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lobby - Page 1376

  • L’intégration de l’Europe dans la Turquie semble en bonne voie

    Le sultan semble s’être mis en tête de régir d’ores et déjà les modalités de l’expression humoristique européenne.
    Dans la vie, il n’y a jamais rien d’acquis, chose que les citoyens des démocraties occidentales vont probablement devoir redécouvrir dans les temps à venir (et la douleur), plus particulièrement dans le domaine de la liberté d’expression, voire de la liberté tout court. Peu ont eu à se battre au péril de leur vie pour l’acquérir ou la préserver. Et l’on ne sait pas exactement qui est prêt à sacrifier quoi dans ce but.

    Je n’aimerais pas devoir me sacrifier pour rattraper les inconséquences de la sordide classe politique européenne actuelle. Là gît néanmoins tout le paradoxe et le mystère : la patrie est une chose terrestre, fragile, finie, qui nécessite parfois un sacrifice absolu, selon l’idée de Simone Weil. L’épouse du vizir Erdoğan, ardente pratiquante de l’autocensure capillaire, déclara il y a quelques semaines de cela que les harems furent d’excellentes écoles préparant les femmes à la vie. Et c’est avec son mari que Bruxelles discute le plus sérieusement du monde de l’entrée de la Turquie dans l’Europe, dans le cadre de péripatéticiens marchandages autour des « migrants ».

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  • Yannick Moreau, député (LR) de Vendée, réclame un ancrage à droite de son parti

    Dans un entretien au blog Le Rouge & Le Noir,Yannick Moreau, député (LR) de Vendée, plaide pour un ancrage à droite du parti Les Républicains :

    « Je suis un homme politique de droite. Je connais mon Histoire politique et mes valeurs. Notre parti, dans sa folle course aux égos, recherche son identité. Trop souvent on entend des voix dissonantes qui lorgnent vers le centre. C’est une erreur. Nos compatriotes qui nous font confiance attendent de nous la clairvoyance et le courage. C’est ce que veulent nos militants et la très grande majorité de nos élus. Il suffit de donner la parole aux adhérents pour le constater. En 2012, la motion Droite Forte était arrivée largement en tête, bousculant tout l’establishment.

    « Les dernières élections régionales ont confirmé les attentes des électeurs de droite. Ce sont bien les candidats clairement de droite qui l’ont emporté, à l’image de Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez.

    Je ne suis pas un ardent partisan des primaires, mais je reconnais qu’elles peuvent donner la parole aux électeurs pour rappeler aux candidats qui nous sommes et ce que nous voulons. Dans cette perspective, je soutiens la démarche du collectif Horizon, lancé par l’UNI, La Droite Forte et Sens Commun. »

    Dans ce même entretien, il s’en prend au « laïcisme forcené de certains », qui croient ainsi résoudre les problèmes posés par l’islam :

    Le laïcisme forcené de certains n’est évidemment pas une solution à la radicalisation islamiste. Les seules conséquences de cette idéologie sont des attaques encore plus vives contre notre patrimoine et notre culture. Ici une église qu’on détruit, là un calvaire qu’on retire, ou encore une crèche « ostentatoire »… Après avoir fait disparaître des manuels d’histoire les apports de la chrétienté pendant des siècles en France, il s’agit maintenant de faire disparaître le patrimoine chrétien, trop visible aux yeux de certains.

    http://fr.novopress.info/

  • Souriez, vous êtes piratés !

    Philippe Randa

    EuroLibertés cliquez ici

    Autrefois, il suffisait bien souvent de ne pas publier son adresse dans l’annuaire téléphonique pour se croire tranquille ; seuls les voyous ou les militants politiques se savaient alors « fichés ».

    Mais c’est un temps que les moins de vingt ans n’ont pas connu…

    Aujourd’hui, l’époque est au fichier informatique tous azimuts et personne n’y échappe, quoiqu’on fasse ou qu’on tente de faire. On ignore même bien souvent qu’on figure dans telle ou telle liste, ne serait-ce que celle des « copains d’école »… et on peut même avoir la surprise d’être indiqué, via internet, comme le « voisin de… », soit quelqu’un dont vous ignoriez jusqu’au nom, même si vous faisiez palier commun… quelques années auparavant !

    Et pourtant, il ne fait décidément pas bon être fiché par les temps qui courent… Que ce soit pour détenir des placements discrets via le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, en cherchant la bonne aventure – surtout bien davantage si affinités – grâce au site de rencontres Beautifulpeople ou encore « en taillant la pierre brute pour devenir meilleur » en étant adhérent de la Grande Loge de France, troisième obédience maçonnique française…

    Le point commun de ces trois exemples, n’ayant pourtant guère de rapports entre eux ? La discrétion, généralement appréciée, et même réclamée, de tous leurs clients ou membres, qui a volé en éclats après que leurs fichiers respectifs aient été dérobés par d’ingénieux pirates informatiques… et aussitôt jetés en pâture sur internet, désormais véritable place publique de notre époque !

    On sait ce qu’il en est pour les clients de Mossack Fonseca : ont été sélectionnés avec soin pour éclairer le grand public seulement quelques centaines de noms sur plusieurs milliers, dont quelques dizaines seulement de personnalités du monde politique, sportif ou des Arts, ce qui a immédiatement déclenché les contre-feux attendus d’une manipulation de services secrets, CIA en tête…

    Pour le moment, aucun client du site Beautifulpeople n’a encore vu ses « préférences sexuelles, mais aussi salaire, poids, numéro de téléphone et adresse postale » divulgués… Mais, selon le site d’actualités maçonniques Gadlu.info, « plus de 6 000 documents secrets de la Grande Loge de France, rapports du conseil fédéral, ebooks, rituels, listing d’une partie des membres, projets, calendriers, comptes rendus du conseil sur plusieurs dizaines d’années, recueil de la Chancellerie de 1993 à 2013 » ont été dérobés et « il y a même des lettres qui n’ont pas encore été envoyées et des documents datant de 1930 à 1990 » ; seul le fichier de ses quelques 34 000 membres aurait échappé aux indélicats génies de l’informatique. Enfin, peut-être…

    Certes, ces trois exemples en feront sans doute sourire certains et en réjouiront même un grand nombre : bien faits pour les mauvais citoyens qui grugent le fisc ! bien faits pour les obsédés qui batifolent en dehors des liens sacrés du mariage ! Et bien fait pour les « Frères la gratouille » comme les appelaient François Mitterrand, dont on ne sait jamais trop si leur goût immodéré du secret, fut-il uniquement symbolique selon leurs dires, ne cache pas quelques conspirations, dont le plus angoissant est généralement qu’on ne sait jamais précisément contre qui et moins encore pour quoi elles sont destinées…

    Mais quoiqu’il en soit, ces trois exemples de « victimes » tout de même bien plus sensibilisés à la protection de leurs données que beaucoup d’autres, sont surtout révélateurs qu’aucun fichier, de quelque importance qu’il soit, n’est aujourd’hui inviolable… et que tout un chacun n’a sans doute pas besoin d’être fraudeur, libertin ou enfants de la Veuve (comme se nomment les Francs-Maçons entre eux) pour risquer de voir désormais les moindres faits et gestes de sa vie dévoilés et bien souvent, reconnaissons-le, violés…

    Quelle importance pour ceux qui n’ont rien à cacher, n’est-ce pas ? Oui, pour ceux-là, bien sûr… mais sont-ils finalement si nombreux ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Souriez, vous êtes piratés !

    Philippe Randa

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    Autrefois, il suffisait bien souvent de ne pas publier son adresse dans l’annuaire téléphonique pour se croire tranquille ; seuls les voyous ou les militants politiques se savaient alors « fichés ».

    Mais c’est un temps que les moins de vingt ans n’ont pas connu…

    Aujourd’hui, l’époque est au fichier informatique tous azimuts et personne n’y échappe, quoiqu’on fasse ou qu’on tente de faire. On ignore même bien souvent qu’on figure dans telle ou telle liste, ne serait-ce que celle des « copains d’école »… et on peut même avoir la surprise d’être indiqué, via internet, comme le « voisin de… », soit quelqu’un dont vous ignoriez jusqu’au nom, même si vous faisiez palier commun… quelques années auparavant !

    Et pourtant, il ne fait décidément pas bon être fiché par les temps qui courent… Que ce soit pour détenir des placements discrets via le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, en cherchant la bonne aventure – surtout bien davantage si affinités – grâce au site de rencontres Beautifulpeople ou encore « en taillant la pierre brute pour devenir meilleur » en étant adhérent de la Grande Loge de France, troisième obédience maçonnique française…

    Le point commun de ces trois exemples, n’ayant pourtant guère de rapports entre eux ? La discrétion, généralement appréciée, et même réclamée, de tous leurs clients ou membres, qui a volé en éclats après que leurs fichiers respectifs aient été dérobés par d’ingénieux pirates informatiques… et aussitôt jetés en pâture sur internet, désormais véritable place publique de notre époque !

    On sait ce qu’il en est pour les clients de Mossack Fonseca : ont été sélectionnés avec soin pour éclairer le grand public seulement quelques centaines de noms sur plusieurs milliers, dont quelques dizaines seulement de personnalités du monde politique, sportif ou des Arts, ce qui a immédiatement déclenché les contre-feux attendus d’une manipulation de services secrets, CIA en tête…

    Pour le moment, aucun client du site Beautifulpeople n’a encore vu ses « préférences sexuelles, mais aussi salaire, poids, numéro de téléphone et adresse postale » divulgués… Mais, selon le site d’actualités maçonniques Gadlu.info, « plus de 6 000 documents secrets de la Grande Loge de France, rapports du conseil fédéral, ebooks, rituels, listing d’une partie des membres, projets, calendriers, comptes rendus du conseil sur plusieurs dizaines d’années, recueil de la Chancellerie de 1993 à 2013 » ont été dérobés et « il y a même des lettres qui n’ont pas encore été envoyées et des documents datant de 1930 à 1990 » ; seul le fichier de ses quelques 34 000 membres aurait échappé aux indélicats génies de l’informatique. Enfin, peut-être…

    Certes, ces trois exemples en feront sans doute sourire certains et en réjouiront même un grand nombre : bien faits pour les mauvais citoyens qui grugent le fisc ! bien faits pour les obsédés qui batifolent en dehors des liens sacrés du mariage ! Et bien fait pour les « Frères la gratouille » comme les appelaient François Mitterrand, dont on ne sait jamais trop si leur goût immodéré du secret, fut-il uniquement symbolique selon leurs dires, ne cache pas quelques conspirations, dont le plus angoissant est généralement qu’on ne sait jamais précisément contre qui et moins encore pour quoi elles sont destinées…

    Mais quoiqu’il en soit, ces trois exemples de « victimes » tout de même bien plus sensibilisés à la protection de leurs données que beaucoup d’autres, sont surtout révélateurs qu’aucun fichier, de quelque importance qu’il soit, n’est aujourd’hui inviolable… et que tout un chacun n’a sans doute pas besoin d’être fraudeur, libertin ou enfants de la Veuve (comme se nomment les Francs-Maçons entre eux) pour risquer de voir désormais les moindres faits et gestes de sa vie dévoilés et bien souvent, reconnaissons-le, violés…

    Quelle importance pour ceux qui n’ont rien à cacher, n’est-ce pas ? Oui, pour ceux-là, bien sûr… mais sont-ils finalement si nombreux ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Marion Maréchal-Le Pen «saoulée par les valeurs de la République»

    La députée du Front national regrette aussi que son parti soit exclu « du pseudo-champ républicain »…
    La benjamine du Front national en a-t-elle marre de la République ? Maron Maréchal Le Pen a en tout cas déclaré ce mercredi, lors d’une interview à iTELE, qu’elle plaçait la France au-dessus de la République. « Je suis d’une génération un peu saoulée par les "valeurs de la République" qu’on nous sert en permanence et dont on ne sait pas ce qu’elles recouvrent, ce qui évite d’aller sur le fond des idées », a critiqué la députée FN, âgée de 26 ans.
    « On dit « valeurs de la République » et on exclut du pseudo-champ républicain le Front national », a-t-elle regretté.
    La benjamine du Front national en a-t-elle marre de la République ? Maron Maréchal Le Pen a en tout cas déclaré ce mercredi, lors d’une interview à iTELE, qu’elle plaçait la France au-dessus de la République. « Je suis d’une génération un peu saoulée par les "valeurs de la République" qu’on nous sert en permanence et dont on ne sait pas ce qu’elles recouvrent, ce qui évite d’aller sur le fond des idées », a critiqué la députée FN, âgée de 26 ans.
    « On dit « valeurs de la République » et on exclut du pseudo-champ républicain le Front national », a-t-elle regretté.
    « La France a commencé avant la République »
    « Tout ce que je dis, c’est que je défends la Ve République, c’est un système auquel je suis attaché, mais la Ve République, c’est un régime politique, la France c’est mon pays, je ne confonds pas tout à fait les deux. La France a commencé avant la République », a précisé Marion Maréchal-Le Pen. « J’invite nos dirigeants à dire ce que sont les valeurs de la République » a-t-elle poursuivi.
    Dans le trimestriel politique Charles en juin 2015, elle avait déjà dit : « La France n’est pas que la République (…). C’est un régime politique (…). Je ne comprends pas cette obsession pour la République. Pour moi, la République ne prime pas sur la France », avait-elle dit.
    Citant sur Twitter la déclaration de sa collègue du Vaucluse sur les valeurs de la République, le député PS Erwann Binet a écrit : « Je suis d’une génération saoulée par la famille Le Pen depuis plus de 30 ans ».

    20 Minutes avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuyEZyZppuGaJcJzcW.shtml

  • La vérité si je mens

    C’était la bonne nouvelle que connaissait  François Hollande et son entourage, en phase officielle de reconquête et  de (re)mobilisation de la gauche avec la  première réunion publique de « Hé Oh la Gauche! », organisée par Stéphane Le Foll,  lundi dans un amphithéâtre de  la faculté de médecine René-Descartes, à Paris. Une information annoncée hier soir : les manipulations,  escamotages de différentes  catégories des demandeurs d’emploi  des statistiques a produit son effet. Ainsi le nombre des chômeurs de catégorie A ( sans aucune activité)  inscrits à Pôle emploi aurait  diminué de 60.000 au mois de mars par rapport au mois précédent, soit une baisse de 1,7%.  « Il s’agit de la première baisse trimestrielle significative depuis le dernier épisode de reprise de 2010/2011 » claironne le gouvernement. Aussitôt le patron du Medef, Pierre Gattaz a demandé à ce que « l’ambition de la loi El Kohmri », qui n’est rien d’autre que la réponse aux exigences de réformes  portées par l’Europe de Bruxelles, soit  « rétablie pour espérer recréer une dynamique positive de création d’emplois en CDI »… Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule,  la DCNS a remporté le « contrat du siècle »,  la vente de 12 douze sous-marins shortfire Barracuda  à l’Australie, pour un montant de 34 milliards de dollars. De quoi faire oublier la déconvenue (beaucoup moins médiatisée…)  de la vente annoncée  mais avortée  des avions  Rafale à l’Inde.

    Soyons juste, ce très beau succès  est avant tout le fruit  du très grand  savoir-faire, de  l’excellence des  ingénieurs, techniciens, ouvriers et dirigeants de la DCNS en particulier, de notre industrie de l’armement en général.  Mais aussi certainement en partie, le résultat du  travail de super VRP du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian qui a forcément « mouillé la chemise » pour accompagner cette issue heureuse.

    Dans Libération, Laurent Joffrin note le « paradoxe » (?) « à voir un gouvernement de gauche devenir le plus efficace vendeur d’armement parmi tous ceux qui se sont succédé ces derniers temps ».  A part les Verts et les sectes trotskistes, il est clair que ce paradoxe là ne sera pas mis par les Français au débit de ce gouvernement  dont l’impopularité, bien légitime, à bien d’autres raisons de s’exprimer !

    Impopularité qui colle encore et toujours au costume de Nicolas Sarkozy, qui, avec ce culot proverbial qui le caractérise, endosse de nouveau  le rôle du pourfendeur de la pensée dominante, du politiquement correct. Comme en 2007 , ce soixante-huitard libéral dénonce aujourd’hui l’idéologie progressiste, qui est pourtant le fond même de sa vision du monde.

    Le site d’Europe 1 cite ce mercredi  le président de LR qui était ne séance dédicaces  hier à Nice : « les candidats de l’establishment et des médias, les gens n’en veulent plus. Selon lui, quand la gauche et la droite disent la même chose, il en sort l’extrême droite. Et (M. Sarkozy)  de brandir l’exemple de l’Autriche, où le candidat du FPÖ (…), est arrivé dimanche dernier en tête du premier tour de l’élection présidentielle.  Les partis politiques traditionnels de gauche comme de droite ont été balayés. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient oublié l’exigence des électeurs pour s’en tenir à la pensée unique, à la lâcheté, à une forme de démission, martèle Nicolas Sarkozy. Je ne veux pas de ça en France. »

    « Nous gagnerons sur nos idées, insiste encore le président des Républicains, qui fixe une stratégie : tout dire avant, pour tout faire après. » En l’espèce exactement le code de bonne conduite qu’il a piétiné constate Bruno Gollnisch. Son quinquennat fut  placé justement sous le signe de l’abandon de  ses promesses, de  la soumission à la pensée unique euromondialiste,  atlantiste, immigrationnniste. Les Français seront-ils prêts à renouveler cette expérience malheureuse ?

    D’un  mauvais souvenir l’autre (les calamiteuses années Chirac, le blanc-seing donné à la catastrophique destruction de la Libye sous Sarkozy),  Alain Juppé   s’essaye lui aussi à   endiguer la montée en puissance du « populisme national ». Il a pour se faire un plan et se  dit  soucieux   de « couper les deux bouts de l’omelette »,  c’est à dire de   gérer demain le pays avec les progressistes européistes de bonne volonté,  socialistes, républicains et centristes, en rejetant dans les limbes  » les extrémistes de droite » (surtout)  et de gauche », tous  les réfractaires au catéchisme social-démocrate.

    ça ne mange pas de pain, un de ses soutiens apporte sa pierre à l’édifice de dénonciation du programme alternatif, patriotique du FN. Après les ouvrages sur ce thème parus ces dernières années, commis notamment  par  Laurence Parisot (ex patronne du Medef), NKM, le socialisteYann Galut, les tâcherons du Front de Gauche et apparentés, un soutien de M. Juppé se livre à l’exercice.

    Cela lui vaut un petit coup de pouce  de L’Express qui devrait lui permettre d’en vendre quelques dizaines d’exemplaires, même si le but de ce  type d’initiative ne réside que dans  l’écho médiatique qu’elle rencontre (éventuellement).  C’est cette fois, Maël de Calan « (qui) a pris son casque et son piolet » pour  affronter la Bête.  « Elu breton, engagé auprès d’Alain Juppé, cofondateur de la Boîte à idées, un groupe de réflexion au service du candidat à la primaire de la droite, le trentenaire publie La Vérité sur le programme du Front national » (sic). « Peut-être faut-il être jeune, culotté et un peu inconscient pour s’attaquer à cet objet à la fois massif et tortueux : le programme du Front National. » Bien sûr, « Le livre dont L’Express publie des extraits démontre, chiffres et faits à l’appui, qu’il conduirait la France au chaos. »  Si c’est L’Express qui le dit !

    Sur son blogue acteursdeleconomie,  hébergé sur le site de La tribune,  le sociologue de gauche  Alain Touraine, dit pour sa part  tout le bien qu’il pense de  l’ouvrage de « politique fiction » (« Le séisme Marine Le Pen présidente » ) de son ami, lui aussi sociologue proche du PS,  Michel Wieviorka. 

    Paru il  y a plusieurs mois, ce recueil de fantasmes, mal écrit, d’un niveau d’analyse  très médiocre,  a fait lui aussi un bide. Pourtant, assure M. Touraine, il s’agirait de le « prendre au sérieux, c‘est-à-dire comme une tentative d’évaluation honnête des risques que ferait courir à la France l’élection en mai 2017 de Marine Le Pen comme présidente de la République. »  Et le père de Marisol Touraine  d’affirmer encore , citant l’auteur,  cette antienne  souvent rabâchée selon laquelle    « le noyau idéologique central du Front National est bien un nationalisme chargé de xénophobie et même de racisme. Les musulmans, et non pas les capitalistes ou au contraire les communistes, sont donc sans surprise (dans le scénario imaginé par M. Wieworka, NDLR)  ceux qui subissent les premiers les foudres de la nouvelle présidente. Mais qui en doutait ? » (sic).

    Alain Touraine conclut sa fiche de lecture sur une note d’espoir pour rassurer sa paroisse : « on peut encore agir, pense ( Michel Wieviorka) ; il ne faut pas être paralysé par la peur du loup et se laisser dévorer alors qu’on peut encore agir. » Nos sociologues feignent de ne pas comprendre que le loup carnassier pour un nombre croissant de  Français, a le visage  les politiques menées depuis des décennies par ce Système faible avec les forts, durs avec les faibles.  Un Système qui nourrit et   promeut des dizaines d‘intellectuels engagés du calibre de nos deux sociologues, chargés de répandre la vulgate antinationale dans les « grands médias ». Mais la roue tourne, le principe de réalité reprend ses droits; leurs excommunications, leurs exorcismes maladroits apparaissent pour ce qu’ils sont réellement :  l’aveu d’échec et d’impuissance d’une Caste prête à tout pour se maintenir au pouvoir.

    http://gollnisch.com/2016/04/27/la-verite-si-je-mens/

  • Photographie truquée sur les migrants : de la pure propagande médiatique

    Photo de migrants :

    photo_migrants_truquee.jpg

    Cette photographie d’un naufrage en mer Egée qui remonte à décembre 2015 circule depuis des mois sur les réseaux sociaux. Un syndicat de police italien, Co.I.S.P, vient de lancer un pavé dans la mare de l’humanitarisme « radical chic ». Pour les policiers, il s’agit ni plus ni moins que d’une vulgaire « propagande médiatique ».

    En effet, pour qui regarde la photographie attentivement, sans des yeux larmoyants, il apparaît clairement qu’un des migrants est debout dans l’eau, pendant que les autres fatiguent à rester à flots.

    Aussi de trois choses l’une se demandent les policiers :

    • soit cet homme est haut de 7 mètres,
    • soit il marche sur l’eau comme Moïse,
    • soit on se moque de nous.

    A votre avis ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.ilgiornale.it/news/cronache/foto-dimostra-sui-migranti-ci-prendono-giro-bufera-sul-coisp-1251048.html

    http://www.medias-presse.info/photographie-truquee-sur-les-migrants-de-la-pure-propagande-mediatique/53496

  • Une supercherie toujours enseignée : la destruction de Guernica y Luno, le 27 avril 1937, par un bombardement nazi !

    Dr Bernard Plouvier

    Contrairement à ce que de nombreux historiens veulent nous faire croire, Adolf Hitler hésite beaucoup avant d’intervenir dans la guerre civile espagnole. Il n’aime guère les conservateurs espagnols (« Un parti de curés ») et n’aimera jamais le régime franquiste (« Un régime de profiteurs capitalistes, manœuvrés par la prêtraille »). C’est la même raison qui pousse Mussolini à refuser son aide le 21 juillet 1936, quatre jours après le début de l’insurrection des « nationalistes » menés par les généraux José Sanjurjo y Sacanell et Federico Franco y Bahamonde.

    Pour s’opposer au risque d’implantation d’un régime marxiste en Europe occidentale, le Führer cède le 25 juillet, son entrée en lice entraînant celle du Duce (et non l’inverse comme le braillent encore certains pitres). Quarante avions allemands de transport (des Junkers 52) font passer les Espagnols de la Bandera (des fantassins de la Légion étrangère) du Maroc espagnol à Séville.

    25 000 volontaires allemands, en congé de la Wehrmacht, serviront dans les rangs franquistes (mais il n’y aura jamais plus de 7000 Allemands à la fois sur le sol ibérique). Ils combattront aux côtés de 44 000 troupiers (dont un tiers de Maures) et phalangistes espagnols, 25 000 policiers « nationalistes », 20 000 volontaires portugais, enfin 80 000 volontaires italiens (jamais plus de 40 000 à la fois) et quelques centaines de volontaires internationaux.

    Ces forces antimarxistes sont opposées à 46 000 soldats, 42 000 policiers « rouges », qui sont bien plus composés de radicaux anticatholiques et d’anarchistes que de marxistes espagnols, renforcés de 60 000 « combattants de la liberté », tous marxistes (25 000 d’entre eux proviennent d’URSS, le reste est issu des Partis communistes d’Europe et des Amériques et des célèbres « compagnons de route » des marxistes).

    Adolf Hitler n’a expédié qu’un seul bataillon de chars légers (des Panzer I et II, très peu performants ; les Allemands utiliseront beaucoup de chars soviétiques capturés), quelques excellents canons à commande électrique (du type 88 – Flak) utilisés comme canons de DCA et antichars, ainsi qu’une centaine d’avions de combat.

    Les Français expédient illégalement aux forces rouges plus d’une cinquantaine d’avions de combat (le ministre de l’Air Pierre Cot couvrant son chef de cabinet Jean Moulin) et Staline envoie un millier de chars et autant d’avions de combat… se faisant payer l’équivalent de 450 millions de $ en or.

    Le 27 avril 1937, neuf Heinkel 111 jettent, de 2000 mètres d’altitude, 7,9 tonnes de bombes sur la cité basque de Guernica y Luno, qui compte environ 5500 habitants, vouée à l’industrie métallurgique. La charge totale de bombes des 9 appareils est inférieure à celle d’un seul bombardier britannique Lancaster (11 tonnes de bombes) ; elle équivaut à celle d’un B17 de l’Air Force Corps des USA (8 tonnes) de la Seconde Guerre mondiale.

    S’il fallait en croire la presse communiste et sympathisante, ce raid aurait tué 1500 civils et en aurait blessé un millier (alors que les statistiques des bombardements durant les années 1939-1945 font état de deux à trois fois plus de blessés que de morts)… soit un ratio tués/tonne de bombes 1000 fois supérieur à celui des bombardements de terreur des aviations britannique, canadienne et US au-dessus de l’Europe continentale quelques années plus tard, avec des avions nettement plus performants, mais aussi des populations plus avisées et mieux protégées.

    Ces curieuses statistiques ne pourraient que faire sourire, si l’on ne respectait la mémoire des victimes. En revanche, il est proprement scandaleux que de soi-disant universitaires utilisent encore, dans leur version politiquement correcte des faits, de telles inepties. Toute guerre est, pour paraphraser Shakespeare, « une histoire pleine de bruit et de fureur, racontée par un idiot », mais la guerre civile espagnole fut et demeure le triomphe de la désinformation de la part de ceux dont le métier est théoriquement d’approcher la vérité.  

    En réalité, le bombardement des Heinkel a tué 262 êtres humains, pour la majorité d’entre eux concentrés dans le même bâtiment, et n’a occasionné que de faibles dégâts, en revanche l’armée des « rouges », en retraite sur le front basque, a dynamité la cité quelques heures plus tard, permettant aux nombreux correspondants de presse de sensibilité marxiste de tirer des clichés dramatiques et de composer des articles emplis de lyrisme. Loin d’être une « ville ouverte », Guernica était une cité travaillant pour l’industrie de guerre du gouvernement « rouge » (on y recensait quatre fabriques de munitions).

    La cible visée par les aviateurs allemands n’était pas la ville, même pas ses usines que les nationalistes espéraient prendre les jours suivants, mais un pont enjambant le Rio Oca, de façon à freiner la retraite des « rouges » vers Bilbao, pour en capturer un maximum. La notion de « bombardement de précision » sera introduite par la propagande de guerre US, en 1943, pour calmer l’émotivité des chrétiens aux USA… et ce sera, bien sûr, un ignoble mensonge.

    À l’époque du bombardement de la ville basque, dans son atelier parisien, Pablo Picasso finissait de peindre, à sa façon géniale ou grotesque au gré du lecteur, une scène tauromachique. Il lui suffit de changer le titre de son œuvre pour que celle-ci devienne un symbole politique majeur du XXesiècle, puis les critiques d’art trouveront quantité d’interprétations symboliques, politiques et même psychanalytiques, à la présence d’un taureau dans cette composition.

    Mystification et désinformation furent de tout temps les méthodes de travail des propagandistes, mais les marxistes du XXe siècle furent des maîtres… déjà surpassés par nos glorieux fumistes globalo-mondialistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mondialisme : le TTP sur l’agenda de la Trilatérale, du Bilderberg, du CFR

    On avance souvent que le traité transpacifique (TTP) est manigancé par les multinationales ultralibérales pour augmenter leurs profits. En fait, c’est un nouveau pas du mondialisme vers la gouvernance globale, tissée de longue main par la Trilatérale, le groupe Bilderberg, le CFR (Council for Foreign Relations). Voici quelques dates de leur agenda.

    Le TTP est, avec le traité transatlantique, l’un de ces accords qui visent à transformer le monde en une vaste zone de libre-échange. De ce fait ses partisans de droite et ses adversaires de gauche y voient la chose des marchés internationaux, du capitalisme triomphant pour le bien ou pour le mal. Ils ont raison d’y reconnaître la main de Wall Street, mais tort de voir en la bourse de New York une figure de la libre entreprise. Au contraire. C’est plutôt le moyen d’une sorte de socialisme international, ou de capitalisme d’un État planétaire. Bref, c’est l’agent du mondialisme, et cela de façon tout à fait ouverte.

    Depuis 1973, la Trilatérale de l’interdépendance au mondialisme

    Le richissime industriel et banquier David Rockefeller, qui fonda la Commission trilatérale en 1973, a écrit dans ses mémoires publiés en 2002 :

    « Certains croient même que nous participons à une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États Unis. Ils définissent ma famille et moi comme des « internationalises » conspirant avec d’autres dans le monde pour construire une entité globale, économique et politique, plus intégrée – un seul monde, si vous voulez. Si telle est l’accusation, je me proclame coupable, et j’en suis fier. »
 Or la principale organisation qui pousse le TPP depuis l’origine est la Trilatérale. Et le véritable projet, le but de l’agenda (au sens latin, les choses qui doivent être faites) du TPP est donc celui de la Trilatérale, c’est-à-dire le mondialisme, l’établissement d’un pouvoir économique et politique centralisé à l’échelon de la planète. Dès sa première réunion à Tokyo en 1973, la Trilatérale se donnait pour mission de rendre plus étroite « l’interdépendance » entre les continents et de combattre « politiquement et économiquement les nationalismes ». 

    La Trilatérale, le Bilderberg et le CFR s’insinuent là où c’est utile

    Quatre ans plus tard, grâce à l’entregent d’un professeur d’université discret mais influent, Zbiniew Brzezinski, la Trilatérale amenait un parfait inconnu, Jimmy Carter, à la maison blanche et truffait l’administration américaine de ses hommes, ou de ceux du CFR auquel elle est structurellement liée. Depuis, pas à pas, aidés du groupe Bilderberg fondé par les mêmes milieux dès 1954, ils sont passés de « l’interdépendance » au mondialisme, et la crise financière commencée en 2008, ressentie tout autour du globe, est censée amener les peuples à penser que le système des nations ne marche plus.

    Chacun aura noté le rôle important qu’ont tenu, dans cette crise financière, les Rockefeller, Goldman Sachs, la banque Citigroup, la BCE, la FED, et les Rothschild, avec leurs innombrables obligés et affidés. A tous les postes importants de la banque et de la diplomatie supranationale, dans les think tanks qui pèsent, dans les chaires universitaires influentes, on retrouve les mêmes, parfois officiellement membres du CFR, de la Trilatérale, du Bilderberg.

    Un agenda chargé et réalisé dans le plus grand secret

    Outre la solidarité, le secret a été la condition de leur succès. A la réunion du Bilderberg en 1991 à Baden Baden, David Rockefeller remerciait les directeurs du New York Times et du Washington Post d’avoir régulièrement assisté aux travaux du groupe sans jamais rien en divulguer. Et d’expliquer uniment :

    « Il aurait été impossible de mener notre plan pour le monde si nous avions étés sous les projecteurs de la publicité durant toutes ces années. Aujourd’hui le monde est plus évolué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est préférable sans nul doute à l’autodétermination des nations pratiquée dans les siècles passés. »

    L’aveu du mondialisme par la bouche d’Arnold Toynbee

    L’historien anglais Arnold Toynbee, qui était aussi directeur des études à l’Institut royal des affaires internationales, ne disait pas autre chose en 1931 :

    « Nous travaillons discrètement mais de toutes nos forces à détruire cette mystérieuse force nommée souveraineté nationale. En niant de notre bouche ce que nous faisons de nos mains, parce qu’attaquer la souveraineté des nations est encore une hérésie pour laquelle un homme politique ou un journaliste peut être ostracisé ou discrédité. »

    Heureux temps ! Aujourd’hui, c’est au contraire pour avoir commis le crime de défendre la souveraineté nationale que certains hommes politiques sont diabolisés.

    Du TPP au FTAAP, la suite de l’agenda du mondialisme

    Dans la foulée du TPP, l’extension prévue du FTAAP (Free trade area of the Asia Pacific) à la Chine communiste et à la Russie dans le cadre du mondialisme donnera corps au vieux projet de convergence entre l’Est et l’Ouest formé depuis plus de quarante ans par la Trilatérale, le CFR et le groupe Bilderberg. Dès 1973, le « symbole » du capitalisme David Rockefeller rendait visite au grand timonier Mao Tse Toung à Pékin. De retour de ce charnier dictatorial qu’était alors la Chine communiste, où les révolutions successives avaient causé des morts par dizaines de millions, où les camps de rééducation abritaient autant de citoyens, Rockefeller écrivit dans le New York Times :

    « On est impressionné immédiatement par le sens de l’harmonie nationale (…) Quel que soit le prix de la révolution chinoise, elle a évidemment réussi non seulement à former une administration plus efficace et consciencieuse, mais aussi à promouvoir une haute morale et un sens de la communauté (…) L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l’une des plus importante et des plus réussie de l’histoire. »

    Comme on le voit, le maoïsme n’infestait pas que la Sorbonne. Ces bonnes paroles furent suivies d’actes, en l’espèce des transferts massifs de capitaux et de technologie qui, sous la direction de la Trilatérale, du CFR et du groupe Bilderberg, transformèrent l’économie chinoise alors comparables à toutes celles du tiers monde en la puissance que l’on connaît. Sur l’agenda du mondialisme, le TPP et le FTAAP seront les prochains pas pour l’inclure à la future gouvernance globale.

    Pauline Mille pour réinformation.tv

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/mondialisme-le-ttp-sur-lagenda-de-la-trilaterale-du-bilderberg-du-cfr_158932.html#more-158932