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  • Avion russe abattu par la Turquie: les 2 pilotes éjectés ont été pris pour cibles – réaction de Poutine – Vidéos

    Les quatre vidéos ci-dessous montrent la chute de l’avion russe abattu par la Turquie au cris enthousiastes d’ Allah akbar; la chute des deux pilotes russes qui ont réussi à s’éjecter avec leurs parachutes, mais qui sont visés comme des lapins par des « opposants modérés à Bachar el-Assad », amis de François Hollande, hurlant eux aussi des allah akbar; la chute de l’avion abattu aux cris d’Allah akbar; la vidéo de la réaction de Vladimir Poutine à l’annonce de l’avion russe abattu traîtreusement par un membre de l’OTAN qu’est la Turquie. L’OTAN étant censée combattre les islamistes. Le porte-avionCharles de Gaulle en position face à la Syrie en Méditerranée est placé sous haut commandement américain.

    Photo du pilote russe abattu selon une vidéo mise en ligne par l’Armée de Libération Syrienne, armée constituée des prétendus opposants modérés à Bachar-el-Assad.  En tout état de cause des islamistes que François Hollande défend becs et ongles, comme de doux agneaux face au méchant Assad. Le second pilote aurait été capturé.

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  • Quand l’État Français bafoue ses propres lois en faveur des Roms (1/2)

    Contre la population et contre ses propres lois, L’État français s’obstine à vouloir favoriser l’implantation des Roms en région lyonnaise. Gérald Pichon a mené l’enquête pour NOVOpress. Découvrez aujourd’hui en quoi les Roms en sont pas inexpulsables, contrairement à ce que prétendent certains et comment l’État contourne ses lois en leur faveur. Demain, suite de l’enquête avec les faveurs à l’hébergement et comment l’État reconnaît implicitement le caractère criminogène des Roms.

    Le préfet de Rhône-Alpes, Michel Delpuech, s’obstine à imposer l’installation de cent soixante Roms à Saint-Genis-les-Ollières. Plus grave, cet acharnement découle d’un refus de l’Etat de respecter sa propre Constitution et ses propres lois, alors que la présence de plusieurs milliers de Roms dans l’agglomération lyonnaise pose déjà des problèmes majeurs, qui pourraient être résolus si la préfecture faisait preuve de volonté politique au lieu de les aggraver.

    1/Les Roms, des citoyens européens inexpulsables ?
    Avec les Roms, l’État contourne ses propres lois et n’applique même pas les directives européennes. Ainsi, la législation de l’Union européenne interdit aux ressortissants européens de vivre uniquement de prestations sociales du pays d’accueil ! Or, actuellement, des milliers de Roms de nationalités roumaine ou bulgare n’ont pour ressources officielles que les prestations sociales versées par l’État.

    Que faire pour conserver votre droit de séjour ? Comment conserver votre droit de séjour ?
    Vous et les membres de votre famille conservez le droit de séjour tant que les conditions auxquelles il est subordonné sont remplies. Vous pouvez ainsi perdre votre droit si vous ne travaillez plus, si vous n’avez plus le statut de travailleur salarié ou si vous terminez vos études et ne disposez pas de ressources suffisantes pour couvrir votre séjour.

    Devenir une charge pour le système d’assistance sociale peut compromettre votre droit de séjour.
    Si votre droit de séjour dépend du fait que vous disposiez de ressources suffisantes pour ne pas devenir une charge pour le système d’assistance sociale de l’État membre d’accueil (notamment lorsque vous n’exercez pas d’activité économique), il peut être annulé dès que vous devenez une charge déraisonnable pour le système d’assistance sociale. Ceci ne signifie pas que vous ne pouvez pas demander une assistance sociale dans cet État si vous en avez besoin.
    Vous avez le droit de bénéficier des prestations d’assistance sociale dans les mêmes conditions que les ressortissants de l’État membre d’accueil. Cependant, l’État membre d’accueil est autorisé à vérifier les circonstances de votre demande. Il peut examiner si votre besoin d’assistance résulte de difficultés temporaires. Il tiendra compte de la durée de votre séjour, de votre situation personnelle et du montant des prestations d’assistance sociale octroyées. Si l’État membre d’accueil conclut que vous êtes devenu une charge déraisonnable pour son système d’assistance sociale, il peut procéder à votre éloignement. Cependant, cette mesure d’éloignement ne peut en aucun cas être la conséquence automatique du recours au système d’assistance sociale.
    Extrait de « Circuler et séjourner librement en Europe » de la Commission européenne, Direction Générale Justice.

    La quasi-majorité des Roms est expulsable : l’exemple du squat boulevard Yves Farges
    Dans ce squat fermé en avril 2015, 70 % des adultes sont en situation irrégulière et sont donc expulsables ! Selon les propres chiffres de la préfecture, sur les 90 adultes, « 62 personnes sont en situation irrégulière dont 25 s’étaient déjà vu notifier une décision d’obligation de quitter le territoire français, trois avaient bénéficié d’une aide au retour et 34 ne se sont jamais manifesté auprès des services de la préfecture. ». (« 62 personnes en situation irrégulière selon la Préfecture », Le Progrès 16/04/2015)

    Et quand les demandeurs d’asile, le plus souvent des Roms, voient leurs demandes rejetées (75 %), sont-ils expulsés ? « La préfecture refuse là aussi de donner les chiffres. Certains se maintiennent dans les Cada et chambres d’hôtel. On sait, par ailleurs, que tous les pays ne reconnaissent pas leurs ressortissants, de sorte qu’ils peuvent se maintenir sur le territoire français. Depuis l’arrivée de François Hollande, les familles ne sont plus astreintes à résider dans les centres de rétention administrative, mais “assignées à résidence” dans leur logement. Si le jour du départ forcé, un enfant manque à l’appel, la famille n’est pas au complet, elle est inexpulsable. Des personnes, dont certaines rejoignent ensuite les squats et campements… Un peu comme si la France jouait à cache-cache avec ses candidats au séjour. Et vice-versa. » (Le Progrès, 29/05/2013)

    « On peut sans doute garder dans notre pays un certain nombre de Roms, cela demandera un énorme travail social.
    Gérard Collomb, maire de Lyon

    Gérald Pichon

    http://fr.novopress.info/195421/letat-francais-bafoue-ses-propres-lois-en-faveur-roms-12/

  • « Quand la science se fait propagande », par Jean-Gérard Lapacherie

    « Les races n’existent pas ». C’est ce que, selon un journaliste du Point, démontrerait la Galerie de l’Homme, inaugurée en octobre 2015. Certes, mais les races ont existé, sinon dans la réalité, du moins dans la science, et la Galerie ne dit pas qui les a inventées ou dans quel but cela a été fait. Quoi qu’il en soit, si les races n’existent pas, la propagande en faveur de la non-existence des races, elle, existe, plus vivace que jamais, au point que l’on peut se demander si ce qui est montré est la non-existence des races ou leur banale existence, car la propagande a pour seule règle la dénégation, laquelle consiste à nier ce qui est avéré.

    Il est révélateur que ce lieu ait été nommé galerie. Une galerie, dans un palais ou un édifice d’importance, est un « lieu de promenade à couvert » et un lieu d’apparat, de montre, d‘ostension et d’ostentation, comme la Galerie des Glaces à Versailles ou d’autres galeries à Florence ou à Fontainebleau ou, dans un ordre scientifique, la Galerie de l’Evolution du Muséum d’Histoire Naturelle, le Musée de l’Homme étant justement un musée de ce Muséum prestigieux. De fait, les visiteurs sont invités à déambuler devant des vitrines ou des panneaux placés sur toute la longueur de l’aile ouest du Palais de Chaillot et sur trois niveaux, chaque niveau correspondant à une des trois questions qui organisent l’exposition : Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Une admirable scénographie transforme l’exposition de fossiles, de moulages, d’artefacts anciens, de documents ethnographiques en spectacle pour le plaisir des yeux et de l’intelligence. Certaines vitrines sont exceptionnelles : ainsi la faune du paléolithique avec des animaux empaillés grandeur nature (rennes, cheval de Prjevalski, loup, crâne et défense de mammouth laineux) ; les outils ; les armes de chasse, l’utilisation qui en était faite et les techniques de fabrication ; les rites funéraires ; les moulages en cire de centaines de têtes humaines montrant la diversité des traits du visage, de la couleur des cheveux, du teint de la peau ; l’art pariétal. Si l’exposition s’en était tenue là, elle aurait été parfaite. Mais ses concepteurs ont cru bon d’y ajouter des discours, visant à distinguer le bien du mal. La déambulation à laquelle les visiteurs sont conviés se transforme en audition d’un grand sermon ou en lecture d’une épopée de l’Homme (avec un H majuscule, évidemment) des origines à nos jours. Tout est bavard, prolixe, hâbleur : la Galerie ne se contente pas de montrer ou de mettre en scène, elle patauge dans le verbiage. On se croirait sur les trottoirs des grands boulevards les jours de soldes.

    C’est que cette Galerie repose tout entière sur un impensé, qui est au cœur de la Science de l’Homme et de l’histoire des disciplines qui sont à l’origine du Musée de l’Homme : anthropologie et ethnographie. Dans le cadre de ces disciplines a été inventé le concept de race, signifiant « lignée » en français et n’ayant jamais eu de sens dangereux, et cela afin de rendre compte de l’infinie diversité des hommes. Les savants du XIXe siècle ont ouvert la boîte de Pandore du racisme, en classant les hommes, c’est-à-dire en les répartissant dans des « classes », en fonction de la forme de leur crâne, de la couleur de leurs cheveux, du teint de leur peau, de l’angle de leur sphénoïde. Tout classement est ambivalent. Il est typologie ou taxinomie, ce en quoi il est bénin, mais aussi mise en ordre dans une hiérarchie, des meilleurs ou moins bons. Classer n’est pas nécessairement criminel, mais a pu le devenir quand des peuples, armés ou non, se sont déplacés vers des territoires où, depuis la nuit des temps, s’étaient établis d’autres peuples (Australie, Nouvelle-Zélande, Arménie, Amérique, Yiddishland d‘Europe de l‘Est) qui ont été exterminés lentement ou brutalement, par exemple avec des moyens industriels. On comprend que les anthropologues, préhistoriens, ethnologues aient rompu avec les errements de leurs prédécesseurs. Ils auraient pu, pour montrer l’abîme qui les sépare des fondateurs de leurs disciplines, consacrer une ou deux vitrines à l’invention des races. Les discours qui scandent la déambulation couvrent ce passé sulfureux : surtout que personne ne le voie. Un même message est sans cesse répété : il y a une seule espèce ou « une seule humanité, une et indivisible », comme l’est la république ou, sous d’autres cieux, Allah. Le nom humanité, qui désigne une propriété, est employé dans un sens collectif. Par définition, l’humanité est une et indivisible. Ce n’est plus le vocabulaire de la science auquel recourent les concepteurs de la Galerie, mais celui de la politique ou de la religion : « Il y a deux millions d’années, les hommes sortent d’Afrique » (laquelle n’avait pas d’existence pour ces nomades). La métaphore de la sortie est tirée de l’Histoire Sainte : les hommes sortent d’Afrique, comme les Hébreux sont sortis d’Egypte.

    L’unité affirmée dans les discours est sans cesse démentie par ce qui est montré et par ce qui est dit. L’humanité est composée d’êtres humains divers. Comment nommer cette diversité ? Tantôt, c’est « cultures », tantôt « langues », tantôt « sociétés », tantôt « groupes humains ». Dans un discours, il est dit « notre lignée » pour désigner l’espèce humaine. Or, « lignée » est le sens premier du nom race. Le discours associe des contraires. Les hommes sont, est-il écrit sur un panneau, « si différents et si semblables », à la fois dans le temps et dans l’espace. Comment concilier différence et ressemblance ? Il suffit de placer la conjonction de coordination et entre les deux termes antithétiques et le tour est joué, d’autant plus qu’un sujet tragique est soigneusement évité, même s’il est nommé : la disparition des hommes de Neandertal sur le territoire de l’actuelle Europe. Une espèce qui était parfaitement adaptée à son environnement a disparu en quelques dizaines de milliers d’années. Disparition ou extermination ? Le fait est que la disparition est concomitante de l’arrivée sur ce territoire d’une nouvelle espèce, celle des Sapiens Sapiens. Mais la question est éludée. Les concepteurs de la Galerie qui ont réponse à tout sur des hommes ayant vécu il y deux millions d’années sont étrangement silencieux sur des faits qui, à l’échelle des temps de la préhistoire, sont nos contemporains : qu’est-ce que 40.000 ans pour une espèce qui est vieille de 4 ou 5 ou 7 millions d’années ?

    La propagande atteint son acmé dans la signification qui est donnée à la galerie et que résument les trois questions « Qui sommes-nous ? », « D’où venons-nous ? », « Où allons-nous ? », que l’on croyait réservées aux potaches s’initiant à la philosophie ou aux élucubrations d’un peintre tenté par une vague mystique occulte, d’autant plus que la réponse à la dernière des trois questions tient de la bouffonnerie. Si l’on en croit ce qui nous est montré, nous allons tous vers la COP21 en taxi brousse bariolé, un lourd véhicule qui doit consommer plus de 20 livres de carburant à l’heure. Que vient faire The 21st Conference of the Partiesau Musée de l’Homme ? Ce n’est pas la science qui parle, c’est la propagande : elle ne parle pas, elle s’égosille, quitte à transformer un « musée laboratoire » en caisse de résonance d’un gouvernement aux abois. Cette comédie est d’autant plus sinistre que la réalité est édulcorée. Soit la mondialisation. Elle a commencé, est-il expliqué sur des panneaux, au XVIe siècle et elle s’accélère depuis un demi-siècle. Cette affirmation relève de la profession de foi. La mondialisation suppose une diversité de mondes, de cultures, de civilisations, de sociétés, d’êtres humains. La « mondialisation » actuelle est une globalisation. Le monde n’est plus qu’un bloc homogène en passe de s’uniformiser. Avec la « globalisation », il n’y a plus qu’un seul marché, un et indivisible : tout se vend et tout s’achète au millionième de seconde et où que l’on soit. La globalisation, et les règles financières, commerciales, économiques élaborées grâce au « consensus de Paris » (Delors, Trichet, Camdessus, Lamy, Hollande, Chavransky, etc.) abolissent l’espace et le temps et, en fin de compte, rendent caduc ce qui est montré dans la Galerie de l’Homme. De même, il est à peine fait allusion à la « démographie galopante », qui, elle aussi, menace de rendre caduque la notion même d’Homme. Le nom homme au singulier n’a plus guère de sens quand les hommes se multiplient à l’infini, partout dans le monde, détruisant le cadre de vie dans lequel ils ont évolué pendant quatre ou cinq millions d’années. La population de la France a doublé en deux siècles, celle du monde a été multipliée par plus de 7. Si elle n’avait que doublé, la planète compterait deux milliards d’êtres humains. Le gaspillage des ressources, les déchets, la pollution des océans, les animaux transformés en réserves de protéines, tout cela n’existerait pas, du moins pas à un tel degré de virulence. Où allons-nous, sinon vers l’extinction des espèces animales, la raréfaction des ressources, la destruction de l’environnement ? Le destin de Neandertal menace Sapiens. Or tout cela est caché par des mises en garde dérisoires contre les douches et les bains qui consomment trop d’eau.

    Ce qui, plus encore que les discours, relève de l’idéologie, ce sont les formes. L’expression verbale se ramène à un enchaînement d’éléments de langage obligés, de formes sclérosées, des mêmes mots que l’on retrouve dans les devoirs d’élèves de classe de 3e ou les papiers bâclés de journalistes, de fautes de français (à propos de l’art pariétal, il est écrit en lettres lumineuses que des styles différents « se sont succédés » [au lieu de succédé] en 25000 ans). Ces indices sont éloquents. C’est l’idéologie (ou la propagande) qui parle. Le Musée de l’Homme est l’un des quatre ou cinq musées réunis dans l’immense Palais de Chaillot. Ce bâtiment, construit dans les années 1930, est classé. On en comprend les raisons : la rigueur des lignes, l’ampleur des masses et surtout la singularité de l’architecture. Il n’y a pas beaucoup d’édifices en France qui relèvent de ce style « moderne », et cela sur une colline qui domine Paris, ville qui, en 1937, était la capitale d’un empire colonial sur lequel le soleil ne se couchait jamais et d’une République qui se croyait universelle. En Italie ou en Russie, on qualifierait cette architecture de « mussolinienne », de « fasciste » ou de « communiste », La Galerie de l’Homme est à l’image de cette architecture : elle célèbre la parousie de l’Homme, son arrogance, sa supériorité sur le monde naturel qu’il a totalement « arraisonné », sa démesure. La Science de l’Homme n’est pas modeste ; le doute ne l’habite pas ; elle fait la propagande d’une idéologie, exactement comme à la fin du XIXe siècle cette même science a célébré la diversité des êtres humains en les répartissant en races.

    http://cerclearistote.com/quand-la-science-se-fait-propagande-par-jean-gerard-lapacherie/

  • Comme la théorie du genre, le terrorisme musulman, ça n'existe pas

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Dans la proposition de résolution du Parlement européen « sur la prévention de la radicalisation et du recrutement de citoyens de l'Union par des organisations terroristes », présentée hier par Rachida Dati, on peut lire ceci :

    "Le terrorisme ne peut et ne doit être associé à aucune religion, nationalité ou civilisation."

    C’est évident. Chacun peut constater qu’en Europe ces dix dernières années il y a eu autant d’attentats bouddhistes que d’attentats catholiques.

    Trêve de plaisanterie. Comment peut-on prétendre prévenir la radicalisation etc. si l'on refuse de connaître son origine ?"

    Le terrorisme est athée et apatride...

    Michel Janva

  • Les pistonnés de la République (exemplaire)

    Quand le piston l’emporte sur le mérite, quand le copinage supplée la compétence, les pratiques courtisanes sont encouragées, la défiance envers les institutions se développe : la République elle-même sape ses fondements.
    La République, qui a aboli les privilèges, en a inventé d’autres. Censée défendre l’égalité dans l’accès aux emplois publics, elle a réservé des places de prestige aux amis du pouvoir. En considération de leur mérite ou par piston ?
    La loi entraîne parfois des abus qu’elle devrait pourtant exclure. C’est ainsi qu’elle a instauré un « tour extérieur » qui permet au président de la République de nommer, en conseil des ministres, des inspecteurs généraux de l’Éducation nationale dans une proportion d’un poste sur cinq, sans autre condition que d’âge. Voilà la porte ouverte à des nominations de complaisance où le mérite, l’expérience et la compétence cèdent la place à des critères plus subjectifs : recaser des membres de cabinets ministériels, s’assurer la reconnaissance de quelques obligés qui deviendront sans état d’âme les propagandistes zélés de la politique gouvernementale…

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  • Les candidats de Bretagne face à La Manif Pour Tous

    Après Bordeaux, Lyon, Lille, Marseille et Toulouse, c'était lundi soir au tour de Rennes d'accueillir les candidats à la présidence de la région Bretagne. Toutes les têtes de liste avaient été invitées. Bien évidemment, un accueil chaleureux a été réservé à ceux qui ont participé :

    • Jean-Jacques Foucher (DLF),
    • Marc Le Fur (LR-Modem)
    • Gilles Pennel (FN).

    Christian Troadec (liste régionale) avait fait part d'une incompatibilité d'agenda tandis que Jean-Yves Le Drian (PS) et René Louail (EELV) n'avaient pas daigné répondre à l'invitation en dépit de l'intérêt que portent tous les Français, de gauche comme de droite, à la famille et malgré leur attachement affiché à la démocratie.

    Chaque candidat tête de liste a répondu pendant une trentaine de minutes à une série de questions sur sa vision de la famille et sur ses propositions majeures : transports, solidarité, emploi, loisirs, culture... D'où le nom de l'événement, Questions pour un président de région. L'ordre de passage retenu était alphabétique.

    C'est donc Jean-Jacques Foucher, tête de liste DLF pour la région Bretagne, qui s'est prêté au jeu en premier. Après avoir souligné que, pour lui, « la politique n'est pas un métier, mais un service », le candidat a précisé que pour lui, la famille, « c'est un père, une mère et des enfants, et des grands-parents aussi », d'où son souhait d'une « réécriture de la loi Taubira pour une union civile » en alternative. Il a fait part de son accord à l'idée de créer un « pass famille » pour faciliter la vie des familles et d'instaurer une commission régionale pour la famille et pour l'enfant. Favorable à l'égalité de tous les enfants, il est évident pour lui que les subventions scolaires doivent être les mêmes pour le public et le privé, ce qu'il met en œuvre dans la commune bretonne dont il est maire. Il souhaite, enfin, que le Conseil régional soutienne seulement les associations agissant pour l'intérêt général et donc non communautaire, d'où sa volonté « de mettre fin au financement des associations LGBT ».

    Tête de liste LR-Modem pour la région, Marc Le Fur a participé par visio-conférence, étant à plusieurs centaines de kilomètres au même moment. Après avoir indiqué que « la finalité de la politique, c'est le bien commun », le candidat a évoqué sa volonté de « fonder sa politique sur la famille » avec, par exemple, le projet de mettre en place le prêt à taux zéro pour les familles. Il a prôné « la stabilité de la famille » comme contexte le plus favorable à l'épanouissement de l'enfant. Marc Le Fur a plaidé la nécessité de « connecter la politique de la famille à celle de la jeunesse et de l'enfance ». Il est également revenu sur le débat parlementaire sur la loi Taubira auquel il avait activement participé pour défendre le mariage homme/femme et l'adoption par un père et une mère tout en encourageant le mouvement à poursuivre son action. Il s'est déclaré favorable au « réexamen de la loi Taubira ».

    Pour Gilles Pennelle, candidat FN, la finalité de la politique, « c'est de protéger la société du malheur ». Selon lui aussi, « il est navrant de devoir définir la famille qui est, évidemment, un homme, une femme et plein d'enfants si c'est possible ». Il a regretté la « familiphobie du gouvernement », évoquant notamment la baisse du quotient familial. Le candidat a fait part de sa ferme volonté de « mettre fin à tout soutien des associations LGBT » en dénonçant « le financement par le conseil régional de la marche des fiertés » Il a ensuite commenté le rapport d'initiative européen Rodriguès pro-gender et taclé les votes des autres partis sur ce texte. Il a indiqué, pour finir, son souhait d' « abrogation de la loi Taubira », celle-ci étant « la source de toutes les dérives PMA et GPA ». Gilles Pennelle s'est également déclaré opposé au travail du dimanche, « pour préserver la famille. »

    En conclusion, la Présidente de La Manif Pour Tous, Ludovine de La Rochère, s'est réjouie de cette soirée inédite et exceptionnelle parce que réunissant des candidats de divers partis politiques, tous écoutés avec intérêt et bienveillance. Soirée exceptionnelle aussi parce que des politiques se sont longuement exprimés sur la famille, sujet plébiscité par les Français, mais rarement évoqué dans les débats publics.

    Les prochains meetings « Questions pour un président de région » sont prévussamedi 28 novembre à Nantes et à Paris avec d'ores et déjà les confirmations des candidats DLF, LR-UDI-Modem et FN, les autres étant en attente. A Paris, ce seront donc Valérie Pécresse, Nicolas Dupont Aignan et Wallerand de Saint Just qui répondront aux questions et aux attentes des famille. Et à Nantes, ce sont Bruno Retailleau, Pascal Gannat et Cécile Bayle de Jesse qui seront présents.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • UN FONDS DE 10MDS € POUR LES CLANDESTINS

    Lors de son déplacement à Berlin, le ministre français de l’Economie, Emmanuel Macron a annoncé que la France et l’Allemagne se proposaient de créer un fonds de dix milliards d’euros pour faire face à l’afflux de clandestins, le ministre a invité les autres pays européens à mettre également la main au pot.

    http://www.national-hebdo.net/UN-FONDS-DE-10MDS-EUR-POUR-LES-CLANDESTINS

  • Effarant : voici comment sont votées nos lois…

    La sympathique Catherine Lemorton est député socialiste et depuis 28 juin 2012, présidente de la Commission des affaires sociales à l’Assemblée.
    Ici, la loi de Santé en passage devant cette commission, le 9 novembre 2015.

    À 0:10 « L’amendement est rejeté » puis à 1:25 « Il est adopté ».

    Des femmes vulgaires et hystériques comme de vieilles institutrices lesbiennes et de vieilles badernes émasculées, voilà où mène la pensée dominante de gauche (incluant l’UMP).

    Ce spectacle est d’une totale obscénité, de même que celui d’une assemblée nationale aux trois quarts vide où les derniers irréductibles dorment, jouent à Candy Crush, se lancent des boulettes de papier ou papotent entre eux ; ou encore, aussi obscène qu’une Myriam El Khomri incapable de répondre à une question digne d’un oral de concours de catégorie B alors qu’elle incarne l’élite de l’Administration française avec tout ce que cela implique en terme de rémunération et de privilèges.

    http://www.contre-info.com/

  • La soeur d'une victime du Bataclan lance un boycott de l’hommage national

    La soeur de François-Xavier Prévost, tué au Bataclan, appelle au boycott de l’hommage national aux victimes des attentats prévu le 27 novembre, sur sa page Facebook. Elle donne les raisons de son refus :

    "Vendredi 27 novembre, un hommage national sera rendu aux victimes des attentats terroristes du 13 novembre dernier.

    En tant que famille de François-Xavier Prévost, victime de cette tuerie, nous n’y participerons pas.

    Nous refusons cette main tendue par les représentants politiques de la France pour plusieurs raisons :

    - Parce qu’en France, les attentats perpétrés du 7 au 9 janvier de cette année ont fait 17 victimes,
    Que depuis, rien n’a été fait. Si des textes ont été votés, aucun décret d'application n'a encore été publié. Que 10 mois plus tard, les mêmes hommes, sont en mesure de recommencer et faire cette fois-ci, 10 fois plus de morts,

    - Parce qu’en France, il est possible d’être en lien avec un réseau terroriste, de voyager en Syrie, et de revenir, librement,

    - Parce qu’en France, des personnes fichées S (pour « atteinte à la sûreté de l’Etat » ou visées terroristes) circulent librement, empruntent n’importe quel moyen de locomotion (je pense notamment à l’attentat déjoué du TGV Thalys le 21 août dernier), louent des voitures (les voitures utilisées le 13 novembre pour perpétrer les fusillades dans les rues du 10e arrondissement de Paris avaient été simplement louées), travaillent à nos côtés (je fais ici allusion à l’un des employés de la RATP)…

    Il faut rappeler que le recensement de certaines personnes en catégorie S n’entraîne aucune action automatique de coercition, ni même aucune obligation de suivi ou de surveillance par les autorités. Par ailleurs, les fiches S sont temporaires. Si une personne fichée ne commet aucune infraction et se fait oublier, sa fiche est effacée au bout d’un an.

    - Parce qu’en France, 89 mosquées sont recensées comme étant radicales, c’est à dire qu’elles appellent ou profèrent la haine. Qu’il a fallu attendre les événements tragiques du 13 novembre pour que se pose enfin la question de leur dissolution.

    - Parce qu’en France, un homme ayant perpétré un homicide en 2006, condamné en 2008, est libre en 2013. Parce que ce même homme n’a pas peur de dire à la France entière après avoir hébergé plusieurs jours des terroristes « On m'a demandé de rendre service, j'ai rendu service ». Ben oui…

    - Parce que les représentants de l’Etat français ont décidé de mener des raids aériens contre l’Etat Islamiste en Irak puis en Syrie sans se soucier de préserver, avant d’agir, la sécurité de leurs concitoyens.

    Alors NON, merci Monsieur le Président, Messieurs les politiciens, mais votre main tendue, votre hommage, nous n’en voulons pas et vous portons comme partie responsable de ce qui nous arrive ! C’est plus tôt qu’il fallait agir. Les attentats du mois de janvier auraient dû suffire !

    J’APPELLE AU BOYCOTT DE L'HOMMAGE NATIONAL RENDU AUX VICTIMES ET VOUS INVITE A PARTAGER MON STATUT."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Forum de la Dissidence : il y a ceux qui pleurnichent et ceux qui se mobilisent

    Ajourd’hui se tenait le premier Forum de la Dissidence organisé par Polémia, où intervenaient des personnalités bien connues de la réinfosphère, devant un public acquis de six-cent-trente personnes.
    Différents thèmes y ont été abordés autour de tables rondes animées par Gabrielle Cluzel, chouchoute de Bd Voltaire, et Philippe Cristèle, lui-même de Polémia.

    Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, a ouvert le bal en évoquant la fin du Vieux Monde et cette étrange fin d’année 2015, « année radicale », surtout après le coup de massue psychologique de ces derniers jours. Se voulant rassurant, il s’est réjoui du grand retour des frontières sur le continent européen, avant de reprendre cette réplique de Marion Maréchal-Le Pen « Je ne serai pas de la génération qui s’excuse mais de celle qui revendique son héritage », une revendication que partagera d’ailleurs Charlotte d’Ornellas, journaliste d’un média alternatif spécialisée dans le sort des chrétiens d’Orient et appartenant au mouvement Génération 2013

    « Aujourd’hui il y a ceux qui pleurnichent et ceux qui se mobilisent. Mobilisez-vous, vous êtes l’avant-garde ! », s’est exclamé Jean-Yves Le Gallou, avant de laisser la parole à Béatrice Bourges intervenant sur le thème des valeurs. Celle-ci a rappelé la nécessité pour l’Homme de n’être pas un simple amas de cellules mais de rester cet être sacré avec des valeurs spirituelles, afin de garder pour objectif permanent la quête du bien commun et non plus de vaines et pernicieuses aspirations individualistes et marchandes. Après avoir fustigé un gouvernement qui s’obstine à ne pas vouloir nommer son ennemi et dénoncé l’islamisation de la France, elle a enjoint chacun de nous à se demander chaque matin ce qu’il pouvait faire pour son pays.

    La jeune journaliste, Charlotte d’Ornellas, à la tête aussi bien faite que bien pleine, a déploré notre surdité alors que les chrétiens d’Orient nous alertaient depuis des années sur les dangers de l’islam, répétant que nous ne nous en sortirions jamais si nous ne
    redevenions pas qui nous sommes, ajoutant que les auteurs des attentats du 13 novembre ne ciblaient pas des jeunes à une terrasse ou à un concert mais visaient la France dans son entièreté.
    Aux délires des Bisounours consécutifs aux massacres, elle a recadré d’un ton ferme : « entre les personnes qui veulent s’éclater et celles qui veulent s’exploser, je propose de nous enraciner ».
    Charlotte d’Ornellas a également dénoncé un système qui avait peur des mots au point d’en déformer gravement le sens. Un constat qui reviendra d’ailleurs régulièrement tout au long de l’après-midi, avec l’emploi d’une novlangue de plus en plus décomplexée et délirante, accompagnée d’une censure stalinienne illustrée par les trop fameux « pas d’amalgame » et « non à la stigmatisation », mais aussi ce qualificatif de « jeunes » pour désigner les seules racailles, ou encore le terme abusif de « quartiers populaires » évitant l’emploi sans doute trop stigmatisant du qualificatif plus approprié d’« ethniques ».
    Renaud Camus fera d’ailleurs remarquer que les quartiers dits « populaires » sont précisément ceux dont le peuple en a été chassé.

    Claire Chardon, de Génération 2013 également, nous a présenté différents livres à ne pas rater.

    Puis est arrivé, sous un tonnerre d’applaudissements, Robert Ménard.
    Evoquant les divergences qu’il avait avec Marine Le Pen, notamment sur l’Europe, le maire de Béziers a cependant affirmé l’impérieuse nécessité de voter pour le FN, précisant avoir imploré Philippe de Villiers de ne rien tenter contre elle. En guise d’anecdote, il a fait valoir qu’il était originaire de Béziers avant d’y être élu mais que tel n’était pas le cas de tous les candidats, certains pouvant même se tromper carrément de canton dans leurs déplacements !
    Il nous a fait savoir sa grande popularité auprès de ses administrés qu’il s’honorait de recevoir un jour par semaine, les plus jeunes accourant vers lui pour se faire photographier à ses côtés. Les Biterrois lui sont reconnaissants pour la gratuité des musées de la ville, pour la réduction de 50% de la mutuelle, pour les repas de la cantine scolaire à un euro, etc.
    Contre l’avis des maires de France qu’il a encouragé « à aller se faire foutre », il nous a fait savoir qu’il allait installer une crèche dans sa ville. Il s’est ensuite amusé du fait qu’après avoir suscité un tollé en armant sa police municipale, c’était aujourd’hui le gouvernement qui armait ses troupes dans toute la France.
    Déplorant un climat délétère, il nous a ensuite raconté le mal être de certains journalistes, notamment de chez I-Télé, qui lui confiaient leur ras-le-bol de « faire de la merde », avant de revenir sur la polémique suscitée par le récent changement de titre pratiqué en catimini par France Inter pour masquer une piteuse propagande dont ils voyaient qu’elle ne tenait plus la route.
    Ménard n’est pas du genre à se laisser imposer des idées autres que les siennes, allant même jusqu’à faire plier la présidente du conseil de surveillance des Galeries Lafayette qui voulait fermer le grand magasin après l’élection d’un maire jugé trop nauséabond. La mesure de rétorsion a été à la hauteur de l’affront, puisque le maire a fait apposer des affiches la montrant sous son jour le plus mauvais. Le résultat a été que Ginette Moulin a fini par accepter que les Galeries restent à Béziers.
    Le succès de son action est tel que la ville a développé ce qu’il a appelé un « tourisme politique » fait de visiteurs curieux d’y faire un tour, désireux de féliciter son maire, mais aussi nombre de personnes hostiles venant pour critiquer mais repartant bredouilles.

    Après une pause d’une demi-heure, Renaud Camus s’est installé, entouré par Julien Rochedy et Damien Rieu. Renaud s’est amusé d’un titre du Parisien s’alarmant d’une « inquiétante montée religieuse à la RATP » en évitant toutefois avec une certaine frayeur de nommer les choses, des fois qu’elles leur sautent à la figure, laissant donc planer un certain doute sur cette religion, des fois qu’il s’agisse de « messes sauvages faites par des fidèles de Saint-Pie V » !
    Tour à tour, les trois invités sont intervenus au gré des questions. Concernant l’avenir de la France et plus largement des pays européens, Julien Rochedy, bien que satisfait de voir des jeunes s’affranchissant de la propagande d’Etat pour rallier en grand nombre le camp des patriotes, s’est cependant montré pessimiste, ne croyant ni en la possibilité d’une remigration massive ni en une assimilation dont on voit bien chaque jour qu’elle ne peut être qu’utopique. Refusant de s’accrocher à des chimères, à une France morte qui ne renaitra plus, à un peuple français « qui n’est déjà plus qu’un concept » transmuté en « population », il encourage plutôt à travailler à la création d’ilots de résistance, de « sanctuaires », où les enfants de survivants pourraient grandir entre eux en sécurité.
    Damien Rieu, porte-parole de Génération Identitaire, a à son tour été très chaleureusement applaudi après l’énumération des hauts-faits de ses troupes, entre le chantier de la mosquée de Poitiers, le siège du PS, la gare d’Arras ou encore tout récemment la
    maison de retraite de Triel. Il a indiqué que ces actions avaient notamment pour vocation d’obliger les médias à parler de sujets dérangeants, lesquels médias sont « pulvérisés » depuis les attentats de vendredi.

    Contrairement à Julien, Damien se veut plus optimiste, constatant le réveil de toute la jeunesse d’Europe qui n’accepte plus les mensonges et les compromissions, qui n’accepte pas de mourir sans rien faire sous le joug cumulé de l’islam, de l’immigration massive et de l’oligarchie européenne mondialiste.
    Renaud Camus a pour sa part fustigé le remplacisme généralisé, les hommes, les femmes, les pays, les paysages, tout devenant objet de consommation échangeable, monnayable, remplaçable, regrettant que la France avec un autre peuple ne serait plus la France. De notre pays ne subsisterait plus qu’un territoire sans âme, une page blanche sans Histoire, sans héros ni racines.

    Enfin Michel Geoffroy, co-auteur du Dictionnaire de Novlangue, a conclu cet après-midi fort riche par l’évocation des deux grosses manipulations médiatico-politiques de l’année que sont l’opération « je suis Charlie » montée de toutes pièces par le régime socialiste, et l’usage répugnant fait de la photo scénarisée et instrumentalisée du petit Aylan. Il a pointé la volonté des oligarques d’acquérir une main d’œuvre corvéable à merci pour pas cher, le fait que « les Européens n’ont que le droit d’acquiescer à leur servitude ». Il a également insisté sur la censure, sur l’esbroufe de la NSA et du Patriot Act, prétextes de lutte contre le terrorisme, quand ces mesures n’ont pour unique vocation que de lutter contre toute revendication patriote qualifiée de « haine » par quiconque n’y trouve pas avantage, illustrant son propos par ce titre édifiant du Figaro « Les Français prêts à restreindre leurs libertés pour plus de sécurité »…

    Caroline Alamachère, 21/11/2015

    Source :Riposte laïque.com

    http://www.polemia.com/forum-de-la-dissidence-il-y-a-ceux-qui-pleurnichent-et-ceux-qui-se-mobilisent/