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lobby - Page 1373

  • Les Identitaires décernent à Trappes le label « Molenbeek français »

    Molenbeek-français.jpgLe mouvement Génération identitaire Paris, jusqu’alors connu sous le nom de Projet Apache, vient de créer le label « Molenbeek français », dont le logo fait référence, par la couleur verte et le graphisme, à la certification halal. Inspiré par le ministre de la Ville Patrick Kanner, qui avait affirmé en mars dernier qu’« il y a aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek », « le label “Molenbeek Français“ est la garantie d’un islamisme local », expliquent les identitaires parisiens qui ajoutent :

    « Surtout, il est la garantie d’un terrorisme d’origine contrôlée : de sa première prière à sa mort en martyr, en passant par sa radicalisation et son départ en Syrie, vous saurez que le terroriste aura été cultivé localement ! »

    Premier lauréat de ce nouveau label, la commune de Trappes, dans les Yvelines :« Trappes est connue pour être un bastion de l’islamisme hexagonal : deux de ses habitants ont agressé des militaires en faction Vigipirate (à Nice et La Défense), au moins quatre-vingt trappistes ont tenté de partir en Syrie faire le Djihad, et le communautarisme islamique est largement toléré par la mairie.
 Trappes méritait donc largement d’être la première ville à recevoir la certification “Molenbeek Français“ ! »

    D’autres villes, « tout aussi méritantes », recevront prochainement ce label, qui,

    « gage d’un terrorisme de qualité made in Issu-de-l’immigration, ouvre la voie à un jumelage avec une ville sous domination de l’Etat islamique ».

    Pas sûr que Guy Malandin, le maire (PS)  de cette commune de plus de 30 000 habitants qui s’honore d’être la ville natale de Jamel Debbouze, Omar Sy ouNicolas Anelka, apprécie cette labellisation…

     

    http://fr.novopress.info/

  • Les raisons de la purge au sein du FN

    Ces derniers jours, les médias ont évoqué la purge en cours au sein du FN avec comme seule raison la présence (pourtant annoncée) de Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu, Mireille d'Ornano mais aussi de Philippe Chevrier aux côtés de Jean-Marie le Pen. Florian Philippot, pour justifier sa décision d'exclure les intéressés, a évoqué une "manifestation hostile qui souhaite la défaite des patriotes et de Marine Le Pen en 2017". Qu'a donc réellement dit Jean-Marie Le Pen dans son discours, dont la plus grande partie était consacrée à sainte Jeanne d'Arc. Extrait :

    "(...) Il y a 28 ans déjà que le Front National avait inauguré ce défilé qui, après avoir honoré Jeanne, se concluait par une grande manifestation Place de l’Opéra, débordant sur les avenues adjacentes et à la clef, le grand discours du 1er mai. Il témoignait de la volonté d’exaltation des valeurs morales et spirituelles qui nous guidaient dans notre action politique. Mais puisque nous professons, à l’instar de Saint-Jean, que c’est la vérité qui nous rendra libres bien évidemment, je vous la dois.

    Prétextant des menaces du Daech (courage, fuyons !), la Présidente du Front a remplacé le traditionnel hommage à Jeanne d’Arc par un gueuleton aux anciens abattoirs de la Villette. L’abandon du défilé de Jeanne d’Arc par la direction du Front National n’est pas fortuit. Il s’inscrit dans une dérive politique qui a été initiée et symbolisée par mon exclusion du Front National que j’avais fondé en 1972, il y a 44 ans et présidé 39 ans. J’en suis toujours Président d’honneur, ayant gagné tous les procès engagés sur le sujet.

    Mon exclusion avait évidemment une signification emblématique, comme le fut, toutes choses égales d’ailleurs, la décapitation du Roi Louis XVI par les révolutionnaires de 93. Elle était, nous dit-on, dans la logique de la « dédiabolisation » dont la nouvelle présidente, se faisait le parangon. Or, la dédiabolisation était au mieux un leurre, au pire une sottise suicidaire.
    Le Front National était diabolisé par ses adversaires politiques, au premier rang desquels s’inscrivait le Parti Communiste et ses alliés et complices politiques et médiatiques, plus ou moins avoués. Les « partis du gouvernement » UMP et PS n’y voyaient pas d’inconvénients, au contraire, car cela contribuait à freiner l’influence montante de la seule formation d’opposition à sa politique décadente.

    On peut donc dire que même, et surtout, si c’était injuste, la diabolisation était tout à l’honneur du Front National, qui ne pouvait espérer arriver au pouvoir que par la conquête de l’opinion du Peuple et non de celle de nos élites corrompues et prébendières. La dédiabolisation tendait donc à diminuer l’hostilité de nos ennemis et adversaires en se rapprochant d’eux en espérant leur bienveillance.

    Calcul de naïfs, de sots ou de traîtres.

    Le Front National, aile droite de la Majorité UMP, c’était la fin de tout espoir de rénovation. Au reste, l’éviction du Président fondateur était insuffisante. On le vit d’ailleurs aux élections régionales où, à la demande de Marine, j’avais cédé ma tête de liste en Sud Est à Marion, députée du Vaucluse. En effet, arrivées largement en tête au premier tour dans le Nord Pas-de-Calais Picardie et en Provence Alpes Côte d’Azur, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen étaient battues par une manœuvre scandaleuse qui avait le mérite de dévoiler l’accointance, la complicité des tenants de l’UMPS. La gauche préférait se sacrifier et disparaitre pour faire élire le candidat de droite ! La dédiabolisation n’avait donc pas marché.

    Le même scénario se reproduira dans l’avenir. Il n’y a pour le Front National qu’une seule voie, celle de l’opposition au Système, s’appuyant sur une mobilisation massive du peuple rejetant le Système.

    La condition sine qua non du succès, c’est l’unité et d’abord l’unité du Front National, fer de lance de l’opposition nationale entrainant l’unité de sentiment et d’action de la nébuleuse nationale, majoritaire dans le peuple.

    Je le dis aujourd’hui, avec gravité et tristesse, puisqu'aucun  signe n’a été émis dans ce sens. La Présidente du Front National sera battue au 2ème tour, et peut être même au 1er.

    Errare humanum est, sed persevarare diabolicum. L’erreur est humaine et peut être corrigée, il est encore temps, avec l’aide des Comités « Jeanne, au secours ! » (...)"

    Cet extrait permettra aux lecteurs de se faire leur propre opinion et de se demander si les propos de Jean-Marie Le Pen reflètent l'idée qu'il souhaite la défaite de sa fille ou si ils relèvent du libre débat politique et d'une opinion critique mais constructive, qui ne peut sans doute pas s'exprimer dans les instances du FN en raison de l'emprise de Florian Philippot...

    Sont-ils en outre plus graves que l'apologie de l'avortement et de la contraception prononcée par Sophie Montel, seul discours, avec le sien, que Florian Philippot met en ligne sur son compte twitter.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les raisons de la purge au sein du FN

    Ces derniers jours, les médias ont évoqué la purge en cours au sein du FN avec comme seule raison la présence (pourtant annoncée) de Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu, Mireille d'Ornano mais aussi de Philippe Chevrier aux côtés de Jean-Marie le Pen. Florian Philippot, pour justifier sa décision d'exclure les intéressés, a évoqué une "manifestation hostile qui souhaite la défaite des patriotes et de Marine Le Pen en 2017". Qu'a donc réellement dit Jean-Marie Le Pen dans son discours, dont la plus grande partie était consacrée à sainte Jeanne d'Arc. Extrait :

    "(...) Il y a 28 ans déjà que le Front National avait inauguré ce défilé qui, après avoir honoré Jeanne, se concluait par une grande manifestation Place de l’Opéra, débordant sur les avenues adjacentes et à la clef, le grand discours du 1er mai. Il témoignait de la volonté d’exaltation des valeurs morales et spirituelles qui nous guidaient dans notre action politique. Mais puisque nous professons, à l’instar de Saint-Jean, que c’est la vérité qui nous rendra libres bien évidemment, je vous la dois.

    Prétextant des menaces du Daech (courage, fuyons !), la Présidente du Front a remplacé le traditionnel hommage à Jeanne d’Arc par un gueuleton aux anciens abattoirs de la Villette. L’abandon du défilé de Jeanne d’Arc par la direction du Front National n’est pas fortuit. Il s’inscrit dans une dérive politique qui a été initiée et symbolisée par mon exclusion du Front National que j’avais fondé en 1972, il y a 44 ans et présidé 39 ans. J’en suis toujours Président d’honneur, ayant gagné tous les procès engagés sur le sujet.

    Mon exclusion avait évidemment une signification emblématique, comme le fut, toutes choses égales d’ailleurs, la décapitation du Roi Louis XVI par les révolutionnaires de 93. Elle était, nous dit-on, dans la logique de la « dédiabolisation » dont la nouvelle présidente, se faisait le parangon. Or, la dédiabolisation était au mieux un leurre, au pire une sottise suicidaire.
    Le Front National était diabolisé par ses adversaires politiques, au premier rang desquels s’inscrivait le Parti Communiste et ses alliés et complices politiques et médiatiques, plus ou moins avoués. Les « partis du gouvernement » UMP et PS n’y voyaient pas d’inconvénients, au contraire, car cela contribuait à freiner l’influence montante de la seule formation d’opposition à sa politique décadente.

    On peut donc dire que même, et surtout, si c’était injuste, la diabolisation était tout à l’honneur du Front National, qui ne pouvait espérer arriver au pouvoir que par la conquête de l’opinion du Peuple et non de celle de nos élites corrompues et prébendières. La dédiabolisation tendait donc à diminuer l’hostilité de nos ennemis et adversaires en se rapprochant d’eux en espérant leur bienveillance.

    Calcul de naïfs, de sots ou de traîtres.

    Le Front National, aile droite de la Majorité UMP, c’était la fin de tout espoir de rénovation. Au reste, l’éviction du Président fondateur était insuffisante. On le vit d’ailleurs aux élections régionales où, à la demande de Marine, j’avais cédé ma tête de liste en Sud Est à Marion, députée du Vaucluse. En effet, arrivées largement en tête au premier tour dans le Nord Pas-de-Calais Picardie et en Provence Alpes Côte d’Azur, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen étaient battues par une manœuvre scandaleuse qui avait le mérite de dévoiler l’accointance, la complicité des tenants de l’UMPS. La gauche préférait se sacrifier et disparaitre pour faire élire le candidat de droite ! La dédiabolisation n’avait donc pas marché.

    Le même scénario se reproduira dans l’avenir. Il n’y a pour le Front National qu’une seule voie, celle de l’opposition au Système, s’appuyant sur une mobilisation massive du peuple rejetant le Système.

    La condition sine qua non du succès, c’est l’unité et d’abord l’unité du Front National, fer de lance de l’opposition nationale entrainant l’unité de sentiment et d’action de la nébuleuse nationale, majoritaire dans le peuple.

    Je le dis aujourd’hui, avec gravité et tristesse, puisqu'aucun  signe n’a été émis dans ce sens. La Présidente du Front National sera battue au 2ème tour, et peut être même au 1er.

    Errare humanum est, sed persevarare diabolicum. L’erreur est humaine et peut être corrigée, il est encore temps, avec l’aide des Comités « Jeanne, au secours ! » (...)"

    Cet extrait permettra aux lecteurs de se faire leur propre opinion et de se demander si les propos de Jean-Marie Le Pen reflètent l'idée qu'il souhaite la défaite de sa fille ou si ils relèvent du libre débat politique et d'une opinion critique mais constructive, qui ne peut sans doute pas s'exprimer dans les instances du FN en raison de l'emprise de Florian Philippot...

    Sont-ils en outre plus graves que l'apologie de l'avortement et de la contraception prononcée par Sophie Montel, seul discours, avec le sien, que Florian Philippot met en ligne sur son compte twitter.

    Philippe Carhon

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  • Non, les migrants ne payeront pas vos retraites !

    « En rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ». Analyse d’un mythe.

    Récemment encore, l’économiste de la Banque Mondiale Hernan Winkel justifiait l’immigration en Europe par l’argument fréquemment répété : « en rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ».

    Or, cette affirmation est inexacte : l’État ne peut payer les coûts croissants d’une population vieillissante qu’avec des ressources supplémentaires ; et quel que soit leur âge, les inactifs sans ressources n’en apportent pas.

    Pour assurer les retraites futures, ce sont les ressources de l’État qu’il faut augmenter, notamment en augmentant le nombre d’emplois productifs.

    L’immigration pourrait y contribuer de deux façons : soit, si les immigrés comblaient un manque de main-d’œuvre dans des secteurs productifs; soit, si des immigrés créaient de nouvelles entreprises génératrices d’emplois productifs.

    Mais globalement en Europe, l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde n’est pas choisie en fonction du marché du travail et est peu qualifiée. Les demandeurs d’emplois peu qualifiés étant déjà en surnombre, cette immigration non sélective ne fait que gonfler le nombre global des chômeurs et allocataires sociaux. Et ces immigrés n’ont généralement pas les compétences nécessaires pour créer de nouvelles entreprises.

    En réalité, cette immigration européenne non sélective ne fait qu’empirer le problème des pensions. En effet, les chômeurs et allocataires sociaux qu’elle génère requièrent des ressources supplémentaires.

    L’État les trouve habituellement en augmentant la pression fiscale, ce qui a pour conséquence inévitable de diminuer la compétitivité des entreprises. Et pour maintenir leur compétitivité, celles-ci doivent faire des économies, par exemple en réduisant leur personnel ou en se délocalisant dans des pays à main-d’œuvre bon marché… ou alors risquer la faillite. Tout cela diminue l’emploi et aggrave le problème des pensions.

    Et si l’on se refusait à augmenter la pression fiscale en maintenant fermée l’enveloppe de la sécurité sociale, les montants alloués à ces chômeurs et allocataires sociaux supplémentaires grèveraient d’autres postes de la sécurité sociale, comme par exemple l’assurance maladie-invalidité… ou les pensions elles-mêmes !

    Dès lors, indépendamment de toute autre considération sur les éventuels avantages ou inconvénients que l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde apporterait à l’Europe, celle-ci ne résout en rien le problème des pensions. On pourrait, par contre, résorber ce problème en augmentant l’emploi productif.

    Pour cela, il faudrait, d’une part, améliorer la compétitivité de nos entreprises, en diminuant le poids de l’État et ainsi la pression fiscale. Et d’autre part, faciliter la création d’entreprises, notamment par un allègement significatif de leurs charges administratives et sociales. Mais sûrement pas en encourageant l’immigration extra-européenne.

    Ainsi, l’affirmation « rajeunir la population par l’immigration contribue à payer les retraites » a beau être répétée à l’envi, elle ne repose actuellement en Europe sur aucune réalité. C’est donc encore un de ces mythes idéologiques dont il faut se défaire pour résoudre les problèmes.

    Jacques Stelliez

    http://www.polemia.com/non-les-migrants-ne-payeront-pas-vos-retraites/

  • L'escroquerie du soi-disant anti-racisme

    Communiqué de l'Agrif :

    "Les medias répercutent aujourd’hui des statistiques sur les délits anti-musulmans et antisémites. Mais rien sur les actes anti-chrétiens pourtant en augmentation exponentielle.

    Tout cela est pipé. D’une part on recense systématiquement au nombre des délits anti-musulmans ou antisémites tous les propos, spectacles et écrits souvent en effet susceptibles d’offenser la sensibilité des musulmans ou des juifs. En revanche, les spectacles les plus abominablement anti-chrétiens dans un flux ininterrompu d’obscénités blasphématoires, malgré leur charge de haine sont considérés comme relevant de la liberté imprescriptible de dérision, le droit au blasphème étant désormais présenté comme un des fondements de la laïcité. Peu importe ce que peuvent éprouver les chrétiens dont on ne cesse pourtant de persécuter ou martyriser ou exterminer tant de leurs frères en des terres dites d’islam.

    On peut donc comme à Bordeaux, une fois encore organiser une exposition ignoblement anti-chrétienne. Celle qui est en cours s’appelle « je vous souhaite d’être follement aimé ». L’AGRIF ne poursuit pas. Sûre hélas d’être coûteusement déboutée par une triste « justice ». Son président tient du moins à exprimer son plus total mépris pour les 16 soi-disant artistes, pauvres débiles obsédés, vautrés dans le glauque conformisme anti-chrétien le plus baveux.

    L’AGRIF observe combien le respect de la dignité de la personne humaine, que la loi devrait protéger, est bafouée en de pareils spectacles. Elle est évidemment attentive à relever tout acte d’indéniable violence directe contre les Français parce qu’ils sont Français, quelle que soit leur race et leur religion et contre les chrétiens quelle que soit leur origine ou Église parce qu’ils sont chrétiens. Dans ces cas, bien sûr, elle intentera les procédures qui s’imposent. L’AGRIF travaille aussi avec ses milliers d’adhérents pour que vienne un changement politique, médiatique et culturel, pour le respect du christianisme et des chrétiens à l’égal des autres citoyens."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/lescroquerie-du-soi-disant-anti-racisme.html

  • Alors Bruno?

    Par 32 voix pour sur 39, trois contre et quatre abstentions, le Bureau politique du FN a voté ce lundi une motion demandant aux deux députés siégeant dans cette instance, Bruno Gollnisch et Marie-Christine Arnautu, d’en démissionner. Contrairement aux consignes données, ils étaient en effet présents au  discours du 1er mai de Jean-Marie Le Pen, avec une  collègue élue au parlement européen Mireille d’Ornano. Celle-ci, tout comme le conseiller régional Philippe Chevrier (SD des Yvelines) également présent place des Pyramides,  a   été relevée de ses fonctions départementales. Le député européen FN a déclaré à l’Afp que « (ses) états de service (lui)  permettent de ne pas devoir répondre dans l’instant à une sommation avec le couteau sous la gorge. »  « Je vais consulter mes amis, prendre un certain nombre d’avis, voir mon emploi du temps, envisager toutes les implications de cette décision. » Sébastien Chenu  délégué national du RBM, affirme, rapporte Le Point,  qu’ « On peut difficilement imaginer qu’ils (Bruno et Marie-Christine, NDLR)  puissent continuer de siéger dans les instances de direction. » « C’est la fin d’une aventure. Marine Le Pen solde tout. » Tout solder ?  La formule est un peu maladroite !  Marianne rappelle que  « les deux « rebelles (sic) sont relativement populaires parmi les militants : à l’élection au comité central (du FN) fin 2014, sorte de baromètre interne, M. Gollnisch est arrivé 5e, Mme Arnautu 9e. » « M. Gollnisch a longtemps incarné un courant soucieux de continuité lepéno-lepéniste au FN face  à Mme Le Pen, qui faisait vœu de modernisation et d’aggiornamento »  ajoute encore l’article de  Marianne qui n’échappe pas ici à la caricature.

     Bruno a surtout  œuvré  aux côtés, à côté  et non « face » à Marine  pour le  développement du FN; quant aux  idées, aux  valeurs  qu’il défend,  elles ne sont pas plus passéistes ou clivantes  que les fondamentaux du FN, toujours d’une brûlante  actualité. Ils partagent aussi tous deux une conviction, à savoir que la vocation du FN n’est pas simplement d’être le premier  mouvement d’opposition  nationale au Système.  Bien plus que cela, il s’agit  de devenir majoritaire pour porter demain nos idées au pouvoir, ce qui est la finalité même du combat politique:  non pas simplement  témoigner mais gouverner!

    Interrogé  dimanche sur la possibilité d’être sanctionné pour sa participation  au dépôt de gerbe deJean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch avait indiqué  qu’il « (avait)  passé l’âge de craindre les punitions. »  Sa présence place des Pyramides était  une manière, c’est vrai, de rendre  un hommage au courage, à la pugnacité, à la  lucidité, au caractère visionnaire de  Jean-Marie Le Pen;  une fidélité,  aussi  aux  nombreux combats menées  en commun,  avec les  frontistes, et avant eux par les  militants de la cause patriotique,  pour la renaissance nationale, la  justice sociale.

    « Je suis partisan de l’unité. Je pense que c’est une condition nécessaire de la victoire. J’ai donné des gages de ma fidélité à nos idéaux et à notre mouvement » a expliqué Bruno Gollnisch qui assume ses propos mais ne cautionne pas forcément   ceux des autres, toutes les phrases, sorties ou humeurs de Jean-Marie Le Pen. « J’avais d’ailleurs ambitionné d’aller aux dépôts de gerbes Jean-Marie Le Pen ET de Marine Le Pen, ainsi qu’à son banquet pour entendre son discours ». Mais  « Marine Le Pen m’a dit qu’elle craignait que ma présence ne perturbe la couverture médiatique. Comme je suis d’un tempérament conciliant, je me suis incliné. »

     « Cette affaire de gerbe déposée avec Jean-Marie Le Pen est une tempête dans un verre d’eau » poursuit-il,   « même si un certain nombre d’imbéciles et d’indécents ont appelé à une purge, poussant les journalistes carnassiers à se jeter sur ce morceau de viande fraîche. » D’autant que comme il l’a toujours fait,  Bruno Gollnisch « (dit)  à (ses)  amis qui seraient tentés de quitter le FN de n’en rien faire », rappelle une  nouvelle fois qu’il « souhaite la victoire de Marine en 2017. » .

    Aussi,  la seule vraie question, « ce qui compte, bien au delà de ces problèmes assez navrant de personne, c’est la question de rassembler nos électeurs, de rassembler les Français et de conserver le cap de nos convictions, qui rencontrent de plus en plus l’adhésion des Français. Or  un certain nombre de gens comme moi, qu’on le veuille ou non, incarnent la défense des valeurs traditionnelles, l’accueil de la vie, la famille, la lutte contre le fiscalisme, etc. »

    Ce qui devra être confirmé  si ce n’est par le programme du FN (le dernier date de  2001) du moins  par le projet de notre candidate.  Qu’avons nous à dire, à affirmer  en matière de rétablissement des libertés économiques, contre le fiscalisme qui spolie et la bureaucratie qui paralyse ? Notre politique sociale est-elle toujours fondée sur l’accession à la propriété? Changeons-nous quelque chose dans la défense de l’identité culturelle, spirituelle et charnelle de la France ? Et en matière de politique familiale, d’accueil de la vie, de lutte contre le déclin démographique ? Sommes-nous toujours pour la liberté de l’enseignement,  le rétablissement de la liberté d’expression et l’abrogation des lois liberticides ?  Quel est le périmètre de notre lutte contre  contre le mondialisme ? Quid de la politique étrangère,  de coopération, de l’alternative envisagée  à l’idéologie bruxelloise, de notre éventuel projet   alter européen? 

    Bruno Gollnisch a indiqué vouloir se donner « le temps d’une brève réflexion. » « Je vais demander une entrevue à Marine Le Pen, on doit se voir à Strasbourg la semaine prochaine. J’espère une discussion politique, car après l’éviction de Jean-Marie Le Pen, cette affaire de demande de démission prend une tournure politique. Il y a beaucoup de flou sur un certains nombre de sujets du programme du FN, sur la famille, mais aussi sur la fiscalité. J’aimerais m’en expliquer avec elle et je prendrai une décision ensuite. Les membres du BP devraient comprendre que ma présence rend service à Marine, je cautionne sa candidature et je conjure mes amis de le faire. Je suis un facteur d’unité et il m’arrive de donner mon avis qui n’est pas toujours dénué de fondement! »

     

    http://gollnisch.com/2016/05/03/alors-bruno/

  • Thierry Meyssan - Panama Papers / Russie / Arabie Saoudite / Nuit Debout /Dollar.... - Meta TV 2/2

  • Sophie Montel préfère protéger les animaux que les petits d'hommes

    Sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel revient sur les propos de Sophie Montel :

    6a00d83451619c69e201bb08f42de2970d-200wi.jpg"[...] Passons sur la forme, sur cet enfilage de perles éculées, de lieux communs ampoulés que même une stagiaire de Femme actuelle hésiterait à coucher sur le papier, sur ce morceau de bravoure au service d’un féminisme idéologique dont il apparaît un peu plus évident chaque jour qu’il crève, la bouche ouverte, de ses contradictions – son insondable démagogie envers l’islam n’étant pas la moindre. 

    Passons sur le choix d’Olympe de Gouges – grande figure pour la franc-maçonnerie féminine (une fédération de 200 loges porte son nom) que Ségolène Royal rêvait de panthéoniser -, comme si, pour tromper l’adversaire, il fallait absolument courir, langue pendante et queue frétillante, derrière ses égéries… et finir surtout par se tromper soi-même. 

    Passons même sur le fond, que l’on pourrait pourtant démonter point par point, les stériles « sanctuaire » « contraception » et « avortement » de madame Montel n’abritant que des idoles tyranniques, devant lesquelles, à l’échelon individuel, les femmes sont aujourd’hui forcées de se prosterner, quelles qu’en soient les conséquences pour leur santé physique et psychologique – tu parles d’une « sublimation » ! – et qui, à l’échelon collectif, sont évidemment les premières responsables de ces flux migratoires que prétend fustiger madame Montel. Il n’y a remplacement exogène en Europe que parce que le remplacement endogène, des parents par les enfants, n’a pas lieu. Et une comparaison entre les chiffres de l’avortement et de l’immigration illustre bien ce phénomène de vases communicants.

    Passons sur tout cela, car le simple aspect tactique laisse déjà pantois : la presse bruit de cette ligne de fracture entre un FN conservateur dit « Front Marion » et un FN chevènementiste dit « Front Philippot ». Jusqu’à dimanche, les responsables du parti pouvaient encore nier, colmater la brèche, parler d’un fantasme des médias, ménager la chèvre et le chou, rassurer la carpe et le lapin par des non-dits et un statu quo pragmatiques, Marine Le Pen n’ayant pas trop de tout cet électorat hétéroclite pour la porter à l’Élysée. « On ne sort de l’ambiguïté qu’à ses dépens », disait le cardinal de Retz. Par le discours sans équivoque sus-évoqué, le FN risque d’en faire l’expérience à ses dépens. 

    On me souffle que Sophie Montel est à l’origine d’un collectif consacré à la protection animale. C’est tout à son honneur. Dommage qu’elle ne fasse pas preuve de la même aménité à l’endroit des petits d’hommes. Et qu’elle renvoie du FN une image de caniche toiletté tenu en laisse par le politiquement correct."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • TAFTA : des révélations fracassantes

    La ratification du TAFTA annoncerait la mort des États-nations et le début de la gouvernance mondiale des grands groupes économiques.

    La semaine passée, je dénonçais ici le flou entourant les négociations relatives au TAFTA (acronyme de Trans-Atlantic Free Trade Agreement). Négocié très discrètement depuis plus de trois ans, l’accord est une priorité de Barack Obama et de l’Union européenne, qui font tout pour le ratifier au plus vite.

    Le halo de mystère entourant les tractations semble désormais s’expliquer. En effet, Greenpeace Netherlands (Pays-Bas) a publié 248 pages de documents confidentiels démontrant clairement le danger que fait peser cette nouvelle usine à gaz mondialiste sur les peuples européens. L’Union européenne et les États-Unis entendent créer un marché unique euro-américain au service des entreprises transnationales, sans même prendre la peine de faire voter leurs populations devenues simples spectatrices de leurs existences respectives. Heureusement, il est de plus en plus difficile de cacher longtemps des secrets dans le monde contemporain, grâce aux nouveaux moyens de communication, à la culture de la transparence et aux lanceurs d’alerte.

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  • Henri Guaino : "On en fait n’importe quoi, aujourd’hui, des valeurs de la République"

    Le député (LR) des Yvelines, Henri Guaino, a tenu des propos similaires à ceux de Marion Maréchal-Le Pen lorsqu’elle affirmait appartenir à une "génération saoulée par les valeurs de la République".

    "On en fait n’importe quoi, aujourd’hui, des valeurs de la République". Henri Guaino n’est pas de la même génération que Marion Maréchal-Le Pen, mais il partage son avis. Fin avril dernier, la nièce de Marine Le Pen avait déclaré faire partie d’une "génération un peu saoulée par les valeurs de la République qu’on nous sert en permanence et dont on ne sait pas ce qu’elles recouvrent". Invité ce lundi d’iTélé, le député (LR) des Yvelines a développé la même dialectique.

    "C’est un peu comme la laïcité, a-t-il déclaré. Dès qu’on a un problème, on se réfère à la République. On ne sait plus d’ailleurs ce que les uns et les autres mettent dans ce mot. Je tiens profondément à l’idée républicaine, mais n’en faisons pas n’importe quoi. N’en faisons pas l’alibi de n’importe quoi, l’excuse de n’importe quoi". L’ancienne plume de Nicolas Sarkozy avait déjà déclaré qu’il "pourrait travailler" avec la députée FN, mais pas dans un gouvernement Front national. Pour l’instant, Henri Guaino n’est pas candidat à la primaire de la droite et du centre, pour laquelle onze concurrents sont déjà sur la ligne de départ. Ce lundi, il n’a pas fermé la porte à une éventuelle candidature.

    Vu sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Henri-Guaino-On-en-fait-n-importe