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lobby - Page 1565

  • Taubira en roue libre (Présent 8408)

     

    À quelle population selon vous s’adresse Christiane Taubira à quelques mois de la raclée électorale annoncée, quand elle propose que la conduite sans permis ne soit plus un délit ? Il suffisait d’entendre ce matin à la radio les délinquants concernés pour se faire une idée.

    Qui conduit sans permis (et au passage sans assurance ni aucun respect des règles) ? Ni vous ni moi. Mais une forte proportion de racailles et de voyous dont le comportement est à cet égard (et à d’autres) totalement criminel. L’un d’eux était tout étonné au micro de RMC de n’avoir écopé que de 300 euros d’amende pour avoir été contrôlé sans permis : « J’le croyais pas ! » Et tu aurais été bien bête de le passer, la vie d’ma mère !
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    Moins cher que de se prendre trois radars dans le mois (pour un dépassement de 5 km/heure). Et ça devrait devenir le tarif ordinaire selon l’une des dispositions du projet de loi intitulé « La justice du XXIe siècle » (excusez du peu) que devait présenter notre madone des détenus ce vendredi en Conseil des ministres : une simple contravention, qui ne donnerait plus lieu qu’à une amende de 500 euros grand maximum. Au tarif du permis de conduire (2 000 euros dans le meilleur des cas) inutile de dire que pour beaucoup, ce sera vite vu.

    Le défaut de permis de conduire était jusque-là passible d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende, mais il est tellement répandu qu’il engorge les tribunaux. C’est la saine méthode Taubira : les pédophiles encombrent les tribunaux ? Supprimons le crime de pédophilie !

    La « déjudiciarisation » des délits routiers avait déjà été envisagée lors des débats préparatoires entourant la réforme pénale de 2014. Mais redoutant un (nouveau) procès en laxisme, la Chancellerie y avait renoncé. Elle revient à la charge, en recadrant très scrupuleusement son projet de réforme.
    Pendant ce temps, haro sur le brave conducteur lambda titulaire d’un 12 points qui a payé toutes ses leçons de code et de conduite, ses assurances, son contrôle technique, son stationnement et qui conduit ceinture bouclée, à jeun, sans oreillette, ni cigarette, ni tongs, en respectant le 130. Au faciès lui, il prend cher.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Pédophilie et politique : il n'y aurait pas qu'en Grande-Bretagne

    Dans son dernier livre, Le Juge, l'acteur Christophe Lambert écrit :

    L« Je vois que le monde est plus violent qu’a­vant. Vous seriez éton­née par exemple de voir le nombre de pseudo hommes d’af­faires, de pédo­philes proté­gés, qu’on connaît, dans la poli­tique, la finance. Les affaires sont très vite étouf­fées… On trouve des filles dans des caves à qui on file des gamelles comme à des chiens, qu’on bat, qu’on drogue ; ou la petite qu’on vend aux enchères sur le dark Web, et des sites comme Silk Road où on peut trou­ver tout ce qu’on veut et qu’on met souvent des années à fermer ! »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Condamner le terrorisme et dérouler le tapis rouge pour le roi d’Arabie

    Source : Boulevard Voltaire

    Nous avançons avec dans une main la Déclaration des droits de l’homme et dans l’autre une liasse de contrats d’armement destinés à des pays qui se soucient des droits de l’homme, et encore plus de ceux de la femme, comme de leur dernière djellaba.

    C’est entendu, SOUS le sable de l’Arabie saoudite, il y a beaucoup de pétrole, plus que partout ailleurs, et donc énormément d’argent. Chacun sait qu’en France, à défaut de pétrole, on a des idées. L’idée, ici, consiste à faire venir le pétrole et son argent, en l’occurrence, le roi d’Arabie, SUR le sable, celui de la plage de la Mirandole à Vallauris, ce qui n’a pas manqué de déclencher un pic de protestations.

    On conçoit le mécontentement des vacanciers habitués à cette plage et le dérangement des riverains. Mais, plus que l’abandon de nos principes au nom de nos intérêts et de nos alliances, cet accueil est l’aveu sidérant des contradictions auxquelles conduisent le déclin du pays et l’effondrement des hommes qui le dirigent. La première est d’ordre économique et politique. La France est le pays du luxe, et les entreprises sur ce marché entretiennent des savoir-faire et des emplois dont le pays a plus que jamais besoin. Mais c’est aussi le pays où le souci de l’égalité dans les discours politiques tourne à l’obsession. Ce qui rend ce paradoxe ridicule ou odieux, c’est qu’il produit une préférence étrangère et un désavantage pour les nationaux. Si les étrangers puissants et riches sont les bienvenus, est-il intelligent de faire fuir au-delà de nos frontières les Français fortunés qui se mettent à l’abri d’une fiscalité délirante et surtout d’un impôt sur la fortune, cette exception française absurde, maintenue par la démagogie de gauche et la couardise de droite ? Il est probable que le séjour en France, en permanence, des exilés fiscaux aurait des retombées économiques plus importantes que les trois semaines du roi Salmane ben Abdelaziz Al Saoud.

     

    La seconde contradiction est celle dans laquelle se vautrent l’Occident tout entier, et la France en particulier, en politique internationale. Nous avançons avec dans une main la Déclaration des droits de l’homme et dans l’autre une liasse de contrats d’armement destinés à des pays qui se soucient des droits de l’homme, et encore plus de ceux de la femme, comme de leur dernière djellaba. La France suit les États-Unis avec une telle précipitation qu’elle semble même parfois les dépasser. L’indépendance nationale et l’intérêt supérieur de la patrie déterminent logiquement un réalisme politique sur la scène internationale. Mais la contradiction du donneur de leçon de morale entre son discours et ses actes est une insulte envers ceux qui sont ses électeurs. Il n’y a pas de pays plus éloigné des valeurs républicaines que l’Arabie saoudite.

    Il est vrai qu’au-delà d’un certain poids, les pays supportent mal les leçons. Obama peut bien suggérer « fortement » aux Africains d’accepter le mariage unisexe, il s’abstiendra de le faire auprès de ses alliés saoudiens. Car le problème est là : les « démocraties » occidentales sont alliées à des pays qui sont leur antithèse et dont ils dépendent économiquement.

    Au temps où la France était un grand pays, elle soutenait Méhémet Ali, le vice-Roi d’Égypte dont l’armée écrasa une première offensive wahhabite déjà dirigée par les Saoud, qui s’étaient emparés des villes saintes. Sous la pression des Anglais, la France dut abandonner cette alliance. Poursuivant son déclin, elle en est aujourd’hui à flatter les Saoud, les grands alliés des Américains, dont les rapports avec le djihadisme sont moins clairs que leur hostilité à l’Iran. Peut-on à la fois condamner le terrorisme et dérouler un tel tapis sous les pieds du salafisme ?

     

    Christian Vanneste

    http://fr.novopress.info/191137/condamner-terrorisme-derouler-tapis-rouge-roi-darabie/#more-191137

  • Les autorités de santé ordonnent aux médecins de cesser de tuer des patients en les privant d’hydratation

    En Grande-Bretagne, où une directive vient d'être prise pour éradiquer cette pratique, y compris quand le patient vit ses derniers jours. L'association de défense des droits des malades et de leurs proches note qu'

    "il est choquant qu’il soit nécessaire de préciser cela aux médecins et aux infirmières, mais ce n’est pas surprenant après ce à quoi l’on a assisté".

    Et en France, on débat de la possibilité de faire mourir de soif une personne qui n'est pas en fin de vie...

    Louise Tudy

  • L’islam contre les femmes

    Les femmes européennes sous le joug musulman

    Pendant près de huit cents ans en Espagne, pendant plus de quatre siècles dans les Balkans, les Musulmans ont imposé leurs lois, leurs modes de vie exclusifs, ont dicté leur loi religieuse à l’ensemble des Chrétiens d’Orient et d’Occident.
    De Tolède à Byzance, chacun a pu mesurer les souffrances endurées par toutes celles et tous ceux qui, au contact des Musulmans, « vivaient comme on peut tenter de le faire au milieu de loups ou de lions ».
    Cible particulièrement fragile de cette cohabitation imposée, les femmes sont considérées en terre d’islam « comme un champ de labour, auquel l’homme va comme il le veut ».

    Pour peu qu’elles soient chrétiennes, elles sont encore moins respectables car « condamnées au feu éternel ».
    Ainsi sont traitées et jugées par l’islam les femmes chrétiennes, officiellement protégées en terre d’islam autrefois par leur statut de dhimmis
    A y regarder de plus près toutefois, on se rend compte que la « dhimmitude » citée en exemple par certains exégètes de l’islam, est un leurre.

    En réalité, les Grecs, Serbes et autres Espagnols qui durent subir la dhimmitude restèrent dans l’oppression. Avilis, méprisés, les sujets chrétiens étaient tout juste bons (comme d’ailleurs les Juifs dans une moindre mesure) à servir de faire-valoir fiscal et financier aux Arabes en Espagne, aux Turcs dans l’Empire ottoman.

    L’existence des infidèles, Juifs et Chrétiens, était une condition nécessaire de l’équilibre du budget.
    La mission prioritaire des gouverneurs musulmans à Cordoue ou des fonctionnaires turcs dans les Balkans, était de lever l’impôt foncier et la capitation dus par les populations vaincues demeurées fidèles à leur foi. Gare à celui qui ne s’acquittait pas de sa capitation : il pouvait être réduit en esclavage, voire puni de mort. Gare également au Chrétien dont la femme était trop désirable, il pouvait très facilement passer de vie à trépas !
    Les dhimmis n’avaient pas le droit de port d’armes, ne pouvaient pas monter à cheval, devaient s’effacer dans la rue quand ils voyaient un Musulman, et se lever quand ils étaient assis, au passage d’un croyant.

    Ils devaient également hospitalité à tout voyageur musulman qui le réclamait.
    Autant de contraintes que vécurent pendant des siècles Chrétiens d’Orient et d’Occident. La femme jouant le rôle essentiel de conserver au sein du foyer la foi catholique ou orthodoxe, ciment essentiel qui permit, en tout cas, aux Espagnols et aux Grecs (mais aussi aux Serbes et aux Bulgares) de résister à la gangrène islamique.

    La femme chrétienne humiliée

    Considérées par l’islam et le Coran comme « Les pires bêtes pour Dieu car elles sont parmi les sourds et les muets qui ne comprennent rien et s’entêtent à ne pas croire », les chrétiennes vont subir pendant des siècles les humiliations, les violences, les vexations des maîtres musulmans. Ce qui pouvait d’ailleurs leur arriver de moins pire au regard des égorgements, viols, meurtres rituels et autres crémations qui furent infligées aux plus récalcitrantes et aux plus rebelles. Souvenez-vous des massacre de Chio du génocide arménien et de la folie meurtrière qui s’empara, en 1922, des musulmans qui, à Smyrne notamment, rendirent la mer Egée rouge du sang des centaines de milliers de victimes chrétiennes, dont de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, égorgées comme de vulgaires moutons après avoir été violées par leurs bourreaux.
    En 1866, lors du soulèvement crétois contre l’oppresseur turc, Omer Pacha, envoyé par la Sublime Porte pour réprimer la révolte, n’hésita pas, lors de la bataille de Frangokastello, après avoir exterminé une majorité d’hommes en état de se battre, à exécuter froidement femmes et enfants. Juste pour la forme, se réservant pour son bon plaisir une jeune fille, rejeton d’une grande famille.
    La même année, plus de 1000 personnes dont une majorité de femmes, retranchées avec des moines à l’intérieur du Monastère d’Arkadi, choisirent volontairement la mort en acceptant que les moines mettent le feu aux poudrières. Elles voulaient échapper à la cruauté des troupes turques !
    En 1823, lors d’une première révolte dans la région de Lassithi, plus de 2 000 femmes et enfants avaient été exterminés !
    C’est dire la cruauté des descendants des hommes de Mehmet II, qui, lors de la chute de Byzance en 1453, arrachaient les enfants aux mères, massacraient les nouveaux-nés, violaient sans honte les vierges dans les églises consacrées, dénudaient les femmes âgées et les outrageaient.
    Doit-on s’étonner d’un tel comportement quand on sait que les Ottomans pensaient qu’une « Esclave croyant en Allah vaut mieux qu’une femme qui croit en la Trinité » ?
    Humiliée, la femme chrétienne était aussi une proie rêvée et un objet convoité sur les marchés d’esclaves d’Alger ou de Constantinople. Les Algérois mettaient par exemple, à profit un voyage à Constantinople pour acquérir une esclave de Russie et la revendre ensuite au plus offrant.
    La conversion à l’islam était, bien sûr, obligatoire. On cite le cas d’Anna, jeune russe qui dut solennellement renier sa foi orthodoxe en piétinant sa croix, en crachant dessus trois fois et en la jetant dans la mer Noire. Une telle adhésion à l’islam ne signifiait cependant pas la fin des tourments pour les victimes. En effet, la dure loi de la conversion forcée, du voile imposé, de la vie partagée dans le harem avec d’autres femmes tournait souvent au drame.
    La « Renégate » était souvent mise en quarantaine, parce que plus belle que les favorites musulmanes qui voyaient d’un mauvais œil l’arrivée de belles Circassiennes, semblables à la chère Aziyadé de Pierre Loti.
    Et que dire de ces milliers de jeunes chrétiennes razziées en Occident ou dans les Balkans, entrées en islam à 10 ou 12 ans, aussitôt mariées de force à des musulmans turcs ou morisques et qui, à la faveur d’un rachat par des marins, retrouveront la mère patrie ? A leur retour en terre chrétienne, elles seront obligées de se présenter devant les tribunaux inquisitoriaux qui ne chercheront pas à exercer un contrôle strict sur le retour de ces femmes converties de force par des Musulmans.
    En Espagne, lors de la conquête musulmane, la terreur s’abat en Castille, en Galice, dans les Asturies et au Pays Basque. Les habitants de ces régions redoutent, en effet, la sa’ifa (campagne d’été de Musulmans) qui se solde inévitablement par des pillages, l’enlèvement du bétail et la mise en esclavage systématique des femmes et des enfants alors que les hommes sont tués pour la plupart d’entre eux.
    Toujours les Musulmans « semèrent la terreur à Narbonne vers 720. Après avoir fait main basse sur des statues en argent massif dans une église qu’ils prennent la peine de détruire, ils emmenèrent comme esclaves de nombreuses femmes, beaucoup d’enfants et quelques hommes », comme le note Charles-Emmanuel Dufourcq dans une magistrale « Vie quotidienne dans l’Occident médiéval », rappelant également que pendant leur conquête de Sicile, ces mêmes Maures, exaspérés par la résistance qui leur est opposée, pillent, tuent et égorgent tout ce qui se trouve sur leur passage, mettant un raffinement certain dans les tortures qu’ils infligent aux femmes.
    Sans doute avaient-ils présent à l’esprit que « Les incroyants qui ont la Bible et l’Evangile iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours »…

    La femme chrétienne, otage malgré elle

    Pendant des siècles, les musulmans (barbaresques, morisques et autres turcs ottomans) ont pratiqué l’enlèvement systématique des enfants chrétiens, mâles ou femelles.
    Le « greffon », l’enfant chrétien, ainsi transplanté en terre d’islam, et ravi à l’affection de sa mère, devait devenir un bon musulman, élevé par des nourrices turques ou arabes dans des maisons privées ou dans les palais des Stambouliotes.
    Les musulmans faisaient un prélèvement régulier aux dépens des forces vives du monde chrétien (Espagne jusqu’en 1492, Serbie, Grèce, Russie, Bulgarie) en le délestant, chaque année, de plusieurs milliers de ses enfants, auxquels ils offraient la possibilité d’une intégration totale dans les sociétés cosmopolites du Maghreb ou de l’Empire ottoman.
    1. En Europe occidentale, les enfants étaient razziés sur terre ou capturés en mer. La mémoire populaire a d’ailleurs gardé la hantise de ces raids-éclair en Corse, en Sicile, aux Baléares, mais aussi sur nos côtes de Provence ou du Roussillon.
    Aussitôt embarqués de force sur les bateaux pirates, les petits garçons étaient circoncis afin de prévenir toute action des Consuls de leur pays respectifs, au cas où des familles porteraient plainte.
    Violences, coups, tout était fait pour que la jeune victime devienne rapidement un musulman soumis.
    Dans leur ouvrage consacré au « Chrétiens d’Allah », Bartolomé et Lucile Bennassar citent également les mères enlevées en même temps que leurs enfants : « Anastasia, une jeune Russe et sa mère, furent achetées par le même maître et partagèrent sept ans de captivité ». 2. En Europe orientale (en Serbie et en Grèce plus particulièrement), les jeunes garçons orthodoxes fournirent jusqu’au milieu du 17ème siècle le corps des janissaires, corps d’élite de l’armée turque.
    La Devchirmé (littéralement ramassage) régissait ainsi le recrutement de l’armée. « C’était un plan diabolique et le plus épouvantable tribut de chair humaine qui ait été levé par une religion victorieuse sur une religion vaincue » comme l’écrira un historien du 19ème siècle, Théophile Lavallée.
    Comment, en effet, ne pas qualifier de diabolique cette opération qui consistait à rassembler, dans un village chrétien, toute la population mâle et à prélever les plus sains d’entre eux, chassés et prélevés comme on prélève un gibier.
    Cruauté suprême, les garçons étaient souvent choisis en nombre plus important que prévu… les fonctionnaires turcs, chargés du ramassage, se faisant ainsi racheter les enfants par les parents.

    Les vieux serbes se rappellent encore que les enfants mâles nés les années impaires, étaient de futurs janissaires pendant que ceux qui avaient eu le bonheur de naître les années paires, n’étaient pas soustraits à l’affection de leurs mères.Ils pouvaient ainsi contribuer à payer l’impôt réclamé par Allah.
    Quant aux Grecs, ils subirent le même sort… jusqu’en 1807, mais les prélèvements en chair humaine seront moins répétitifs.
    Et pendant ce temps là, que faisait la mère de famille, l’épouse, la femme sinon se lamenter et jurer la perte de ces brutes qui pouvaient également enlever les jeunes filles ou même les épouses ?

    On cite le cas de cette veuve grecque convoitée par le gouverneur turc de Thessalie, enlevée par ses hommes et qui refusait d’épouser son tortionnaire.
    Retrouvée par ses deux fils à Constantinople, elle prit le voile dans un Monastère pendant que ces derniers étaient faits prisonniers…

    Conclusion

    Neuf siècles ont été nécessaires pour effacer la présence musulmane en Espagne et près de quatre siècles sont venus à bout du joug ottoman dans les Balkans, même si aujourd’hui, à cause de la politique imbécile de certains, l’islam refait surface sur ces vieilles terres orthodoxes de Serbie, de Thrace ou de Bulgarie.
    Tout au long de ces siècles de domination ottomane ou arabe, vécue comme un vrai calvaire par les populations soumises au bon vouloir des pachas, effendis, agha, caïmacan, dahi, et autres califes, des millions de Chrétiens (hommes, femmes et enfants) ont été assassinés, égorgés, violés, déportés, brûlés vifs, dépecés vivants.
    Tous cela au nom d’Allah et des principes coraniques.
    Aujourd’hui encore – les récents événements tragiques du Kosovo le prouvent, des massacres sont commis au nom de la « soumission » à Dieu, traduction littérale du mot islam.
    A un moment où faire repentance est devenu un passage obligé quand il s’agit du colonialisme, de l’esclavage ou de bien d’autres choses encore, ne serait-il pas temps que les Musulmans fassent aussi repentance en reconnaissant l’étendue de leurs crimes contre l’humanité ?

    Françoise Monestier, Paris, 07/02/2002
    Colloque régional « L’islam contre les femmes »

    http://www.polemia.com/lislam-contre-les-femmes/

  • Accord entre la France et la Russie sur ce que va payer le contribuable

    Un accord final a été trouvé entre Paris et Moscou sur la somme que la France doit verser à la Russie en dédommagement de la non-livraison des navires Mistral.

    La somme que devra rembourser Paris à Moscou a été fixée à 1,16 milliard d’euros.

    La France et la Russie avaient conclu en juin 2011 un contrat évalué à près de1,2 milliard d’euros.

    Michel Janva

  • Le chaos à Calais (Présent 8407)

    Alors que les clandestins sont chaque soir plus nombreux à tenter de passer en force le tunnel sous la Manche, le ministre de l’Intérieur se dédouane lamentablement de ses responsabilités sur la direction d’Eurotunnel.
    8407-Une
    L’invasion de Coquelles par 2 200 clandestins lundi soir, puis 2 300 la nuit suivante, a rendu la situation totalement ingérable pour Eurotunnel, qui affirme avoir intercepté depuis le 1er janvier plus de 37 000 migrants ! Appelant Paris et Londres à une « réaction appropriée », son PDG devait même confier qu’« on est face à des invasions systématiques ». Une situation d’autant plus grave que les accidents se multiplient. Ainsi, mercredi, un Soudanais était retrouvé mort au pied d’une navette, portant à neuf le nombre de décès survenus aux environs du site depuis fin juin.

    Particulièrement remonté par la lettre que lui a adressée Cazeneuve l’accusant d’avoir divisé par trois les moyens humains consacrés à la sécurité depuis 2002, Jacques Gournon devait rappeler que son groupe avait dépensé 13 millions d’euros lors de ces six derniers mois pour mettre en place des moyens de surveillance. Une somme dont Eurotunnel entend bien se faire rembourser puisque la société demande une indemnisation de 9,7 millions d’euros. Et ce n’est pas fini : invoquant l’impact économique sur sa commune, Natacha Bouchart, maire LR de Calais, devait réclamer mercredi « une compensation financière de plus de 50 millions d’euros ».

    Le prix du laxisme migratoire

    Une affaire très grave donc, mais que l’Intérieur gère avec une désinvolture déconcertante. En effet, explique-t-on, place Beauvau, la situation « est la même depuis deux mois et demi », mais Eurotunnel a choisi aujourd’hui de communiquer… Une version contestée par Gilles Debove, du syndicat Unité SGP-FO police, qui indiquait mercredi que « pendant 15 jours d’activité en mai, 1 900 tentatives d’intrusion avaient été répertoriées. C’est-à-dire la même chose qu’en une nuit ces derniers jours ». Une situation évidemment ingérable pour la police. Et ce ne sont pas les 120 CRS supplémentaires promis par Cazeneuve qui vont changer la donne.

    En réalité, comme le soulignait mercredi Marion Maréchal-Le Pen, « nous payons là un laxisme qui est trouvé bien en amont, c’est-à-dire le laxisme des politiques migratoires à la fois européenne (…) et des différents pays, dont la France ».

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/actualite-politique-internationale-culture-sport-depeches/a-la-une/actualite-politique/

  • Scandale de la vente d'organes de foetus avortés : ce n'est pas terminé

    Ce sont déjà 3 vidéos révélant les pratiques abominables du Planning familial qui ont été diffusées dans la presse. L'affaire est résumée ici.

    David Daleiden, le fondateur du Centre Pour le Progrès Médical (CMP), a révéléqu'il y a encore neuf vidéos qui révèlent les opérations du Planning familial.

    "Nous avons près de 300 heures de vidéos filmées en caméra cachée, rassemblée par des journalistes d'investigation au cours de 30 mois, montrant comment le Planning familial vend les parties du corps des bébés qu'ils tuent".

    Le planning familial a loué les services d'une société de gestion de crise pour traiter les retombées de cette affaire. Soit actuellement 10 enquêtes et une proposition de loi pour supprimer les subventions.

    Et cette enquête a été faite dans les règles de l'art. A la question de savoir si des lois d'enregistrement locales pourraient nuire à CMP, Daleiden a répondu que

    "Chaque enregistrement sur bande que nous avons fait pendant ce projet a été fait dans le respect intégral des lois d'enregistrement locales. La vidéo spécifique du laboratoire de pathologie à la clinique de Planning familial qui a été révélée aujourd'hui [mardi], et qui a été faite à Denver, dans le Colorado, a été réalisée avec le consentement des participants."

    Michel Janva

  • Qui sont les petits Blancs ?

    Qui sont les petits Blancs, ces Blancs pauvres prenant conscience de leur couleur de peau dans un contexte de métissage ? Sont-ils l’équivalent français des White trash américains ? Seraient-ils trop blancs pour intéresser la gauche, trop pauvres pour intéresser la droite ?

    Sur Fréquence Protestante, le 26/02/2014, Laurence Arven dialogue avec Aymeric Patricot à propos de son livre “Les petits Blancs” (Plein jour).

    http://fortune.fdesouche.com/