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international - Page 767

  • Qui a créé l’Etat Islamique ? Donald Trump accuse Hillary Clinton et Barack Obama !

    Au cours d’un meeting à Fort Lauderdale, en Floride, Donald Trump est revenu sur les véritables responsables du développement du terrorisme djihadiste. Trump a accusé Barack Obama d’avoir semé le «chaos» au Proche-Orient, ajoutant que l’Etat Islamique fait «honneur au président Obama».

    Ensuite, Donald Trump a affirmé qu’Hillary Clinton a «co-fondé» l’Etat Islamique.

    «Il (Obama) est le fondateur de l’Etat Islamique »

    «Il est le fondateur de l’Etat Islamique, d’accord? C’est lui le fondateur! Il a créé l’Etat Islamique»

    «Je dirais que la co-fondatrice est cette tordue d’Hillary Clinton»

     

    http://www.medias-presse.info/qui-a-cree-letat-islamique-donald-trump-accuse-hillary-clinton-et-barack-obama/59506

  • Un touriste chinois perdu dans la « jungle bureaucratique » pour réfugiés en Allemagne

    Un touriste chinois visitant l’Europe a été envoyé dans un camp de réfugiés pendant deux semaines après une série absurde d’incompréhensions, d’erreurs et d’absence de communication, illustrant ce que la Croix-Rouge allemande appelle « la jungle bureaucratique » d’un pays confronté à un afflux de demandes d’asile depuis plusieurs années.

    L’homme de 31 ans, appelé « Mr. L » par l’association, s’est fait voler son portefeuille en visitant la ville de Heidelberg. Ne parlant que mandarin, il veut signaler le vol mais se rend à la mairie au lieu du commissariat. Ne parlant pas mandarin, le fonctionnaire prend  « Mr. L » pour un réfugié et lui tend une demande d’asile, qu’il remplit et signe, raconte Christoph Schlütermann, le responsable de la Croix-Rouge qui a découvert l’improbable imbroglio.
    « Il a lancé une machinerie dont il ne pouvait plus se sortir », a constaté Christoph Schlütermann après coup. Le touriste chinois est envoyé en bus dans un centrepour réfugiés à Dülmen, près de Dortmund, à 360 kilomètres.

    « Il a dit qu’il n’imaginait pas l’Europe comme ça »

    Comme pour chaque demande d’asile, la procédure est appliquée : son passeport est confisqué, ses empreintes digitales sont enregistrées, il passe un examen médical et reçoit une somme d’argent pour pouvoir se nourrir. Le ressortissant chinois ne peut pas communiquer, mais il ne fait pas de scandale. Il ne se plaint pas, ce qui explique que la situation ait pu durer aussi longtemps. Christoph Schlütermann :

    « Il semblerait qu’il y ait eu beaucoup de soumission à l’autorité de sa part. Il a simplement fait ce qu’on lui demandait ».

    Entre 2015 et 2016, 1,3 million de migrants sont arrivés en Allemagne, essentiellement en provenance de pays en guerre comme la Syrie, l’Irak et l’Afghanistan. La Croix-Rouge dit que le nombre de réfugiés chinois est minuscule en comparaison, mais il existe.
    Les bénévoles du centre pour réfugiés ont commencé à se douter que quelque chose n’allait pas en regardant le comportement de cet étranger, bien mieux habillé que ses voisins, et qui « demandait à récupérer son passeport, à l’inverse de la plupart des réfugiés ».
    C’est finalement une application traduction mandarin-allemand et l’aide d’un restaurateur chinois du coin qui aideront la Croix-Rouge à découvrir leur erreur, et ce que voulait leur dire « Mr. L » : essentiellement, je veux aller en France et enItalie, pas demander l’asile ici. Les affaires du malheureux touriste lui furent restituées, mais pas avant que les services allemands perdent son passeport, ce qui retarda encore son départ.
    La Croix-Rouge dit ne pas avoir connaissance d’un autre incident de ce type.

    « Malheureusement, l’Allemagne est un pays extrêmement bureaucratique, dit Christoph Schlütermann. Nous avons une montagne de paperasse, surtout pendant la crise des réfugiés. »

    Selon l’ONG, l’homme était content de quitter le camp de réfugiés et, fidèle à l’amabilité qu’il montra pendant presque deux semaines, remercia tout le mondepour leur aide et leur gentillesse. « C’était un moment extraordinaire, se rappelle Christoph Schlütermann. Il a dit qu’il n’imaginait pas l’Europe comme ça. »
    Lu sur Le Monde

    http://www.oragesdacier.info/

  • Déjà 30.000 attentats au nom de l’islam depuis septembre 2001 !

    Cette guerre est maintenant en voie d’implantation sur le sol français. 

    Pouvait-il en être autrement d’un journal comme Libération(Observatoire des actes islamophobes), qui nous libère essentiellement de notre bonne humeur, pour dresser un tableau des « actes islamophobes en France depuis le 14 juillet » (au moins 20, rendez-vous compte !) sous l’intitulé « Racisme » ? Nous compatissons donc avec les musulmans, et espérons que les catholiques, protestants, bouddhistes ou autres manifesteront la même solidarité à l’égard de la religion musulmane que celle-ci n’en manifesta à leur égard lors des divers massacres commis à Nice ou au Bataclan au nom de cette théologie. Notons, sur ces 20 « actes », une seule agression physique, à laquelle survécut sans trop de problèmes l’infortuné représentant de la communauté musulmane, contrairement aux 32 morts des attentats de Bruxelles (mars 2016), des 130 morts des attentats de Paris (novembre 2015) ou encore des 85 morts de Nice (juillet 2016).

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  • Attaques et pilonnages ukrainiens en Crimée: 2 soldats russes tués – Vladimir Poutine réagit

    « La Russie a subi des pertes, deux militaires ont été tués. Nous n’allons pas rester de marbre face à cette action », a prévenu le président Poutine qui annule le G20 sur la paix en Ukraine suite à cette attaque. Dans la nuit de dimanche à lundi, des unités spéciales du ministère ukrainien de la Défense ont tenté une percée en Crimée qui a avorté, alors qu’un important pilonnage à partir du territoire ukrainien soutenait l’attaque qui a causé la mort de deux militaires russes.

    Selon Vladimir Poutine cette attaque « dangereuse » n’est qu’un acte de diversion de la part du pouvoir ukrainien pour détourner l’attention des citoyens de la situation économique catastrophique dans laquelle il les a plongé.

    « Ce sont des informations très inquiétantes. C’est vrai, nos services spéciaux ont déjoué l’infiltration d’un groupe de saboteurs du ministère ukrainien de la Défense sur le territoire de la Crimée. Et bien sûr, une rencontre au format Normandie dans cette ambiance, surtout en Chine, est dénuée de tout sens »,  « Selon toute apparence, ceux qui ont pris le pouvoir à Kiev et le détiennent toujours, continuent de semer la terreur au lieu de chercher des compromis et une solution pacifique ». « Il s’agit d’un acte stupide et criminel: stupide car il est impossible d’influencer les Criméens de cette façon et criminel puisque des gens auraient pu périr — ce qui est de fait advenu. » « Pourtant, la situation est plus inquiétante qu’on ne le croit, parce qu’il n’y a aucun autre sens dans l’attaque que de distraire l’attention du public ukrainien de son économie en crise, de multiples citoyens étant en situation précaire, a-t-il poursuivi.

    Quant aux alliés occidentaux de l’Ukraine, ils doivent définir leur position et décider s’ils souhaitent un règlement pacifique ou bien faire de nouvelles provocations. Dans le premier cas, l’Occident doit faire pression en conséquence sur l’État ukrainien.

    « Grâce aux mesures prises sur le territoire criméen, un réseau du Bureau général de renseignement du ministère de la Défense des forces armées ukrainiennes a été éliminé », a annoncé pour sa part le FSB (service Fédéral de Sécurité russe). Ce réseau mis en œuvre par le ministère ukrainien de la Défense, était impliqué dans des préparatifs d’attentats, à cet effet des ressortissants d’Ukraine et de Russie, ont été interpellés. 

    Le FSB russe précise que« des infrastructures vitales pour la péninsule » étaient visées, dont l’objectif est de « déstabiliser le climat sociopolitique ».

    Dans la nuit du 7 au 8 août, les réseaux sociaux régionaux étaient déjà en ébullition, diffusant des informations parcellaires sur une attaque subie par un poste militaire russe frontalier au Nord de la Crimée. Le 8 août au matin une première information structurée apparaissait sur la toile à ce sujet, mais ce n’est que le lendemain que le FSB dénonçait les attaques, et aujourd’hui, 10 août, alors que les coupables ont été arrêtés, le président Poutine est intervenu officiellement pour dénoncer un réseau d’attentats organisé par le gouvernement ukrainien visant la Crimée, dont le bilan est de deux morts parmi les militaires russes.

    L‘État islamique est-il impliqué ?

    Il y a quelques jours Le vice-premier ministre de Crimée, Rousslan Baalbek, avait affirmé à l’occasion de la visite de la délégation française en Crimée« Nous disposons d’informations fiables concernant des camps d’entraînement situés dans l’Oblast de Kherson où le groupe terroriste de l’Etat islamique forme ses combattants. Nous sommes très préoccupés par le fait que nos homologues ukrainiens ferment les yeux sur leur activité illicite et leur permettent de former des structures parallèles au sein de l’Ukraine en échange d’actions antirusses« .

    Le Président Poutine n’a fait aucun lien pour le moment entre ces camps d’entrainement de l’État islamique en Ukraine qui seraient destinés à des « actions antirusses« , et cet attentat du 8 août contre la souveraineté de la Russie en Crimée.  Il n’est pas exclu qu’il y en ait un cependant puisque la police russe précise que des dispositifs de sécurité spéciaux sont disposés dans les lieux publics et de loisirs, les infrastructures critiques et de subsistance, ainsi que les pouvoirs le font généralement face à la menace islamiste. Cela au moment où l’aviation russe est particulièrement active en Syrie contre ses infrastructures. Les suites de l’enquête le révéleront.

    Le groupe de saboteurs a été appréhendé dans les parages de la ville d’Armiansk. L’un des organisateurs des attentats déjoués est Evgueni Panov, employé du Bureau général de renseignement du ministère ukrainien de la Défense, qui est actuellement interrogé par la police russe.

    La sécurité à été renforcée sur tout le territoire de Crimée et notamment à la frontière ukrainienne. Les accès à la péninsule sont fermés.

    Réactions en Ukraine

    L’Ukraine dément avoir mené quelque action que ce soit sur le territoire de la Crimée. Les forces de sécurité ukrainiennes (SBU) expliquaient mercredi : « L’Ukraine n’a aucunement l’ambition de récupérer par la force les territoires qui lui ont été pris. » La Crimée a demandé son rattachement à la Russie suite à un référendum en 2014.

    Selon le Monde, « le député Anton Gerachtchenko, par ailleurs fonctionnaire du ministère de l’intérieur [ukrainien ndlr], a donné sa propre explication de la fermeture des accès à la péninsule. Selon M. Gerachtchenko, connu pour ses déclarations à l’emporte-pièce, les forces russes chercheraient à empêcher la fuite de déserteurs désireux de rejoindre l’Ukraine. Ce sont ces déserteurs qui auraient provoqué des échanges de tirs avec des soldats russes. »

    Si la version de ce fonctionnaire du ministère de l’Intérieur ukrainien est effectivement très fantaisiste, elle a au moins l’avantage de reconnaître qu’il y a eu un problème grave à la frontière criméo-ukrainienne.

    « Si Kiev accuse régulièrement – et sans preuve – la Russie de chercher à« déstabiliser » la situation en Ukraine par des actes terroristes, ces accusations sont inédites venant de Moscou. De même, la tension qui règne autour de la Crimée est une donnée nouvelle », poursuit le journal qui ajoute que « Cette activité militaire et la fermeture inexpliquée des points de passage ont alimenté les craintes de la partie ukrainienne de voir un embrasement dans le sud de son territoire. »

    Ces « craintes » du pouvoir ukrainien pourraient en réalité, en plus de distraire les Ukrainiens de leur crise économique, cacher une volonté de rompre les pourparlers de paix dans le Donbass alors que Porochenko continue de faire pilonner régulièrement les républiques de Donetsk et de Lougansk, en dépit des accords de Minsk et tandis qu’il refuse de mettre en application ses propres engagements. Cette attaque ainsi que la présence d’un camp del’Etat islamique en Ukraine ne peuvent que susciter des inquiétudes pour la paix en Europe, déjà fort compromise, alors que les mouvements islamistes servent les intérêts inavoués des USA qui chapeautent l’Ukraine depuis le coup d’Etat du Maïdan. Les guerres sous faux drapeau pourraient bien encore s’étendre et risquent même de se transformer en conflit généralisé.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/attaques-et-pilonnages-ukrainiens-en-crimee-2-soldats-russes-tues-vladimir-poutine-reagit/59483

  • AFRIQUE DU SUD : APRES LES MUNICIPALES DU 3 AOUT, L’ANC EST EBRANLEE

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Les résultats définitifs des élections municipales qui viennent de se dérouler le mercredi 3 aout en République d’Afrique du Sud, confirment une tendance lourde : la nation « arc en ciel » rêvée par Nelson Mandela a du plomb dans l’aile. Première observation, si l’African national congress (ANC) avec 53,91 % des suffrages recule par rapport à la dernière échéance de ce type, c’est que Julius Malema et son parti extrémiste noir des Combattants pour la liberté économique (EFF) , compense cette différence avec plus ou moins 6 à 7 %. Rappelons que ce délicat jeune homme affublé d’un béret rouge tout comme ses partisans, a pour slogan « un Boer, une balle ! », et que son programme exige l’expropriation des fermiers blancs et la nationalisation des mines et des industries….

    UN VOTE DES CONSERVATEURS ET LIBERAUX BLANCS, MAIS UN «  VOTE UTILE »

    Seconde observation, il semble que l’électorat blanc ait massivement « voté utile » en faveur de l’Alliance démocratique – en anglais DA, Démocratic alliance – qui progresse de deux points et demi en moyenne générale, avec un score de 26,90 % .

    Troisième constat, les blancs, les métis qui parlent l’afrikaans essentiellement au Cap , et les Indiens de Durban et du Natal , ont tous donné leurs suffrages à la DA en réaction au monopole électoral de l’ANC. Il est également certains que des noirs mécontents des échecs du parti du Président ou les couches supérieures de l’électorat noir, ont apporté leur concours aux candidats de l’Alliance démocratique.

    Quatrième remarque, ce scrutin s’est régionalisé ; dans la province du Cap, 15 municipalités sur 25 ont été remportées par la Da et à Capetown cette dernière cartonne avec 66,61 % contre 24,36 à l’ANC .Explications : la province du Cap Ouest est le cœur de l’habitat métis et les blancs y représentent 25 % de la population contre une moyenne nationale de seulement 9 %. Les réussites d’Hélène Zille comme Premier ministre provincial et le fait qu’un noir Mmusi Maimane, pour la première fois, ait été porté à la tête du parti, complètent la compréhension de ce score.    

    D’INCROYABLES PERCEES ELECTORALES DANS DES FIEFS ANC

    Plus étonnante est l’incroyable victoire de la DA dans la métropole « Nelson Mandela Bay » (Port Elisabeth et sa banlieue) au Cap Est, par 46,71 % contre 40,92 % à l’ANC. Tout aussi symbolique le succès de l’opposition dans la capitale, Tshwane (Prétoria) avec 43,12 % contre 41,22 % , résultat qui explose comme un coup de tonnerre dans le ciel des apparatchiks gavés du parti gouvernemental. C’est dire le rejet de la politique de Mr Jacob Zuma (en photo ci-dessus), un Président africain qui, comme beaucoup de ses pairs hélas, confond son portefeuille avec les caisses de l’Etat ! A noter que l’Inkhata freedom party, l’IFP du chef Zoulou Gatsha Buthelezi en perte de vitesse partout dans le pays, maintient ses positions dans les zones rurales du Kwazulu-Natal, son point d’ancrage, avec environ 25 % des voix dans cette province, et plus ou moins 4,5 % au plan national.

    Il n’en demeure pas moins vrai que l’ANC avec des scores « canon » notamment dans les provinces rurales nordistes comme le limpopo ou le M’Pumalanga (68%), reste majoritaire et que l’arithmétique démographique ne joue toujours pas en faveur de la DA. Les meilleurs alliés de l’opposition restent les échecs de l’ANC qui, 22 ans après les première élections générales ouvertes à toutes les communautés, n’a toujours pas administré la preuve de ses compétences à gouverner ce vaste pays dans l’intérêt de tous, sans corruption et en toute sécurité. Il n’est pas rare d’entendre des noirs regretter l’époque où les blancs étaient aux manettes, comme beaucoup de ces derniers composent désormais, les bataillons de nouveaux pauvres. Quant aux fermiers, blancs eux aussi, qui fournissent l’essentiel des productions agricoles, ils mettent quotidiennement leur peau au bout de leur job ! Quant à l’armée, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même. Mais ceci est un autre débat….

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Coalition Clinton-néocons : la guerre de Troie aura bien lieu

    Trump a fait montre d’un insensé courage en offrant de restructurer l’Otan. Il le paye cher.

    La campagne Clinton a un objectif : faire de l’élection un référendum sur « Trump-le-fou-qui-veut-soumettre-le-pays-à-Poutine ». Par ailleurs, en faisant croire que c’était Poutine qui avait piraté le serveur du Parti démocrate « pour favoriser Trump », ils désamorcent toute nouvelle révélation de WikiLeaks sur Clinton, qui sera automatiquement discréditée.

    Force est de constater que la candidate du mondialisme est intouchable, et que l’amateur Trump commence seulement à comprendre qu’il ne s’attaque pas à une personne mais à un système puissant. Prudent, le directeur du FBI avait ainsi fait semblant d’enquêter sur Hillary Clinton, apportant toutefois suffisamment d’eau au moulin pour repasser le bébé à l’administration suivante sans trop se compromettre. Quant à la demande du Sénat d’enquêter sur les parjures de l’ancienne secrétaire d’État en séance publique, pas de nouvelles… Un juge, dans une affaire connexe, avait exigé du département d’État de remettre, avant le 21 juillet, tous les courriels échangés par le ministère avec la fondation Clinton. Réponse : les documents seront disponibles dans deux ans, faute de personnel…

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  • Sanctionner, interdire, éradiquer les No Borders, ces soutiens radicaux des migrants, voilà une urgence !

    Le point - édifiant - publié par le Figaro, le 8 août [Extraits]

    Après Calais, c'est à la frontière avec l'Italie que ces militants de l'ultra-gauche défendent la liberté de circulation. Des manifestations ont eu lieu ce week-end, certaines émaillées d'incidents.

    Les No Borders se sont une nouvelle fois fait remarquer. Cette fois-ci ce n'est pas dans le nord de la France mais à la frontière avec l'Italie, à Menton et Vintimille. Vendredi, ces militants qui prônent l'abolition des frontières avaient encadré une action de migrants qui sont parvenus à entrer de force en France avant d'être arrêtés et renvoyés en Italie. La préfecture a indiqué que 4 militants avaient été interpellés, dont l'un a été placé en garde à vue et un autre reconduit à la frontière.

    Samedi, ces mêmes militants ont participé à une manifestation de protestation à Vintimille où des échauffourées ont éclaté. Les militants assurent avoir été reçus par des tirs de gaz lacrymogènes puis pris en chasse par la police. Un policier italien a succombé à un infarctus en marge de ces heurts. « Nous avons appris le décès, de mort naturelle, de ce policier, par les médias. On n'a pas participé à ça », a indiqué dimanche un militant.

    Le climat étant monté d'un cran, une manifestation prévue dimanche à Vintimille a été annulée. « Dans le climat de répression et d'instrumentalisation actuels, faire une manifestation aurait été un suicide », a déclaré à l'AFP un des militants No Borders. « Nous ne voulons pas tomber dans le piège, et pour cela nous avons (...) opté pour un sit-in en défense des personnes ‘en voyage' qui sont enfermées » à Vintimille, ont ajouté les militants.

    Dimanche, plusieurs groupes de Français ont rejoint les militants italiens.

    À Vintimille, les No Borders veulent défendre la liberté de circulation et dénoncer un « système d'apartheid » dans la mesure où selon eux les voyageurs blancs franchissent la frontière sans encombre alors que les migrants, tous originaires d'Afrique sub-saharienne, sont bloqués.(...)

    Refus de la hiérarchie

    Ce groupuscule est apparu en Allemagne dans les années 90. Depuis 2009, il apporte un soutien inconditionnel aux migrants de Calais qui souhaitent rejoindre la Grande-Bretagne. Les activistes aident ainsi les migrants à s'installer, à entreprendre des démarches administratives et ouvrent parfois des squats pour les accueillir. D'après le ministère de l'Intérieur, qui surveille le mouvement, ces anarchistes sont d'origine française, allemande et hollandaise. La presse outre-Manche évoque également la présence de nombreux militants britanniques dans leurs rangs.

    A priori, No Border ne fait mention d'aucun organigramme et refuse le principe même d'une hiérarchie.Il s'agit davantage d'un réseau transnational d'activistes que d'un groupe véritablement organisé. Le Monde rappelait qu'il est « difficile de décrire cette mouvance dont les membres fuient la presse ». Comme l'indique leur nom, ils se battent principalement pour l'éradication des frontières et la distinction entre « citoyen et non citoyen ».

    Leur présence à Calais ? : « Un ensemble d'activités variées qui a pour but de construire la résistance face aux agressions policières, d'éveiller les consciences sur la situation calaisienne, de montrer notre solidarité avec les migrants, et tout simplement d'essayer de rendre la vie des gens un peu plus facile », lit-on sur leur blog.

    Rue 89 rapportait que les militants filmaient depuis 2009 les interventions policières, « pour avoir des preuves en cas de bavures mais surtout pour témoigner du harcèlement policier dont sont victimes les migrants et les militants ». Une compilation d'images qui ont permis à l'organisation de saisir en 2011, le Défenseur des droits, qui a enquêté sur le sujet et publié, en 2012, un rapport dénonçant des violations des droits des migrants.

    « Ils essaient d'endoctriner les migrants »

    Il n'empêche, ces activistes sont mal vus des associations locales, notamment dans le Calaisis. « Les No Borders sont une nuisance. Ils essaient d'endoctriner les migrants. (...) Pour Emmanuel Agius, premier adjoint au maire de Calais, ces « gens de bonne famille qui connaissent le droit sur le bout des ongles pour mieux contourner la loi », utilisent les migrants « pour servir leur cause ».

    Début novembre 2015, après une série de heurts avec les forces de l'ordre, le mouvement avait été critiqué par le gouvernement. « Il y a des militants No Borders qui ont été identifiés (...) qui profitent du désarroi, de la détresse de ces migrants, qui instrumentalisent cette détresse, et les poussent à faire n'importe quoi», avait indiqué sur France Info le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Pierre Henry Brandet. Pour ce dernier, ces militants « poussent les migrants à l'émeute, à des violences envers les policiers, à essayer coûte que coûte d'arrêter des camions sur la rocade pour pouvoir passer en Angleterre ».

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • En Turquie, le coup d'État et le contre coup

    Voici trois semaines qu'une tentative de coup d'État militaire a permis, par son échec, au président turc Erdogan de renforcer considérablement son emprise sur le pays. On croit savoir d'ailleurs que, s'il n'a probablement pas eu connaissance du projet de putsch suffisamment tôt pour l'empêcher, il en avait été averti, deux ou trois jours à l'avance par son homologue russe.

    Plus de 200 morts ont payé cette tentative de leur vie, des milliers d'innocents sont en train de payer la victoire présidentielle de leur liberté ou de leur carrière. Un arbitraire total préside à ce contrecoup.

    Cette démarche imprévue induit une manière de retournement total des alliances dans la région : en novembre 2015 Ankara et Moscou, ennemis héréditaires, semblaient au bord de la guerre ; mais moins d'un an plus tard ils convergent dans une même dénonciation, bien artificielle pourtant, des États-Unis et de l'Union européenne.

    Au moins la situation dramatique faite à la partie pacifique de la population et de l'opinion turques, celle qui n'est ni putschiste laïque, ni contre-putschiste islamique, aura-t-elle ainsi pour l'Europe une conséquence bénéfique. Elle aura ouvert les yeux, sinon à nos dirigeants d'États dont les paupières demeurent, pour la plupart d'entre eux, très lourdes, du moins à de nouveaux segments de l'opinion.

    "Je crois que la Turquie, dans l'état où elle se trouve, n'est pas en situation de pouvoir adhérer sous peu ni d'ailleurs sur une plus longue période". Ce jugement va se révéler fugace. Il a pourtant été clairement formulé, sur France 2 dès le 15 juillet par Jean-Claude Juncker. A noter que le président de la Commission européenne semblait s'opposer, ce jour-là, par cette déclaration à la diplomatie des États et à celle des marchands d'armes.

    L'intéressante précision qu'il apportait nous donne d'ailleurs la mesure du fossé : "Si la Turquie demain matin devait réintroduire la peine de mort, nous arrêterions immédiatement les négociations parce qu'un pays qui dispose dans son arsenal législatif de la peine de mort n'a pas sa place au sein de l'Union européenne"

    La loi abolissant le châtiment suprême dans le code pénal turc fut votée en 2002 et appliquée depuis 2004. Il s'agissait alors de se conformer aux principes européens, ou plutôt de faire semblant.

    Aujourd'hui Erdogan laisse entendre qu'il va faire machine arrière.

    Jusqu'à quand laissera-t-on cette fiction fonctionner imposant, en fait, à l'Union européenne de faire comme si un jour Ankara, au cœur de l'asiatique Anatolie, allait devenir la capitale d'un État-Membre alors même que l'insulaire Grande Bretagne, que pourtant tout rattache culturellement à notre continent s'en éloigne.

    Depuis 1945, et le ralliement de l'État turc aux formes de la démocratie, l'Histoire des coups d'État militaires dans ce pays ne manque d'ailleurs ni de pittoresque couleur locale, ni de violence, ni de mystères.

    Le plus ancien d'entre ces putsch, du temps de la guerre froide, remonte à 1960. Or, on a dû attendre un demi-siècle pour en comprendre les vrais ressorts, sachant, par exemple que le premier ministre renversé à l'époque, Adnan Menderes, allait être condamné à mort et exécuté sans avoir commis aucun crime. En Turquie comme ailleurs les morts ne parlent pas.

    On doit se représenter aussi que les militaires turcs, supposés "kemalistes", et largement laïcs, se considèrent comme "de gauche". C'est un milieu où on aime beaucoup le grand-orient de France. N'est-ce pas le 14 juillet 1889, que s'est constitué sur le modèle des loges maçonniques, le mouvement plus connu sous le nom de Jeunes-Turcs ?

    Ils sont toujours intervenus, et c'est certainement encore le cas dans la tentative ratée de juillet 2016, en se positionnant "contre la réaction". Depuis les deux révolutions jeunes-turques de 1908 et 1909 c'est l'obsession séculaire que l'on retrouve chez Mustafa Kemal, chez le général Evren en 1980, comme dans les obscures intrigues recouvertes des étiquettes Ergenekon en 2007 ou Balyoz en 2010. La "réaction" c'est évidemment à la fois la nostalgie ottomane et la religion mahométane, et tout ce qui peut tirer le pays vers l'obscurantisme proche-oriental.

    Les documents internes qui ont pu être publiés ces dernières années sur les complots antérieurs ne laissent aucun doute à ce sujet.

    Sur la récente tentative, aucun élément probant n'a encore été diffusé. Et il restera de toute évidence beaucoup de zones à explorer sur cette récente séquence où, apparemment, l'ancien chef de l'armée de l'air, le général Akin Öztürk est soupçonné d'avoir cherché à sauver la démocratie et la liberté. Les photos de cet officier montrant son visage tuméfié expliquent peut-être qu'il aurait fini par avouer le récit accusatoire officiel où demeurent failles et invraisemblances. On doit retenir que 45 % des officiers généraux de l'armée turque ont été écartés comme contre coup : les listes de proscription étaient prêtes et elles ont abouti à affaiblir et transformer radicalement la deuxième armée de l'OTAN.

    L'autre accusation qui désigne comme inspirateur Fethullah Gülen, fondateur du mouvement Hizmet, semble, elle, à ce jour, absolument dénuée de fondement. Réfugié aux États-Unis depuis 1999, sa désignation, sans aucune preuve, par Erdogan en personne comme chef du complot, ne relève pas seulement de la paranoïa de l'accusateur. “Ceux qui continuent de prêter oreille aux délires du charlatan en Pennsylvanie acceptent à l’avance ce qui leur arrivera” a déclaré Erdogan le 3 août tout en étant obligé de reconnaître que "malgré tout, j'ai le regret de ne pas avoir pu dévoiler leur vrai visage."

    Cette obstination, digne des procès staliniens des années 1930, permet d'amorcer ou d'annoncer un retournement contre l'occident et contre l'alliance atlantique, ce qui plairait bien à Vladimir Poutine. Celui-ci n'est probablement pas assez naïf pour s'y laisser prendre. Contre quel adversaire sa base de Crimée est-elle dirigée ? À quelle puissance Catherine II l'avait-elle arrachée ?

    L'insistance des relais indirects, dans les médias occidentaux, à reprendre les éléments de langage qui leur sont servis, à employer pour désigner Gülen, des mots tels que "imam", "terroriste", etc. prouve que le conditionnement marche bien.

    Méfions-nous cependant des analyses préfabriquées prévoyant une orientation qui se voudrait désormais "eurasiatique" de la politique et de l'armée turques. Cette dimension a toujours existé, la nation turque étant par excellence issue de l'Asie centrale et cousinant avec les anciennes républiques musulmanes de l'Union soviétique. Si l'on veut bien y réfléchir cependant on remarquera que l'action d'Ankara dans cette région entre en concurrence directe avec l'influence de Moscou. La Russie parle volontiers d'union eurasiatique comme d'une alternative géopolitique à l'union européenne. Mais ses partenaires fantasmés dans cet espace, la Chine comme la Turquie, sont essentiellement, séculairement, ses rivales, sinon ses ennemies. On ne doit pas confondre des convergences momentanées avec des perspectives d'alliance durable. De plus les États turcophones eux-mêmes s'opposent assez clairement aux pressions politiques du grand frère ottoman. Ainsi le Kirghizistan vient-il de répondre par la négative aux demandes de poursuites contre les écoles du mouvement de Gülen.

    Héritier d'une vieille et habile diplomatie, l'État turc sait généralement très bien déplacer ses pions sur l'échiquier international et tromper ses adversaires.

    En 20 jours d'intervalle et en dépit de son aveu du 15 juillet cité plus haut, Jean-Claude Juncker a ainsi déclaré, sans rougir, le 5 août sur la chaîne allemande ARD, que "fermer les portes de l’Union européenne à la Turquie serait une grave erreur de politique extérieure."

    Avec des interlocuteurs d'une telle nature, la Turquie d'Erdogan n'a pas grand-chose à craindre.

    JG Malliarakis

    150704"La Faucille et le Croissant"
    Islamisme et Bolchevisme au congrès de Bakou

    présenté par Jean-Gilles Malliarakis
    ••• ce livre de 225 pages au prix de 20 euros port gratuit est disponible aux Éditions du Trident
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  • Cinq témoins embarrassants pour Hillary Clinton trouvent la mort en quelques semaines

    Quand on se présente aux présidentielles américaines et qu’on traîne des casseroles multiples, heureusement qu’on a un bon génie qui s’emploie à éliminer d’une manière ou d’une autre les obstacles gênants.

    C’est ainsi que 5 personnes, dont le témoignage sous serment et les révélations dans les médias étaient de nature à mettre fin à la candidature d’Hillary Clinton, dont 2 l’auraient envoyée moisir derrière les barreaux, sont mystérieusement décédées dans des conditions plus que suspectes. Un suicidé, quand même. Pour les autres, la justice se pose des questions.

    Le hasard fait bien les choses pour cette candidate. Elle n’aura plus qu’à être élue et venir pourrir notre vie aussi avec des champignons atomiques un peu partout jusque près de chez vous. Le petit Poucet semait les cailloux, elle, Hillary Clinton, sème les morts derrière elle pour arriver au pouvoir. Chacun son style.

    Voilà les personnes qui viennent de mourir pour cette belle cause dans les 4 dernières semaines :

    • Shawn Lucas, un supporter de Sanders qui a aidé à dévoiler le trafic des 50% de voix qui étaient allées à Sanders à la DNC, mort le 2 Août 2016. Le trafic a été prouvé, ce qui rend furieux les millions d’électeurs démocrates qui avaient voté pour Sanders à la DNC et qui ont promis de ne pas voter pour Clinton le jour du vote. C’est la menace numéro 1 qui pourrait faire perdre la mégère.
    • Victor Thorn, un écrivain qui a écrit sur elle des choses pas gentilles, mort d’un suicide en Août 2016. Puni pour sa prose.
    • Seth Conrad Rich, un membre qui travaillait au Parti Démocrate âgé de 27 ans, mort sur le chemin qui le menait aux bureaux du FBI où il allait faire des révélations. L’enquête a conclu à un meurtre, le 8 Juillet 2016. De quoi se mêlait-il, celui-là ?
    • John Ashe, un membre officiel de l’ONU qui avait un rendez-vous au FBI pour témoigner contre Hillary Clinton et le parti démocrate. Lui n’a pas résisté à un éclatement de la gorge en soulevant des haltères. Ça a failli arriver à James Bond dans un de ses films. John Ashe est mort le 22 Juin 2016. Comme quoi le sport c’est dangereux, c’est pourquoi il faut en faire le moins possible.
    • Mike Flynn, (Big Government Editor for Breitbart News). L’ultime article de Mike Flynn fut publié le jour même de sa mort, et s’appelait : « L’argent des Clinton : Bill et Hillary ont créé leur propre fondation chinoise pour eux-mêmes en 2014 ». On comprendra qu’il a bien mérité son sort, le méchant. Accuser les Clinton de détournement d’argent, vous n’y pensez pas ! Mort le 23 Juin 2016.

    source: http://algarath.com/2016/08/07/morts-providentielles-protegent-hillary-clinton-5-morts-4-semaines/

    http://www.medias-presse.info/cinq-temoins-embarrassants-pour-hillary-clinton-trouvent-la-mort-en-quelques-semaines/59409

  • Il est un pays où les églises sortent de terre par milliers

    Il ne s’agit évidemment pas de la France, ancienne terre de chrétienté où, aujourd’hui, l’on détruit les églises pour les remplacer par des parkings et où les mosquées poussent comme des champignons (au demeurant particulièrement vénéneux) mais bien de la Russie qui renaît spirituellement après 70 ans d’athéisme obligatoire.

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    En effet, depuis deux décennies, c’est en moyenne mille nouvelles églises orthodoxes qui y sont construites chaque année. Depuis 2010, 5000 églises ont été ouvertes tandis que les effectifs de l’Eglise orthodoxe russe ont augmenté de 10 000 clercs !

    Par ailleurs, ce renouveau spirituel du peuple russe est encouragé par les autorités politiques du pays. Vladimir Ressine, député à la Douma (chambre basse du parlement fédéral) et membre du conseil d’administration du fonds de soutien à la construction d’églises à Moscou appelle à la construction de 600 nouvelles églises dans la capitale. Le programme en cours de réalisation prévoyant la construction de 200 églises n’est, selon lui, plus d’actualité et insuffisant car les limites administratives de la ville ont été modifiées de sorte que Moscou est aujourd’hui deux fois plus grande qu’auparavant. « Je pense ainsi : on construira à Moscou autant d’églises que cela est agréable à Dieu. » a notamment déclaré ce député. Le dit fonds de construction des églises de Moscou a réuni à ce jour 3,5 milliards de roubles (~ 50 millions d’euros) pour le financement de ses projets.

    Et pendant ce temps-là, en « douce » France…

    Baudouin Lefranc

    http://www.medias-presse.info/il-est-un-pays-ou-les-eglises-sortent-de-terre-par-milliers/59400