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  • Le politicien professionnel ne veut pas votre bien

    Le politicien professionnel est sans doute un mal nécessaire de la démocratie mais ce n’est ni un gentil ni un altruiste

    Par Dominique Philos.
    Un article de Témoignage fiscal

    Ex: https://www.contrepoints.org

    Les quelques réflexions qui suivent m’ont été inspirées par l’attitude de Thierry Solère, député Les Républicains, par ailleurs visé par une enquête fiscale, qui a changé « d’écurie » pour passer à LREM et qui s’est accroché à ses fonctions de questeur pour des raisons financières (doublement de l’indemnité de base de 5.600 € par mois) mais aussi de pouvoir ; et qui a dû s’incliner… de très mauvaise grâce tout en risquant finalement d’être exclu de LREM pour des petits arrangements entre amis avec Urvoas, ancien ministre socialiste de la Justice.

    Faire de la politique son métier

    Le politicien professionnel fait de la politique son activité exclusive mais reste marginal par rapport au nombre total d’élus, qui sont majoritairement des non professionnels. Or, il peut apparaître singulier de vouloir faire carrière dans un secteur qui relève en principe du seul mandat électif périodique ; lequel rend nécessairement aléatoire, en fonction du résultat des élections, toute projection de carrière.

    On connaît pourtant des politiciens professionnels qui ont eu quarante ans ou plus d’activité exclusivement politique ; ce qui justifie que l’on s’intéresse un peu à eux.

    Nul besoin de diplôme pour se lancer en politique ; il suffit d’avoir de l’audace, de l’ambition, pas trop de scrupules, une élocution aisée, une aptitude à mentir et à dissimuler.

    Le politicien professionnel cultive l’amitié politique et les réseaux essentiellement à des fins de Cursus Honorum et de pouvoir. Son ambition est d’arriver aux fonctions les plus prestigieuses et il va tout faire, une fois arrivé à la position convoitée, pour s’y maintenir.

    Les arguments du politicien professionnel pour être élu

    Le discours du politicien tourne toujours autour du même sujet et utilise toujours les mêmes arguments : Votez pour moi, je vais assurer votre bonheur et, évidemment, la population ne demande bien souvent qu’à croire aux belles promesses du politicien qui n’hésitera jamais à caresser l’électeur dans le sens du poil !

    La réalité qui se cache derrière ce discours est un peu plus nuancée… réalité qui révèle souvent une distorsion entre l’éthique affichée et des petits accommodements personnels.

    Le cadre d’action du politicien professionnel, spécialement en France, est l’État car c’est lui qui lui donne sa légitimité et ses moyens d’action tout en exploitant le besoin de protection et d’assistanat d’une partie notable de la population qui ne demande pas mieux que d’être prise en charge par un État présenté comme protecteur, de la naissance à la mort, avec un travail, une sécurité sociale, des vacances, des colonies de vacances, une retraite et un logement fournis par ce même État.

    Seulement, pas besoin de creuser bien longtemps pour s’apercevoir de la vacuité du discours car :

    Quand il promet qu’il va verser des aides sociales, il oublie juste de vous dire que ce n’est pas son argent qu’il va distribuer mais celui extorqué à d’autres, voire même, comble de l’ironie et du cynisme, à vous-même, mais le tout est de vous convaincre.

    Quand il promet des services publics gratuits, l’illusion trompeuse de la gratuité laisse à penser que le politicien œuvre pour le bien public, or si les services publics sont gratuits pour certains c’est qu’ils sont payés par d’autres ; les fonctionnaires ne sont pas des bénévoles.

    L’illusion maintenue avec l’argent public

    Quand il prévoit de financer des investissements (« ici l’État investit pour votre avenir»), il oublie juste de vous dire que ce sont vos impôts qui sont investis et que le politicien sait surtout dépenser avec prodigalité l’argent des autres ! Par ailleurs, les miracles accomplis par les politiciens se résument bien souvent à une illusion provoquée par l’escamotage des coûts réels des dépenses financées par l’impôt.

    Quand il promet la création d’emplois, en fait, il ne crée pas d’emplois, au mieux il peut seulement recruter des fonctionnaires qui ne sont pas des emplois productifsmais uniquement des emplois payés par les impôts des autres. Il peut aussi distribuer vos impôts par le biais de subventions pour attirer des entreprises susceptibles de créer ces emplois.

    Finalement, la constante est que le politicien professionnel promet beaucoup en dépensant votre argent !

    Les  buts réels du politicien professionnel

    Contrairement à ce qu’il tente de faire croire, le politicien professionnel ne veut pas votre bonheur, il veut essentiellement le sien et fera toujours passer ses intérêts avant ceux de ses électeurs. Le politicien a, avant tout, pour but le pouvoir et l’argent (et le sexe en prime, parfois) mais il préfère faire croire à son engagement altruiste ; c’est à la fois plus glorieux et plus valorisant pour son ego… souvent largement dimensionné. On a quelquefois parlé d’hubris à propos de certains.

    En outre, il n’hésitera pas à sacrifier les intérêts de ses électeurs aux siens propres notamment lorsqu’il obéit à des directives d’appareil ; même si celles-ci sont contraires à l’intérêt de ses concitoyens. Car il est avant tout dans le calcul politicien.

    Ayant accès aux fonds publics, il va utiliser, en tant qu’élu, votre argent à son bénéfice personnel d’une part pour s’assurer un train de vie tout à fait confortable(on se souvient de la gauche caviar) et d’autre part pour assurer sa réélection c’est-à -dire son maintien en place.

    Pour cela, il faut qu’il soit populaire et surtout qu’on le voit et qu’on ne l’oublie pas. Il va donc sur les plateaux télé et participe à tous les évènements médiatiques (y compris à l’enterrement d’un chanteur populaire) pour y être vu ou pour discourir de sujets dont parfois il ignore tout. Il va aussi tenter de contrôler son image et notamment acheter la presse, avec vos impôts, pour qu’elle parle de lui favorablement ; car quoi de mieux qu’une presse subventionnée et complaisante et d’autant plus complaisante qu’elle dépend du politique pour sa survie.

    La manipulation de la population

    Il n’a échappé à personne que les politiciens professionnels exploitent tous les ressorts psychologiques, et quelquefois les plus vils, des électeurs pour arriver à leurs fins (cupidité, jalousie, victimisation …). En fait, le politicien professionnel se crée une clientèle c’est-à-dire qu’il va prêcher dans le sens des idées de la fraction de la population visée afin de recevoir son assentiment ; l’électorat n’étant finalement perçu que comme un marché à conquérir (le marketing politique n’est pas un vain mot).

    La désignation de boucs émissaires et de la responsabilité des autres est aussi bien une technique classique pour attirer un électorat que pour détourner l’attention et éluder ses propres responsabilités car, vous l’aurez peut-être remarqué, mais le politicien professionnel n’a jamais tort et ne se trompe jamais ! On l’a compris : la lâcheté ou, à tout au moins, le manque de courage est aussi un de ses traits de comportement.

    Il cherchera et trouvera, au moyen d’explications simplistes, des responsables à la situation et à l’insatisfaction de sa clientèle, et, de ce fait, il n’hésitera pas à s’attaquer aux étrangers, à l’Europe, aux riches, aux banques, aux juifs fraudeurs fiscaux qui « ruinent le pays » en n’acceptant pas la spoliation, à des profiteurs hypothétiques étant entendu que les profiteurs sont toujours les autres … tout en exploitant la crédulité, les sentiments xénophobes et la peur de la population.

    Manipuler l’opinion

    La promesse de faire payer les autres, surtout les autres, ne peut d’ailleurs que recevoir l’assentiment d’une population qui rêve du « grand soir » et qui a tendance à se victimiser.

    De ce fait, il n’aura aucun scrupule à manipuler l’opinion et à mentir pour parvenir aux fonctions qu’il convoite et utilisera à cet effet toutes les ressources de la démagogie et du clientélisme (il peut même défendre des idées auxquelles il ne croit pas) ; le cynisme étant d’ailleurs un mode ordinaire de gestion du politicien qui reste, quoiqu’il arrive, un opportuniste.

    L’électeur n’apparaît finalement être, dans ce schéma, qu’un instrument, un moyen pour permettre au politicien professionnel d’arriver à ses fins car le tout c’est d’être élu !

    Le rêve du politicien est en fait de contrôler la population qui devient soumise et obéit ; ce qui est facile dans les régimes autoritaires de type URSS ou Allemagne nazie mais est évidemment plus compliqué dans les démocraties où il est nécessaire de recueillir l’assentiment, au moins passif, des populations.

    Le politicien n’a alors que deux solutions : acheter les électeurs avec l’argent… des autres en organisant des transferts autoritaires de richesse au profit de sa clientèle ou leur faire peur afin de les rendre plus réceptifs, plus malléables à son discours. L’écologie, je devrais plutôt dire l’hystérie réchauffiste, (on nous parle désormais d’urgence climatique) est l’archétype du sujet qui permet de conditionner la population pour lui faire accepter une vérité officielle et la contraindre à accepter des contraintes et des impôts qu’elle n’accepterait pas autrement.

    C’est juste une version actualisée de la carotte et du bâton.

    L’envers du décor est que le jour où il faudra solder les dettes de l’État et sa dette colossale (pour l’instant arrêtée à 2.200 mds €), ces mêmes politiciens sauront vous expliquer qu’il faut payer, mais de responsable… vous n’en trouverez pas ; car, et c’est le défaut de notre démocratie, le politicien peut faire à peu près n’importe quoi sans encourir de sanction (à part électorale), à la grande différence d’un mandataire social (gérant ou PDG de société) qui, s’il gère mal, sera révoqué très rapidement et fera probablement un séjour en prison.

    En outre, volontiers moralisateurs, les politiciens professionnels font preuve d’une bonne dose de vénalité et d’absence de scrupules. En témoigne la liste, arrêtée en 2013, de 160 politiciens de tous bords condamnés (ici).

    Rapporté au nombre total d’élus (5 ou 600.000), ce nombre est certes dérisoire mais si on le rapporte aux 577 députés et 348 sénateurs, la proportion devient alors beaucoup plus significative parce que, on omet en général de vous le dire, les politiciens condamnés sont la plupart du temps des politiciens professionnels.

    Le verrouillage du système

    Les politiciens ont su organiser le système de telle façon qu’on ne peut plus se passer d’eux et le système électoral fait qu’il suffit de recueillir l’assentiment de la plus forte minorité pour arriver au pouvoir (puisque la démocratie moderne n’est pas le gouvernement par la majorité mais bien celui de la plus forte minorité) bien aidé en cela par un système électoral à deux tours calculé pour éliminer les concurrents, éviter la dilution des votes et canaliser l’électorat !

    De plus, il est nécessairement en faveur de l’accroissement du rôle de l’État, et si vous y prêtez un peu attention vous observerez que les politiciens professionnels évoquent souvent le rôle, l’importance et les missions de l’État pour la raison qu’il va en résulter pour eux une augmentation parallèle de leur pouvoir sur la société ; lequel va leur permettre, en s’ingérant et en légiférant sur tous les aspects de notre vie, de devenir des intermédiaires ou des arbitres indispensables.

    L’opportunisme plutôt que les convictions

    En fait, si l’on y regarde bien, l’utilité du politicien est tout à fait marginale et on connaît des cas où des États ont pu fonctionner sans gouvernement et sans dommage pendant de longues périodes (en Belgique notamment pendant 18 mois).

    Opportunisme, clientélisme, ambition démesurée, veulerie et vacuité sont les traits de comportement habituels du politicien professionnel et vous pouvez lire l’article de Nathalie MP sur son site (ici). Il vous éclairera sur la réalité de la politique française et « l’engagement » de politiciens sans conviction mais opportunistes.

    Vous me direz : On ne demande pas aux politiciens d’être gentils mais d’être efficaces et compétents.

    Seulement, le problème est qu’ils sont très rarement compétents et donc, a contrario, le plus souvent sont totalement incompétents et s’en remettent aux spécialistes c’est à dire …. à l’administration.

    En fait, le politicien professionnel est le plus souvent un individu ordinaire, sans talent, sans compétence, vénal et sans scrupule qui exploite la naïveté de ses électeurs et n’hésitera pas à mentir pour justifier ses propres actions (on se rappelle la déclaration de celui-là selon laquelle « il ne pouvait pas dire la vérité aux français car ils ne comprendraient pas »).

    Finalement, bien qu’omniprésents, il ne faut surtout ne pas se faire d’illusion quant à leurs convictions et leur rôle dans la société. Le politicien professionnel est sans doute un mal nécessaire de la démocratie mais ce n’est ni un gentil ni un altruiste.

    Je ne sais pas si cela peut vous rassurer mais c’était déjà le cas sous la République Romaine du temps de Jules César. Nous n’avons visiblement pas fait beaucoup de progrès depuis.

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  • DE LA DELIQUESCENCE VERS LA DECADENCE ET LE DECLIN.

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    Pieter Kerstens

    Pendant une trentaine d’années, j’ai connu en Espagne les commémorations appelées « Los Moros y Cristianos ». Ces fêtes qui honoraient la date anniversaire des batailles entre Chrétiens et Musulmans se déroulaient chaque année sur les lieux de la délivrance des villes et des villages par les armées espagnoles tout au long de la Reconquista : de la bataille de Covadonga en 711 par le roi Pelayo jusqu’à la reconquête de Grenade à la Noël de 1492, par la reine Isabelle la Catholique et le roi Ferdinand d’Aragon.

    C’est donc en hommage à cette lutte et aux victimes de l’occupant islamiste, que durant des siècles, les municipalités ont organisé ces festivités. Mais vers les années 1980, et la montée de la démocratie totalitaire, les autorités locales et provinciales ont imposé le« politiquement correct », le « vivr’ensemble », le« Touche pas à mon pote !» et autres niaiseries destinées à culpabiliser les hispaniques et à occulter l’invasion musulmane qui occupa la péninsule pendant 8 siècles. Fin donc de ces fêtes populaires.

    La fierté espagnole en a fortement été affectée et c’est tout juste si les Espagnols n’ont pas du se repentir et se flageller pour avoir bouté les envahisseurs hors de leurs terres natales.

    Durant la période de 1980-2000, il en a été de même pour le déboulonnage des statues, le démontage des monuments, le martelage des inscriptions sur les façades, le remplacement des plaques de rues, de places, d’avenues et de boulevards, et forcément in fine, l’interdiction de commémorer le 18 juillet, date historique de l’Appel du Général Francisco Franco Bahamonde en 1936 à combattre l’hydre marxiste et les laquais du Front populaire, admirateurs de Staline, issus des élections de février 36’.

    De ces pages d’Histoire, les socialos-écolos-libéralisés espagnols ne veulent pas entendre parler !

    Et les Inquisiteurs de la Pensée Unique pourchassent sans répits nos camarades phalangistes qui, au nom de la liberté de conviction, exigent le respect des vérités historiques et le débat sur les criminels marxistes !

    Nous vivons une époque de gens sans culture, sans recul, sans profondeur, sans réflexion, qui se vautrent sans retenue dans la sensiblerie la plus vulgaire…et des rassemblements grotesques.

    Des pisses-froid engoncés dans l’aseptisé, la société « citoyenne » ; des bien-pensants bornés, des handicapés des neurones, le cul vissé devant leur télé, sans imagination, imperméables à la beauté, à la métaphore et à la poésie…

    Des ignares qui détestent qu’on leur rappelle que s’élever au-dessus de « l’état sauvage » est un combat difficile, périlleux, permanent et que pouvoir affronter la mort est salutaire, mais que nier son existence est une folie qui conduit à la violence la plus incontrôlée, comme on le constate très régulièrement dans nos banlieues et les transports publics.

    Des émasculés plus prompts à rejoindre les lobbies LGBT, les sectes véganiennes ou les cercles de défense de la mouche Tsé-Tsé, que de se précipiter au secours des ados ou des vieillards agressés par les racailles dans la rue.

    On vit un règne des minorités sectaires et dogmatiques, encensées par le pouvoir médiatico-politique.

    Les charlatans du prêt-à-penser nous imposent les éoliennes (réelle catastrophe en bilan CO2), l’interdiction de la voiture et le colmatage de la couche d’ozone dans l’atmosphère.

    Des tas de gens militent pour l’interdiction de la corrida, et c’est désespérément l’image de notre époque, tout comme ceux qui combattent le gavage des oies et la vente des Foies Gras, réelle merveille gastronomique française depuis des siècles et appréciée dans le monde entier !

    C’est l’une des tares de notre époque : interdire, supprimer, contrôler avec la bonne conscience, avec la certitude de ce que l’on désapprouve, ce que l’on ne comprend pas, et pour quoi faire ?

    Comme à Barcelone : transformer les arènes en Centre Commercial ? Quel progrès, quel symbole ?

    Temple de l’hédonisme pour petits-bourgeois. Ceux qui se drapent dans la défense des animaux et qui ne voient que la bête et le sang, ne comprennent rien. Ils sont hors sujet.

    Des fanatiques dont les sens sont tellement atrophiés qu’ils ne comprennent rien à ce qui se joue dans l’arène. On pourrait les plaindre, s’ils n’avaient pas la certitude inébranlable qu’il faut interdire la corrida.

    Le taureau est la Force, il est la Peur, il est le Courage, il est la nuit, la nature, la chance, le mystère, la vaillance, la malchance, la Vie … la Mort.

    Et la Vie est un combat contre le monde, contre les monstres, contre soi-même.

    Le sang peut couler, la peur existe et la mort guette et n’oublie personne.

    La tuerie des Ramblas à Barcelone en août 2017 est là pour nous le rappeler : l’homme est un tueur.

    Le matador sait tout cela. Il nous offre d’y penser, en mettant sa vie en jeu, avec grâce, intelligence, beauté, panache et désespoir…

    L’argent et le sexe mènent le monde. Le Pouvoir fascine et corrompt. Les salauds, les profiteurs, les charognards, les pervers et les prédateurs sont partout, comme les ignorants, les fainéants et les malfaisants. Anatole France a écrit : «  Le méchant se repose parfois. Le sot jamais. »

    C’est sûrement pour cela que les anti-corridas et les ennemis du Foie Gras sont infatigables. Et quand on additionne les deux, les méchants et les imbéciles, cela fait un sacré paquet et çà montre assez que le monde n’est décidemment pas très hospitalier.

    Les gens, peut-être pas tous, mais la plupart, sont des ordures, bien plus dangereux que n’importe quel taureau. Surtout ceux que le doute n’habite pas. Ceux qui croient dur comme fer en quelque chose, quelque soit leur croyance. Ils finissent par se transformer en Inquisiteurs de la Pensée Unique et en ayatollahs du Politiquement Correct, prêts à en faire baver à leur prochain, à l’exemple des Khmers verts qui nous imposent leurs utopies sectaires, avec un métissage à tous les étages.

    Je préférerais toujours le toréro aux crétins pleins de certitudes étriquées, aux hypocrites qui lancent des anathèmes et qui n’obéissent pas eux-mêmes à leurs règles imbéciles…

    Voyez les pourriticards du Régime !

    Ces donneurs de leçons, ces moralisateurs, religieux, politiques, tous ceux qui font semblant de savoir ce qui est bon pour les autres, ces élus qui se vautrent dans le luxe aux frais du contribuable en faisant des discours sur les sacrifices et la rigueur et qui détournent ou dilapident l’argent des impôts qui augmentent sans cesse…

    Les bons Chrétiens qui font semblant d’être indifférents à l’argent et au sexe, mais qui s’en gavent à la première occasion. Et ces bons Musulmans qui picolent en cachette et vont se taper des putes en Bulgarie ou en Thaïlande. Tous ceux-là ne s’appliquent jamais à eux-mêmes leurs préceptes si convenables et si bénéfiques.

    EUX, ils sont au-dessus ; EUX, méritent mieux ; mieux que « ceux d’en bas », mieux que les « sans-dents ».

    Ah, quelle est belle la société qu’ils nous préparent : sans voitures, sans énergie nucléaire, sans feu de bois dans l’âtre familial, sans livres d’Histoire, sans Foie Gras ni entrecôtes saignantes.

    Une société inodore, incolore, insipide et ….sans convictions, ni liberté d’expression !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron à Calais : La répétition en Marche, par Etienne Defay

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    9032-20180119.jpgIl nous étonnait depuis six mois en recyclant les vieux slogans tout en les faisant passer pour des formules innovantes et audacieuses. Il maîtrisait comme personne l’art de ménager la chèvre et le chou. Prônant le conservatisme avec Blanquer, défendant la fermeté avec Collomb tout en ménageant le laxisme avec l’affable Nicole Belloubet. Sa tournée en Afrique était dans les mêmes tons : faire acte de repentance tout en souhaitant tourner la page puis humilier un président africain dans la pure tradition françafricaine.
    Humanité et fermeté, le concept éculé

    Bernard Cazeneuve, Claude Guéant, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls… Tous ont utilisé cette formule, tous ont prôné le concept. Et tous ont occupé la place Beauvau. Emmanuel Macron n’a donc rien inventé et l’Elysée utilise des éléments de langage de premier flic. Un slogan évidemment repris par ce concept novateur qu’est la République en Marche, et nous voyons depuis quelques heures le sémillant Benjamin Griveaux le rabâcher à tous les médias sur tous les formats comme si la formule sortait de quatre heures de « brainstorming ».

    Il faut dire qu’il y avait un enjeu derrière ce déplacement calaisien. Critiqué jusque dans son propre camp et par ses amis les plus proches, Emmanuel Macron se devait d’assumer et de porter sa loi Immigration. Si l’indigence des réformes proposées n’est plus à démontrer, il y avait un symbole à défendre. Encore une guerre de communication, encore des débats ne reposant sur rien. Mais telle est la métapolitique en vogue. Opposer du vent au vent pour faire tourner les grands bras des moulins. La guerre n’est pas dans le concret, elle porte sur les sondages et les annonces. Raymond Devos armé d’un accordéon avait bien prophétisé notre Président : « Quand on tape à droite ça siffle à gauche, quand on appuie à gauche ça siffle à droite et à l’intérieur c’est du vent. »

    Tiédeur quand tu nous tiens

    En bref, notre réincarnation louis-philippesque a encore montré toute la mesure de son talent à Calais ce mardi. Tapant sur les doigts des forces de l’ordre qui n’en demandaient pas temps, il a déclaré que désormais l’Etat prendra en charge l’aide logistique et humanitaire. Au grand dam des associations pour qui Calais est devenue un argument idéologique de poids. Et des forces de l’ordre qui se sont vues réclamer davantage de déontologie. En fin de compte, l’exécutif a fait une démonstration de communication impeccable, cela le locataire de l’Elysée nous y avait habitués avec la précision et le brio qu’on lui connaît. Et puis, il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas le lui concéder. En revanche, on attend toujours les actes concrets. Par exemple, Emmanuel Macron a annoncé une prime spéciale pour les forces de l’ordre stationnées à Calais. Comment et sous quelle forme ? C’est un autre sujet.

    Le Président souffle donc le chaud et le froid en permanence, une stratégie qui n’étonne plus personne, car toute personne mélangeant de l’eau chaude et de l’eau froide connaît le résultat final : de l’eau tiède. Il en va de même pour la politique.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 18 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/209159/migrants-de-calais-la-repetition-en-marche-par-etienne-defay/

  • Trois remarques du FN suite à l’annulation du transfert vers Notre-Dame des Landes

    6a00d83451619c69e201b7c9464473970b-200wi.jpgIntéressantes remarques de Pascal Gannat, conseiller régional FN des Pays de la Loire et vice-président du groupe :

    "La décision du Président de la République Emmanuel Macron et du gouvernement d’Edouard Philippe sur le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes appelle 3 réflexions

    -L’archaïsme du fonctionnement des institutions politiques et administratives, pratiquant l’opacité sur les contrats avec VINCI, incapables de prendre les décisions nécessaires dans des délais évitant les divisions et le blocage du développement de Nantes Atlantique depuis 10 ans, ainsi que du schéma des infrastructures de circulation autour de la Métropole Nantaise et cet aéroport.

    -La tolérance inadmissible dont ont bénéficié des groupes ultra violents se disant Antifas, occupant des portions de la ZAD et saccageant régulièrement les centres villes de Nantes et de Rennes : leur évacuation et leur dissolution est un impératif de sécurité et de paix civile.

    -L’erreur politique de la majorité de la droite et du centre de Bruno Retailleau puis de Christelle Morançais qui ont fait alliance avec le PS pour soutenir NDDL, puis ont fait voter pour Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle : ils ont été balayés aux législatives dans notre région et viennent de subir une réplique de ce tsunami avec la décision de ce jour. Ce n’est pas avec Emmanuel Macron que la droite LR rebâtira une majorité dans l’avenir, y compris en Pays de Loire aux prochaines élections régionales, mais avec la Droite nationale."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Justice : Emmanuel Macron refuse d’accorder son indépendance au parquet

    Emmanuel Macron a tranché le débat sur l’indépendance de ces magistrats. Lors de l’audience solennelle de rentrée de la Cour de Cassation, lundi 15 janvier, le chef de l’Etat s’est prononcé en faveur du maintien d’une “chaîne hiérarchique” entre les magistrats du parquet et le ministre de la Justice. “Le parquet à la française se doit d’être rattaché à la garde des Sceaux, a déclaré le président. Qui pourrait assurer la politique pénale en autonomie complète ? A la fin tout doit procéder quelque part de la légitimité du peuple.”

    Fin de non-recevoir pour le CSM

    Mais pour renforcer l’indépendance des procureurs, le président de la République s’est prononcé pour l’alignement de leurs conditions de nomination sur celles des juges du siège, c’est-à-dire après avis conforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Jusqu’ici, le gouvernement n’était pas tenu de suivre l’avis du CSM pour nommer les magistrats du parquet, alors qu’il doit s’y conformer pour ceux du siège. Mais dans les faits, depuis 2012, l’exécutif a toujours suivi son avis pour les parquetiers.

    La prise de position présidentielle équivaut à une fin de non-recevoir aux plaidoyers des deux plus hauts magistrats de France, également présidents du CSM, Bertrand Louvel, premier président de la Cour de cassation, et Jean-Claude Marin, son procureur général. Tous deux avaient réclamé, en ouvrant l’audience, la fin du lien hiérarchique entre le parquet et le garde des Sceaux.

    source: francetvinfo.fr

    https://www.patriote.info/actualite/justice/justice-emmanuel-macron-refuse-daccorder-son-independance-au-parquet/

  • L’AGRIF fait condamner le raciste Bouamama

    nique-le-france_bouamama-300x300.jpgPoursuivis en 2012 pour leur CD Nique la France, le rappeur Saïd Zouggagh « Saïdou » du groupe ZEP et le « sociologue » Saïd Bouamama avait bénéficié le 28 novembre 2012 d’un article d’une rare débilité dans Les Inrocks, le torchon pseudo-culturel d’extrême gauche, signé par un certain Basile Lemaire, qui situe l’AGRIF… à droite du Front National !!! Bon, c’est vrai que quand on place Jean-François « Copé » Copelovici à l’extrême droite… Ainsi d’ailleurs que d’une pétition de soutien signé d’un ramassis, d’illustres inconnus, d’has been (Elie Medeiros, Siné) et de never be (le reste), ainsi que quelques politicards dont je me fais une joie de rappeler les noms : Olivier Besancenot, Rokhaya Diallo, Eva Joly, Noël Mamère, Clémentine Autin, Houria Bouteldja, Sergio Coronado mais aussi une certaine… Judith Butler ! Il y a beau avoir 8 tentacules différentes chez une pieuvre, quand on les remonte, on arrive à la même tête…  Relaxés le 19 mars 2015, les racistes antiblancs furent condamnés en cassation le 1er mars 2017 et le dossier renvoyé en appel. 5 ans après, le climat à changé. Parce que Charlie, parce que Hypercasher, parce que Bataclan, alors Zemmour, alors Finkielkraut, alors Lévy, et donc…

    Le 15 janvier, l’AGRIF publiait le communiqué suivant :

    « C’est une heureuse décision rendant justice à l’AGRIF que vient de rendre ce vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon. Elle a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, plainte dont elle avait été déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat. Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR (Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de l’antiracisme. Mais nous en avons démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ». L’AGRIF défend, quelle que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul fait d’être chrétien. L’arrêt de la Cour d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le racisme de l’islamo-gauchisme. »

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/lagrif-fait-condamner-le-raciste-bouamama/86342/

  • Immigration : près de 50% des Français croient au «remplacement»

    Une enquête à l'Ifop concernant le rapport des Français au «conspirationnisme» a testé différentes théories. Parmi celles recueillant le plus l'adhésion des sondés figure celle d'une «immigration comme projet politique organisé par les élites». 
    La fondation Jean Jaurès (proche du Parti socialiste) et Conspiracy Watch ont commandé une enquête à l'Ifop au sujet du «conspirationnisme». Publiée le 7 janvier, elle révèle que 79% des Français adhèrent à une «théorie du complot» et que près de la moitié de ceux-ci (48%) pensent qu'il existe une «immigration comme projet politique organisée par les élites».
    Les personnes souscrivant à cette idée du «remplacement» de population sont plus nombreuses dans la classe d'âge la plus élevée (54% chez les plus de 65 ans) que chez les plus jeunes (44% chez les 18-24 ans). 78% des sympathisants du Front national (FN) adhèrent à cette idée, ainsi que 60% des sympathisants de droite. Cette proportion est même légèrement plus forte parmi les sympathisants de la France insoumise (FI, 32%) et du PS (35%) que parmi ceux de La République en marche (30%). 
    Le détail de l'étude montre qu'une très large majorité des Français, soit 72%, considèrent l'immigration comme «un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie». Parmi les sympathisants de LREM (62%) du FN (90%) ou de la FI (61%), cette opinion est majoritaire quelle que soit la frange du spectre politique à laquelle s'identifient les sondés, seuls les sympathisants écologistes ne sont «que» 49% à y souscrire. 
    79% des Français «complotistes» ? 
    L'étude de l'Ifop s'intéresse en outre à d'autres «théories du complot», ciblant pèle-mêle l'existence de «zones d'ombre» dans l'enquête sur les attentats contre Charlie Hebdo, la croyance selon laquelle la terre est plate, que «le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde» ou encore que «le ministère de la santé est de mèche avec l'industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins». Au total, pas moins de 79% des Français adhéreraient à l'une des théories listées par l'étude. 
    Cette tendance très marquée s'accompagne d'une défiance sensible à l'égard des médias. 36% des Français pensent ainsi que ceux-ci sont «largement soumis aux pressions du pouvoir politique et de l’argent». S'ils ne sont que 17% à le penser parmi les sympathisants de LREM, ils sont 40% chez les sympathisants FN et 55% chez les sympathisants FI. 
    Cette étude a été conduite auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, complété par un échantillon de 252 personnes de moins de 35 ans, qui ont été remises à leurs poids réel au sein de l’échantillon lors du traitement statistique des résultats. Au total, 1 252 personnes ont donc été sondées.

  • Stop aux fake news sur la GPA

    6a00d83451619c69e201bb09e988be970d-250wi.jpgLa Manif Pour Tous dénonce les erreurs contenues dans une tribune publiée ce matin sur le site internet du Monde :

    "Dans une tribune publiée dans Le Monde, une centaine de personnes milite pour profiter de la révision des lois de bioéthique pour légaliser la GPA, c'est-à-dire le recours aux mères porteuses, ou à tout le moins en reconnaître les effets lorsqu'elle est pratiquée à l'étranger. En effet, la France s'honore, à juste titre, de refuser cette pratique aussi scandaleuse que dégradante, synonyme d'asservissement des femmes et de chosification des bébés qui font tous deux l'objet de contrats commerciaux.

    Non, les enfants nés par GPA ne sont pas des petits fantômes de la République !

    En intitulant leur tribune « On ne peut plus ignorer les enfants nés par GPA », les signataires laissent entendre que ces enfants seraient privés de droits. Une petite musique se fait régulièrement entendre pour dénoncer le fait qu'ils seraient des « petits fantômes de la République », sans reconnaissance ni droit. Cela est parfaitement faux. C'est ce qu'expliquait très justement Manuel Valls lorsqu'il était Premier Ministre. Dans une interview à La Croix, il qualifiait la GPA de « pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes. » « Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l'étranger » précisait-il.

    Le piège de la retranscription automatique à l'état civil

    La stratégie des militants pro-GPA est claire et s'appuie sur les enfants nés par GPA à l'étranger. La première étape consiste à obtenir la reconnaissance. C'est ce que demande les signataires de la tribune publiée ce matin dans Le Monde : « nous demandons la transcription intégrale à l'état civil français de la filiation de l'enfant établie légalement à l'étranger à l'égard de ses parents. » Cette transcription automatique est un piège destiné à demander dans un deuxième temps la légalisation de la GPA en France en arguant du fait que les GPA réalisées à l'étranger seraient 100% légales et que l'interdiction serait donc hypocrite. « On connaît la chanson. C'est la même ritournelle sur la PMA sans père » selon Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Dans son interview à La Croix, Manuel Valls décryptait parfaitement cette stratégie des militants pro-GPA : « le gouvernement exclut totalement d'autoriser la transcription automatique des actes étrangers, car cela équivaudrait à accepter et normaliser la GPA. J'ajoute qu'il est incohérent de désigner comme parents des personnes ayant eu recours à une technique clairement prohibée... tout en affirmant qu'ils sont responsables de l'éducation des enfants, c'est-à-dire chargés de la transmission de nos droits et de nos devoirs. »

    Les droits des femmes et des enfants n'ont pas de frontières : soyons ambitieux !

    Les signataires de la tribune du Monde affirment vouloir « lutter efficacement et avec détermination contre les dérives de la GPA. » Pour La Manif Pour Tous, les droits des femmes et des enfants n'ont pas de frontières. C'est parce que la GPA est une pratique scandaleuse qui instrumentalise et asservit les femmes et les enfants qu'elle est interdite en France. Pour lutter contre ce fléau et ce business sordide et lucratif, une seule solution : l'abolition universelle. C'est tout le sens des engagements de l'ancien Premier Ministre qui rappelait « la responsabilité de tous les États dans la lutte contre la commercialisation des êtres humains » et annonçait alors que la France entendait « promouvoir une initiative internationale qui pourrait aboutir, par exemple, à ce que les pays qui autorisent la GPA n'accordent pas le bénéfice de ce mode de procréation aux ressortissants des pays qui l'interdisent. » Malheureusement, ces annonces sont restées lettre morte. Alors qu'Emmanuel Macron s'est prononcé à de multiples reprises contre la GPA, il lui appartient de donner une suite opérationnelle à ces positions. Patrie des droits de l'Homme, la France doit afficher clairement ses ambitions en la matière pour défendre dans l'hexagone et à travers le monde le droit des femmes et soutenir leur dignité et celle des enfants."

    Michel Janva

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