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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°452
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Journal du jeudi 24 novembre 2016 - UE / Partis eurosceptiques : la chasse aux sorcières
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Colonel Jacques Hogard : Le général Flynn, conseiller à la sécurité de Trump – une bonne nouvelle
Le prochain conseiller à la sécurité de Donald Trump sera le général Michael Flynn. Le colonel Jacques Hogard dresse un portrait de cet officier général atypique ainsi que les perspectives que cette nomination semble ouvrir, notamment en ce qui concerne un rapprochement avec la Russie, en particulier dans le domaine du renseignement.
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Tepa sur l’élection de Trump - Meta TV 3/3
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Tepa sur l’élection de Trump - Meta TV 2/3
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Tepa sur l’élection de Trump - Meta TV 1/3
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Premier succès de Trump : le TPP est mort
Peu après la visite de Donald Trump à la Maison Blanche durant laquelle il s’est entretenu avec Obama pendant 90 minutes, la nouvelle est tombée : le TPP, ou Accord de partenariat transpacifique, serait enterré. Pour rappel, Trump a déclaré que, s’il était élu président, il «déchirerait le TPP dès le premier jour de son mandat». Quant à Obama, il escomptait bien pouvoir le promulguer avant son départ de la Maison blanche, le 20 janvier 2017. Apparemment, Trump aurait convaincu Obama d’abandonner l’accord commercial avec les douze pays riverains du Pacifique.
Au cours de la campagne électorale, Trump avait qualifié le TPP comme étant la «plus grande trahison» des travailleurs américains et avait affirmé que l’accord commercial avec l’Asie entraînerait des pertes d’emplois en Amérique. Alors qu’il n’est pas encore entré en fonction, Trump a d’ores et déjà tenu sa première promesse. Cet accord a été négocié pendant sept longues années et était l’un des «joyaux» du «pivot vers l’Asie» planifié par le gouvernement Obama, en vue de consolider l’hégémonie américaine dans la région Pacifique.
«Il n’y a aucun moyen d’améliorer le TPP», a déclaré Trump en juin dans un discours portant sur les questions économiques. «Nous avons besoin d’accords commerciaux bilatéraux. Nous ne devons pas conclure de grands accords internationaux qui nous étranglent et nous ficellent», a-t-il insisté.
Le sénateur Charles E. Schumer, probablement le nouveau patron des démocrates, qui seront dorénavant minoritaires, a informé la direction syndicale de l’AFL-CIO lors d’une réunion jeudi à Washington que le Congrès ne ratifierait pas le TPP. Le signal proviendrait de la direction des Républicains, qui sont maintenant majoritaires. Obama a probablement signé le TPP mais, sans la ratification du Congrès, il ne peut entrer en vigueur.
Obama s’est même servi du siège de Nike dans l’Oregon pour prononcer son discours défendant le TPP. C’est clair : les bénéficiaires de cet accord commercial sont tous des multinationales qui font fabriquer leurs produits dans les pays asiatiques à bas salaires, puis les importent en Amérique, comme Nike. Seulement, l’ouvrier américain n’en tire aucun profit, mais doit se contenter de les acheter au prix fort. Un programme d’exploitation typique de l’externalisation des mondialistes.
Source : http://www.journalalternativemedien.info/weltgeschehen/erster-trump-erfolg-tpp-ist-gestorben/
http://www.medias-presse.info/premier-succes-de-trump-le-tpp-est-mort/64289/
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Journal du Mercredi 23 Novembre 2016 - International / Les 100 premiers jours de Donald Trump
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Journal du Mardi 22 Novembre 2016 : International / Vers une croissance partagée ?
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La machine à formater le monde de Georges Soros
Revue brève et documentée de l'empire de la désinformation de Soros, proposée par Breizh-Info. Entrée en matière.
Georges Soros se considérant lui-même comme un « chef d’État sans État », son intérêt pour les médias comme outil métapolitique n’est pas nouveau, il remonte même à sa prime jeunesse. Selon l’un de ses biographes, le journaliste du New York Times Michael T. Kaufman, auteur de « Soros: The Life and Times of a Messianic Billionaire », Georges Soros a toujours été fasciné par le journalisme et les médias. Jeune homme, ses centres d’intérêts principaux étaient principalement « l’histoire, le journalisme et certaines formes d’écriture ». Encore étudiant, il a ainsi été le rédacteur en chef, l’éditeur et le vendeur de son propre journal le « Lupa News » dans sa Hongrie natale.
Jamais il ne se départira de cet intérêt pour le journalisme et sa capacité d’influence sur les sociétés. Dans les années 80, il appuiera ainsi les libéraux d’Europe de l’Est en faisant parvenir des photocopieuses aux cercles d’étudiants dissidents grâce à son « Open Society Foundations » (à l’époque « Open Society Institute »). Matériel leur permettant la publication de journaux clandestins et de samizdats grâce auxquels ils purent influer sur l’opinion publique des régimes communistes finissants. Il financera ainsi des fondations et des associations dans toute l’Europe centrale dans le but de former des étudiants et de leur permettre de faire de l’agitation idéologique dans les universités comme dans la société civile afin de diffuser une autre information que celle de l’État et du parti communiste. En leur distribuant des bourses pour leur formation il s’assurera une influence majeure auprès des élites libérales une fois ces étudiants en poste après la chute du communisme.
À l’heure du numérique et de l’information en temps réel, sa méthodologie est restée la même mais adaptée aux outils de communication contemporains. Cela à une échelle bien plus vaste qu’au temps des régimes communistes. Régimes qui étaient devenus après 1945 des régimes nationaux-communistes et donc des adversaires de l’idéal politique de George Soros : une société planétaire intégrée, régie par la finance et par une société civile mondiale sans États.
Pour appréhender l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias réticulaires qui foisonnent sur la toile mondiale. L’un des objectifs de la stratégie média de l’Open Society étant justement la formation et le soutien d’une myriade de journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel partout où cela est nécessaire politiquement. À un niveau local certains journalistes de ces groupes étant même inconscients de leur rôle réel en tant que maillon d’une vaste chaîne transnational de relais d’influence.
LES MILLIONS DE SOROS : MANNE INFINIE DES MÉDIAS GLOBALISTES
Non content d’avoir appuyé le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années, George Soros a surtout injecté plus de 100 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate, de son agenda et de ses objectifs politiques. Ces sommes sont à mettre en perspective avec la fortune personnelle de Soros estimée à 24 milliards de dollars selon le classement Forbes.
Le seul budget officiel de l’Open Society Foundation pour l’année 2016 est de plus de 930 millions de dollars. Ses dépenses totales depuis sa création sont estimées à plus de 13 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Comme nous le verrons plus bas, certains de ces groupes comme « New America Media » ou le « Media Development Investment Fund » sont ainsi eux-mêmes constitués de centaines d’autres médias plus petits qui n’existeraient pas sans Soros.
Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux-libertaires, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton. Voyons de plus près certains médias du camp démocrate que finance George Soros
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