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lobby - Page 1498

  • Salaires, assistanat et fierté du travailleur

    Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent une énorme série d’erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne aurait pu éviter.
    L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.
    Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaire (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.
    Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre mouvement social que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.
    Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.
    En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient depuis les années 1890 des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années qui avaient précédé la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.
    Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. La fierté humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.
    Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980,
    que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.
    Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.
    Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand les parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.
    Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité.

    Docteur Bernard Plouvie

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVuuyEupEgnOppnFB.shtml

  • Jubilation pour « la fin de l’homme blanc »

    Il en est qui le nient, crient au fantasme, traînent en justice ceux qui osent dire qu’il est en cours et que c’est le plus grand phénomène de l’histoire – je veux parler, bien sûr, du Grand Remplacement ou, de manière moins littéraire, du génocide en cours des peuples de souche européenne. Il en est qui s’en réjouissent ouvertement. Sous le titre « La fin d’une époque… pour les mâles blancs », David Rothkopf, rédacteur en chef du magazine américain Foreign Policy, y a récemment décrit en propres termes, avec précision et jubilation, tous les aspects du processus.

    « Les hommes blancs, relève d’abord Rothkopf, ont eu un grand succès. De l’essor des Grecs à la naissance des grands empires occidentaux, ils ont contrôlé une grande partie du monde ou cherché à le faire. L’histoire est très largement le résultat des décisions prises par les hommes blancs qui étaient au pouvoir ». Heureusement, tout cela est en train de s’achever. Rothkopf énumère les facteurs de ce « grand tournant de l’histoire mondiale ». C’est, d’abord, l’essor « des grandes civilisations non-blanches », en Asie et en Afrique, tandis que « les sociétés qui avaient donné à l’homme blanc sa plus grande influence dans le monde – celles de l’Europe et des États-Unis – ont du mal à maintenir leur influence dans le monde ». Dans ces mêmes sociétés occidentales, les droits des femmes s’imposent, après « des millénaires de répression ». Surtout, « les flots de réfugiés et de migrants ont transformé la démographie des sociétés ».
    « Il en résulte que le statu quo qui datait de plusieurs millénaires va connaître un bouleversement. Rien qu’en Europe, l’afflux des migrants et des réfugiés est déjà en train de produire des changements démographiques irréversibles – un grand mélange des cultures. Aux États-Unis, d’ici le milieu de ce siècle, l’ancienne population majoritaire sera une minorité. La majorité, selon les démographes, sera non-blanche. À cette date, l’Europe comprendra des masses de populations d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.
    C’est-à-dire que, en 2050, ce seront les hommes blancs qui cocheront la case “autre” sur les formulaires de recensement ». Les peuples concernés, du reste, le sentent bien. Les hommes et les femmes politiques, en Amérique et en Europe, qui s’opposent à l’immigration de masse, doivent tout leur succès « à une reconnaissance culturelle croissante, quoiqu’inconsciente, que ce qui a été la classe ethnique la plus privilégiée du monde n’a plus longtemps à vivre ».

    Rothkopf se fait lyrique pour célébrer « les merveilleux avantages » de ce qu’il appelle « la diversité » – « chaque vague de sang neuf et d’idées nouvelles ». « Certainement, conclut-il, nous ne devons pas, ne serait-ce qu’un seul instant, déplorer la fin de l’âge de l’homme blanc, car il y a du moins une lueur d’espérance qu’arrivera bientôt l’âge de “tous” » – de tous sans les Blancs.

    Faut-il voir là une aberration individuelle de l’idéologie « progressiste », poussée jusqu’à ses plus folles conséquences ? Faut-il y reconnaître plutôt, selon la thèse, célèbre et très discutée aux États-Unis, de Kevin MacDonald, une stratégie de groupe parfaitement rationnelle, par rapport aux intérêts de ceux qui la conduisent ?Rothkopf, ancien secrétaire d’État au commerce de Bill Clinton, membre de quantité de think tanks, n’est pas un antifa boutonneux. Il s’agit bien, en tout cas, de notre sort à nous – de notre extermination, de notre disparition de la face de la terre.
    Rothkopf, dans son exultation, n’a pu se retenir de nous jeter à la face le destin que le Système nous prépare.

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/197747/jubilation-fin-lhomme-blanc/#more-197747

  • Les clivages soigneusement entretenus entre progressistes et conservateurs volent en éclat sur la GPA

    6a00d83451619c69e201b7c81044c2970b-320wi.jpgAude Mirkovic, maître de conférences en droit privé et porte-parole de l'association Juristes pour l'enfance, écrit dans Le Figarovox :

    "La tenue aujourd'hui à l'Assemblée Nationale des Assises pour l'abolition universelle de la maternité de substitution (GPA) est un des évènements récents qui manifestent combien les lignes et les fractures entres gauche ou droite, savamment entretenues pour donner l'illusion de l'existence d'un débat d'idées en France, sont en train de se fissurer et même de voler en éclat. 

    La manifestation d'aujourd'hui intervient à l'initiative de diverses associations féministes, dont l'objectif est de dire pourquoi cette pratique est intolérable et étudier les possibilités d'action en vue d'une abolition. C'est exactement et presque mot pour mot le but du mouvement lancé autour de la pétition «No Maternity Trafic», adressée par l'Union Internationale pour l'abolition de la gestation pour autrui au Conseil de l'Europe pour qu'il s'engage en ce sens. Cette union regroupe des associations nationales et européennes dont les plus connues en France sont Alliance VITA, La Manif Pour Tous ou encore l'Agence Européenne des Adoptés. Mais les termes de cette pétition auraient fort bien convenu aux signataires d'une initiative comparable, lancée à l'échelle internationale par des personnalités dites en majorité de gauche et visant à l'arrêt immédiat de la GPA, Stop surrogacy now!

    De droite, de gauche, du centre et de partout s'élèvent ainsi des personnes qui poursuivent un but commun: protéger la dignité humaine en dénonçant une nouvelle forme de traite des êtres humains cyniquement enrobée de bons sentiments, la gestation pour autrui, qui n'est rien d'autre que la location des utérus et l'achat des enfants. 

    Au-delà des clivages politiques dans lesquels certains feignent de trouver un contenu à leur absence de convictions, c'est une vision de l'être humain qui est en jeu. La question posée est claire: y a-t-il une limite à la réalisation des désirs des plus forts, des plus riches? L'être humain, et plus précisément les femmes et les enfants, peuvent-ils être utilisés comme moyens pour satisfaire ces désirs? 

    [...] le développement de la GPA, déplorable en soi, apparaît comme l'occasion d'une rencontre inattendue, voire inespérée, entre des personnes de tous bords soucieuses de promouvoir le respect de la dignité de l'être humain, de tous les êtres humains : des féministes de toujours qui constatent que la promotion à outrance de droits individualistes mène jusqu'à l'asservissement de femmes pour fabriquer des enfants pour les autres, les promoteurs de la famille décomplexés après s'être comptés par millions lors des grandes manifestations de 2013, en passant par des écolos qui réalisent qu'il est incohérent de rejeter les OGM de son assiette si c'est pour trafiquer des bébés dans des éprouvettes.

    Les cartes sont désormais redistribuées de façon assez intéressante et les clivages soigneusement entretenus entre progressistes et conservateurs volent en éclat sur ce sujet de la GPA. Ces rencontres surprenantes apportent la preuve réconfortante que la réalité, un jour où l'autre, transcende les partis et les tendances et qu'il est possible de parvenir à une même conclusion frappée du coin du bon sens par des chemins pourtant fort différents. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Au sujet du coup de poignard infligé à l'institut Civitas.

    Une fois de plus, la mouvance est lâchement attaquée. Cette fois ci, c'est l'institut Civitas qui est lâchement attaqué. Alain Escada, président de Civitas a besoin d'aide.
    Dès que j'ai su le fait, j'ai par sympathie, immédiatement adhéré à Civitas. J'invite le lectorat à faire de même ou à faire un don
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    Civitas: le site
    Philippe Delbauvre (Voxnr)
    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVukEAulkSLpVCiCn.shtml
  • Plus c'est gros, plus ça passe... (Add.)

    Dans une tribune intitulée "La France sans les musulmans ne serait pas la France", Abdelkader Abderrahmane sert aux lecteurs du Monde une soupe insipide d'idées convenues et politiquement correctes. Voici l'extrait le plus hallucinant :

    "Alors que l’Europe médiévale était entourée de superstition, de fanatisme, de fatalisme, et d’autres irrationalités, le monde arabo-musulman, sous l’impulsion des dynasties Omeyyade et Abbasside, représentait au contraire la bayt al hikma, ou la « maison de la sagesse et du savoir ». Et c’est ce savoir qui a permis aux Européens de sortir des ténèbres de l’ignorance dans laquelle ils étaient plongés, débouchant ainsi sur la Renaissance et les Lumières."

    Il faut relire en toute urgence "Pour en finir avec le Moyen Age" de Régine Pernoud et "Historiquement correct. Pour en finir avec le passé unique" de Jean Sévilla...

    Addendum :  En 2011, Abdelkader Abderrahmane soutenait les islamistes :

    "Il est donc particulièrement difficile de voir un quelconque danger dans leurs propos et position (...) Les Islamistes sont destinés à jouer un rôle politique actif dans cette phase de transition démocratique des pays arabes. Respectons enfin le résultat des urnes (...) Et faisons confiance à la clairvoyance des Islamistes arabes (...) Ils méritent amplement une chance de démontrer qu’ils peuvent, dans un système électoral pluriel et démocratique, être, eux aussi, compétents dans la gestion de leurs pays. Il est urgent de laisser aux Islamistes la possibilité de diriger et de s’affronter aux réalités et logiques politico-économiques séculières de la gouvernance d’un Etat."

    On attend avec impatience de savoir s'il condamne l'Etat islamique ou s'il le considère comme une nouvelle "maison de la sagesse et du savoir"...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire Merah : Plainte contre Eric Woerth et Nicolas Sarkozy

    Albert Chennouf-Meyer a déposé plainte aujourd'hui contre Eric Woerth et Nicolas Sarkozy. Le père d’Abel, l’un des deux militaires tués par Mohamed Merah le 15 mars 2012 à Montauban, ne digère pas les propos tenus jeudi soir par le député de l’Oise, ancien ministre du Budget, affirmant qu’il ne s’agissait pas « d’un attentat » mais du « crime d’un furieux».

    « Falsifier les faits, c’est du révisionnisme. Cette stratégie qui consiste à nier les faits pour nettoyer un bilan catastrophique, c’est abject ».

    L’ancien Président de la République avait tout simplement omis de parler des attentats perpétrés par Mohamed Merah, indiquant que « de 2002 à 2011, il n’y a pas eu un seul attentat en France ».

    « S’ils s’excusent publiquement, je retirerai ma plainte. Tout ce que je veux c’est qu’ils foutent la paix à nos enfants ».

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/affaire-merah-plainte-contre-eric-woerth-et-nicolas-sarkozy.html

  • Le préfet de Saint-Brieuc interdit la manifestation contre l’islamisation et l’immigration

    « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante », écrit le préfet Lambert pour interdire la manifestation du 6 février à Saint-Brieuc…
    Dans notre belle République française sous gouvernement socialiste, l’arbitraire semble être en vogue chez les représentants de l’État que sont les préfets. On se souvient du préfet de police de Paris qui a lancé ses policiers contre les paisibles manifestants LMPT. Un peu plus tard, c’est le préfet de l’époque, Pierre de Bousquet, qui tentait d’arracher son discours des mains du maire de Beaucaire, Julien Sanchez, pour l’empêcher de parler. On a aujourd’hui Pierre Lambert, préfet des Côtes-d’Armor, qui vient d’interdire la manifestation que PEGIDA avait souhaité organiser contre l’islamisation et l’immigration.


    Il aurait pu l’interdire en vertu de l’état d’urgence. Pas du tout. Il a motivé sa décision parce que cette manifestation allait contre sa conscience : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » Une opinion personnelle qu’un représentant de la République ne devrait pas avoir à exprimer pour prendre une décision d’intérêt général.

 Mais il n’en est pas à son coup d’essai puisque, lors de ses vœux, il a annoncé la création de ce qui semble être son obsession : un comité départemental de lutte contre le racisme !

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  • Allemagne : les immigrés pourraient coûter 50 milliards aux contribuables


    A noter : l’argument de la sauvegarde des régimes de retraite par l’immigration massive n’est pas recevable.
    Si les cotisations des réfugiés qui travaillent allègent provisoirement le déficit, c’est oublier que les immigrés restent et touchent eux-même une pension retraite. Ça ne fait que déplacer et amplifier le problème. C’est la raison pour laquelle le C.O.R (Conseil d’orientation des retraites) prend en compte le paramètre de l’immigration pour faire des hypothèses sur la baisse des pensions de retraite.

    Combien va coûter aux contribuables allemands l’accueil massif de migrants qui depuis 2015 cherchent refuge dans la première économie d’Europe? C’est la question à laquelle un think tank proche du patronat a tenté de répondre dans une étude qui fait grand bruit outre-Rhin.

    Révélées par le quotidien Rheinisches Post, les conclusions des experts de l’Institut estiment en effet ce coût à 50 milliards d’euros ainsi répartis: 17 milliards d’euros en 2016, puis 22,6 milliards d’euros en 2017 pour l’hébergement et les repas servis dans les centres d’accueil, auxquels s’ajoutent les cours de langue et d’intégration évalués pour les deux années à 10 milliards d’euros.

    http://www.contre-info.com/allemagne-les-immigres-pourraient-couter-50-milliards-aux-contribuables

  • 40 millions de dollars pour DAECH.

    Le Centre for Strategic and International Studies de Washington, sur demande du Congrés Américain (Avril 2015), a chiffré à plus de 40 millions de dollars, pour 2013 et 2014, le montant des donations privées procurées à l’Etat Islamique et en provenance de l’Arabie saoudite, du Qatar et du Koweït.

    Sur pression des Etats-Unis, 61 comptes d’associations ont été bloqués, notamment en Arabie saoudite, afin d’éviter les détournements de fonds vers DAECH.

    Mais la Ligue Islamique Mondiale finance à coups de milliards, et cela en totale opacité, les djihadistes, nos ennemis.

    Une certitude, quelque soient les mesures prises pour détourner l’attention internationale, l’idéologie religieuse est totalement commune entre Daech et les pays donateurs qui le finance.

    Alors la question se pose : pourquoi gaspiller des milliards en insistant sur des frappes qui ne sont que du « sparadrap sur une jambe de bois » et ne font que déplacer le problème vers d’autres territoires, comme nous le constatons chaque jour, la Libye, la Tunisie et demain les autres pays du Maghreb et l’Afrique sub-saharienne.

    N’y a-t-il pas des mesures bien plus efficaces, à la disposition du monde occidental, pour obliger ces pays Arabes, non pas à lutter contre l’Etat Islamique, ce qu’ils ne feront jamais officiellement, mais à stopper leurs financements occultes : blocage de comptes bancaires, saisie de fonds, des biens, blocus, embargo, boycote, etc. tous ces moyens qui ont été employés par exemple contre l’Iran, la Russie, lors de l’affaire Ukrainienne et l’occupation de la Crimée, et d’autres pays et cela pour des raisons bien moins évidentes ?

    La chute du prix du baril de pétrole leur porte déjà un coup fatal, certains sont au bord du gouffre et il n’est pas justifié d’aider à se maintenir, à l’aide de quelques milliards, des pays comme l’Egypte, la Tunisie et demain l’Algérie, si tous les moyens ne sont pas employés afin d’éradiquer totalement les ambitions de Daech, tout au moins pour les prochains siècles !

    Nous sommes en guerre, paraît-il ?

    Des dizaines de milliers d’innocentes victimes ont été, et sont, sacrifiées sur les terrains où elle se déroule et ce n’est pas en « accueillant » des centaines de milliers de fuyards que nous les sauverons, bien au contraire. Alors, puisque nous sommes en guerre…gagnons-la par des actes et non par des paroles !

    http://magoturf.over-blog.com/2016/01/40-millions-de-dollars-pour-daech.html

  • Taubira et sa Loi

    Ainsi Christiane Taubira a quitté la Chancellerie. Elle s'inscrira dans la chronique des travaux et des jours comme le Garde des sceaux qui imposa le mariage homosexuel en France, et rien de plus, car il n'y eut rien de plus, à part quelques ajustement à la marge des procédures judiciaires. Il restera d'elle une inclination naturelle à manœuvrer les Chambres par un discours littéraire qui tranchait sur la morne plaine des récitations automatiques de députés godillots. Elle a apporté de la fraîcheur dans l'hémicycle. Quant aux grandes idées*, elles sont restées au stade de l'incantation obstinée, répétée, lassante, avec ce soupçon de mépris des Français qui a interdit le soutien, sinon l'empathie de citoyens en phase avec ses propositions, mais qui furent outrés par son combat maladroit pour lanégritude contre eux.
    Sa démission est la fenêtre d'opportunité pour les adversaires au mariage homosexuel qui remettent aujourd'hui du gasoil pour nous resservir la "destruction de la famille" et faire avancer leur modèle social en béton dans l'allée des prétendants à l'Elysée. Dans un entretien accordé à Atlantico, Guillaume de Prémare** relève que seulement 18000 mariages homosexuels ont été "célébrés" en deux ans en France, ce qui semble indiquer que la ressource minoritaire s'épuise. Un tableau complet de l'INSEE nous donne tous les chiffres et compte 250000 mariages en gros. Le mariage gay est un épiphénomène. Il n'en demeure pas moins que pour M. de Prémare la menace contre la famille traditionnelle persisterait. Il dit :

    « L’idéologie issue des études sur le genre vise à imposer l’idée d’indifférenciation entre l’homme et la femme. Il y a un lien substantiel avec le mariage homosexuel : si deux hommes ou deux femmes peuvent se marier et adopter des enfants – au même titre qu’un homme et une femme -, c’est qu’il y a équivalence des situations et indifférenciation entre homme et femme. Il y a une dialectique qui vise à opposer nature et culture ; et même à nier l’existence d’une nature humaine. Cette opposition est trompeuse parce que l’homme est par nature un animal social et culturel ; et sa dimension biologique est articulée à sa dimension culturelle. La nature humaine englobe tout cela.»
    Ce sont des conneries (dans une version papier, on écrit : on se paie de mots): la nature de l'homme est hétérosexuelle par construction et toutes les lois permissives du monde n'effaceront pas l'étonnement, la raillerie voire le mépris nés de la rencontre de couples homosexuels. En ce sens qu'il n'y aura pas indifférenciation des sexes, ni destruction de l'ADN humain par le poison de la culture décadente du Bas Empire. Il suffit de sortir "en ville" et de parler aux autres au lieu de rester coincé dans la phosphoration de ses idées. Les gens tout simplement s'en moquent dans les deux sens du terme ! N'ajoutons pas (mais un peu quand même) que les populations appelées en renfort de notre économie essoufflée sont unanimement contre les homosexuels pratiquants jusqu'à les lapider, les pendre ou les jeter des toits.
    Nulle loi n'interdit maintenant à quiconque de se marier, y compris l'immense majorité de la population qui fait la noce comme au bon vieux temps, avec les blagues salaces de l'oncle de Chaminadour en fin de banquet ! Pour ma part, que deux êtres qui s'aiment veuillent solenniser leur union par un mariage ne m'enlève aucun point de retraite. Certes, la famille patriarcale est le creuset générique de l'éducation du petit d'homme ; ce dispositif cellulaire est éprouvé depuis Néandertal ; mais ça ne se passe pas non plus toujours très bien. Les royalistes sont aux premières loges pour constater les dégâts de la contrainte dans les familles princières et non princières. Parfois cela tourne au désastre. Oui, la cellule familiale est la brique naturelle élémentaire d'une société, n'en faisons pas un sacrement universel obligatoire.
    Mon sentiment est que les cadres de la Manif-Pour-Tous, forts du souvenir d'un million de marcheurs à Paris, cherchent à pérenniser un fonds de commerce valorisable auprès de structures politiques plus grandes, elles-mêmes dispensatrices de prébendes et de visibilité sociale. Ils inventent un péril là où il n'y a qu'abandon circonstancié et électoraliste à une mode sociétale qui risque bien de passer un jour comme passent les mœurs décalées. D'ailleurs, on sait peu que des gens impliqués comme Pierre Bergé s'étaient déclarés il y a longtemps contre le mariage mimétique des homosexuels, se satisfaisant de la protection patrimoniale du PACS et déconseillant cette pitrerie.
    Par contre, il faut tenir bon contre l'adoption d'enfants-de-plaisance par des couples anti-nature - pourquoi lester les écoliers d'un pareil handicap ?*** - et demander sans relâche l'abolition de l'article 6-1 du Code civil**** : « Le mariage et la filiation adoptive emportent les mêmes effets, droits et obligations reconnus par les lois, à l'exclusion de ceux prévus au titre VII du livre Ier du présent code, que les époux ou les parents soient de sexe différent ou de même sexe », et surtout bloquer en frontière toute la gestation d'enfants pour autrui, sauf à laisser monter des usines à gosses partout dans le tiers-monde avec un marché des préférences, options et tarifs, même si...... ça existe déjà !
    Les combats à mener en France sont d'un autre ordre.
    La classe politique le sent aussi, qui ne reviendra pas sur la loi Taubira. Ce serait une perte de temps et d'énergie pour un épiphénomène. Les politiciens sont souvent inefficaces aux affaires mais gardent une sûreté de jugement quant à leurs chances personnelles. Ils peuvent prédire que l'électorat ne se déterminera pas en réaction contre la loi homosexuelle. C'est l'analyse de Nicolas Sarkozy.
    En revanche, l'avortement et les privilèges consentis par le cabinet Valls à ce fléau démographique ; l'état calamiteux de nos finances publiques qui cachent dans leurs comptes la bombe atomique des pensions de fonctionnaires non provisionnées qui obligera un jour Bercy à piller les caisses des travailleurs du secteur marchand ; le coma de notre économie soviétisée engluée dans l'archéo-syndicalisme politique ; le drainage des cerveaux et le chômage de masse ; le lest de plomb d'une armée immense de parasites sociaux de plus en plus amalgamés aux étrangers visibles ; tous ces points sont le ferment d'une révolte sociale d'ampleur. Certains, dont je ne suis pas, parlent de guerre civile. Pour la faire, il faut être plus nombreux et plus enragés, jusqu'à passer l'Arc de Triomphe pour descendre les Champs Elysées jusqu'à la Grille du Coq. Il n'y a personne d'assez charismatique et riche pour lever l'étendard du Vaffanculo général et La-Manif-Pour-Tous n'amassera pas de barricades en poussettes. Inutile de s'exciter et d'appeler les cotisations. On fera avec la Loi taubiresque dont on purgera l'adoption d'enfants. Se concentrer sur une mesure unique et simple devrait aboutir. Bombarder, pour ce faire, son député pendant la prochaine campagne électorale législative de 2017 : Non à l'adoption gay !
    Notes :
    (*) pour comprendre la réflexion de Taubira il faut lire Surveiller & Punir de Michel Foucault. Bon courage, je l'ai fait :)
    (**) patron du réseau d'influenceurs catholiques Ichtus.fr
    (***) Avec bien d'autres, le docteur Lévy-Soussan conteste le soi-disant bien-être des enfants adoptés par des couples homosexuels : « Ils deviennent des sujets à haut risque de dépression, vivent l’échec scolaire, le manque d’estime de soi et des difficultés d’insertion sociale », explique Lévy-Soussan, autant de choses qui tombent sous le bon sens. Le psychiatre précise : « Comment ces couples-là peuvent assumer, par rapport à l’enfant, le fait qu’ils l’ont privé de père ou de mère ». Accusant l’honnêteté des études, il lâche : « Ils sont sommés d’aller bien pour des raisons idéologiques, politiques et militantes », et donc « ils ne vont pas admettre que c’est compliqué pour eux ». (source Grumberg c/o Dreuz.info)
    (****) Loi 2013-404 du 17.03.2013 (clic)