de Tokyo. La France est en faillite budgétaire depuis le 12 novembre, incapable de faire face à une hausse des taux d’intérêt et l’évolution de l’économie grecque, suite à des insuffisances structurelles, inquiète le FMI.

    Aux États-Unis, malgré la baisse des taux et la reprise du QE, le taux de croissance du PIB américain est inférieur à l’augmentation du déficit budgétaire annuel, qui a atteint 1.000 milliards de dollars, et, donc, de la dette publique, de 23.000 milliards de dollars. Quant aux profits des entreprises américaines entre 2000 et aujourd’hui, leur valeur en équivalent-or a tout simplement diminué de moitié ! Si la pauvreté, suite au libre-échange mondialiste, s’installe en Europe et frappe les « gilets jaunes », il en est de même aux États-Unis où 41,4 millions d’Américains vivent sous le seuil de pauvreté, 40 % ont comme salaire le seuil de pauvreté, tandis que 13 % des ménages américains ont des factures de retard, un tiers n’ont pas d’épargne et 40 % sont dans l’incapacité de faire face à une urgence.

    Quant au cocktail explosif de la planche à billets, des taux d’intérêt négatifs de la BCE, c’est à terme le choc systémique assuré ! Entre 2015 et 2019, la BCE a augmenté ses actifs de politique monétaire de 17 à 2.500 milliards d’euros ! L’endettement de la zone euro vient d’atteindre 10.000 milliards d’euros et la BCE en détient le quart. Les Allemands finiront, à juste titre, par taper du poing sur la table pour ne pas se laisser embarquer dans une nouvelle crise monétaire de 1923.

    Les Français doivent savoir que le FGRD, le fonds de garantie des dépôts et de résolution, c’est environ 4 milliards d’euros, soit 1 euro garanti pour 100 euros déposés en banque – autant dire zéro ! Quant à la prétendue garantie européenne des 100.000 euros par compte bancaire, le dispositif européen n’est toujours pas en place, son financement pour venir au secours des garanties nationales étant encore moins assuré. Suite à la loi Sapin 2, les retraits des contrats d’assurance-vie peuvent aussi être bloqués du jour au lendemain.

    Nous vivons une crise économique, sociologique, ethnique, morale, existentielle, politique, civilisationnelle avec une décomposition sociale en cours dans « l’archipel français ». Il importe de restaurer l’autorité avec un homme d’État fort dans un État fort. Le peuple français attend de ses dirigeants protection aux frontières, sécurité et « préférence nationale ». Si le krach économique à venir est plus que certain, une grave crise politique avec des « événements » est plus que probable, et une révolution nationale conservatrice n’est pas impossible, voire souhaitable.

    Marc Rousset

    https://www.bvoltaire.fr/un-krach-plus-que-certain-une-crise-politique-probable-une-revolution-pas-impossible/

  • Quand Trump et Erdoğan se réconcilient sur le dos de la France…

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    Les propos tenus par Emmanuel Macron, relatifs à la « mort cérébrale » de l’OTAN, n’en finissent plus de susciter la polémique ; plus à l’étranger qu’en France, d’ailleurs, tant les médias dominants demeurent, ici, frileux sur la question.

    Si Moscou s’est officiellement réjoui de cette sortie élyséenne, il en va tout autrement de deux autres capitales, Washington et Ankara, à en croire cette conférence de presse tenue par les deux présidents Trump et Erdoğan, fraîchement rabibochés.

    Le Turc se dit donc « déçu », tenant ces propos pour « inacceptables ». Et l’Américain d’embrayer : « Je pense que le président Erdoğan n’a pas vraiment apprécié et je pense que beaucoup d’autres gens ont eu la même réaction. » Il est vrai qu’à Berlin, à défaut d’être forcément « déçue », Angela Merkel semble au moins avoir été courroucée. Bref, au prochain bal des hypocrites, ces trois-là ne camperont pas dans la fosse d’orchestre.

    Pourtant, la vérité oblige à dire qu’Emmanuel Macron a tapé là où cela faisait mal. En pointant tout d’abord du doigt l’inanité de l’OTAN, organisation à peu près pertinente du temps de la menace soviétique, mais aujourd’hui devenue sans objet, si ce n’est celui consistant à accroître la vassalisation de l’Europe vis-à-vis des USA. Puis, en soulevant un autre problème, celui de la Turquie, première armée de l’OTAN, mais avec toujours un pied dehors et l’autre dedans.

    Du temps de la guerre froide, voilà qui pouvait encore avoir du sens, la diplomatie américaine visant alors à encercler l’URSS. Ce pays était, d’ailleurs, d’une importance si stratégique, que l’OTAN préféra regarder ailleurs, en 1974, lorsque Chypre, membre de cette même OTAN, fut en partie envahie par la Turquie – crise non encore résolue à ce jour.

    Plus récemment, cette organisation ferma encore les yeux devant les troubles relations entre Ankara et Daech, mouvement qu’elle soutenait plus ou moins en sous-main tout en faisant mine de le combattre. Pareillement, on ne protesta ensuite que mollement lorsque Recep Erdoğan, à la faveur de la fin de ce conflit, en profita pour tenter d’annihiler les Kurdes de Syrie. Résultat : qui a réussi à retenir le bras du nouveau sultan ? Vladimir Poutine et non point l’OTAN.

    D’où cette interrogation d’Emmanuel Macron, relative à l’article 5 de l’OTAN, lequel prévoit une solidarité militaire entre ses membres si l’un d’entre eux est attaqué : « Si le régime de Bachar el-Assad décide de répliquer à la Turquie, est-ce que nous allons nous engager ? C’est une vraie question. Nous nous sommes engagés pour lutter contre Daech. Le paradoxe, c’est que la décision américaine et l’offensive turque, dans les deux cas, ont un même résultat : le sacrifice de nos partenaires sur le terrain qui se sont battus contre Daech, les Forces démocratiques syriennes. »

    On passera évidemment sur le fait que ces dernières sont en partie composées d’anciens soldats d’Al-Qaïda. Il n’empêche que le Président français pose cette véritable question voulant que l’OTAN, si elle fut autrefois partie de la solution, aurait désormais tendance à devenir problème à part entière. Et le même de s’inquiéter de « la fragilité de l’Europe » qui, si « elle ne se pense pas comme puissance dans le monde », pourrait bien avoir vocation à « disparaître ».

    Le constat n’est pas faux et vaut tout autant pour la France. Donald Trump et Recep Erdoğan qui, eux, en véritables hommes d’État, tiennent leurs pays respectifs pour de véritables puissances politiques, ne s’y sont pas trompés en taclant de concert notre jeune Jupiter. Mais il est vrai que lui semble seulement vouloir débuter dans le métier.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/quand-trump-et-erdogan-se-reconcilient-sur-le-dos-de-la-france/

  • Les Gilets Jaunes fêtent leur premier anniversaire – Journal du vendredi 15 novembre 2019

     

    Les Gilets Jaunes fêtent leur premier anniversaire

    Pour fêter leur premier anniversaire, les Gilets Jaunes ont appelé aux rassemblements samedi et dimanche partout en France. Un retour en force pris très au sérieux par les pouvoirs publics qui s’attendent à des manifestations sous haute tension.

    Dette : des communes à l’agonie

    Alors que certaines villes sortent la tête de l’eau, d’autres communes voient leur dette exploser. Un fléau qui s’explique par de multiples raisons mais les solutions, elles, se feront au détriment des contribuables.

    Bolivie : cour d’Etat contre les indigènes

    La Bolivie s’est dotée d’une présidente par intérim en remplacement d’Evo Morales. L’état sud-américain sombre dans le chaos avec en toile de fond la mise à l’écart pure et simple des peuples autochtones.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/les-gilets-jaunes-fetent-leur-premier-anniversaire-journal-du-vendredi-15-novembre-2019

  • La belle « expertise » que voilà : Grand Merci Président Macron !

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    Mustafa Laabid (à gauche)

    Bernard Plouvier

    Selon ses habitants, vivre en Bretagne procure certains privilèges : la triade « Vent, Froidure et Pluie » - qui aura été particulièrement vive en cette année 2019, au témoignage de Bretons qui ne croient guère au « réchauffement climatique » -, mais aussi goûter aux charmes vénéneux de l’invasion progressive d’une province épargnée jusqu’au premier lustre du XXIe siècle.

    Grâce à l’excellent site d’information Breizh-Info.BZH cliquez ici, n’importe quel francophone peut suivre, jour après jour, les attaques d’honorables immigrés contre les conducteurs de bus, les viols, l’importance du trafic d’armes et de stupéfiants et, par-dessus tout, les fusillades bi ou tri-hebdomadaires de Nantes, capitale du crime et de la délinquance des immigrés du Pays Gallo. À Brest, ce sont les joyeuses flambées de voitures – comme d’ailleurs en d’autres cités bretonnes qui ont accueilli la fleur de l’Afrique.

    À Rennes, se joue un autre scenario : celui de la pourriture politicienne inutilement importée. Aux dernières législatives, le mouvement « En Marche… pour la fin de la France et l’Europe africanisée » avait offert eux Rennais un député de double allégeance franco-marocaine.

    Le sieur Mustafa Laabid, député, était Président d’une association recevant des fonds publics en principe destinés au « quartier sensible » du Blosne. Pour les non-initiés aux subtilités rennaises, ce quartier sud de la capitale bretonne est celui que l’on aborde par le périphérique Sud, au débouché des routes de Châteaubriand (sud-est… ah ! François-René, que tu as bien fait de vivre aux XVIII-XIXe, c’était sanglant, mais on était entre nous !) et de Redon (ouest)… ou que l’on évite, si l’on jouit d’un minimum de bon sens, de même que l’on évite, de nos jours, le quartier de l’Épeule à Roubaix ou celui de Wazemmes à Lille.  

    L’honorable élu macronien a détourné quelque sommes – l’aumône de la Ripoublique, son traitement misérable de député ne lui suffisant pas – pour prendre d’innocentes vacances au Maroc. Il est évident que sa condamnation par le Tribunal correctionnel (3 ans d’inéligibilité et 10 000 euros d’amende) ne le satisfait pas : comment parviendrait-il à se faire réélire ? Il se pourvoit donc en appel et c’est là que l’histoire de concussion devient amusante !

    D’abord, il accuse : sa « condamnation me pourrit mon mandat » !!! Ce n’est pas sa propre pourriture qui est en cause, mais le tam-tam journalistique entretenu par « des jaloux » qui aimeraient lui piquer sa place. Les électeurs peuvent apprécier la hauteur de vues et le sens éthique de l’élu. La conclusion de sa requête d’appel fait hurler de rire ou de honte : à cause du jugement en première instance, l’honorable élu « a du mal à faire valoir ses compétences et son expertise » ! On a bien lu !!! 

    Ah ! Grand Président Macron, l’on a toujours connu des pourritures politiciennes durant nos tristes IIIe, IVe et VRépubliques, dites « des copains et des coquins », mais où, quand et comment la Nation, seule souveraine, de l’État français a-t-elle été consultée sur l’opportunité d’engager de tels « experts » en détournements de fonds publics. Nous avions déjà nos pourris autochtones ; était-il nécessaire d’aller en chercher d’autres en Afrique ?

    Ces « quartiers sensibles », de quelle faune sont-ils peuplés ? Nous avions déjà nos délinquants made in Europa ; était-il indispensable d’en importer d’Afrique noire et maghrébine, d’Orient proche et moyen, voire des Antilles ?

    Allons, électeurs français, cela ne sert à rien de marcher contre l’islam djihadiste, religion objectivement criminelle. C’est contre l’immigration extra-européenne qu’il faut tourner les projecteurs et informer honnêtement nos concitoyens sourds et aveugles du fait d’une absurde propagande tiers-mondiste ou mondialiste.     

    L’Afrique aux Africains ! D’accord. Mais aussi l’Europe aux Européens !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/14/la-belle-expertise-que-voila-grand-merci-president-macron-6190382.html

  • Hôpital public : le mouvement social de trop ? – Journal du jeudi 14 novembre 2019

     

    Hôpital public : le mouvement social de trop ?

    A quelques semaines d’un mouvement social qui s’annonce rude avec la mobilisation de la SNCF notamment, les personnels des hôpitaux publics se mettent en branle et menacent le gouvernement face au manque de moyen dont ils se disent victime.
    La fin de l’année 2019 pourrait bien s’annoncer très compliquée pour l’exécutif.

    Trump : le show télé des démocrates

    Lancée depuis six semaines, l’enquête en vue d’une éventuelle destitution de Donald trump est entrée dans une nouvelle phase. Après une première session à huis clos, les auditions ont été retransmises en direct à la télévision avec pour but d’influencer l’opinion à l’approche de l’élection présidentielle.

    Venise sous les eaux et dans la panade

    La ville de Venise sous les eaux et dans de beaux draps. Ce joyau italien de l’Adriatique voit son existence menacée par les éléments mais aussi par le tourisme de masse et surtout par l’incapacité de finir le projet Mose qui vise à isoler la lagune.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/hopital-public-le-mouvement-social-de-trop-journal-du-jeudi-14-novembre-2019