Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1567

  • Baisse du nombre de détenus : la conséquence de la politique pénale de Taubira

    Source : Le Figaro
    En un an, la population carcérale a diminué de 2 % soit 1600 détenus de moins. Pourtant, le niveau de la criminalité atteint des chiffres record. Alexandre Giuglaris analyse ce paradoxe.

    Les derniers chiffres de la population carcérale et du milieu ouvert viennent d’être rendus publics par Le Figaro. Et le moins que l’on puisse dire est que leur courbe est clairement orientée à la baisse. En un an, le nombre de détenus diminue de 2 %, soit tout de même 1 600 détenus de moins. C’est un chiffre conséquent. Mais la tendance est là et n’est pas près de s’interrompre. Comment faut-il interpréter ces chiffres ?
    Rappelons tout d’abord que les chiffres d’une population carcérale dépendent essentiellement de deux facteurs :
    — Le niveau de la criminalité ;
    — La politique pénale mise en œuvre.
    En général, un niveau de criminalité et/ou une hausse de la criminalité se traduisent logiquement par une hausse des condamnations (en milieu ouvert et fermé). Le niveau de l’insécurité atteint des chiffres record avec plus de 5 millions de crimes et délits dans notre pays selon les chiffres de la chancellerie. À cela s’ajoute une criminalité en hausse, en particulier les cambriolages ou les atteintes physiques à la personne (agressions, coups et blessures…) qui sont les plus marquants pour les victimes et devraient être plus lourdement condamnés.
    Cette hausse de la criminalité, couplée à un niveau déjà très élevé de la délinquance dans notre pays devrait conduire à une hausse des condamnations et des incarcérations… Mais nous assistons au phénomène inverse !

    C’est là que le deuxième facteur joue pleinement son rôle, celui de la politique pénale de la garde des Sceaux et du gouvernement. En effet, c’est bien la politique de Christiane Taubira qui commence doucement à entrer en application et dont la baisse du nombre de détenus est une des conséquences directes. Plutôt que d’ergoter, il vaudrait mieux assumer cette politique de la part de ceux qui l’ont mise en œuvre.
    Sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ?

    En effet, c’est bien la circulaire pénale de septembre 2012 de Christiane Taubira qui a demandé aux magistrats de tenir compte du niveau de surpopulation carcérale avant de prononcer des peines de prison. C’est bien cette circulaire qui déconseillait aux magistrats d’avoir recours aux peines de prison, avant que la réforme pénale, adoptée l’été dernier, ne vienne graver dans le marbre législatif, le recours accru aux peines alternatives à la détention et la multiplication des expédients devant permettre d’éviter la prison, à tout prix.

    Car la diminution du nombre de détenus s’explique avant tout par la mise en œuvre de mesures, parfois techniques, et surtout moins médiatiques que la contrainte pénale, dans la diminution du nombre de détenus. Pendant des semaines, on a parlé de cette contrainte pénale, mais sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ? Sait-on qu’avec la suppression des peines plancher, les récidivistes ne sont plus automatiquement condamnés plus lourdement ?
    C’est l’application concomitante de ces différentes mesures qui conduit à une diminution du nombre de détenus et de personnes suivies en milieu ouvert depuis un an (-6 % pour les bracelets électroniques). En clair, aujourd’hui, on punit moins et on surveille moins les personnes condamnées. C’est là que l’orientation très idéologique de cette réforme pénale prend tout son sens.
    Alors que la France compte moins de détenus et surtout beaucoup moins de places de prison que la moyenne européenne, la garde des Sceaux veut faire diminuer le nombre de détenus et de condamnés, oubliant par là, que la sécurité et la protection des personnes, est au fondement du contrat social et de la légitimité de l’État.
    Ce qui est très inquiétant par ailleurs, c’est le décalage de cette politique, dont même Manuel Valls contestait les fondements, les objectifs et les mesures, avec ce que souhaitent les Français et avec ce qu’il faudrait faire. Mais n’en doutons pas, la justice pénale, aujourd’hui maillon faible de la chaîne pénale, en particulier le volet exécution des peines ; sera le grand enjeu des prochaines échéances de 2017. En attendant, les Français doivent payer les pots cassés d’une politique idéologique et inadaptée, notamment en matière de hausse de la délinquance. C’est inacceptable ! Mais il faut les rassurer. Une autre politique est possible basée sur la sanction et la responsabilité individuelle.
    Cette politique combinera prévention, dissuasion, sanctions et réinsertion, mais sera basée sur le pragmatisme, l’efficacité, la rapidité et la fermeté. Exactement ce que souhaitent les Français, toutes tendances politiques confondues…

    http://fr.novopress.info/190979/baisse-du-nombre-detenus-consequence-politique-penale-taubira/#more-190979

  • L'article qui a valu à Pierre Sautarel (FDesouche) d'être visé par une plainte

    Il est ici (via).

    Pierre Bergé (et non "Berger", merci Le Scan du Figaro qui relate l'affaire Sautarel sans évoquer l'objet de la plainte...) ne connait sans doute pas l'effet Streisand :

    "L'effet Streisand est un phénomène médiatique au cours duquel la volonté d’empêcher la divulgation d’informations que l'on aimerait garder cachées — qu'il s'agisse de simples rumeurs ou des faits véridiques — déclenche le résultat inverse. Par ses efforts, la victime encourage malgré elle l'exposition d'une publication qu'elle souhaitait voir ignorée."

    Et donc, que cherchait à cacher Pierre Bergé ? Cet article de Panamza du 29 octobre 2014 :

    "À l'occasion d'une exposition sur le Maroc, Jack Lang, président de l'IMA, a donné "carte blanche" à Pierre Bergé pour être interviewé par Frédéric Mitterrand. Décryptage et révélations.

    Certaines images laissent parfois songeur. Celle-ci, par exemple, illustrant trois amis heureux de se retrouver dans un prestigieux lieu culturel.

    Pbjlfm231014

    Jeudi 23 octobre, dans la salle du Haut Conseil de l'Institut du monde arabe, Jack Lang, Pierre Bergé et Frédéric Mitterrand étaient réunis. Le but? Donner "carte blanche" au multimillionnaire Pierre Bergé, 83 ans et pygmalion médiatique (actionnaire du MondeRue89L'Obs), pour relater son parcours en général et son amour de la culture marocaine en particulier. Le prétexte? L'inauguration par l'IMA -et François Hollande- d'une vaste exposition consacrée au Maroc. L'organisateur? Jack Lang, 75 ans, grand ami d'Israël, président (depuis janvier 2013) de l'Institut du monde arabe et bénéficiaire d'une rémunération mensuelle de 10 000 euros. Le maître de cérémonie? Frédéric Mitterrand, 67 ans, ancien ministre de la Culture (comme Jack Lang), ex-animateur d'une émission sur le service public de France Inter (de 2013 à 2014) et documentariste pour Arte.

    Un an plus tôt, le 24 octobre 2013, Panamza avait consacré un article spécial à Frédéric Mitterrand et son approche décomplexée du monde arabe. Comme il le relata dans un ouvrage paru en 2009, il pratiqua longtemps ce qu'il nommait "la solution Maghreb" :du tourisme sexuel en Afrique du nord en guise d'alternative à la Thaïlande. À propos de l'adoption d'un garçon tunisien, Mitterrand écrivit également ceci : "Je me demandais parfois si je serais capable de me donner tant de mal pour une petite fille. Les garçons touchaient évidemment à quelque chose de plus intime et de plus ambigu – quoique…".

    Jack Lang? Son nom était dans tous les esprits lorsque Luc Ferry relaya -sur Canal +, le 30 mai 2011- les informations cryptées d'un article du Figaro Magazine (paru deux jours plus tôt) à propos d'un "ancien ministre" arrêté dans une "villa de la palmeraie de Marrakech" pour s'être "amusé" avec de "jeunes garçons" et discrètement renvoyé en FrancePrésent sur le plateau, Alain Duhamel fit allusion à Jack Lang en usant d'un jeu de mots transparent. Détail cocasse: l'animateur était Ali Baddou, fils de diplomate marocain et ex-collaborateur de Jack Lang au ministère de l'Éducation nationale. 

    Lire la suite

  • Le président kenyan n’hésite pas à contredire Barack Obama sur l’homosexualité

    Le président américain Barack Obama s’est rendu au Kenya, le pays natal de son père, pour la première fois depuis qu’il est à son poste. Mais le fils prodigue a choqué tout le pays, à commencer par son homologue kenyan, en fustigeant les « mauvaises traditions » du pays, parmi lesquelles la pénalisation de l’homosexualité.

    « En tant qu’Afro-Américain des Etats-Unis, je n’ai que trop conscience de ce qui arrive lorsque l’on introduit des discriminations », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse tenue à Nairobi, alors qu’il évoquait le sujet de l’homosexualité au Kenya, avant d’ajouter : « Lorsque vous commencez à traiter les gens différemment, non pas à cause du mal qu’ils feraient à quelqu’un mais parce qu’ils sont différents, les libertés sont attaquées et de mauvaises choses arrivent. »

    Barack Obama milite en faveur de l’homosexualité au Kenya, contre toute bienséance diplomatique

    Une attaque frontale contre le président du Kenya n’est pas restée sans réponse. Uhuru Kenyatta a clairement affirmé que la question de l’homosexualité n’est pas un sujet dans son pays.

    « Nous partageons de nombreuses valeurs, notre amour commun pour la démocratie, l’esprit d’entreprise, la famille. Mais il y a certaines choses, nous devons l’admettre, que nous ne partageons pas, que notre culture et nos sociétés n’acceptent pas », a répondu le président Kenyan à son homologue américain.

    De nombreuses personnalités kenyanes, comme les citoyens interrogés sur la question, ont affirmé que les personnes homosexuelles pouvaient l’être à condition de rester discrètes.

    Il était absolument évident que la déclaration du président américain allait choquer en Afrique, mais les « droits » homosexuels sont un enjeu d’une importance telle pour l’idéologie mondialiste qu’ils valaient sans doute une entorse grave aux règles élémentaires de la diplomatie…

    Après la défense de l’homosexualité, Barack Obama s’attaque à la corruption au Kenya

    Barack Obama s’est également attaqué à la corruption, s’attirant plus de sympathie de la part du peuple kenyan. Mais s’il est légitime et nécessaire de lutter contre la corruption, il faut également relever qu’il s’agit d’un objectif mondialiste poursuivi avec persévérance sur l’ensemble de la planète : la disparition de la corruption permets aux directives venues de l’ONU et des centres de pouvoir régionaux tels Bruxelles d’arriver jusqu’aux dernières strates de la société sans être déviées par des fonctionnaires corrompus ; à la « gouvernance globale » de s’exercer à tous les échelons de la société sans rencontrer l’obstacle. Nous avons relevé récemment que le régime totalitaire chinois poursuit une lutte implacable contre la corruption.

    Pour Barack Obama et pour le courant idéologique qu’il incarne, la lutte contre la corruption permet toujours plus de contrôle étatique… Même lorsque ce sont les personnes les mieux placées au Kenya qui sont les plus corrompues, ce que le président Américain a d’ailleurs dénoncé.

    http://www.contre-info.com/le-president-kenyan-nhesite-pas-a-contredire-barack-obama-sur-lhomosexualite-lors-de-sa-visite-au-kenya#more-38888

  • LES TROIS MENSONGES DE NAJAT VALLAUD-BELKACEM...

    Les professeurs, comme l’ensemble des Français, en ont assez qu’on veuille leur faire prendre des vessies pour des lanternes ! 
    Premier mensonge : les prétendus bienfaits de la réforme des rythmes scolaires. Depuis la rentrée 2014, les élèves de l’école primaire bénéficieraient, selon le ministère – subissent, si l’on y regarde de plus près -, de nouveaux rythmes : 


    Les trois mensonges de Najat Vallaud-Belkacem...
    mise en œuvre d’une semaine de quatre jours et demi, possibilité d’accéder à des activités périscolaires. On aurait pu penser naïvement que, pour donner la priorité à l’apprentissage des fondamentaux, le ministère en profiterait pour augmenter le temps d’enseignement qui leur est consacré. Nenni ! Les horaires restent identiques, ils sont simplement répartis différemment dans l’année. Le gain de cette réforme ? Une fatigue accrue pour les élèves, des inégalités selon les communes, un poids financier qui se répercute sur les contribuables… L’instauration d’études surveillées, où une personne compétente conseillerait les élèves en difficulté, serait bien plus efficace. Mais c’est sans doute une pratique réactionnaire. Deuxième mensonge : la réforme du collège. Contre toutes les évidences, le ministère assure sans vergogne que l’enseignement des langues anciennes n’est pas menacé, qu’il sera même étendu ; que l’enseignement de l’allemand ne sera pas réduit et que le nombre de postes aux concours de recrutement sera augmenté dans cette discipline ; que les fondamentaux pourront s’apprendre d’une autre manière à travers des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI). En réalité, les langues anciennes disparaissent de la grille horaire des classes de collège, se limitant à un hypothétique enseignement de complément… si l’établissement a les moyens de l’organiser. Quant à l’augmentation du nombre de postes en allemand, c’est une promesse de Gascon – les vrais Gascons me pardonnent ! – quand on sait que, cette année, 62,71 % des postes seulement ont été pourvus au CAPES d’allemand. Enfin, les enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), comme on les appelle, ne pourront germer que chez les élèves disposant d’une connaissance suffisante des fondamentaux : on n’apprend pas à partir de rien, l’interdisciplinarité suppose en préalable une maîtrise des disciplines. La réforme du collège est donc une imposture qui, sous prétexte d’instaurer plus de justice et d’égalité, nuira d’abord aux enfants des familles défavorisées... 
    Suite et source  : boulevard voltaire
  • Venue du roi d’Arabie saoudite en France : la polémique enfle

    Tout permis. Arrivé samedi à Nice avec une suite de près de 1 000 personnes, le roi d’Arabie saoudite a fait interdire l’accès à une place privée. Ce qui a provoqué la colère des riverains.

     

    Le roi d’Arabie saoudite, ici en compagnie de François Hollande. Photo © AFP

    Le roi Salmane d’Arabie saoudite est arrivé ce samedi 25 juillet dans sa villa située à Vallauris, dans les Alpes-Maritimes. Accompagné de sa suite de plusieurs centaines de personnes, il fait l’objet d’un accueil très spécial.

    400 VTC mobilisés

    Pas moins de 400 VTC (voitures de transport avec chauffeur) ont été mobilisés pour le mois pour emmener la famille royale, les amis du roi et ses hôtes.

    Des policiers empêchent l’accès à la plage

    Des policiers gardent les accès à la résidence mais aussi les abords de la plage qui fait face à la villa du roi. En mer, une vedette de la gendarmerie maritime et une vedette rapide de la gendarmerie nationale bloquent une zone de 300 mètres aux abords du rivage pour éviter que les bateaux ne puissent entrer dans cette zone.

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Venue-du-roi-d-Arabie-saoudite-en

  • Terroristes algériens : l’Algérie les condamne à mort, nous les chouchoutons…

    42 condamnations à mort ont été prononcées à l’encontre de terroristes en Algérie durant les 5 premiers mois de 2015, nous, nous les mettons au vert.

    Manuel Valls brasse de l’air et joue les matamores comme lui seul sait le faire. Reconnaissant la réalité du terrorisme islamique, il a déclarait il y a quelques semaines :

    Nous fermerons des mosquées (si nécessaire). Nous dissoudrons des associations suspectes de sympathies ou de complicités avec l’islamisme radical et jihadisme. Notamment celles qui font appel à la violence.

    Et de poursuivre :

    Outre les poursuites judiciaires, nous procéderons : à des expulsions du territoire. À des déchéances de nationalité française. À des interdictions d’entrée et de sortie du territoire. À des blocages de sites internet. À des suppressions de prestations sociales.

    Effet de manche et d’annonce, comme d’habitude. Notre confrère Manuel Gomez relève aujourd’hui sur Boulevard Voltaire qu’un terroriste algérien avéré et assumé, qui devrait être expulsé du territoire, coule des jours heureux, assigné à résidence en Bretagne.
    Un sort à mettre en regard de celui des terroristes algériens dans leur pays, signalé par le même éditorialiste il y a quelque temps :
    42 condamnations à mort prononcées en Algérie durant les cinq premiers mois de 2015 à l’encontre de terroristes impliqués dans des attentats meurtriers contre des civils et des éléments de l’ANP (Armée Nationale Populaire) pour des assassinats et des kidnappings entre 1995 et 2014.

    http://fr.novopress.info/190936/terroristes-algeriens-lalgerie-les-condamne-mort-les-chouchoutons/

  • Patients algériens : l’AP-HP ne veut plus payer ? C’est notre Sécu qui le fera !

    Le transfert pour soins des Algériens, qui ne concernait jusqu’à présent que les salariés actifs et leurs ayants droit, sera élargi à tous les Algériens non assurés sociaux mais détenteurs d’une carte de démuni et nécessitant des soins à l’étranger (environ 30 % de la population).

    La CNAS algérienne (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) rejette en bloc les affirmations de la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui lui réclame une facture, selon elle totalement fantaisiste et qui ne correspond à rien, de 31 millions d’euros, dont se sont fait l’écho les médias français.

    Elle défie les hôpitaux parisiens d’établir un listing des patients algériens pris en charge dont les factures sont restées impayées.

    Il y a des contentieux, certes, entre les deux parties mais ils sont réellement minimes, affirme la CNAS, qui refuse d’assumer les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés par ses soins avant leur départ.

    Lire la suite

  • Bertinotti, qui a porté la dénaturation du mariage, privée de place éligible

    Unknown-13C'était bien la peine de s'opposer à la France LMPT. Membre du gouvernement jusqu'en mars 2014, Dominique Bertinotti n'est pas récompensée par le régime pour avoir porté la loi LGBT de Taubira.

    Le 9 juillet, les militants parisiens ont largement voté pour une liste dirigée par Marie-Pierre de la Gontrie où l'ex-ministre ne figure qu'à la 13e position, place non-éligible en cas de défaite. En cas de victoire, la qualification pourrait être juste.

    Michel Janva

  • Gilbert Collard veut que les Français versent 60 M$ au lobby juif américain


    Shoah Business

    Nous avions évoqué le scandaleux racket de la SNCF par le lobby juif américain, qui exigeait pas moins de 60 millions de dollars – pris dans la poche des Français – en « réparations » du « rôle » des trains français dans la déportation de certains juifs américains (non couverts par les programmes français déjà existants) durant l’Occupation…

    Il faudrait d’ailleurs savoir : si le gouvernement de Vichy était une parenthèse illégale (selon la version actuelle du Système) et non pas le prédécesseur légal du gouvernement actuel, pourquoi ce dernier devrait-il payer les dettes du premier ?

    Or, alors même que la plupart des élus Républicains (ex-UMP) s’abstenaient, le député mariniste Gilbert Collard, ultra-sioniste et franc-maçon, a voté le 24 juin en faveur du projet de loi entérinant l’accord entre le gouvernement français et les Etats-Unis concernant le versement de ce pactole au gouvernement américain, qui le gèrera directement.
    Scandaleux…

    Dans le même esprit, le vice-président du FN Louis Aliot, relate sur son blog, en reprenant la logorrhée du Système, que dimanche dernier « à Perpignan, il participait à la cérémonie pour la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’état [sic]  français et d’hommage aux justes de la France. »

    Cet énième journée de « mémoire » résulte d’une loi votée le 10 juillet 2000 par l’Antifrance et fixant au 16 juillet cette nouvelle opération annuelle de repentance et de masochisme français.
    Décidément, la haine du Système contre le Maréchal est tenace : il ne faudrait pas que les Français viennent à regretter sa salutaire politique de « Révolution nationale ».

    Louis Aliot dénonçait les « passéistes » (pétainistes et autres) qui étaient encore nombreux au FN il y a quelques années, mais l’on voit, comme d’habitude, qu’il y a en réalité le bon passéisme (validé ou promu par le Système) et le mauvais passéisme (dénoncé par les médias).

    http://www.contre-info.com/

  • Pour Laurent Joffrin, les parents de Vincent Lambert sont comparables à des islamistes

    Source : Boulevard Voltaire Pour Laurent Joffrin, les parents de Vincent Lambert sont comparables à des islamistes.

    Il fallait y penser. Comparer deux personnes âgées qui se battent quotidiennement au chevet de leur fils avec les égorgeurs sanguinaires de l’État islamique, c’est une idée qui n’aurait traversé la tête de personne avant lui, sauf peut-être les intellectuels de Canal+.

    « L’affaire Vincent Lambert » n’en finit pas de rebondir. Affaire, parce que l’obstination du Centre hospitalier de Reims à conserver Vincent sous bonne garde – deux policiers sont en faction devant sa chambre – et à refuser le transfert dans un autre établissement qui n’attend que cela pour prendre en charge cet homme lourdement handicapé n’a trouvé, jusque-là, qu’une seule justification : arrêter tout traitement. Et, au risque de nous répéter (ce qui peut devenir lassant), Vincent ne reçoit aucun traitement. C’est bien ce qui est reproché par sa famille à l’hôpital. Il est nourri et hydraté comme tout un chacun. Il n’y a donc pas besoin de le débrancher, ni de mettre fin à un quelconque acharnement thérapeutique que la morale réprouve. Il faut, pour ces gens dont le devoir d’humanité semble céder devant les exigences d’une société devenue folle, le mettre à mort, littéralement. Par la faim et surtout la soif.

    Par bonheur, ou par une intervention providentielle – chacun en jugera -, l’équipe médicale de Reims a compris que l’exécution de la sentence serait rendue malaisée par les multiples recours envisagés par une famille qui n’en peut plus. Et elle a prudemment reculé, en saisissant le procureur d’une demande de protection judiciaire, c’est-à-dire la nomination d’un tuteur. Un tuteur n’a aucun pouvoir de vie ou de mort sur la personne protégée. Il ne pourra donc pas signer, les yeux pudiquement détournés, une sentence de mort et s’en laver les mains, tel Ponce Pilate, en se retranchant derrière l’avis des tribunaux. L’équipe médicale a compris aussi qu’un immense scandale était en train de sortir : celui d’un médecin qui a délibérément, et sans prévenir personne, interrompu alimentation et hydratation en 2013, avant d’être contraint de la reprendre sur décision judiciaire ; qui s’est présenté par la Cour européenne des droits de l’homme comme le conseil de Rachel Lambert, l’épouse – en droit – de Vincent et qui, de partie, devient juge susceptible de décider la mort de son patient ; celui d’un hôpital qui refuse à tout prix de laisser sortir cet homme pour le placer ailleurs, là où il gênera moins…

     

    Mais l’ineffable Laurent Joffrin, dans Libération, voit dans ce retournement de dernière minute le résultat de l’intégrisme catholique. Sans aucune crainte du ridicule, il expose que la décision « d’arrêt des soins » [Privons-le d’eau pendant 48 heures pour qu’il comprenne ce que ces mots signifient] ne peut pas être prise dans la sérénité car « les parents de Vincent Lambert sont liés à la fraternité Saint-Pie-X, secte catholique d’extrême droite dont le Vatican, en dépit de certaines tentatives de négociations, a toujours déclaré l’illégitimité. Ainsi, c’est une phalange intégriste qui a réussi, par la menace, à faire dévier la procédure légale. Elle n’a rien à envier aux groupes équivalents dans les autres religions, par exemple les intégristes musulmans. »

    Il fallait y penser. Comparer deux personnes âgées qui se battent quotidiennement au chevet de leur fils avec les égorgeurs sanguinaires de l’État islamique, c’est une idée qui n’aurait traversé la tête de personne avant lui, sauf peut-être les intellectuels de Canal+. Dresser un parallèle entre la lutte pour la vie et la haine de toute vie, c’est faire poser Hitler à côté d’Anne Frank.

    Monsieur Joffrin peut-il un instant comprendre ce qu’est l’amour de parents pour leur fils ? Peut-il imaginer qu’il existe encore, dans notre monde terrorisé par la mort, des gens capables de donner leur vie pour un autre ? Peut-il concevoir qu’aux yeux de monsieur et madame Lambert, le confort de leur existence, de leurs certitudes et du repos qu’ils méritent à leur âge cède devant le devoir d’assurer à leur fils une vie aussi paisible que possible, ce qui implique de l’arracher aux griffes de ceux qui veulent le faire mourir ?

    Je ne souhaite qu’une chose à Laurent Joffrin : qu’il soit un jour secouru par un « intégriste » catholique. Je parie qu’il sera surpris d’être soigné plutôt qu’égorgé.

     

    François Teutsch

    http://fr.novopress.info/190906/laurent-joffrin-les-parents-vincent-lambert-comparables-islamistes/#more-190906