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Sainte Rita - action sur Nantes contre le groupe Lamotte
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Racisme/antiracisme l'imposture républicaine
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Les 14 "convictions" des Républicains
Lors du Conseil national réuni pour deux jours, Nicolas Sarkozy a présenté un texte qui est soumis à toutes les fédérations et militants. Ce texte sera envoyé, dès lundi, à tous les comités départementaux pour être, avant la mi-mars, « complété, amendé, corrigé au plus proche de nos territoires ». Avant que fin mars le Bureau politique adopte et amende, le cas échant, ce texte avant une consultation des militants en avril.
Il s'agit de 14 convictions :
- une « France une et indivisible ».
- attachement à « l'autorité de l'État, un État qui encourage, qui protège, qui facilite, plutôt qu'un État qui empêche, qui contraint, qui paralyse. Les Républicains croient dans la liberté d'entreprendre, la responsabilité, la confiance et non la défiance. Ils veulent tourner le dos à la suspicion, au nivellement, à l'égalitarisme, à la bureaucratie qui paralyse tout ».
- l'entreprise et le travail « doivent être le cœur de toutes politiques économiques ». « Les Républicains refusent le partage du travail et les 35 H et veulent refonder notre modèle social en faisant de l'entreprise le lieu principal du dialogue social ».
- La quatrième conviction concerne la modernité.
- Cinquième conviction, le « message universel de la France et à son rôle sur la scène internationale ».
- les frontières européennes : ne pas accepter « que soit déléguée une partie de la souveraineté nationale sans garantie que les intérêts de la France seront respectés et défendus ».
- politique d'immigration de la France. « Les Républicains souhaitent que la France continue d'être fidèle à son histoire d'ouverture et d'accueil de tous ceux qui sont opprimés pour leurs opinions, mais ils exigent que cela se fasse dans le respect de notre identité nationale. Ce qui signifie que le nombre d'immigrés accueillis soit conforme à nos possibilités en termes d'emplois, de logements et d'équilibre budgétaire ». « Les racines chrétiennes de la France ne sont pas un obstacle à l'assimilation mais à l'inverse nous entendons qu'elles ne soient pas victimes d'une immigration sans limite ou d'un communautarisme qui n'a pas sa place au cœur de la République ».
- l'attachement à la culture.
- La solidarité, rôle de l'Etat.
- Concernant l'école, « Les Républicains croient dans l'école de la République fondée sur l'excellence, l'exigence et la transmission d'un savoir, d'une culture et d'une langue. Ils croient dans l'autorité, dans la récompense, dans l'effort, dans le respect qui est dû aux maîtres, dans la lutte contre l'absentéisme scolaire qui doit être sanctionné ».
- La laïcité : « Les Républicains croient dans la laïcité. Il n'y a pas de fatalité à ce que les valeurs de la République continuent de reculer. Ils refusent toutes les formes de communautarismes. Ils exigent que soit préservée la neutralité religieuse dans les administrations, les Universités, les lycées, les collèges, les écoles publiques et même encadrée dans les entreprises ».
- la politique pénale :« la République, ce n'est pas la culture du laxisme, du désarmement pénal et moral ».
- Une « politique familiale ambitieuse. Ils refusent la fiscalisation des allocations familiales tout comme la fin de leur universalité. Ils rejettent la remise en cause permanente du quotient familial ».Opposition à la gestion pour autrui (GPA).
- Agriculture et ruralité.
Nicolas Sarkozy a déclaré aussi :
« Les Républicains refusent tout accord local, départemental, régional, national, avec le Front National. Et affirment la totale incompatibilité avec sa politique économique, européenne, sociale et sociétale ».
Et avec la gauche :
Les Républicains « refusent toutes formes de Front Républicain ou de grande coalition qui conduirait à la confusion en ouvrant un espace immense aux extrêmes. La France a besoin de choix clairs face aux grands défis qui sont les siens ».
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Manif pour défendre les libertés publiques : les discours
Retrouvez les principaux discours des intervenants à la manifestation pour défendre les libertés publiques, à Paris le jeudi 11 février 2016.
Béatrice Bourges, Jean-Yves Le Gallou, Christine Tasin, Frédéric Pichon, Karim Ouchikh et Robert Ménard on évoqué le Général Piquemal, envoyé au ballon et qui se déballonne (peut-être sous pression), le recul des libertés publiques, le totalitarisme mou de la clique de Hollande… laissons conclure Jean-Yves Le Gallou, citant Hélie de Saint Marc : « un homme doit garder la capacité de résister, de s’opposer, de dire non. Ensuite il n’a pas à s’excuser. » -
I-Média S03E02 Calais, Piquemal, Pegida et les médias
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Valls: il y aura d'autres attentats "d'ampleur" en Europe, "c'est une certitude"
"C'est une certitude" qu'il y aura d'autres attentats "d'ampleur" en Europe, a affirmé samedi le Premier ministre français Manuel Valls lors de la Conférence sur la sécurité de Munich (Allemagne), en estimant que le monde était entré dans une époque d'"hyperterrorisme".
"Nous devons cette vérité à nos peuples: il y a aura d'autres attaques, des attaques d'ampleur, c'est une certitude. Cet hyperterrorisme est là pour durer, même si nous devons le combattre avec la plus grande détermination", a dit Manuel Valls.
La semaine dernière à Paris, le Premier ministre français avait déjà affirmé que le niveau de la menace d'attentats était actuellement "sans doute" supérieur à celui d'avant les attentats jihadistes du 13 novembre.
"Nous sommes entrés, nous tous le sentons bien, dans une nouvelle époque caractérisée par la présence durable de l?hyperterrorisme. Un hyperterrorisme qui se trouve à la confluence d?un pseudo-messianisme religieux et de l?usage de la terreur de masse", a affirmé le Premier ministre lors de cette conférence, surnommée le "Davos de la sécurité".
"Nous devons en être pleinement conscients, et agir avec une très grande force et une très grande lucidité. Je le redis devant vous, comme je le dis à mes concitoyens: nous avons changé d?époque", a-t-il ajouté lors d'une table ronde à laquelle participait notamment son homologue russe Dmitri Medvedev.
Comme le président François Hollande jeudi soir, M. Valls a appelé la Russie à arrêter de mener des frappes en Syrie qui touchent la population civile.
"Je le dis sans aucune ambiguïté et en confiance, à Dmitri Medvedev: la France respecte la Russie et ses intérêts, (...) mais nous savons que pour retrouver la voie de la paix et de la discussion, les bombardements de la population civile doivent cesser", a-t-il dit.
Quant à l'accord obtenu à Munich entre les Etats-Unis, la Russie et leurs principaux alliés pour faire cesser les hostilités en Syrie, M. Valls a salué "une étape", mais "qu?il faut maintenant d?urgence concrétiser" dans "les faits".
Le Premier ministre a enfin réitéré son message sur le risque d'effondrement du projet européen, sur fond de crise migratoire et de risque de sortie du Royaume-Uni de l'Union des 28.
"Le projet européen peut reculer et peut même disparaître si nous n'y prenons garde", a lancé M. Valls.
"Il disparaitra derrière la montée des égoïsmes et des populismes. Et ce serait là, pour nous tous, un grand pas en arrière", a-t-il dit.
source Le Parisien ::lienhttp://www.voxnr.com/cc/dep_mondialisme/EuVVFlVpklnLhrOetf.shtml
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Qui paye les factures téléphoniques des demandeurs d’asile ? Les contribuables !
« Les autochtones doivent payer pour les frais de téléphone des réfugiés». Ce message a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux autrichiens. Une demande de l’association Caritas vient étayer cette affirmation.
Caritas est une ONG internationale aux mains de chrétiens de gauche. Elle avait initialement pour but de venir en aide aux victimes de catastrophes naturelles et aux pauvres. Aujourd’hui, ses différentes antennes en Europe se consacrent quasi exclusivement aux « migrants ».
En Autriche, Caritas a demandé au gouvernement d’attribuer une subvention pour payer les frais de téléphone des demandeurs d’asile.
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Ça se confirme : Erdogan fait du chantage aux « migrants »
Nous l’évoquions récemment, la Turquie fait chanter l’UE avec la crise des « migrants ».
Erdogan fait chanter l’Union européenne avec la crise des migrants. Tout le monde s’en doutait, mais cela a été confirmé par le site d’information grec euro2day.gr, repris depuis par le journal allemand Der Spiegel.
Nous pouvons ouvrir les portes sur la Grèce et la Bulgarie n’importe quand et nous pouvons mettre les réfugiés dans des bus… Comment traiterez-vous alors les réfugiés si vous n’obtenez pas un accord ? Vous allez les tuer ?
aurait déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan au président du Conseil européen Donald Tusk et à celui de la Commission Jean-Claude Juncker lors d’une rencontre en novembre dernier. Il aurait aussi ajouté :
Il ne s’agira pas juste d’un seul garçon mort près des côtes turques, il y en aura 10 000, 15 000. Comment allez-vous faire face à ça ?
L’Union européenne et la Commission européenne n’ont pas démenti ces informations, mais n’ont pas non plus souhaité les commenter. Bref, elles en attestent la véracité, mais tentent de les étouffer.
Ankara et l’Union européenne (UE) ont signé en novembre un accord pour tenter d’enrayer le flot des migrants partant des côtes turques vers la Grèce. En échange de trois milliards d’euros et d’une relance du processus en vue de son adhésion, la Turquie s’est engagée à mieux contrôler ses frontières maritimes et à lutter contre les passeurs.
Mais cet accord n’a eu que peu d’effet. Les Européens exigent des Turcs qu’ils agissent plus, vite. Les Turcs leur reprochent en retour de ne pas accueillir assez de réfugiés.Des révélations qui prennent un relief particulier au moment où Turcs et Européens se disputent sur le sort des Syriens fuyant les combats dans la région d’Alep et qui restent pour le moment bloqués à la frontière turco-syrienne.
« La Turquie veut obtenir plus de concessions, notamment plus d’argent de l’UE », résume Marc Piérini, ex-ambassadeur de l’UE à Ankara, et chercheur à la fondation Carnegie Europe, « c’est un marchandage pas très glorieux, notamment pour l’Europe qui a mis sous le tapis ses valeurs de démocratie et de liberté ».Autre hypothèse avancée, la fixation de ces réfugiés le long de la frontière permettrait à Ankara de réaliser une zone-tampon empêchant les Kurdes d’occuper cette partie de la frontière.
http://fr.novopress.info/198198/ca-se-confirme-erdogan-fait-du-chantage-aux-migrants/#more-198198
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Natacha Bouchart : « la limace »
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Au fait, avons-nous besoin d’une immigration d’origine extra-européenne ? par le Dr Bernard PLOUVIER
L’année 2015 fut un grand cru de l’ignominie islamique en France : multiples attentats meurtriers, décapitation au couteau à céramique, assassinats d’enfants blancs et – c’est devenu une habitude depuis les années 1980 – multitude de viols de « petits culs blancs » par les honorables rejetons de l’immigration africaine et proche-orientale… avec à chaque fois la ritournelle « Allah akbar » éructée par le criminel, comme si la référence religieuse était une circonstance atténuante, voire une justification.
Elle fut également un grand cru de l’ignominie en Allemagne, en Suède, en Finlande, où les langues ne se sont déliées qu‘à l’occasion des violences (vols, viols et attentats pédophiles, incivilités permanentes à l’encontre des citoyens et des « forces de l’ordre ») perpétrées en Allemagne durant toute l’année, avec un pic exceptionnel dans la dernière nuit… là encore, il fallut le scandale de la Saint-Sylvestre pour apprendre que les « réfugiés » s’étaient aussi mal comportés en terres allemandes qu’à Calais (ou ailleurs en notre ex-beau pays).
Même si Français, Belges, Scandinaves et Germains semblent avoir la mémoire très courte en matière de vilenies islamiques, tout le monde n’a pas oublié les atrocités de 2014 : soldats et policiers britanniques et français poignardés (l’exemple de Joué-lès-Tours devrait être dans toutes les mémoires françaises, survenant un an juste avant la grande soirée du 13 novembre 2015), obligation faite à des Français d’hurler des slogans coraniques sous peine d’égorgement ou de castration (à Perpignan, entre autres endroits), sans oublier la recrudescence de vols, de mises à sac d’églises et de cimetières, d’attaques de magasins et, bien sûr, toujours les viols en tournante.
Or, en France, nous comptons, en estimation basse, 5 millions de chômeurs. Nos caisses sociales, ultra-déficitaires, ne sont maintenues en survie que par des emprunts, ce qui aggrave considérablement la Dette, et un déficit budgétaire toujours existant, malgré des promesses de sens contraire maintes fois renouvelées. Alors, pourquoi importer de nouveaux immigrants qui, par leur comportement de vandales ou de parasites (même les immigrants clandestins ont droit à une allocation d’État), non seulement n’apportent rien à la communauté nationale, en dehors de leur merveilleuse présence, mais aussi coûtent très cher ?
Devons-nous être les complices d’une immigration-invasion qui, à terme – dans un délai d’un demi- ou d’un siècle -, génèrera une substitution de population dominante en France, par le seul effet de la différence de comportement matrimonial entre les Françaises de souche européenne et les immigrées, qui conservent une natalité de type africain ou proche-oriental, favorisée par l’octroi des allocations familiales même à des immigrés qui n’ont pas encore ou jamais travaillé en France… alors que ces allocations ont été mises en place pour les familles de travailleurs ?
Dans un pays où l’on a enfin mis un terme aux guerres et guérillas de religions, faut-il importer une religion de type médiéval par son fanatisme, une religion où la guerre sainte – le Djihâd – est rendue obligatoire à tout fidèle en bonne santé par neuf sourates de son livre réputé saint, le Coran ? Et ce, au moment où un calife autoproclamé invente une nouvelle forme de terrorisme djihadiste ? Est-ce opportun, est-ce simplement raisonnable ? Après tout, la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État exige un culte strictement privé et réprime tout débordement. Avant la Grande Guerre, certains maires socialistes ou radicaux francs-maçons interdisaient le port de la soutane dans leur commune. De nos jours, on laisse des musulmans obstruer des rues sous prétexte de prière et on accepte l’amalgame entre « salles de prières » et salles de sports (de combat) !
Enfin et surtout, pourquoi ne réprime-t-on pas les très nombreuses manifestations de haine islamique, les innombrables paroles et actes de racisme anti-Blancs ? Quel peut être, en définitive, l’intérêt d’importer d’honorables criminels, délinquants, trafiquants de drogues et d’armes ?
La Nation française doit-elle être punie pour des crimes commis aux colonies il y a des siècles, au plus tard il y a quelques décennies ? Ou doit-elle être remerciée par les ex-colonisés pour avoir, à ses frais (car si la colonisation fut profitable à certains entrepreneurs et financiers, elle fut effroyablement coûteuse pour les contribuables français), introduit dans leurs pays d’origine : l’hygiène, la fin des guerres tribales, l’explosion des rendements agricoles, la mise en valeur du sous-sol, l’instruction publique, des routes, aérodromes et voies ferrées, faisant passer d’un coup au monde moderne l’Afrique noire qui en était restée au néolithique ou à l’âge de bronze, comme le Maghreb et le Proche-Orient passaient très rapidement du Moyen Âge à la modernité ?
Non seulement, l’immigration-invasion paraît une absurdité, démographique autant qu’économique, en période de chômage d’une ampleur inédite dans notre patrie, en plus d’être un crime contre la Nation. Mais la repentance n’est nullement ce qu’elle devrait être. Ce sont les immigrés qui devraient présenter leurs plus humbles excuses à la Nation française pour l’ignoble comportement en France des fruits pourris issus de leur milieu.
Dr Bernard Plouvier
• D’abord mis en ligne sur Synthèse nationale, le 16 janvier 2016.