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lobby - Page 1451

  • L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » montre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins

    Jacques Bompard attire l'attention du ministre de l'intérieur sur la dégradation de la situation des camps d'immigrés en France :

    "Le mardi 26 janvier 2016 a éclaté une fusillade au sein du camp de Grande-Synthe, aux portes de Dunkerque. Le bilan de la rixe fait état de cinq blessés, trois par balles et deux autres à l'arme blanche. Ce camp d'immigrés regroupe 2 500 personnes, dont 95 % de Kurdes. Comment alors s'étonner de la situation lorsque l'on constate l'état de ce camp situé sur un terrain boisé et marécageux rendant difficile, voire impossible, l'action des forces de l'ordre : une équipe du Raid, une brigade de gendarmerie mobile, un escadron de CRS et deux équipes cynophiles : il n'en a pas fallu moins pour opérer une perquisition dans le camp de Grande-Synthe. Des armes ont été retrouvées, confirmant le problème sécuritaire que représentent les immigrés et qui inquiète les Français depuis des mois. La « jungle de Calais », « le camp de la honte » portent ces noms pour une raison. Ils reflètent l'inquiétude des Français. Le réalisme impose la solution à la question des clandestins illégaux qui doit bénéficier d'une réponse faisant appel au bon sens. L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » démontre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins tout en assurant la sécurité de sa population. L'état de ces camps représente un danger pour les immigrés eux-mêmes. Les minorités chrétiennes de ces camps subissent les majorités musulmanes. Au camp de Grande-Synthe l'objectif à peine dissimulé des populations musulmanes est l'expulsion des chrétiens iraniens du camp, en témoigne le responsable syndical sur place : « il existe un réel problème entre les musulmans et les non musulmans » (Le figaro, 27 janvier 2016). Le constat est indiscutable : le problème vient de l'Islam majoritaire et toujours grandissant pour qui la cohabitation n'est pas envisageable. Des réseaux d'extorsion sont mis en place par ces islamistes qui négocient les passages en Angleterre et font payer l'accès aux douches installées par la municipalité (le bon combat, l'horreur au camp de réfugiés de Grande-Synthe). Le Gouvernement tourne encore une fois le dos à ses responsabilités et les grands médias se gardent bien de relayer ce type d'exactions. Dans cette perspective il est demandé au ministre de l'intérieur si la politique migratoire du Gouvernement compte changer radicalement d'orientation afin de remédier aux problèmes sécuritaires que posent les immigrés pour eux-mêmes et pour les populations françaises. Il s'interroge également sur le fait de savoir jusqu'à quand les ressources de forces de l'ordre seront gaspillées dans des missions que le Gouvernement ne leur permet pas d'exercer efficacement."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Interdiction de manifestations à géométrie variable : l’état d’urgence finira-t-il en quasi dictature ?

    L’état d’urgence est une parfaite illustration de la façon dont les démocraties finissent : par glissements quotidiens, à coup de dénis et de protestations officielles de bonne foi et de forfaitures ahurissantes. La réaction des pouvoirs publics, aux abois sur un plan politique, face à des manifestations d’opposants, constitue une étape sur ce chemin de la dictature. 

    Là encore, il ne s’agit pas de défendre l’Action Française, mais de constater le glissement par lequel l’état d’urgence est désormais invoquer pour justifier de sévères entailles à la liberté de manifester.

    Ce week-end, la préfète du département avait interdit la manifestation de Pegida qui a tout de même rassemblé quelques dizaines de personnes. Crédit Reuters

    L’état d’urgence à Calais

    Alors que les pouvoirs publics, obsédés par les problèmes parisiens et totalement indifférents aux difficultés des Français ordinaires, ont laissé s’installer une situation de non-droit à Calais, l’état d’urgence est désormais mobilisé pour mater les oppositions. Le 23 janvier, la préfecture autorisait une manifestation de migrants, qui a dégénéré. Voici ce qu’en disait la maire de Calais :

    Le 23 janvier, lors d’une manifestation qui n’aurait jamais dû être autorisée, un groupe important de migrants a pu envahir le port et une partie d’entre eux ont même accédé à un ferry. Cet événement a montré la fragilité du dispositif de sécurisation du port, et démontré que la lande était hors de contrôle. Comme je ne peux accepter qu’une partie du territoire de ma ville ne soit pas sous contrôle, je demande au ministre de l’intérieur qu’on en sorte les gens qui n’ont rien à y faire et qui incitent les migrants à ce type d’action.

    La maire faisait évidemment allusion aux militants no-borders qui ont infiltré les camps de réfugiés et y incitent à l’agitation. L’Etat ne cherche manifestement pas à les contrôler.

    Ce week-end, la préfète du département avait en revanche interdit la manifestation de Pegida qui a rassemblé quelques dizaines de manifestants. Le leader du groupe, le général de la Légion Etrangère Piquemal, y a été arrêté et sera jugé en urgence ce lundi.

    Il ne s’agit pas ici de défendre Pegida France, mais de pointer du doigt la partialité de l’Etat dans cette affaire, dont il ne sortira rien de bon.

    L’état d’urgence à Marseille

    Vendredi, une autre manifestation était interdite. Il s’agissait du rassemblement de l’Action Française sur la tombe de Charles Maurras dans le village de Roquevaire. On le voit : on est loin, ici, des logiques de manifestation dans des zones sensibles. Malgré tout, la préfète locale a invoqué l’état d’urgence pour restreindre la liberté de manifester :

    « Ce rassemblement a suscité un appel à la contre- manifestation lancé par plusieurs associations et fédérations locales », précise la préfecture de police dans un communiqué.

    Elle souligne que la « proximité des deux rassemblements » et une « récente série de heurts et agressions » impliquant des individus se réclamant de l’Action française font courir un « risque avéré de confrontation ».

    Éric Verhaeghe

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Interdiction-de-manifestations-a

  • Le trompeur Printemps arabe, de la démocratie au terrorisme…

    Source : Nouvelles de France
    Un point de situation complet et pertinent sur la Syrie, déchirée par un terrorisme d’importation.

    Mars/avril 2011, le printemps arabe fleurissait en Syrie. Des manifestations d’opposants avaient lieu dans de nombreuses villes. Le gouvernement alternait la carotte des baisses de taxes, des augmentations de postes et de salaires avec le bâton d’une répression sévère.
    Dans une mise en scène bien réglée, les médias dénonçaient la barbarie du régime, des défections se produisaient dans ses rangs, un organisme de transition voyait le jour tandis que la protestation se muait en rébellion et la révolte en guerre civile. Le scénario étonnamment semblable à celui d’autres tournages se produisait avec des variantes locales.
    Le dictateur ne partait pas comme en Tunisie. L’armée ne basculait pas comme en Égypte. Faute d’intervention militaire directe d’une puissance occidentale, le régime ne s’effondrait pas comme en Libye. Il tenait avec le soutien de milices loyalistes, celui de l’Iran et de la Russie et l’arrivée des supplétifs chiites libanais ou irakiens.

    Il contrôle aujourd’hui plus de 70 % de la population, notamment les personnes déplacées qui se sont mises sous sa protection, dont on parle peu. Pendant ce temps, l’opposition connaissait, sans avoir gagné, le sort de celle de Libye apparemment victorieuse. Sa façade démocratique se craquelait, son unité se fissurait.
    Deux conseils dominés par les Frères Musulmans, l’un appuyé par la Turquie, le CNS, l’autre par le Qatar, la CNFOR revendiquaient la légitimité. Le décor démocratique et son Armée Syrienne Libre étaient débordés par des groupes islamistes rivaux et de plus en plus violents : le Front islamique, le Front Al-Nosra, l’État islamique multipliaient les conflits fratricides. Les Kurdes accédaient de fait à l’autonomie le long de la frontière turque.
    Depuis l’intervention russe en octobre 2015, l’armée syrienne appuyée par ses alliés reconquiert le terrain. La carte montre aisément que les rebelles sont, comme par hasard, en force aux abords des frontières jordanienne et turque, là où ils peuvent recevoir l’aide de l’OTAN et des pays du Golfe.
    Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que la France et ses alliés fournissent un soutien qui peut en raison de la confusion de la situation aller à des djihadistes qui sont nos ennemis, comme ceux d’Al-Nosra (Al-Qaïda) dont Fabius s’était laissé aller à dire qu’ils faisaient du « bon boulot ».
    Les troupes d’Assad ont libéré récemment deux villes encerclées au nord d’Alep et vont à leur tour refermer l’étau sur les islamistes qui occupent une partie de la grande cité. Le risque est donc très grand de voir se dévoiler le vrai visage de l’opposition syrienne avec une intervention directe des Turcs et des Saoudiens. Les seconds en parlent. Les Russes ont observé des mouvements inquiétants des premiers.
    La guerre est désormais possible, et notre pays s’y trouverait engagé dans le mauvais camp, celui des pays, la Turquie, l’Arabie Saoudite, le Qatar qui, avec l’aval du Président américain et néanmoins « Prix Nobel de la Paix », ont déstabilisé l’ensemble du monde arabe pour promouvoir une apparence de démocratie qui s’est révélée être le cheval de Troie de l’islamisme.
    Cette tentative a échoué partout. Soit il y a eu un quasi-retour à la situation d’origine dans des pays lourdement menacés par le terrorisme et appauvris par la désertion des touristes comme la Tunisie et l’Égypte. Soit la guerre civile s’est installée comme en Syrie, au Yémen et en Libye.
    Dans ce pays, l’État islamique s’est emparé de Syrte au centre de la côte méditerranéenne, menaçant directement l’Europe. De part et d’autre, deux gouvernements rivaux se partagent un pays plus que jamais retourné à l’anarchie tribale. C’est évidemment à ce type de situation que pourrait aboutir l’accord de paix voulu par les Occidentaux en Syrie.

    John Kerry est venu à Rome présider la réunion de 23 membres de la coalition de 66 pays réunie contre l’État islamique et qui peine à le détruire. Il a eu le culot de vanter les mérites des frappes homéopathiques dirigées contre « Daesh ». Celles-ci auraient fait fondre les troupes djihadistes, mais avec un effet de vases communicants qui aurait développé leur nombre en Libye. On constate que les Américains n’ont apparemment pas les moyens de bloquer ce phénomène et qu’ils ne veulent pas risquer au sol leurs militaires professionnels contre les salafistes.

    C’est en fait l’arrivée des Russes qui a changé la situation. Certes, l’ONG « Observatoire Syrien des Droits de l’Homme » basée à Londres et financée par de riches soutiens, leur attribue surtout des morts civils, mais la désinformation fait aussi partie des méthodes de Washington. Les actions de la coalition durent depuis deux ans et n’ont pas empêché les islamistes de gagner d’abord du terrain et de n’en perdre qu’assez récemment. L’offensive russe n’a que cinq mois et on peut en apprécier les résultats.

    Les Kurdes aussi progressent, mais la constitution d’un large Kurdistan irako-syrien ne peut que pousser les Turcs à recourir à la force. Il paraît donc évident que l’homéopathie doit laisser la place à une chirurgie urgente, même si celle-ci doit déplaire aux commanditaires sunnites de la rébellion syrienne.
    Le chemin le plus court du rétablissement de l’ordre et de la paix en Syrie passe par la volonté de redonner au gouvernement légal du pays, qui en maîtrise déjà la partie la plus peuplée, le contrôle de l’ensemble du territoire, hormis un Kurdistan autonome.

    En continuant d’aider des rebelles peu fiables, on prolonge inutilement une guerre qui a causé 260 0000 morts et déplacé 9 millions de personnes, et on favorise l’activité des bases terroristes qui s’abritent dans leurs secteurs. L’inaction en Libye, quant à elle, est aussi criminelle que l’action qui a précipité le pays dans le chaos.

    Kerry, dans la tradition des guerres perdues, dit préférer la solution politique à la solution militaire en oubliant que la guerre est la continuation de la politique et que les traités résultent toujours d’un rapport de forces indiscutable.
    Ni les ballets diplomatiques ajournés ou non, ni la distribution de chèques, encore moins la poursuite de la fourniture d’armes aux rebelles ne mettront fin aux souffrances infligées au peuple syrien.

    http://fr.novopress.info/197997/trompeur-printemps-arabe-democratie-au-terrorisme/#more-197997

  • Anciens combattants : l’Algérie dicte sa loi à la France !

    « L’Algérie dicte sa loi à la France sur les… anciens combattants ! Paris refuse le titre de « prisonniers » aux harkis victimes du FLN car, dixit un ministère, ce« serait très mal interprété par les autorités algériennes » !

    Quel scandale, ce mépris pour nos harkis ! Mais l’État français – de De Gaulle à l’actuel villégiateur de l’Élysée en passant par tous les intermédiaires intérimaires – n’a jamais voulu rendre l’hommage dû à ces soldats musulmans ayant, pour la France, combattu les terroristes du FLN, responsables de la mort d’enfants, de femmes, de vieillards désarmés, européens ou arabes… Terroristes devenus dès l’indépendance d’« honorables élus » d’un inique parti unique mais choyés par tous nos chefs d’État : serrer la main d’un de ces… « as », ça symbolisait la tache honteuse au fronton de la République française, celle en 1962 de l’abandon de nos harkis ayant eu le tort d’aimer la France… Tache qu’aucun Élyséen n’effaça ni n’atténua ! Et ce n’est pas l’expulsable en fin de bail qui le fera… La preuve : ce document rejetant la demande du président d’une association d’anciens combattants connus sous l’appellation de harkis.

    Samedi (6 février), à L’Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), lors de l’assemblée annuelle de l’Association nationale des anciens supplétifs d’Algérie, Boulevard Voltaire s’est procuré un document prouvant l’allégeance du gouvernement français au FLN au mépris de Français : Les Harkis. Le document émane du secrétariat d’État aux Anciens combattants et à la Mémoire (sélective ?), dépendant du ministère de la Défense de M. Le Drian.

    Qu’y lit-on ? Que, lors d’une réunion, les harkis avaient abordé un « sujet qui lui tient à cœur : la modification de l’intitulé du statut des porteurs de la carte de victime de la captivité en Algérie ». Les harkis souhaitent simplement que ce charabia si inepte, si abject soit changé en « prisonnier de guerre » ou « prisonnier du FLN » à l’image de l’Indochine avec le statut de « prisonnier du Viêt-Minh » ! Refus catégorique ministériel. La raison ? Parce que la dénomination « prisonnier du FLN », lisez bien, « ne peut être envisagée du fait du contexte politique bilatéral entre la France et l’Algérie. En effet, à l’heure actuelle, la priorité est de préserver les relations avec ce pays et le titre sollicité de “prisonnier du FLN” serait très mal interprété par les autorités algériennes. » On rêve ? Non, c’est dit ! Mieux : c’est écrit ! Les autorités « très démocratiques » algériennes tiennent toujours – sinon dans une main de fer, du moins sur un fauteuil du même métal – l’État français en vue de décisions concernant des… Français !

    Réponse des harkis, furieux, au gouvernement : « Nous sommes particulièrement choqués d’apprendre que les autorités algériennes dirigent d’une certaine façon la France et qu’il est plus important de satisfaire des gens qui ont fait des milliers de morts plutôt que de rendre justice à ceux qui ont combattu à ses côtés. » Une missive en forme de missile… »

    Jacques Martinez sur Boulevard Voltaire

    http://www.contre-info.com/anciens-combattants-quand-lalgerie-dicte-sa-loi-a-la-france#more-40888

  • L'Action française répond à la désinformation médiatique

    Suite aux nombreux articles de presse (voir ici), l'AF réplique :

    "Plus d’une vingtaine d’articles sont parus dans La Provence et La Marseillaise, de Mariannejusqu’au Huffington Post. Les mêmes poncifs : « extrême-droite », « racisme », « antisémitisme » reviennent dans beaucoup de ces articles. Ils ont pour unique objectif de disqualifier une école de pensée de plus d’un siècle qui a marqué profondément la vie intellectuelle française. Les procédures que nous entamerons dans les jours prochains contre des journaux sans déontologie pratiquant amalgame et diffamation ne nous empêchent pas d’éclaircir dès maintenant le positionnement de notre mouvement pour écarter tout malentendu.

    L’Action française est un mouvement royaliste qui se rattache à la pensée d’Aristote et de Thomas d’Aquin. Nous nous donnons pour objectif de « militer pour la restauration d’un État souverain exerçant pleinement ses fonctions régaliennes. Seul l’établissement d’une monarchie décentralisée et représentative garantira [à nos yeux] le juste exercice d’une puissance durable ». Notre ADN consiste à « défendre en toutes circonstances l’intérêt national et à instaurer la monarchie ».

    L’Action française et Maurras, par leur influence dans les années 20 ont permis de juguler le développement du fascisme en France. Dans ses Abeilles de Delphes, Pierre Boutang a raconté comment il a réussi à détourner Maurice Clavel du fascisme en le conduisant à l’idée monarchique. Des historiens comme François Furet, Pierre Chaunu et Pierre Milza ont récusé les amalgames à notre sujet, ceux-ci ne procédant que d’une intention diffamatoire.

    De nombreux maurrassiens et royalistes comme le Colonel Rémy, le Général de Bénouville, le Maréchal Leclerc, Jacques Renouvin, se sont retrouvés autour du Général de Gaulle dans la résistance, et ont contribué à la libération du territoire. Charles Maurras considérait que l’Allemagne était l’ennemi numéro 1 et que la collaboration était une trahison comme le montrent ses propos sur Pierre Laval ou sur la Milice. Sa position en faveur de Pétain, courante à l’époque, reprenait l’idée de l’Union sacrée de 1914 et n’impliquait pas d’adhésion sur la politique de collaboration de Vichy. Dès sa fondation, l’Action française refusa de s’en prendre aux personnes et aux biens : Léon Daudet fustigea la « horde barbare d’Hitler ». Maurras écrivait en 1939 : « Le racisme est notre plus vieil ennemi intellectuel  ». Aujourd’hui, l’Action française rappelle qu’elle condamne fermement le racisme et l’antisémitisme ainsi que les comportements haineux de certains mouvements « anti-racistes ». Jacques Bainville, le grand historien de l’Action française enseigne dans sa magistrale Histoire de France : « Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation. »

    Nous nous battons pour l’idée royale, principe d’unité à l’origine de l’existence et de la conservation de notre pays. Il est indigne de nous confondre avec des courants, des positions ou des sentiments que nous récusons, et cela sans même avoir pris le soin de dialoguer auparavant avec nous. L’Action française, pour laquelle la nation est avant tout une amitié, ne se laissera jamais confondre avec ceux qu’elle a toujours combattus et qui enseignent le racisme, la haine et le mensonge.

    Alors que la défiance monte dangereusement dans la société, que les conditions sociales s’aggravent, que des attentats barbares viennent de secouer notre pays, les maîtres du système devraient rapidement s’interroger sur le manque de déontologie journalistique et analyser en profondeur les raisons de la fracture de plus en plus béante qui éloigne le pays légal du pays réel."

    Michel Janva

  • Leurs méthodes !



    Écoutez cette émission remarquable menée par Christine  Deviers-Joncour, la soit-disant "Putain de la République", et ses propos sur l'ignoble Eva Joly, une sacrée belle pute, la binoclarde pour daltoniens verte et rouge ! Voyez leurs méthodes de corruption, et d'élimination entre  Cancers foudroyants, Crises cardiaques fulgurantes, chutes de balcon,
     ...
    Nombreuses morts d'état, de Bérégovoy à Coluche...  Soucis de Dumas lié à son antisionisme, l'Otan,  à la politique d'Israël. L'horreur d'un Fabius...  Affaires Thomson, Crédit Lyonnais... payés  par nous, les contribuables.  etc.


    Il est quasiment certain que Emmanuel Ratier, suite à son ouvrage sur la saloperie de Valls, a été éliminé par une crise cardiaque provoquée.
    Cette interview de Christine rappelle celle de Marie Laforêt, et je rajouterais aussi le blog de Nicole Guilhaumé. 
    Même nous sommes "aspiré" par la NSA, voir sur la carte des visites en bas du blogue,  le petit point rouge au large de la petite île au large  de l'Afrique qui apparait à mi-journée : la trace de leur visite quotidienne, voir point  dans le carré !
     

    Le Marty, par contre, nous joue le stupide sketch de l'extrême-droaaate et du repli sur soaaa... Reprenant les termes de la Doxa. Ridicule. 

     

  • La France surtaxée

    L'institut économique COE-Rexecode a examiné la question de la surtaxation du capital. Dans une étude à paraître ce jour, et dont Le Figaro dévoile en exclusivité les principaux résultats, l'institut montre tous les méfaits sur l'économie de la surfiscalisation des revenus du patrimoine et du capital. Non seulement elle provoque des «anomalies majeures» entre contribuables -à situation identique des traitements différents- maiselle mine également l'activité économique, en pesant sur la croissance, l'investissement et l'emploi.

    La fiscalité du capital a fortement augmenté au cours des vingt dernières années, passant de 7,3% du PIB en 1995 à 10 % en 2014, soit l'un des niveaux les plus élevés au sein des grands pays européens. C'est notamment la fiscalité sur les ménages qui explique l'essentiel de cette explosion. Son poids atteint plus de 65% du total des revenus du capital des ménages en 2014, contre 38% en 1995. Il est supérieur de plus de 40 milliards à celui constaté en Allemagne. La facture a été alourdie en 1997, puis entre 2011 et 2013, avec «en point d'orgue» l'alignement en 2013 par François Hollande de la fiscalité du capital sur celle du travail.

    Le problème, selon COE-Rexecode, c'est qu'à ces prélèvements se superpose un autre impôt progressif calculé sur le capital (l'ISF) que les autres pays (à l'exception de l'Espagne) n'ont pas. Dans certains cas, cela conduit donc à des «taux marginaux largement supérieurs à 100%», autrement dit confiscatoires. Concrètement, un contribuable aisé, soumis à la tranche de l'IR à 41% et à l'ISF à 1%, peut voir ses revenus d'épargne davantage taxés que ce qu'ils rapportent.

     

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Calais: Prison ferme pour les prévenus et deux interviews-vidéo du général Piquemal

    Soutien dvt Palais de Justice Boulogne

    En Photo le comité de soutien aux prévenus de la manifestation de Pégida devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer lundi. Plusieurs peines fermes ont été prononcées contre les quatre prévenus:

    – Trois mois de prison ferme, mais aménageable, pour «Arnaud»

    – Deux mois de prison ferme pour «Cédric

    – Deux mois de prison avec sursis pour «Romain». (Source)

    Cela semble bien lourd au regard de la mansuétude dont bénéficie les gauchistes pour leurs exactions, alors qu’ici les prévenus n’avaient même pas eu le temps de rejoindre la manifestation et n’ont donc rien pu faire, hormis d’avoir subi une fouille préalable qui a révélé qu’ils détenaient des objets suspects. Ils étaient venus protester contre l’envahissement de Calais par des clandestins qui y font régner leur loi.

    Le général passera au tribunal le 12 mai. Ainsi aura-t-il le temps de préparer sa défense. Un temps que les quatre prévenus qui ont été arrêtés en même temps que lui n’ont pas eu. L’avocat du général se plaignait de ne pas avoir eu accès au dossier, il serait étonnant que les avocats des autres prévenus aient été mieux lotis. Cette justice expéditive qui aboutit à des peines de prison ferme est très inquiétante. 

    Deux interviews du Général Piquemal 

    Par ailleurs le général Christian Piquemal a donné deux interviews aujourd’hui qui semblent contradictoires; l’une à BFMTV qui laisse perplexe. Peut-être le général qui sortait de l’hôpital était-il un peu déboussolé ? Et l’autre à TVLiberté:  bien dans la ligne de son attitude avant et durant la manifestation. 

    Voir la suite

  • Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait

    Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

    L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

    L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.

    La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.

    Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

    Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

    Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

    C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

    Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendu dans son appartement.

    Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

    Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

    Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • La descente aux enfers de la presse allemande

    ♦ Un fidèle lecteur nous signale l’article que nous publions sans la moindre retouche, accompagné de ses commentaires livrés sans fioritures.

    « En France : Lois liberticides, presse libre échangiste mondialiste, droit de l’hommiste, contrôlée par quelques milliardaires, pressions tous azimuts (démission de Mr Meteo, démission de Nadine Morano) et mensonges du pouvoir UMPS en France ! »

    « En Allemagne : Méthodes identiques ! (lois votées par le Bundestag, pressions droit de l’hommistes sur la presse et dans les médias, corruption de la presse par la CIA, organisation de contre-manifestations gauchistes par le pouvoir CDU-CSU/SPD de Merkel). »

    Depuis 2014, la presse mainstream allemande est en chute libre. Les citoyens se détournent non seulement des éditions papier, mais aussi des sites. Ce qui se passe en Allemagne est énorme.

    Lügenpresse (presse menteuse), c’est l’expression la plus répandue parmi les lecteurs d’outre-Rhin. Les citoyens-lecteurs allemands s’organisent sur les réseaux sociaux (Facebook, YouTube) pour appeler au boycott. Le résultat est foudroyant. En septembre 2015, six quotidiens et magazines sont en chute libre. En octobre, ce fut la descente aux enfers. En Allemagne, le phénomène est désigné comme « l’effet Ulfkotte ». Udo Ulfkotte était rédacteur en chef du FAZ (Frankfurter Allgemeine Zeitung), qu’il a quitté. Pris de remord, il révéla dans un best-seller comment la CIA corrompt la presse allemande dans le but de manipuler l’opinion.

    La baisse d’audience de ces médias fut déclenchée, entre autres, par le titre en une du Spiegel en juillet 2014 : « Stoppt Putin jetzt! » (Arrêtez Poutine maintenant).

    Suivi d’un autre numéro du même magazine, qui apposait sur le portrait d’un Vladimir Poutine au regard inquiétant le titre : « Le voisin dangereux, Vladimir Poutine, et l’impuissance de l’Occident. »

    Ce qui provoqua l’ire des Allemands et une réplique en forme de pastiche du Wache Bürger (Le citoyen éveillé) : « Stoppt Spiegel jetzt! » (Arrêtez le Spiegel maintenant).

    La célèbre revue Cicero titrait, le 29 avril 2014 : « L’orgueil après la chute » et dénonçait dans le chapeau de l’excellent article d’Alexander Kissler : « Les journaux meurent. La raison en est que l’on écrit totalement hors-sol. En particulier sur les sujets qui concernent la Russie ou sur Akif Pirinçci (accusé de manière manipulée d’avoir tenu des propos incitant à la haine raciale durant une manifestation PEGIDA à Dresde). Ce n’est pas ainsi qu’il convient de traiter les lecteurs » (Pirinçci est un auteur germano-turc célèbre en Allemagne).

    Pourtant, malgré cette débâcle, la nuit de la Saint-Sylvestre, en toute connaissance de cause, ces mêmes médias, ainsi que la télévision publique, ont dissimulé durant des jours les taharrushas qui se sont tenues sur tout le territoire allemand. Ce qui n’a fait qu’augmenter la méfiance et le rejet absolu des Allemands pour leur presse.

    À l’heure où Merkel ne tient qu’à un fil, les mainstreams ne se ressaisissent toujours pas. Il faut croire que la CIA, complice des néo-cons, se tient toujours puissamment derrière cette « Lügenpresse » allemande, qui bêle derrière ses collègues américains en accusant le président Poutine d’être corrompu jusqu’à la moelle. Venant de l’empire le plus corrompu du monde, comme le déclarait l’année dernière Jimmy Carter lui-même, il faut le faire…

    Les lecteurs allemands ne sont plus dupes. Ils se détournent définitivement des mainstreams et vont chercher l’information sur d’excellents sites de réinformation. Peut-on comparer nos deux pays ? Il me semble que oui.

    « Soutenons la liberté de la presse, c’est la base de toutes les libertés, c’est par là qu’on s’éclaire mutuellement » (Voltaire).

    Hildegard von Hessen am Rhein, 30/01/2016

    Source :Boulevard Voltaire.fr

    http://www.polemia.com/la-descente-aux-enfers-de-la-presse-allemande/