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international - Page 845

  • Syrie : il n'y a pas de rebelles "modérés"

    Soeur Anne-Marie est l’une des soeurs de Saint Joseph de l’Apparition, ordre qui s’occupe de l’hôpital Saint-Louis, à Alep. Elle répond à Christianophobie Hebdo :

    C

    "Vous savez, cela fait maintenant quatre ans que nous souffrons d’une situation insupportable. Nous sommes régulièrement privés d’eau et d’électricité. Nous sommes comme coupés du monde.Sachez que les djihadistes que vous appelez “modérés”, ça n’existe pas. Ce sont ces “rebelles” qui nous privent d’eau et d’électricité. En ce moment, nous avons par exemple une heure d’électricité par jour, pas une minute de plus. Ces rebelles détruisent sans cesse les installations ; le gouvernement les répare mais cela ne dure jamais longtemps. [...]

    Mais, depuis quelques jours, le sourire est revenu sur plusieurs visages : l’arrivée de l’armée russe est pour nous un véritable espoir. La Russie ne nous a jamais abandonnés dans cette guerre. Elle passe désormais à l’acte et les Aleppins sont évidemment soulagés. Ils bombardent enfin efficacement ! Je me répète : ceux que vous appelez “modérés” ne le sont pas ! Ce sont eux qui bombardent les civils Aleppins chaque jour depuis quatre ans. Peut-être que cette intervention étrangère va enfin changer notre situation, nous permettre d’espérer des jours meilleurs rapidement. [...]

    Les Américains et leur coalition n’ont cessé de bombarder pour rien ! Les Russes, en quelques jours seulement, ont ciblé des points stratégiques. Il y a des résultats, et les Aleppins sont nécessairement reconnaissants. Que dire aux Français ? Priez pour nous. Merci à ceux qui le font déjà mais surtout, ne nous oubliez ni dans vos prières ni dans vos pensées. Nous avons besoin de vous."

    Michel Janva

  • L’Arabie saoudite ne vaut pas mieux que l’État islamique

    L’Arabie saoudite est une dictature islamiste qui entretient des relations extrêmement ambiguës avec les terroristes de l’État islamique, et les autres « rebelles » qui ne valent pas mieux, tels le Front Al-Nosra ou le Front islamique.

    Le gouvernement français a beau tout faire pour exonérer le régime saoudien, rien ne pourra effacer ses crimes. Ali Mohammed al-Nimr a été condamné à mort par décapitation et crucifiement, parce qu’il a participé, en 2011, à une manifestation d’opposition à la monarchie islamiste et totalitaire saoudienne, alors qu’il n’était âgé que de 17 ans. Le grand ami de François Hollande, Salmane d’Arabie saoudite, doit ratifier sa peine de mort dans les semaines à venir. Afin de réfréner tout mouvement d’opposition dans le futur, le corps d’Ali Mohammed al-Nimr sera exposé publiquement jusqu’au pourrissement de ses chairs à titre d’exemple. Un procédé sanglant, inhumain, révoltant.

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  • Bernard Lugan prédit l’année 2017 !

    2017: le Califat du Ponant, fédérant la Libye et l’Algérie, déclenche l'opération Prophète des mers.
    En 2017, la Libye et l'Algérie sont passées sous le contrôle de Daesh qui en a fait le Califat du Ponant. Profitant du désarmement moral des Européens, les islamistes décident de l'envoi, par vagues successives, de 4 millions de migrants vers l’Europe et plus spécifiquement vers la France, nouveau dâr al-harb[1]. A bord de certaines embarcations, ont pris place des kamikazes chargés de couler les navires portant secours aux forceurs de frontières et cela, afin de déstabiliser encore davantage l'ennemi. L'opération est baptisée Prophète des mers.
    Face à cette guerre navale asymétrique, les rares frégates ultra-sophistiquées de la marine française, taillées pour la lutte de haute mer, sont débordées. A l’inverse les navires garde-côtes qui auraient dû être construits depuis longtemps afin de sécuriser les frontières maritimes, manquent cruellement. Faute de prise en compte par les autorités politiques des enjeux stratégiques vitaux que constitue la frontière maritime méditerranéenne, la marine française est impuissante.
    Au sud, harcelé le long d'un front ouvert depuis la Mauritanie à l'ouest jusqu'au Soudan à l'est, le dispositif Barkhane s'est replié sur le Burkina Faso afin de protéger la Côte d'Ivoire. Quant aux dernières réserves opérationnelles françaises disponibles après des années de déflation des effectifs, elles ont été positionnées autour de N'Djamena afin de couvrir le Cameroun. Boko Haram, un moment affaibli, a en effet refait ses forces grâce à des cadres venus de Libye, d'Algérie mais aussi de Syrie.
    En France même, alors que se déroule la campagne présidentielle, plusieurs banlieues se sont soulevées à la suite de contrôles d'identité ayant dégénéré. En raison de la dissolution de plusieurs escadrons de gendarmes mobiles opérée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les forces de l'ordre qui n'ont pas les effectifs suffisants pour intervenir doivent se contenter de boucler les périmètres insurgés. Les associations d'aide aux migrants dénoncent l' "amalgame"  et leurs mots d'ordre sont abondamment relayés par les médias. Vingt cinq mille réservistes de la gendarmerie sont rappelés cependant qu’ un peu partout, face à la passivité de l'Etat, se constituent clandestinement des groupes de résistants prêts à passer à l'action. La France est au bord de la guerre civile.
    Comment en est-on arrivé là ? Entre 2011 et 2017, conduite au chaos par l'intervention franco-otanienne, la Libye est passée de la plus totale anarchie au califat, Daesh ayant réussi à y engerber les milices. Quant au général Haftar, sur lequel la "communauté internationale" comptait pour constituer une troisième force, il n'a pas pesé lourd face aux jihadistes.  Impuissante, l'Egypte s'est illusoirement retranchée derrière un mur électronique cependant que, quotidiennement, des attentats y entretiennent un climat de guerre civile. Quant à la Tunisie, une artificielle quiétude y règne car les jihadistes qui ont besoin d'un pays-relais, se gardent de trop y tendre la situation, se contentant d'y maintenir une pression calculée. Après plus d'un demi-siècle de gabegie, de détournements de fonds publics, de népotisme et de récriminations à l'égard de l'ancienne puissance coloniale, l'Algérie, cible principale des islamistes de toutes obédiences depuis la décennie 1990, a, quant à elle, basculé dans l'islamisme à la suite d'émeutes urbaines déclenchées par l'effondrement de la rente pétrolière.
    Tel est le scénario auquel nous pourrions nous attendre à la veille de l'élection présidentielle française. Avec une Marine sans moyens, mais en première ligne face à la déferlante venue du sud, une Armée de terre aux effectifs rognés et isolée sur le rideau défensif sahélien et une Gendarmerie démotivée en raison de son alignement sur le modèle policier.
    Bernard Lugan, 07/08/2015
    [1] Pays des infidèles contre lequel les musulmans  sont en guerre jusqu'à la conversion de ces derniers.
    source

  • « Quand Daech a attaqué, les avions américains ont survolé la zone, sans intervenir »

    Mgr Hindo, archevêque syro-catholique d’Hassaké, au Nord-Est de la Syrie a répondu aux questions de l’agence de presse américaine CNS. Son point de vue est catégorique : la stratégie américaine en Syrie est « ambiguë ».

     

    L’intervention russe est « positive » car « elle cible réellement Daech »

    Au cours de cet entretien, relayé par le quotidien La Croix, l’archevêque est revenu sur les interventions américaine et russe et raconte ce qu’il a vu. Il témoigne. A son sens, l’intervention de la Russie en Syrie est « positive » car « elle cible réellement Daech ». Effectivement, il assure que les récentes frappes russes ont « démontré leur efficacité contre le groupe Daech » et auraient permis de faire battre en retraite l’organisation terroriste, vers le désert irakien. « Ils ont fui la région dans l’empressement, à bord d’environ 20 véhicules. Ils ont dû abandonner 20 autres voitures sur place. C’est le signe qu’ils ont vraiment dû battre en retraite », raconte-t-il.

    Les terroristes continuent d’agir librement, grâce à l’intervention américaine.

    S’il affirme que les frappes russes sont utiles et efficaces sont les terroristes de l’Etat islamique, il considère en revanche la stratégie américaine « inefficace et ambigüe ». Selon lui, l’intervention américaine serait faite « pour la galerie ». En outre, Washington ne bombarderait pas les groupes djihadistes mais le gouvernement syrien, assure-t-il. La conséquence ? Les terroristes continuent d’agir librement, grâce à l’intervention américaine.

    Par ailleurs, l’archevêque souligne que les Kurdes et les Russes ne peuvent à eux seuls, résoudre le conflit. Il déplore que « les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ne parlent que d’attaquer Daech, mais pas le Front al-Nosra et les autres milices islamistes liées à Al-Qaida ». Mgr Hindo garde en mémoire les frappes américaines qui n’ont pas permis d’empêcher l’enlèvement de centaines de chrétiens dans la vallée du Khabour : « La nuit du 23 février, quand Daech a attaqué, les avions américains ont survolé la zone pendant longtemps, sans intervenir, raconte-t-il. Ensuite, pendant trois jours, nous n’avons plus vu d’avions. Ils ont laissé le champ libre aux militants. Ceci nous fait penser que, d’une certaine manière, les djihadistes ont été aidés par l’attitude ambiguë des Américains ». [....]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-Daech-a-attaque-les-avions

  • L’ancien chef de la CIA contrôle la plupart des médias en Serbie

    Inimaginable il y a à peine quelques années !

    Le Fonds américain “KKR investment”, dirigé depuis octobre 2013 par le général David Petraeus (photo), ancien chef de la CIA, a mis sous son contrôle, en moins d’un an et demi, une partie importante des médias serbes, selon le portail internet “Vaseljenska”.

    Les Américains ont d’abord acheté SBB, le plus grand réseau de télévision par câble en Serbie. Ils sont devenus ensuite propriétaires de “Grand production” par lequel ils exercent un contrôle sur “Prva TV”, puis ils ont fondé le canal CNN “TV N1″, ils ont acheté des actions du portail internet du quotidien serbe “Blic”, et plus récemment, selon certaines sources, ils ont acheté dans le plus grand secret un quotidien de Belgrade.

    Le fait est que les Américains peuvent, par le plus grand opérateur par câble “SBB” et leurs médias, contrôler le flux des informations en Serbie et sont en mesure d’y fabriquer l’opinion publique.

    Comme l’a découvert le portail internet “Vaseljenska”, “KKR investment” va, dans les prochains mois, prendre formellement le contrôle des quotidiens dans lesquels il a déjà investi des ressources financières substantielles.

     

    “Bien que, dans ce cas, nous pourrions peut-être parler de concentration inappropriée ou même de monopole, les Américains ont parié sur la prise de contrôle du journal. Ils sont, en fait, convaincus qu’on ne permettra à personne dans le gouvernement [serbe] d’interdire l’achat d’un autre média … “, affirme une source du quotidien “Informer”.

    Coïncidence ou non, l’année dernière la Serbie a modifié la loi sur l’information et permis à un propriétaire de posséder à la fois des médias électroniques et imprimés, ce qui était précédemment interdit pour garantir le pluralisme des médias.
    Le ministère de la Culture et de l’Information n’a pas souhaité commenter ces révélations, et s’est borné à dire brièvement que “les nouvelles règles d’enregistrement d’un média s’appliquent dès le 13 février.”

    Avant de prendre la tête de “KKR investment”, David Petraeus a été directeur de la CIA, de septembre 2011 à novembre 2012. Auparavant, il fut commandant des forces internationales en Afghanistan et en Irak…

    Source Arrêtsurinfo

    http://www.contre-info.com/lancien-chef-de-la-cia-controle-la-plupart-des-medias-en-serbie#more-39564

  • Nous sommes à un tournant décisif dans l’équilibre des puissances

    Le monde commence à se rendre compte qu’un bouleversement dans les affaires du monde était en train de se passer le 28 Septembre, lorsque le président Poutine de la Russie a déclaré dans son discours à l’ONU que la Russie ne peut plus tolérer la politique vicieuse, stupide et vouée à l’échec de Washington qui a déclenché le chaos déversé sur le Moyen- Orient et maintenant l’Europe.

    Deux jours plus tard, la Russie a pris la situation militaire en main en Syrie et a commencé la destruction des forces de l’Etat Islamique.

    Peut-être que parmi les conseillers d’Obama, il y en a quelques-uns qui ne sont pas submergés d’orgueil et peuvent comprendre ce bouleversement. Spoutnik News rapporte que certains conseillers en sécurité de haut niveau de Obama lui ont conseillé de retirer les forces militaires de la Syrie et de renoncer à son plan pour renverser Assad. Ils lui ont conseillé de coopérer avec la Russie afin d’endiguer le flot de réfugiés qui est en train de submerger les vassaux de Washington en Europe. L’afflux de populations indésirables est en train de sensibiliser les Européens sur le coût élevé de la mise en œuvre de la politique étrangère des États-Unis. Les conseillers ont dit à Obama que l’idiotie de la politique des néoconservateurs menace l’empire de Washington en Europe.

    Plusieurs commentateurs, tels que Mike Whitney et Stephen Lendman, ont conclu, à juste titre, qu’il n’y a rien que Washington puisse faire contre les actions russes contre l’État islamique. Le plan des néoconservateurs pour une zone d’exclusion aérienne des Nations Unies sur la Syrie afin de faire partir les Russes est une chimère. Aucune résolution ne sortira de l’ONU. En effet, les Russes ont déjà établi de facto une zone d’exclusion aérienne.

    Poutine, sans aucune menace verbale, ni aucune insulte, a résolument changé l’équilibre des puissances, et le monde le sait.

    La réponse de Washington consiste à proférer des insultes, des fanfaronnades et encore plus de mensonges, dont une partie est reprise par certains de ses vassaux plus que jamais douteux. Le seul résultat est la démonstration de l’impuissance de Washington.

    Si Obama avait un peu de bon sens, il écarterait de son gouvernement les abrutis néoconservateurs qui ont dilapidé la puissance de Washington, et il se concentrerait plutôt à conserver l’Europe en travaillant avec la Russie pour détruire, au lieu de le parrainer, le terrorisme au Moyen-Orient qui envoie des vagues de réfugiés en Europe.

    Si Obama ne peut pas admettre ses erreurs, les Etats-Unis vont continuer à perdre leur crédibilité et leur prestige dans le monde entier.

    Paul Craig Roberts

    notes : 

    Par Paul Craig Roberts: Economiste et journaliste américain au Wal Street Journal entre autre, a été sous-secrétaire du Trésor dans l'administration Reagan et s'est vu discerner la Légion d'Honneur en France pour son « renouvellement de la science économique et politique.

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuuZAAlApPwzYocwn.shtml

  • Réinfo du 12 octobre 2015


    • Le couple Merkel-Hollande au Parlement de Strasbourg… Dans les pas de François Mitterrand et d’Helmut Kohl, François Hollande et Angela Merkel n’auront réussi qu’à faire mettre un pied dans la tombe, à une Europe qui n’en demandait pas tant… Analyse des discours prononcés à cette occasion.

    • Réforme des collèges. Nous vous faisions part la semaine dernière du chiffre alarmant des jeunes lycéens ne sachant ni lire ni écrire correctement. L’actualité, la manifestation des enseignants, ce samedi 10 octobre, contre la réforme du collège, et la parution du dernier numéro des enquêtes du contribuable, nous permettent d’y revenir.

    • Une manifestation berlinoise « monstre ». C’est le qualificatif employé par toute la presse mainstream pour parler de la mobilisation berlinoise contre le traité Transatlantique. Une manifestation qui a traversé la capitale allemande ce samedi 10 octobre, regroupant entre 150 000 et 250 000 participants, pour dénoncer ce traité de libre-échange, négocié dans le plus grand secret, entre les États-Unis et l’Union européenne.

    • À force de mettre la pression sur les Grecs et de menacer toute l’Europe d’un Grexit,Bruxelles a peut-être sous-estimé la réalité d’un Brexit, une sortie de la Grande Bretagne de l’Union européenne qui, sous la pression du leader charismatique de l’UKIP, Nigel Farage, a contaminé toute la classe politique britannique.

    • et, pour finir, nous détaillerons l’actualité du Parti de la France, avec les succès rencontrés par les fédérations d’Alsace et de Charente, face à la déliquescence continue des Fédérations FN et aux départs de ses cadres.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/reinfo-du-12-octobre-2015_143988.html

  • Les USA sont abasourdis. Poutine impose des lignes rouges à Israël

    Lors de sa mémorable allocution à l’ONU, le Président Poutine n’a pas mentionné Israël. Toutefois, plus tard, lors de sa conférence de presse, les choses ont pris une tournure inhabituelle. Le Président Poutine y a annoncé une relation de partage de renseignements avec le haut commandement militaire d'Israël, reposant sur ce qu'il a souligné être l’intérêt national d'Israël dans la sécurité de la Syrie. 

        Il a dit ensuite une chose surprenante. Nous devons encore discuter du problème des attaques aériennes d'Israël (sur la Syrie). 

        Avec la demande officielle du Président Assad, en conformité avec le droit international, de l'aide militaire de la Russie, la déclaration de Poutine prend une toute autre signification, surtout parce que les Russes vont déployer des défenses aériennes de pointe au-dessus de la Syrie grâce à la supériorité de leurs avions de chasse. 

        La liberté de mouvement d'Israël, qui attaque continuellement l'armée syrienne pour soutenir les forces de l’ISIS, que l’on sait à présent renforcées par au moins 800 commandos israéliens spécialement formés, pourrait bien être terminée. 

        La déclaration de Poutine, de s’occuper d’Israël et de ses attaques aériennes hors-la-loi en Syrie, a été passée sous silence par la presse mondiale. Le ton de Poutine, comme une réflexion après coup, était loin d'être bienveillant ou innocent. 

        L’une des raisons de l'Ouest d’avoir choisi de faire comme si rien de pareil n’avait été prononcé, est simple. Imaginez le président Obama se présentant devant le peuple américain au sujet de la menace russe à Israël : 

        La Russie menace Israël de représailles pour son soutien hors-la-loi à l'organisation terroriste ISIS et pour son recours à des armes et munitions US afin de l’aider à conquérir le Moyen-Orient. Les USA ne peuvent autoriser pareille ingérence russe et doivent continuer à soutenir non seulement l'État d'Israël, mais aussi les deux organisations terroristes ISIS et al Nusra, au Moyen-Orient et dans le monde, comme nous le faisons depuis des décennies. 

        Obama est sous le choc de sa déconvenue récente à propos de l'échec de son projet de formation de « rebelles modérés » dirigé en Turquie par le Pentagone. Comme l’a indiqué la presse mondiale, la deuxième fournée de diplômés s’est jointe aux terroristes avec leurs armes US modernes. 

        Or, il y a un micmac derrière cela, une affaire que nul n'a abordée. 

        Selon des initiés du Pentagone, les opérations de l'ISIS et de ses organisations sœurs sont guidées à l’extérieur par le Pentagone lui-même. Voici comment il m'a expliqué ça : 

        Vous savez que la direction du Pentagone est constituée presque exclusivement de chrétiens sionistes de la « fin des temps ». Le leadership militaire des USA estime qu'il est nécessaire que l’ISIS conquière non seulement la Syrie et l'Irak, mais aussi la Jordanie. C’est seulement quand l’ISIS prendra le contrôle de suffisamment de sites bibliques, comme Palmyre et le Second Temple de Salomon à Tadmoor, que les prophéties sur la Fin des Temps pourront se réaliser. C’est pour ça que les bombardements n’ont pas d’effet, c’est pour ça que les opérations de ravitaillement de l’ISIS sont appuyées par des largages aériens US, c'est pour ça que l’ISIS a le plein accès au renseignement US et c'est pour ça qu’Israël se sert de son armée de l'air et maintient des troupes sur le sol syrien pour aider l’ISIS. 

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