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lobby - Page 1498

  • Combien de fraudes pour le RSA ? L’exemple de l’Eure

    Ce phénomène est-il marginal - quelques pour cents -, comme le prétendent les syndicats et les ONG ? Ou est-il massif au point d’obérer les finances d’un département ?
    Le RSA constitue une lourde charge pour les départements, charge qui n’est pas intégralement compensée par l’État. Certains allocataires fraudent et obtiennent des aides indues. Ce phénomène est-il marginal – quelques pourcents -, comme le prétendent les syndicats et les ONG ? Ou est-il massif au point d’obérer les finances d’un département ?
    L’Eure a tenté une expérience. Elle a écrit au tiers de ses allocataires pour leur demander de signaler les éventuels changements dans leur situation. Ce n’était, donc, pas un vrai contrôle car un fraudeur peut toujours mentir effrontément ! L’Eure n’a reçu que 56 % de réponses ! Parmi les réponses, 5 % indiquaient un changement susceptible de modifier le montant du RSA.

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  • Comment faire face au chaos migratoire ? En tranchant le nœud gordien ! par Jean-Yves LE GALLOU

    Appeler un chat un chat et nommer les faits sans faux-semblant.

    Oui, il y a chaos migratoire : quand un million et demi de personnes se pressent aux portes de l’Europe et qu’une fois entrées elles seront six millions avec le regroupement familial, il est même juste de parler d’invasion migratoire.

    Oui, il y a Grand Remplacement quand dans les maternités françaises, en 2014, 36% des naissances ne sont pas d’origine européenne (selon les statistiques du dépistage à la drépanocytose) :  cf. http://www.polemia.com/en-2025-la-moitie-des-naissances-en-france-ne-seront-pas-dorigine-europeenne/

    Non, la France n’est pas un hôtel (Attali) et la nationalité française une simple formalité citoyenne (Chevènement). Comme l’a justement dit le général De Gaulle : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

    Mettre au premier rang des préoccupations politiques les questions identitaires

    La politique n’a de sens que quand elle se situe à la hauteur des questions historiques. Or aujourd’hui la question centrale pour les Français et les Européens c’est celle de leur identité.

    À côté, les questions économiques, sociales, monétaires sont secondaires. Les électeurs ne s’y trompent pas d’ailleurs : ce sont les questions sécuritaires et identitaires qui ont été au cœur des dernières élections.

    Signalons la situation singulière du FN : il gagne des électeurs sur les questions d’immigration. Il en rebute sur les questions économiques et sociales : à gauche, dans les années 1980 – 1990 avec un discours d’apparence trop libérale; à droite, lors des dernières présidentielles et départementales avec une thématique jugée trop redistributive et perçue comme anxiogène sur l’euro. Cela étant, les électeurs frileux ont bien tort de s’attacher à l’accessoire au lieu d’aller à l’essentiel.

    Poser le bon diagnostic : la question migratoire n’est pas franco-française mais européenne

    Tous les peuples d’Europe sont menacés : l’humanitarisme verbal de leurs dirigeants et la culpabilisation de leur passé sont une menace mortelle aussi bien pour les Allemands que pour les Italiens, les Français ou les Anglais. Gardons-nous d’opposer les peuples européens entre eux, opposons-les ensemble à la superclasse mondiale qui leur impose, avec l’appui des médias, une mortelle ouverture de leurs frontières. A contrario, saluons, comme s’apprête à le faire le SIEL, l’action du premier ministre hongrois Viktor Orban qui s’oppose à cette politique. C’est le seul chef d’Etat européen actuel. (cf. Manifestation de soutien le samedi 7 novembre à 15h30 devant l’ambassade de Hongrie à Paris : http://www.siel-souverainete.fr/)

    Changer les règles du jeu

    Ce ne sont plus les parlements ni les peuples qui font les lois sur l’immigration. Ce sont les juges qui interprètent dans le sens politiquement correct des textes généraux : Convention européenne des droits de l’homme, Convention internationale des droits de l’enfant, Convention de Genève sur les réfugiés. Il faut dénoncer ces traités, remettre la justice dans son lit, rétablir les souverainetés nationales, permettre l’expression des peuples par des référendums d’initiative populaire.

    Refuser la tyrannie médiatique

    Évidemment cela va couiner ! Car aujourd’hui ce sont les médias aux ordres des puissances d’argent (le patronat, le luxe, les banques) ou sous influence étrangère (les États-Unis, le Qatar, Israël) qui dictent la politiques des États. En Europe la caste médiatique ne contrôle pas les gouvernements, elle surveille les peuples. C’est une formidable atteinte à la démocratie.

    S’il est normal que les mondialistes et les immigrationnistes s’expriment, il ne l’est pas qu’ils disposent de 95 % à 98 % des moyens de communication avec l’aide de l’État (subventions à la presse, redevance audiovisuelle, attributions des fréquences). Il est urgent de rétablir le pluralisme médiatique. Oui à la diversité idéologique et politique des médias !

    Trancher le nœud gordien

    Il faudra donc bien trancher un jour le nœud gordien, c’est-à-dire rétablir la démocratie : le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple. En brisant la dictature médiatique et en mettant un terme au coup d’État des juges. 

    Jean-Yves Le Gallou

    • D’abord mis en ligne sur Polémia, le 25 octobre 2015.

    http://www.europemaxima.com/?p=4574

     

  • Clandestins en Auvergne: La Montagne collabore avec les autorités, la voix du peuple bafouée !

    Le maire de Pessat-Villeneuve, monsieur Gérard Dubois, avec la complicité de la préfecture et de l’association Forum Réfugiés a décidé d’accueillir 48 clandestins (dont une seule femme) dans le château de la ville. Ses habitants ne furent pas consultés et ont appris la nouvelle le jour même, mardi 3 novembre. Une réunion publique visant à instaurer un dialogue entre les autorités (ir)responsables et les habitants fut donc mise en place vendredi 6 novembre.
    Environ 300 personnes étaient réunies dans la salle de l’école maternelle, pour écouter les explications du maire. La salle est pleine à craquer si bien que des personnes sont obligées d’écouter de l’extérieur. Les visages sont graves ou perplexes, les remarques sarcastiques entre habitants vont bon train. Monsieur le maire prend la parole. Après avoir mentionné les nombreux appels de mécontentement et la fermeture du standard téléphonique, ce dernier lit à l’assemblée un mail d’encouragement qu’il aurait reçu le matin même. Nous apprenons ensuite que l’opération était prévue depuis plus d’un mois : tollé général ! Des voix commencent déjà à s’élever et le maire d’insister pour qu’il puisse finir son intervention et passer la parole à Aurélie Lebourgeois, co-ordinatrice de la préfecture et à Jean-François Ploquin, directeur général de Forum Réfugiés. Les arguments déployés par les responsables sont souvent approximatifs et larmoyants. La majorité des gens sont mécontents. « Nous n’avons pas pu voter pour cette décision mais ne vous inquiétez pas on va se rattraper en décembre ! » lance un habitant, aussitôt applaudi. L’école maternelle se situant juste à côté du château, c’est tout naturellement que plusieurs mamans inquiètes prennent la parole. Et il y a déjà de quoi s’inquiéter. Une pessatoise nous explique qu’une dame âgée aurait retrouvé trois « migrants » dans sa cour. En effet les clandestins ne sont pas assignés au château et des habitants du village ont pu le voir : on peut les croiser, sac de courses à la main, au bord de la route entre Riom (prononcer « rion ») et Pessat-Villeneuve. Il faut noter que ces clandestins représentent quand même 10% de la population du village ! Les exclamations, les remarques acerbes et les critiques fusent ; l'assemblée est indiscutablement acquise aux sceptiques et aux réfractaires à cet accueil. Le responsable de la sécurité civile et le médecin quittent même discrètement la salle. Quant aux interventions en faveur des « migrants », elles furent rares (trois grand maximum), dont une théâtrale (trémolos dans la voix, attitude presque sur-jouée).
    Nous nous attendions à la présence de France 3 Auvergne et Radio Bleu Auvergneétant donné l’envergure des événements mais il ne fallait pas compter sur ces médias locaux ce soir-là. Avaient-ils anticipé le fait qu’ils ne pourraient pas réaliser de reportage complaisant ? Quant au journaliste de La Montagne, ce dernier a pris clairement le parti de la mairie. Seulement deux interventions recensées parmi ses live tweets et sans jamais expliquer les motifs. L’article de Fabrice Mina paru le 7 Novembre est limite insultant : « La salle a ensuite partagé ses inquiétudes. Certaines peuvent être légitimes. D'autres beaucoup moins, et confèrent au fantasme. » ou « Terroristes ? Certaines interventions ont semblé plus déplacées. Par exemple : Il n'y a que des hommes, qu'est-ce qui nous prouve qu'il n'y a pas des terroristes ou des pédophiles dans le lot ? ». Nous ne nous rappelons pas d’avoir entendu le mot « pédophile ». Monsieur Mina serait peut-être moins méprisant si sa fille était scolarisée à l’école qui juxtapose le château. On se rend bien compte que La Montagne est tout aussi complice que monsieur Gérard Dubois et que les militants rémunérés de Forum Réfugiés. On compte parmi les nombreux bailleurs de fonds le ministère de l’Intérieur et le ministère du Travail ainsi que la caisse primaire d’assurance maladie du Rhône.
    Pour conclure c’est bel et bien le bon sens populaire qui s’est exprimé lors de cette réunion. Les questions de sécurité, de déni de démocratie et les problématiques financières étaient au centre du débat. Les habitants de Pessat-Villeneuve ont clairement relevé le fait que leur maire avait trompé ses administrés et par conséquence failli à son devoir. Mais que faut-il espérer d’un homme qui a comme argument : « cela ne coûterait rien à la commune, l'ensemble des frais étant pris en charge par l'État » ! Quel cynisme ! Surtout de la part d’un élu qui a endetté ses administrés à hauteur de 4 067 euro par personne à cause du rachat du château ! Ce sont nos impôts qui financent à la fois les coûts d’accueil de ces clandestins et les militants de Forum Réfugiés. Et l'argent de l'Etat, d'où vient-il, monsieur le maire ? Des impôts et des taxes des Français ! Quand est-ce que nos élus arrêteront de se moquer du peuple ? Face à l’injustice dont sont victimes les habitants de Pessat-Villeneuve, nous devons leur apporter notre soutien inconditionnel.
    Donatien, responsable du Mouvement d’Action Sociale Auvergne (Facebook)

    Annexe 1 : Les bailleurs de fond de "Forum réfugiés" :

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  • La gauche olfactive a déclaré une guerre idéologique totale à ses contradicteurs

    Selon Elisabeth Lévy, dans Le Figarovox :

    "Je dis que les antiracistes deviennent fous! On sait déjà que n'importe qui peut se retrouver devant un tribunal pour un mot inconvenant - ou pas -, ou une blague un peu scandaleuse - ou pas. Et je ne parle pas du tribunal médiatique qui lynche avec bonne conscience. De sorte qu'il ne s'agit plus de combattre le racisme mais de coller l'étiquette «raciste» et les interdits qui vont avec, sur tout propos, idée ou personne déplaisant au chœur des vierges médiatiques. [...] 

    D'abord quand des gens vous mitraillent vous ne tendez pas la joue gauche - enfin pas moi! Ceux que vous appelez «bien-pensants» et que je désigne de façon plus neutre comme le «camp progressiste» passent leur temps à s'étrangler de rage au simple prétexte que des gens qui ne pensent pas comme eux ont néanmoins le droit de s'exprimer! C'est encore la «une» de l'Obs cette semaine: sous prétexte de nous vendre les «intellos de gauche» - et ça, ce n'est pas triste -, ils en profitent pour annoncer dans une pastille jaune un journal avec «0% de Zemmour, Finkielkraut et les autres». Peut-être ont-ils compris que ces noms, même comme repoussoirs, attireraient plus le chaland que ceux dont on nous promet qu'ils sont l'avenir de la gauche et de la planète. Et en prime, c'est de la publicité mensongère car nos Robespierre de salons sont tellement ivres de haine et obsédés par ceux qu'ils appellent «réacs» ou «néo-réacs» qu'ils en parlent tout le temps! Et après ils se plaignent de nous voir partout! Tout ce qu'ils disent et écrivent à ce sujet se ramène à une seule question: pourquoi les réacs? Pourquoi ces salauds aux idées puantes ont-ils le droit d'exister? Scandale: la pensée unique n'est plus unique! Donc, ce n'est pas nous qui divisons le monde entre bons et méchants. Moi je ne pense jamais que les idées que je ne partage pas sentent mauvais. Mais puisque la gauche olfactive a déclaré une guerre idéologique totale à ses contradicteurs - moi et mes copains réacs -, va pour la guerre! Sauf que nous, nous ne voulons pas exterminer l'adversaire: nous demandons, non, nous exigeons de pouvoir parler, à égalité avec lui. 

    N'exagérez pas: sur ce point, vous avez déjà gagné! 

    Oui vous avez raison, en tout cas sur le plan quantitatif. D'où le titre de mon article dans Causeur - «Nous sommes partout!», c'est amusant, non? De même que cela me réjouit énormément de les entendre se désoler de notre pouvoir. Pourquoi les entend-on eux et pas nous? - eh bien, chers confrères, peut-être parce que ce que Finkielkraut a à dire intéresse plus nos contemporains que vos prêchi-prêcha de dames patronnesses… Donc, oui, nous avons gagné le droit de parler, seulement voyez-vous, j'ai la faiblesse de penser que c'est simplement normal. Nous aurons vraiment gagné quand le débat public sera ce qu'il devrait être: une confrontation des arguments, un choc des points de vue

    Et en quoi est-ce impossible aujourd'hui? 

    L'insulte et la calomnie ne sont pas les meilleures bases pour le désaccord civilisé. L'historien Nicolas Offenstadt, l'un des chercheurs destinés, selon Libération, à éclairer la gauche de demain a eu cette phrase au sujet du «bloc réactionnaire»: «Leur savoir est faible, leurs propos faux pour l'essentiel, et leurs intentions putrides.» Putride toi-même, mal élevé! Un autre, François Cusset, termine son texte en disant qu'il faut «appeler un chat un chat - et un faf un faf». C'est rebelle à mort de causer comme ça… Et Laurent Joffrin publie cela! Peut-on prétendre au statut d'intellectuel quand on s'exprime ainsi? Et c'est avec des gens pareils qu'il faut parler? 

    Michel Janva

  • Les Identitaires occupent une maison de retraite transformée en centre pour clandestins

    À Triel-sur-Seine, 30 militants identitaires ont décidé d’occuper une ancienne maison de retraite transformée en centre d’hébergement pour clandestins. Les slogans sont clairs : “On est chez nous”, “Nos anciens avant les clandestins”.

    Ils demandent donc l’expulsion immédiate des “migrants” ainsi que le retour – chez eux, dans leur maison de retraite – de nos anciens.

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    http://fr.novopress.info/194682/les-identitaires-occupent-maison-retraite-transformee-en-centre-clandestins/

     

  • L’appel à boycotter Israël déclaré illégal

    Il n’y a plus aucun doute possible : le simple appel à boycotter des produits israéliens est totalement illégal en France. Et sévèrement puni. Deux arrêts de la Cour de cassation du 20 octobre, passés inaperçus en dehors des réseaux militants et des juristes spécialisés, font de la France l’un des rares pays du monde, et la seule démocratie, où l’appel au boycott par un mouvement associatif ou citoyen pour critiquer la politique d’un Etat tiers est interdit.

    Concrètement, la Cour de cassation a confirmé la condamnation par la cour d’appel de Colmar de 14 militants du mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) à 28 000 euros de dommages et intérêts aux parties civiles et chacun à une amende de 1 000 euros avec sursis. Il leur est reproché d’avoir, le 26 septembre  2009 pour les uns et le 22 mai  2010 pour les autres, participé à une manifestation dans un magasin Carrefour à Illzach, près de Mulhouse (Haut-Rhin), «  appelant au boycott des produits en provenance d’Israël  ».

    La campagne BDS lancée par des militants propalestiniens en 2005 à travers le monde fait l’objet depuis 2010 de poursuites systématiques en France… Une circulaire aux procureurs datant de février 2010 – Michèle Alliot-Marie était alors ministre de la justice – visait spécifiquement les «  appels au boycott de produits israéliens  » et recommandait aux parquets d’apporter «  une réponse ferme  ».

    Mais les tribunaux et cours d’appel ont hésité et divergé, entre annulations de poursuites, relaxes au nom de la «  liberté d’expression  » et condamnations au titre de la «  provocation à la discrimination  ».

    Or pour la haute juridiction française, cela est constitutif du délit de «   provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée  » (article 24 alinéa 8 de la loi sur la presse).
  • Un "ouragan maçonnique"

    Lu ici :

    "Le 28 octobre, la Grande Loge de Géorgie, au sud-est des Etats-Unis, a décidé d’interdire l’homosexualité dans ses rangs. Le Grand Maître Douglas W. McDonald a publié un édit, après approbation par le parlement de son obédience à une courte majorité, qui affirme que «l’homosexualité est contraire à la loi morale»… et une «offense à la discipline»!

    Cette décision réactionnaire n’est pas en tant que tel un événement au sud des Etats-Unis. L’événement majeur c’est que, cette fois, cet édit issu d’une obédience revendiquant 40000 frères provoque un tollé au sein du monde des “frères trois points” américains, un «ouragan maçonnique»

    Michel Janva

  • Le Renouveau Français porte plainte contre le CRIF et SOS Racisme

    Communiqué de l’organisation nationaliste :

    « L’action symbolique menée samedi 31 octobre devant le Café de Flore pour dénoncer les agissements de Bernard-Henri Lévy nous a valu de très nombreux messages de félicitations et d’encouragement. Il n’y eut que très peu de réactions hostiles, venant pour partie de l’étranger.
    Le « philosophe milliardaire » semble faire l’unanimité contre lui parmi la population.

    Comparativement à l’influence politico-médiatique de ce « faiseur de guerres », se manifeste d’autant mieux la fracture entre le « pays réel » et le « pays légal », entre l’oligarchie aux commandes et la France réelle.

    Mais voilà que plusieurs officines extrémistes de sinistre réputation (SOS Racisme, UEJF, CRIF…), ne représentant là aussi qu’elles-mêmes bien qu’elles jouissent d’une influence disproportionnée, se sont laissées aller à un déchaînement verbal grossier envers le Renouveau français.
    Jouant sur la peur, l’amalgame et la caricature, elles partent du principe que critiquer « BHL » serait en soi une monstrueuse démonstration d’antisémitisme… Une méthode malhonnête et usée qui n’impressionne plus personne.

    Le CRIF a même eu l’outrecuidance d’intimer au Ministère de l’Intérieur l’ordre « de diligenter une enquête » à notre encontre. Ce sera l’occasion de mesurer le degré de soumission des autorités politiques à des groupements d’intérêts particuliers.

    Quoiqu’il en soit, le RF entend porter plainte contre ces personnes (BHL, Dominique Sopo, etc.) et officines liberticides suite à leurs dérapages inadmissibles.

    Nous vous tiendrons informés des suites et proposons à ceux qui le désirent de nous aider dans ce combat judiciaire, en nous adressant un don (avec mention « affaire BHL »).
    Le temps de la crainte est révolu et les Français se réveillent.
    C’en est fini de la soumission ! »

    Source : Renouveau Francais

    http://www.contre-info.com/

  • Pour expulser des étrangers, d'abord se passer de la CEDH

    Pour la CEDH, la France doit garder ses terroristes pour elle :

    "En France, huit étrangers condamnés pour des faits de terrorisme ou soupçonnés d’appel au jihad sont assignés à résidence dans des villages ou des petites villes. Souvent logés à l’hôtel, ils ont l’obligation de pointer plusieurs fois par jour à la gendarmerie ou au commissariat, et l’interdiction absolue de sortir des limites de leur commune. Ces hommes auraient dû être expulsés de France, car ils sont frappés d’une interdiction définitive du territoire. Mais la Cour européenne des droits de l’homme a interdit à l’Etat français de les renvoyer dans leur pays d’origine, où ils risquent la peine de mort, la torture ou de mauvais traitements."

    Michel Janva