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lobby - Page 1326

  • L’Union européenne va chercher les migrants en Afrique

    En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.
    Les arrivées de migrants provenant d’Afrique et en direction du continent européen sont en passe de subir une accélération considérable.

    Cette affirmation n’est pas l’opinion de qui voudrait alimenter les craintes de nos concitoyens, mais bien une réalité induite par l’extension aux eaux territoriales libyennes du mandat des opérations de sauvetage de l’Union européenne (mandat Sophia) : c’est à quelques milles du littoral africain que les navires, qu’ils soient italiens, danois ou britanniques, etc., vont désormais chercher les clandestins.

    La preuve ? En seulement trois jours, 13.000 clandestins ont été récupérés en Méditerranée et escortés jusqu’aux ports italiens.

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  • Comment les USA chassent la France du marché iranien…

    Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici

    On devrait se pencher plus souvent sur la presse économique, riche d’enseignements politiques, enseignements assez peu relayés par les autres médias mainstream. La preuve par le mensuel Challenges du mois d’août dernier et ce volumineux dossier intitulé « Iran, la face cachée de l’Eldorado ». Soit l’occasion pour le lecteur d’apprendre l’existence de l’UANI (United Against Nuclear Iran).

    De quoi s’agit-il ? D’une discrète officine qui, depuis fin juin, « appelle Airbus, Air France, Renault, Total, Engie, Vinci à renoncer à leurs contrats en Iran, » tout en sommant Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale de « défendre les droits de l’homme » à l’occasion de son récent voyage à Téhéran.

    Qui sont les responsables de ce puissant lobby ?

    « Un coup d’œil à la liste des fondateurs et membres du conseil de surveillance de l’UANI met en évidence des motivations moins nobles. On y trouve l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, ainsi que d’anciens patrons du Mossad, Tamir Pardo et Meir Dagan (décédé en mars dernier), dont le mandat avait été marqué par l’assassinat ciblé de scientifiques iraniens. »

    Et le mensuel en question de révéler, citant « un ponte français de l’intelligence économique » : « Cette ONG est le faux nez des faucons américains et de leurs alliés de la ligne dure du Likoud israélien. C’est organisé par une vingtaine de types à peine, mais après le traumatisme de l’amende de BNP Paribas, ça peut faire du dégât. »

    À ce titre, on rappellera que cette banque avait dû s’acquitter d’une amende record de neuf milliards pour avoir « violé » l’embargo unilatéralement décidé par les USA sur l’Iran…

    Il y a effectivement de quoi faire peur aux plus grandes entreprises françaises, ce d’autant plus qu’elles savent n’être que de loin protégées par la diplomatie élyséenne. Exemple ? Le groupe PSA, récemment obligé, sous pression de General Motors, son actionnaire américain et minoritaire, de rompre le contrat historique le liant au groupe Khodro, géant de l’automobile iranienne, à la grande indifférence de notre gouvernement et au ravissement des constructeurs d’outre-Atlantique qui en profitèrent alors pour prendre notre place…

    Pis, les gigantesques transactions financières qu’impliquent de tels accords commerciaux demeurent encore et toujours, de près ou de loin, soumis au contrôle bancaire américain. D’où la nécessité pour la France de faire transiter ses fonds par de complexes réseaux pouvant impliquer Dubaï, la Chine ou la Russie ; ce qui implique un important surcoût financier et une évidente baisse de compétitivité pour les entreprises tricolores.

    En attendant, que fait l’État ? Quel État, au fait ? Le nôtre ? Quand on voit celui dans lequel il se trouve, on comprend mieux. Et quand on constate celui des instances européennes, on ne comprend que trop bien…

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  • Parents d'élèves dans l’Enseignement Catholique sous contrat, vous êtes libres

    Jérôme Malcouronne – Président « Parents Pour l’Ecole » communique :

    6a00d83451619c69e201b8d2184c78970c-200wi.png"Cette rentrée n’est pas une rentrée comme les autres.

    Pour la première fois de son histoire, l’école de France est menacée en son intégrité par la violence terroriste.

    Pour la première fois de son histoire, le Ministère de l’Education Nationale impose à toute une classe d’âge une réforme qui ne fut ni votée, ni discutée.

    Pour la première fois de leur histoire, les enseignants sont appelés à être des auxiliaires en informatique permettant à chaque élève de manipuler une tablette qu’ils ne connaissent que trop.

    Face à ce démembrement, nous, «Parents Pour l’Ecole», appelons tous les parents de bonne volonté à nous rejoindre pour dire non.

    Non à une école faussement sécurisée et qui ne protège pas ses enfants.

    Non à une réforme imposée par simple décret.

    Non à une pédagogie qui remplace le tableau par la tablette.

    Attachés à l’anthropologie chrétienne et au bien commun, nous défendons la liberté éducative des parents et voulons promouvoir la transmission des savoirs : il est temps de remettre l’élève à sa table et le professeur sur l’estrade.

    Vous êtes parents d’un ou de plusieurs élèves dans l’Enseignement Catholique privé sous contrat: vous êtes libres ! Vous pouvez adhérer à notre association directement en ligne à hauteur de 5 euros par famille et par année scolaire en allant sur www.parentspourlecole.fr.

    Nous voulons faire entendre une autre voix au niveau national et porter des projets différents.

    Votre adhésion à «Parents Pour l’Ecole» ne vous empêche pas de verser un don à l’association locale de parents d’élèves.

    Pour nous joindre, vous pouvez nous adresser un mail à l’adresse suivante: assoparentspourlecole@gmail.com."

    Michel Janva

  • « La Langue des médias » d’Ingrid Riocreux

    « La désinformation n’est pas l’objet du présent ouvrage : ce qui compte pour nous, c’est la manière dont le Journaliste met en scène le réel pour qu’il entre dans les cases préconçues de sa pensée. Il regarde le monde avec des lunettes qui le lui montrent tel qu’il veut le voir ».

    La Fondation Polémia peut se flatter d’avoir été depuis une vingtaine d’années en pointe dans l’analyse critique du monde des médias : l’ouvrage La Tyrannie médiatique, la cérémonie des Bobards d’Or, les Journées de réinformation en sont le vivant témoignage. Et si l’on tient compte de surcroît de tous les autres acteurs de laréinfosphère qui, chacun à sa manière, participent au même combat, l’on peut avoir tendance à penser que le sujet a été largement épuisé.

    Le livre d’Ingrid Riocreux La Langue des médias/Destruction du langage et fabrication du consentement est donc une excellente surprise, car il montre qu’une forte conviction soutenue par un esprit rigoureux peut faire progresser la réflexion, sans verser dans la caricature ou le sectarisme.

    Que nous dit en effet Ingrid Riocreux ? Qu’il est aisé de faire des gorges chaudes de l’inculture générale des journalistes, de leur maniement plus qu’approximatif de la langue française, de leur attitude inquisitoriale à l’égard de leurs « invités » lorsque ceux-ci ont le front de mettre en cause les idées reçues, de leur art consommé du mensonge et de la désinformation.

    L’auteur ne se borne pas à illustrer son propos par un florilège de citations savoureuses et à rappeler certaines opérations de manipulation de l’opinion : ce volet de l’ouvrage – qui a dû requérir un minutieux travail d’inventaire – est certes présent et en rend la lecture très fluide.

    Mais le propos est plus ambitieux et surtout plus grave : il s’agit de montrer qu’au-delà des imperfections de langage qui ne sont que le reflet de l’abaissement général du système éducatif, les Journalistes sont au service d’une idéologie, celle de la pensée dominante. Ils sont « les gardiens du Code ».

    Mme Riocreux n’a évidemment aucune difficulté à étayer son exposé d’exemples de « traitement de l’information » tous plus éloquents les uns que les autres : l’immigration, le racisme et l’antisémitisme, la Manif’ pour Tous, l’Ukraine et bien entendu l’islam, il n’y a qu’à se baisser pour ramasser…

    Ainsi naît cette langue des médias, véritable mise en scène du réel, qui va de proche en proche conduire l’auditeur ou le téléspectateur à se persuader que « c’est vrai puisqu’ils l’ont dit à la télé ».

    Je laisse le soin au lecteur de découvrir les attributs et les nombreux avatars de ce langage, dont le caractère « déglingué » facilite paradoxalement l’efficacité du conditionnement de l’opinion, cette « fabrication du consentement » que l’auteur évoque dans le sous-titre de son ouvrage.

    En filigrane des riches développements théoriques et illustratifs consacrés à l’analyse de cette langue, deux points ont retenu mon attention :

    En premier lieu, Ingrid Riocreux souligne que son intention, louable au demeurant, est de se situer dans un moyen terme entre la paranoïa et la naïveté. Autrement dit, il faut garder du recul vis-à-vis de l’idée d’un « complot du quatrième pouvoir », mais être bien conscient que les techniques de manipulation existent bel et bien, et que les médias en sont souvent l’instrument : s’il ne faut retenir qu’un seul exemple de cette vérité, celui de la « photo du petit Aylan » suffit à suppléer à d’abondants discours.

    A cet égard, l’auteur exprime l’opinion que les journalistes sont eux-mêmes manipulés par des forces qui les dépassent. C’est une idée qui comporte sa part de vérité : les annonceurs qui apportent la manne publicitaire, les grands groupes financiers et économiques qui possèdent une bonne partie de la presse écrite et audiovisuelle, l’Etat sont des acteurs avec lesquels il faut compter, et qui véhiculent l’idéologie libérale-libertaire elle-même au cœur de la pensée dominante.

    Cependant, sauf à penser que les journalistes sont uniquement motivés par l’appât du lucre et peu enclins à mordre la main qui les nourrit, il est plus réaliste de reconnaître que tout le Système, notamment le processus de formation des apprentis journalistes, communie d’emblée avec la bien-pensance générale. Par conséquent, le monde médiatique, comme nous le répétons sans relâche, n’est ni Grand Manipulateur, ni esclave docile : il est l’un des exécutants dans le concert de l’orchestre mondialiste et cosmopolite.

    Enfin, une citation mérite que l’on s’y arrête un instant : « …le seul censeur du Journaliste, c’est le Journaliste lui-même. Et cette autocensure est essentiellement morale. […] C’est un conditionnement d’ordre éthique et, partant, idéologique. […] Les médias de réinformation ne fonctionnent pas autrement, seul diffère le soubassement idéologique. Et les uns comme les autres finissent par voir les choses telles qu’ils les disent. Ce n’est pas grave, c’est même inévitable. Mais que l’on n’aille pas prétendre que l’actualité s’écrit toute seule par l’entremise d’un Journaliste réduit au rôle de scribe » (p. 283).

    La dernière phrase hors de son contexte donne l’impression que ce sont les médias de réinformation qui prétendent à la « neutralité axiologique » du journaliste. Lorsqu’on lit l’ensemble de l’ouvrage, il apparaît que l’auteur est loin d’être hostile à l’action de réinformation et que le reproche s’adresse en fait à ceux qui prennent la défense des médias dominants en niant leur imprégnation par l’idéologie libérale-libertaire. Cela dit, rien ne nous interdit de faire notre profit de la leçon de modestie de Mme Riocreux, même si nous ne cherchons pas, et de loin, à nous parer du titre de « journaliste », et même si le démantèlement des bastions médiatiques de la pensée dominante n’est pas pour demain.

    Bernard Mazin, 25/08/2016

    Ingrid Riocreux, La Langue des médias/Destruction du langage et fabrication du consentement, Editions de l’Artilleur/Toucan, mars 2016, 334 pages.

    http://www.polemia.com/la-langue-des-medias-dingrid-riocreux/

  • Le journal du Vendredi 2 septembre 2016 - Immigration / France : La porte ouverte

  • Kosovo : les chrétiens persécutés par les musulmans

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "Des centaines d’hommes albanais ont violemment manifesté dans plusieurs villes du Kosovo-et-Métochie – République autoproclamée du Kosovo – et lancé des slogans appelant à « brûler les Serbes et leurs églises » le dimanche 28 août, jour où les Serbes orthodoxes célèbrent la « Dormition » de la Vierge Marie (Assomption chez les catholiques). Des orthodoxes ont été empêchés de se rendre dans leurs églises pour cette fête, leurs véhicules caillassés… Le bureau du représentant spécial de l’Union européenne de Pristina, en Kosovo-et-Métochie, s’est dit « préoccupé par ces incidents »… La République autoproclamée du Kosovo (musulmane à 95 %) est candidate à l’adhésion à l’Union européenne."

    Voilà ce qui se passe lorsque les musulmans deviennent majoritaires.

    Michel Janva

  • Discrimination dans le racisme opéré par l’Éducation nationale

    Madame Vallaud-Belkacem, voulez-vous vous battre contre le racisme ou contre la France ?
    Et voilà la rentrée scolaire qui approche à grands pas. Nul doute que cette année sera la plus décisive pour madame Najat Vallaud-Belkacem : il va lui falloir frapper un grand coup pour faire rentrer aux forceps dans nos chères têtes blondes (pardon ! brunes, rousses et châtains… et même blanches, car certaines personnes reprennent tardivement le chemin de l’école : évitons les discriminations !) toutes les idéologies gauchistes et maçonniques, dans les derniers hoquets du sanglant quinquennat de monsieur Hollande.

    Allons donc voir sur le site de l’Éducation nationale ce qu’elle nous prépare. Et c’est immanquable ! Sur la page d’accueil, nous pouvons cliquer sur le lien « #debout contre le racisme » : ô surprise ! Dès la page d’accueil de ce lien, l’enseignant que je suis a bondi sur sa chaise, non de joie, mais de douleur une nouvelle fois. Les seuls logos des associations partenaires de cette « grande cause nationale » sont toutes de gauche ou d’extrême gauche :

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  • La mauvaise foi des laïcistes

    L’islamisation de notre société n’a pas manqué de provoquer le débat cet été. Les polémiques sur le Burkini, l’agression antifrançaise de Sisco, les injonctions de l’Etat islamique et les milliers d’immigrés – légaux ou non – parvenant sur notre sol révèlent l’exaspération identitaire qui tenaille notre pays. A ce titre, l’installation de Jean-Pierre Chevènement comme président de la Fondation pour l’islam de France permet de désigner trois écueils dans le traitement fait par le politiquement correct de cet effet du Grand Remplacement. Par souci de précision, je rappelle que j’ai demandé à l’assemblée nationale la suppression de cet organisme qui milite pour l’imposition d’une partie des civilisations musulmanes dans notre pays à l’occasion d’une question au gouvernement et de ma proposition de loi instaurant un moratoire sur la création de mosquées en France.

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    La première analyse tient en l’incapacité de monsieur Chevènement à proposer une solution nouvelle devant l’islamisation. Ainsi, justifie-t-il aujourd’hui dans le Figaro son appel à la discrétion des musulmans : « J’ai recommandé la discrétion dans l’espace public de débat qui est un espace commun à tous les citoyens et ou j’incite non seulement les musulmans mais toutes les religions à s’exprimer de manière argumentée plutôt que par la proclamation de leur Révélation. » Cette explication est grotesque. D’abord, parce que la laïcité dont se prévaut l’ancien ministre veut s’établir, elle, comme une religion révélée alors qu’elle n’est, dans son acception actuelle, que la résultante d’une lutte politique des radicaux et des libéraux de la IIIème République contre l’Eglise. Une relecture de l’ouvrage, Mon ministère, du petit père Combes, permettrait à chacun de comprendre quelle fut l’ambiance à l’époque. La Révélation est l’Argument des religions, c’est ce qui fait d’elle non pas des émotions partisanes mais des promesses de Salut. Je ne doute pas que Druides ou moines préfèreront prêcher le Salut plutôt que diffuser la bonne parole des conseillers d’Etat. Ensuite, parce que l’Etat, du fait de sa captation par les idéologies et les partis, n’a plus du tout la légitimité nécessaire pour que les corps sociaux, religieux ou non, s’obligent à suivre ses diktats. Enfin, cette fondation servira de fait à diffuser les outils de transmission du Coran et de ses interprétations en promouvant la langue arabe, les centres culturels, et autres espaces d’expression de l’islam.

    La Seconde c’est la perpétuation d’une vue de l’esprit : le développement d’un islam de France. Sur quoi repose cette conviction ? Sur un état de fait bien réel : l’islam se métamorphose en fonction de ses terres de conquête. Avant et après le FLN, l’islam algérien ne fut ni le même dans sa pratique, ni le même dans son enseignement. De même, l’islam pratiqué en Oman est bien moins velléitaire que celui promu par les rebelles syriens tant choyés par les médias français. Mais ces pays, arabisés ou islamisés il y a longtemps, ont ceci en commun de ne pas participer du génie européen, et de ne pas appartenir à la civilisation française. Comment oublier le poids du temps long de l’Histoire, comment oublier que l’unification européenne par Charlemagne, les croisades ou les réseaux monastiques du Moyen-Age ont façonné nos manières d’être au monde ? Comme à l’habitude, Chevènement et les siens veulent l’arasement des fondements de ce que nous sommes au profit d’un nivellement relativiste de notre Histoire. Les moins malins, comme Florian Philippot, proclameront le danger majeur constitué par les grandes croix ostensibles. Les plus pernicieux, à la Rachid Nekkaz, se présenteront comme des « citoyens épris de liberté » (Valeurs Actuelles ) pour financer la résistance à la loi contre le port de la burka. Finalement, nous en arrivons à une situation ou les fossoyeurs de l’identité française se prennent à inventer un fantasme de définition de la France pour continuer à monnayer leur camelote.

    La troisième analyse, c’est la grave erreur commise par les communautaristes musulmans eux-mêmes. Aveuglés par le rendu médiatique de leurs actions, ils conçoivent de la France ce que leur en montre les agents du politiquement correct. Une France honteuse d’elle-même, culpabilisée, désireuse de s’offrir aux influences étrangères. Mais, à chaque confrontation avec le pays réel, cette conviction déchante. A Tremblay en France, à Sisco, ailleurs, ils remarquent que les Français sont exaspérés devant l’islamisation de leur pays. Ils n’acceptent pas que de fille aînée de l’Eglise, la France en vienne à se faire meilleure élève du cosmopolitisme matérialiste. Alors qu’ils pensaient imposer tranquillement des territoires perdus de la Nation, faire la loi dans des quartiers, comme avec la police de la charia à Avignon, voire instrumentaliser l’administration du pays pour soutenir le djihad international, ils se confrontent aux faits. Et ces derniers disent : nous ne sommes pas Chevènement, pas Hollande, par Laurence Rossignol, nous sommes un pays fier, dont vous réveillez des corps intermédiaires qui ne laisseront jamais la France être abandonnée à la charia. A ceux-là, je veux dire qu’une porte est ouverte : la ré-émigration.

    https://www.jacquesbompard.fr/mauvaise-foi-laicistes/

  • Douarnenez : Les organisateurs de la baignade “pro-burkini” croulent sous la rage populaire

    Les organisateurs du festival du cinéma de Douarnenez, proches de l’extrême-gauche, qui avaient organisé une “baignade pro-burkini” ont subi un torrent de protestations les obligeant à faire profil bas.

    Le journal socialiste Le Télégramme, ouvertement favorable aux islamistes, s’en émeut (source) :

    Relayée lundi dans nos colonnes et chez nos confrères des médias presse, télé et radio régionaux [La presse d’État pro-musulmane, NDLR], l’opération « Douarnkini » a suscité un raz de marée de réactions, donnant un écho démesuré à ce qui ne se voulait qu’un pied de nez un peu potache.

    « Je me doutais bien que les grincheux habituels allaient réagir. Je ne suis pas naïve mais un tel déferlement, j’avoue que je ne l’avais pas imaginé », commentait, lundi, Monique Prévost, responsable du Planning familial, à l’origine de ce rassemblement sur la plage des Dames, dimanche après-midi. Une opération imaginée la veille, lors de la soirée de clôture du Festival de cinéma. « Notre idée – nous baigner en jupes longues, foulards ou combinaisons de plongée – ce n’était surtout pas de défendre le burkini. Au contraire ! C’était un pied de nez pour dénoncer ce débat grotesque qui a tout de même conduit des élus à prendre des arrêtés et le Conseil d’État à trancher. À nos yeux, c’est un sujet ridicule, dont on a trop parlé au lieu de s’intéresser aux vrais problèmes ».

    Pour décrypter brièvement la phraséologie de l’organe de désinformation qu’est le journal socialiste Le Télégramme, nous résumerons : une poignée de gauchistes sexagénaires – frappés d’autisme et passablement saouls – ont, samedi soir, décidé de se livrer à une énième provocation “antifasciste” au profit des islamistes.

    Organisée par quelques vieilles biques ménopausées du planning familial – jadis adepte du droit des femmes à se libérer du “patriarcat” blanc et catholique – celles-ci ont trempé leur graisse flageolante devant des photographes de la presse d’État, présents pour l’occasion.

    Pensant marquer des points, c’est au contraire à un torrent de rage que se sont exposés les provocateurs d’extrême-gauche et les plumitifs complices de l’opération. Il ne fait pas de doute que si la foule avait été présente, la vingtaine d’anarcho-communistes précitée aurait été lynchée physiquement et probablement noyée.

    Une leçon à retirer

    Ce que les archéo-marxistes de Bretagne n’ont pas encore compris, c’est que le degré d’exaspération face à l’invasion migratoire et à l’islam radical a atteint un niveau qu’ils ne soupçonnent même pas.

    Se solidariser publiquement de l’islam comme de l’immigration afro-islamique, c’est faire le choix de s’opposer aux masses autochtones. Et s’exposer dès à présent à des conséquences dévastatrices dont nos ennemis vont devoir progressivement faire l’expérience.

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