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lobby - Page 1569

  • Huntington et les guerres occidentales contre le reste du monde

    Il y a quinze ans, Samuel Huntington publiait son livre sur le choc des civilisations ; livre bien informé, souvent courageux. Huntington avait le mérite de conserver une vision qualitative et non quantitative de l’humanité, une humanité qui selon lui continuerait à se débattre face au marché capitaliste planétarisé en des termes religieux, culturels et moraux. C’est ainsi qu’Huntington voyait, à côté d’une « civilisation » occidentale (USA, Europe occidentale, ex-dominions britanniques), des cultures islamiques, une civilisation orthodoxe (Serbie, Russie et même Grèce) ainsi qu’une civilisation chinoise ou une civilisation indienne.

    En réalité, ce livre caricaturé par des journalistes ignares montrait le risque que faisait courir le monde occidental (américanisé) au reste de la planète. Car le problème occidental restait, pour Huntington, fondamental : « L’Occident est la seule parmi les civilisations à avoir eu un impact important et parfois dévastateur sur toutes les autres. »

    Huntington enfonçait le clou sur cette capacité méphitique et messianique des Occidentaux, ces ennemis par ailleurs de notre Europe continentale : « L’Occident, en particulier les États-Unis, qui ont toujours été une nation missionnaire, croit que les non-Occidentaux devraient adopter les valeurs occidentales, la démocratie, le libre-échange, la séparation des pouvoirs, les droits de l’homme, l’individualisme, l’État de droit, et conformer leurs institutions à ces valeurs. »

    Et Huntington savait que cet Occident – qui est postchrétien et même antichrétien – est surtout un preux défenseur de l’hydre multiculturelle : « Les élites américaines avaient aussi un préjugé favorable à l’égard des Bosniaques, car elles aiment le concept de pays multiculturel, image de lui-même que le gouvernement bosniaque réussit à promouvoir au début du conflit. »

    Le culot des Occidentaux n’a plus de limites. L’Occident se confond avec le monde, la « communauté internationale ». Trois ou quatre pays, leurs vassaux, se jugent dignes ainsi de juger et condamner Chine, Russie, Inde, Amérique du Sud, tout le reste du monde.

    Huntington : « L’Occident s’efforce et s’efforcera à l’avenir de maintenir sa position prééminente et de défendre ses intérêts en les présentant comme ceux de la “communauté mondiale”. Cette expression est un euphémisme collectif (qui remplace “le monde libre”) censé donner une légitimité globale aux actions qui reflètent en fait les intérêts des États-Unis et des autres puissances occidentales. »

    Comme au temps du colonialisme, les peuples menacés, sanctionnés ou sermonnés par tous les Guy Mollet de la télé savent à quoi s’en tenir. Huntington se permet d’ajouter les mots suivants : « En politique, un ennemi commun crée des intérêts communs. Les sociétés islamique et chinoise, qui regardent l’Occident comme leur adversaire, ont ainsi des raisons de coopérer entre elles contre lui, à l’instar des Alliés et de Staline contre Hitler. »

    Nicolas Bonnal

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuFAlZFVlAXZvaajrK.shtml

     

  • Subtiles tractations de la Russie autour de son projet de coalition élargie, pour la paix en Syrie…

    La « Coalition nationale syrienne » veut la tête de Bachar

    La prétendue « opposition syrienne » dite « modérée », montre son vrai visage à Moscou. A peine ses négociations avec la diplomatie russe achevée, le représentant en exil de la « Coalition nationale syrienne », Khaled Khoja, était heureux d’annoncer, lors d’une conférence de presse, que « Les autorités russes ne sont pas attachées à la personne de Bachar el-Assad », « la préservation de l’Etat syrien » et son intégrité territoriale « préoccupent la Russie plus que la personne du président ». affirmait-il comme s’il venait de décrocher de Moscou le feu vert pour la curée: la liquidation de Bachar-el-Assad.

    Une affirmation qui a été reprise en choeur par les vautours de la presse. Un façon  pour l’homme Khoja, de se donner une petite importance tout en satisfaisant ses soutiens étrangers; en effet, Ankara exerce une influence significative sur la « Coalition nationale syrienne », à travers les Frères musulmans. M. Khoja, s’est fait fort d’avoir rappelé à  Sergeï Lavrov, le Ministre russe des Affaires étrangères, qu’il désirait que Le président syrien quitte la présidence, précisant qu’« il n’a aucun rôle à jouer dans l’avenir de la Syrie. »

    La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a aussitôt rectifié: « Nous avons toujours dit que nous ne soutenions pas Assad personnellement, mais que nous soutenons le président légitimement élu de Syrie ».

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  • Arouet le Jeune contre le catéchisme de la République.

    Dans les discours des politiciens au pouvoir, dans les annonces des médias aux ordres (c’est-à-dire tous les médias) et dans tous laïus émanant des organes de désinformation, qu’ils soient de l’Université ou de CNRS, il n’est plus question que de « valeurs ». Un millénaire et demi d’histoire de France se résume et se réduit aux seules « valeurs de la République », prétendues ou frelatées. Toute la gauche, qu’elle soit frondeuse ou courtisane, s’est mise à réciter, de conserve avec les idiots utiles, le catéchisme des « valeurs », et personne, aucun journaleux, aucun Plantu de sous-préfecture, aucun dessinateur, aucun rebelle, aucun anticonformiste, aucun intello, aucun insolent (et pourtant, il n’y a plus que ça à gauche) n’éclate de rire devant l’incongruité de cet appel aux « valeurs ». Il n’y a pas un seul humoriste qui ait assez de lucidité ou de mauvais esprit pour faire remarquer que l’injonction « valeurs » résonne comme ces cris que l’on entend partout dans les rues de France : « voleurs ! ».

    Valeurs, au pluriel comme au singulier, connote la droite. La valeur, c’est le mérite, l’exigence, le talent (et l’inégalité des talents), le courage, la force. C’est Corneille, Le Cid, Bossuet, etc. Il n’y a pas de mots qui connotent plus clairement la droite que valeurs et valeur. Les valeurs, c’est la tradition vivante. Elles appellent à conserver ce qui vient du fond des âges ; elles consistent à transmettre ce qui a été enseigné par les ancêtres ; elles incitent à s’inscrire dans une longue lignée. Elles font abandonner le principe de précaution pour le devoir de préservation ; et au changement, elles font préférer la continuité ; à la rupture, l’inscription dans le temps ; à la fascination pour le présent, le respect du passé. Du futur (ou de l’utopie), faisons table rase : voilà ce que disent les valeurs.

    Il est vrai que ces « valeurs », dont on nous rebat les oreilles, ne sont pas « les » valeurs, mais « des » valeurs, et uniquement celles de la République. Naguère, les républicains durs et durs expliquaient que la République n’était pas fondée sur des valeurs, mais sur des principes. Hollande, le cantonnier de Tulle habitué aux travaux de terrassement (il terrasse tout ce qui entrave sa marche en avant), et sa clique en ont décidé autrement. Les gens de gauche doivent se résigner à ce que le changement, ce ne soit pas Mme de Maintenant, mais la psalmodie des « valeurs » volées au camp d’en face. 

    Quelles sont ces valeurs ? La liberté ? La France, comme son nom l’indique, est non seulement le pays des Francs, mais aussi le pays des affranchis. Depuis la nuit des temps, il est le premier Burkina Faso (« pays des hommes libres ») qui ait existé dans le monde. Si la liberté est une « valeur », elle est depuis mille cinq cents ans ou davantage une valeur de la France. A moins d’entendre « république » dans son sens latin de res publica ou « chose publique », « Etat », « bien public », la liberté n’a rien à voir avec la République. Elle a d’autant moins à voir avec elle qu’en septembre 1792, la République, à peine proclamée, n’a pas jugé plus urgent que de supprimer toutes les libertés publiques et privées qui avaient été pourtant déclarées « droits naturels et imprescriptibles de l’homme » trois ans auparavant, alors que la France avait pour régime politique la monarchie absolue de droit divin.

    Il en va de même de l’égalité. « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit » : voilà le préalable de la Déclaration des droits de 1789 que les représentants de la jeunesse noble et du clergé éclairé ont donnée au peuple français. Alors, la France n’était pas une république, encore moins la République, mais une monarchie absolue de droit divin. La fraternité n’a pas ses origines dans la République, qui a montré à plusieurs reprises, en fusillant, coupant des têtes, massacrant, commettant un « populicide » en Vendée, faisant la guerre à quasiment tous les peuples de la Terre, etc. qu’elle tenait la fraternité pour pet de lapin. Certes les francs-maçons, qui, contrairement à ce qu’ils prétendent, ne sont ni francs, ni maçons, ressentent pour la fraternité une indéniable inclination, mais restreinte aux habitués de leurs loges. Ils sont frères, mais entre eux seulement. En cela, ils ne sont pas différents des Frères musulmans, qui se disent tous frères de tous les hommes du monde, mais à condition que ces hommes ne soient ni mécréants, ni chrétiens, ni athées, ni animistes, ni femmes, ni homos, etc. et soient tous béats devant le messager d’Allah.

    La laïcité ? Le mot est grec et chrétien. Il est chrétien depuis deux mille ans. Il pose que le « temporel » (le politique et le social, le pouvoir, la société) et le « spirituel » (le religieux) sont deux ordres distincts et séparés, ce qu’ils ont toujours été. La laïcité, qui est toute chrétienne, n’a rien de républicain et, si elle a quelque chose de républicain, c’est que la République, de 1881 à 1906, l’a instrumentalisée pour la retourner contre ces chrétiens que sont les catholiques et les humilier avec la même hargne imbécile qu’elle humiliait les indigènes de ces pays sous souveraineté française qu’étaient le Tonkin, l’Algérie, la Tunisie, le Soudan, etc.

    Les « valeurs » de la République, celles qui y sont spécifiques, comme inhérentes et consubstantielles, ne sont pas celles que M. Hollande et ses séides proclament avantageusement, mais ce que la République a mis en œuvre et réellement accompli de 1792 à 1962 et ce sur quoi sont greffées ses valeurs, au point de ne faire qu’un avec elle. La République, ce sont les massacres de septembre 1792, le « populicide » (c’est-à-dire le génocide) de Vendée, la politique de la terreur, la guillotine pour tous, le massacre à coups de baïonnettes et de canons en novembre 1795 de femmes, d’enfants, de vieillards manifestant pour la liberté, la guerre contre tous les peuples d’Europe (Italiens, Espagnols, Anglais, Flamands, Autrichiens, Prussiens, Russes, Egyptiens, etc.), la répression par l’armée en juin 1848 d’ouvriers qui manifestaient dans les rues, la répression sanglante en avril et mai 1871 des Parisiens qui avaient soutenu la Commune, les guerres de conquête coloniale, le racisme, la répression par l’armée des ouvriers en grève, la boucherie de 1914-1918, les 19 morts du 6 février, l’armistice de juin 1940 et le suicide qui s’en est suivi, les guerres coloniales imbéciles, le massacre par l’armée de civils dans la rue d’Isly, etc. Voilà les valeurs que la République a pratiquées et illustrées pendant près de deux siècles.

    L’Etat islamique et toutes les organisations, associations, confréries qui se réclament du même islam s’illustrent par des crimes barbares qui horrifient les citoyens. Mais dieu que les républicains ont la mémoire courte ! Ces mêmes crimes ont jalonné l’histoire de la République. Le terrorisme ? C’est une invention républicaine qui a ensanglanté la France en 1793 et 1794. Le vandalisme ? Il n’est pas propre aux talibans ni aux djihadistes. C’est une invention de la Première République : destructions de statues, vol de tableaux et d’œuvres d’art, arasement d’édifices historiques, incendies de bâtiments publics et de bibliothèques… Le génocide ? Mais qu’est-ce que le populicide de Vendée (terme inventé par Gracchus Babeuf en 1796), sinon un génocide et que la République n’a jamais reconnu, ni a fortiori regretté ? A quoi bon exiger des turcs qu’ils reconnaissent le génocide dont ils se sont rendus coupables si l’on est soi-même incapable d’ouvrir grand les yeux sur son passé récent ? Les massacres de populations civiles ? Ils ont été une spécialité de la République, que ce soit en France (novembre 1795, juin 1848, avril-mai 1871, etc.) ou dans les territoires de l’Empire (Espagne, Algérie, Afrique, Indochine, etc.).  

    On voit la stratégie de Hollande et des socialistes au pouvoir : ce n’est que com. Ils feignent de s’approprier les valeurs, ils font applaudir les forces de police qu’ils haïssent, ils câlinent l’armée qu’ils réduisent à la famine, ils font semblant d’être de « droite », uniquement pour s’abriter de la colère du peuple.  

    © Arouet Le Jeune pour LibertyVox

    http://www.libertyvox.com/article.php?id=514

  • Qui sont les racistes ?

    Un voisin policier dans ma résidence de banlieue me disait qu’il recevait la directive verbale de ne pas poursuivre ou verbaliser un jeune faisant de la moto sans casque dans les quartiers sensibles, de peur des réactions.

    Et si le racisme ne se trouvait pas où on le cherche habituellement ?

    Les médias font souvent complaisamment écho aux plaintes de jeunes des quartiers sensibles qui disent qu’ils sont trop souvent contrôlés et sanctionnés par la police pour des fautes mineures. Or, si l’on considère l’état de certains quartiers, les tags, les objets encombrants jetés des immeubles, la dégradation régulière du mobilier urbain, on est très loin du « zéro tolérance » prôné par l’ancien maire de New York qui réclamait une sanction adéquate dès le premier carreau cassé.

    Un voisin policier dans ma résidence de banlieue me disait qu’il recevait la directive verbale de ne pas poursuivre ou verbaliser un jeune faisant de la moto sans casque dans les quartiers sensibles, de peur des réactions.

    Ce genre de conseil a des implications très graves : la loi sur l’obligation du port du casque a été prise en considérant la très forte mortalité des conducteurs de motos par rapport aux automobilistes, et fait partie d’un vaste effort pour protéger particulièrement les jeunes contre un décès prématuré ou un handicap à vie. Il y a eu de nombreuses émissions télévisées sur ce thème avec la rééducation des paraplégiques à Garches ou ailleurs. En n’appliquant que rarement aux jeunes dans certains quartiers cette loi mais en l’appliquant strictement pour les jeunes de Versailles ou des beaux quartiers de l’Ouest parisien, on montre plus de considération pour la vie et la santé des derniers que pour celles des premiers.

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  • Un nouvel abus de l'ASE

    On avait constaté récemment les placements abusifs des enfants atteints d'autisme par l'Aide Sociale à l'Enfance - l'ASE. Le Figaro rapporte un nouveau cas, celui d'une petite fille que sa mère pensait  avec raison atteinte de la même maladie génétique qu'elle, l'angioedème héréditaire. L'enfant avait été retirée à ses parents par l'ASE à l'issue d'une consultation à l'hôpital à l'âge de 3 mois, car elle présentait des bleus sur tout le corps, dont la mère pensait qu'ils étaient dus à cette maladie génétique. Les médecins ayant pensé plutôt à de la maltraitance, l'enfant avait été soustraite à ses parents et mise en famille d'accueil par l'ASE.

    Au cours d'une visite, les parents avaient fait constater par des analyses que l'enfant était réellement atteinte de cette maladie, mais l'ASE l'avait laissée en famille d'accueil "afin de ne pas la traumatiser par une rupture brutale". Ils se sont battus pendant 3 ans pour récupéré leur fille.

    Jeudi, les parents ont "enlevé" leur enfant.


    Accusés à tort de maltraitance, ils récupèrent... par ITELE 

    Marie Bethanie

  • Ouvert à tous les vents migratoires l’Occident refuse les réfugiés d’Afrique du sud… Blancs

    L’Europe accueille des dizaines de milliers de "migrants" dont les peuples ont spolié et martyrisé tous les Blancs qui leur tombaient sous la main. Mais il n'existe aucun programme d'aide aux centaines de milliers d Afrikaners victimes d'épuration ethnique dans un pays qui devint celui de leurs ancêtres avant que le premier Bantou y ait mis le pied.

    C'est justement ce que tente de combler un Brésilien, Rodrigo Erhaus de Campos, qui n'avait d'autre raison de se lancer dans cette entreprise que son écœurement devant l’indifférence du monde face au martyre du petit peuple Afrikaner. Face à la haine qui de toutes parts se coalise contre lui. Face à la stupéfiante connivence des autorités politiques, morales et intellectuelles mondiales avec leurs bourreaux. Il avait pour but de rassembler 35 000 signatures afin de contraindre les satrapes de Bruxelles de mettre en route un processus législatif de rapatriement des Européens d'origine pris au piège de cette Afrique du Sud fallacieusement qualifiée de « nation arc-en-ciel » et qui désireraient revenir en Europe.

    Certes le projet a peu de chances d'aboutir. Mais il peut enfin contraindre la presse poubelle à s'intéresser à cette tragédie et à inciter les centaines de correspondants muets qu'ils entretiennent au sud du Limpopo à traiter des crimes racistes commis depuis vingt ans dans ce qui était l'odieux pays de l'apartheid.

    Le but des organisateurs de la pétition est « une initiative citoyenne européenne ». Soumise, il est vrai, à des conditions draconiennes. Elle doit être en effet signée par 1 million de citoyens d'au moins 7 pays de l'Union Européenne sur les 28. Faudrait-il encore que les média en parient Bien que lorsque ces lignes sont écrites le chiffre de 35 000 signatures soit pratiquement atteint, sans doute surtout apposes par des Sud-Africains (On peut voter sur Changejorg.). L'initiative doit porter sur « n'importe quel domaine dans lequel la Commission est habilitée à présenter une proportion législative, par exemple l'environnement, l'agriculture, les transports ou la santé publique ». Deux paragraphes seulement pourraient faire l'objet d'attention de la part de la Commission.

    Le premier concerne « l'Aide humanitaire et la protection Civile ». (Article 214). Il traite surtout de catastrophes naturelles - au premier rang desquelles le bobard du Réchauffement Oimatique.il est certes fait mention des « victimes de conflits » mais l'Afrique du Sud dont le régime communiste de l’ANC a exclusivement bénéficié depuis 20 ans des largesses de l’UE, ne s'est jamais vu octroyer la moindre aide destinée aux Blancs victimes du racisme d'Etat et du nettoyage ethnique anti-Afrikaner.

    Le second paragraphe concerne « les politiques relatives aux contrôles aux frontières, à l’immigration ». (Articles 77 à 80). Hélas il faut bien se rendre à l'évidence : alors que depuis un demi-siècle et la création du premier organe d'unification européenne, des centaines de milliers d'Européens ont été chassés de territoires anciennement dits coloniaux, il n'existe à ce jour pas un seul alinéa de la constitution européenne qui s'intéresse à leur sort. Montrant à quel point les concepteurs de ce bout de papier étaient d'abord guidés par un souci de discrimination anti-Blanche, laquelle est au cœur de la monstruosité qu'est l'Union Européenne. Il faudra bien cependant que dans les 50 ans à venir l'Europe envahie par des centaines de millions de non-Européens trouve de la place pour accueillir les centaines de millions de Blancs qui vont devoir fuir le continent américain et l'Océanie.

    « L'idée, commence le texte de la pétition, que les Sud-Africains blancs aient le droit de retourner en Europe est basée sur le concept des droits des indigènes à l'autodétermination. 

    La population blanche d'Afrique au Sud est actuellement confrontée à un processus d'épuration ethnique et de persécutions qui lui sont infligées par le gouvernement de l'ANC, l'Economic Freedom Fighters (EFF, le parti de Julius Materna un extrémiste raciste qui réclame l'expulsion des Blancs) et divers individus agresseurs de Blancs. Plus de 4 000 fermiers blancs ont été sauvagement assassinés, souvent après avoir été torturés, violés et mutilés. Beaucoup de Sud-Africains blancs vivent aujourd’hui dans la misère et la déchéance comme conséquence de la politique de Discrimination Economique en faveur des Noirs qui exclut les Blancs du marché de l'emploi.

    Aligné sur la politique au gouvernement israélien qui autorise les Juifs à retourner en Israël, nous pensons que non seulement il est souhaitable mais moralement obligatoire que l'Europe donne à tous les Blancs d'Afrique du Sud un droit de retour ».

    La pétition fait ici remarquer que de nombreux Sud-Africains en mesure de tracer leur origine en Grande-Bretagne et aux Pays Bas, ont eu leur demande de naturalisation rejetée. D'autres, en très grand nombre, se sont vus refuser le statut de réfugiés au Canada et aux Etats-Unis, alors que dans le premier pays des dizaines de milliers de ressortissants des Antilles ont obtenu sans difficulté ce statut. Ce fut notamment le cas d'un ancien Gouverneur Général, Michaëlle Jean, Haïtienne. En revanche le rejet systématique des demandes de statut de réfugié à des Sud-Africains blancs a mis en évidence la féroce volonté des autorités canadiennes de n'accepter aucune demande d'asile venant d'un Sud-Africain blanc, même anglophone. Ce fut le cas notamment de Brandon Huntley auquel un premier jugement avait donné gain de cause suscitant la colère des autorités sud-africaines dans les termes que décrivit ainsi une avocate canadienne, Stefanie Gude : « Immédiatement après cette décision positive, la réaction du gouvernement sud-africain fut rapide et hostile. Il avertit que les relations  diplomatiques pourraient en être affectées si la décision n'était pas rectifiée. » Décision d'ailleurs qualifiée de "raciste" et « inspirée par l’apartheid ». Le 14 juin Huntley était définitivement débouté du droit d'asile après 12 ans passés dans le pays et renvoyé vers le gouvernement d’Afrique du Sud « à même d'assurer sa sécurité », selon les propos surréalistes de la juge de la Cour d'Appel au joli patronyme de Catherine Kane. Il avait trente jours pour déguerpir avec sa famille.

    Aux Etats-Unis les mêmes faits provoquent les mêmes effets. Aucun statut de réfugié n'est accordé à des Blancs sud-africains alors que chaque année plusieurs milliers de Noirs l’obtiennent. Entre le 1er et le 31 octobre 2014 sur les 6 352 réfugiés du Tiers Monde reçus par les Etats-Unis d’Obama, 322, exclusivement Noirs, arrivaient d'Afrique du Sud. Il y a quelques mois Change.org a lancé une consultation sous l'égide d'un illustre inconnu de Courbevoie dont le patronyme est un sésame par les temps qui courent : Arash Derambash. Que soutenait un autre humaniste d'ultra-gauche, Mathieu Kassovitz, omniprésent sur la planète pipeul dès qu'il s'agit d'ajouter un peu plus de clinquant à sa coruscante célébrité. Il s'agissait, par un amendement à la Loi Macron, de contraindre les Grandes Surfaces à faire profiter chaque jour de leurs invendus à des associations de bienfaisance. Elles le faisaient depuis des années pour la partie qui n'est pas interdite par la loi au nom de la sécurité alimentaire et du principe de précaution. En fait pour un certain nombre de députés - Frédéric Lefebvre, Alexis Bachelay, Pouria Arnirshahi, Guillaume Garot, Jean-Pierre Decool, Thierry Solere, Xavier Bertrand, Jean-Christophe Lagarde, Maurice Leroy, Christophe Premat - qui participèrent à cette opération, il importait de faire parler d'eux. Dans une video pleurnicharde qui circula sur Internet pendant des semaines une brochette de gens du spectacle omirent leur concours - Djorkaeff, Damidot, DeCaunes père et fille, Rost, Bel, Kelly, Keim, Gcio, Folin -. Ça ne leur coûte pas cher et ça peut leur rapporter gros.

    Avec 210 000 signatures en 4 mois,cette mini-consultation, qui conduisit ses organisateurs à l’Elysee,a abouti à une légalisation définitive. Elle bénéficia d'un énorme appui médiatique et sur tous les supports de communication les auditeurs, spectateurs ou téléspectateurs furent soumis à un feu roulant d'agit'prop en faveur de cette initiative. Les Sud-Africains qui osent à peine espérer qu'on cessera un jour de les traiter comme un gibier de potence ont peu d'espoir au fond que l'Union Européenne ou l'Amérique du Nord leur accorde un jour un statut en rapport avec la tragédie qui est la leur.

     

    J.R. Rivarol du 25 juin 2015

  • L’aveuglement gouvernemental face à l’islam

    Pour masquer l’échec du Conseil français du culte musulman (CFCM), le gouvernement a décidé de créer une nouvelle structure, une « instance de dialogue » avec l’islam. 150 personnalités musulmanes débattront, à échéance régulière, avec l’État sur diverses questions sensibles, formation des imams, financement des mosquées, etc. Est-ce sérieux ?

    Une islamophobie imaginaire

    La première édition de cette rencontre, au ministère de l’Intérieur, le 15 juin 2015, a confirmé que l’État est toujours aussi aveuglé et dans le déni de la réalité. Plutôt que d’aborder en priorité les problèmes de l’opacité du financement des mosquées, de la formation des 2000 imams en majorité algériens, marocains et turcs dont les prêches sont souvent radicales, les questions inquiétantes de l’entrisme salafiste dans des mosquées de plus en plus nombreuses, du durcissement des jeunes immigrés musulmans fascinés par l’État islamique (Daech) et désireux de porter le djihad en France même, de la multiplication des attentats et assassinats terroristes commis au nom de l’islam, on n’a pas osé parler de ces sujets qui fâchent. On a préféré rabâcher la rengaine habituelle contre une « islamophobie » imaginaire.

    La première et principale table ronde a porté sur « la sécurité des lieux de culte, la lutte contre les actes antimusulmans et l’image de l’islam ». C’est bien connu : c’est l’islam qui est menacé et agressé en France, ce n’est pas lui qui attaque les autres. Le ministère de l’Intérieur a précisé, en mentant : « il y a eu autant d’actes antimusulmans enregistrés sur le territoire français en janvier 2015 que pendant toute l’année 2014 ». En fait, à la suite du traumatisme créé par les tueries islamiques de janvier (17 morts) faisant suite à celle de Bruxelles, il s’agit de tags et d’inscriptions ”islamophobes”, jamais d’agressions ni d’actes violents.

    Complètement soumis à ses interlocuteurs musulmans et se plaçant dans une position capitularde, le ministère de l’Intérieur n’ose pas évoquer l’explosion des attaques antisémites et antichrétiennes, elles, pour le coup, ultraviolentes et dont les auteurs sont tous de jeunes musulmans fanatisés. Sans parler des agressions contre les juifs, qui poussent ces derniers à émigrer, à quitter les zones à forte proportion musulmane, à retirer leurs enfants des écoles publiques, les hauts fonctionnaires du ministère de l’Intérieur se gardent bien de communiquer sur la hausse impressionnante des profanations et dégradations commises contre des églises et cimetières catholiques, dont les auteurs sont pourtant parfaitement identifiés. Avec, en prime, le projet déjoué au dernier moment, d’un massacre dans une église en mai 2015 par un tueur algérien lié au djihad international. 

    Pas un mot, dans cette ” instance de dialogue” avec l’islam, sur la mollesse et la rareté des réactions des autorités musulmanes ni sur l’inquiétante approbation, tacite ou exprimée, des attentats djihadistes par une fraction croissante des jeunes immigrés musulmans. Comme toujours l’agresseur est présenté comme une victime. 

    Alors que le très coûteux plan Vigipirate doit protéger les sièges des médias, de nombreux sites touristiques ou administratifs les églises, les synagogues, les magasins casher – tiens, c’est bizarre, pourquoi ? – il a été décidé une subvention publique, jusqu’à 80% du coût, pour la protection des mosquées, notamment en surveillance vidéo. Mais, qui, diable, les menace ? C’est au nom de l’islam qu’on attaque mais c’est lui qu’il faut protéger.

    Innocenter l’islam

    Les autorités musulmanes, avec une certaine impudence, ont formulé des plaintes au gouvernement français parce que « l’image de l’islam » s’est dégradée dans l’opinion suite aux actes terroristes commis en France et aux exactions de Daech au Moyen-Orient et en Lybie et de leurs émules en Afrique. Elles se lamentent hypocritement de la « stigmatisation » (nouveau mot fétiche de la langue de bois) dont l’islam serait victime et de l’ « amalgame » (autre mot fétiche) entre le terrorisme commis au nom de l’islam et les musulmans. Comme c’est curieux ! Imaginons que des chrétiens, des juifs, des bouddhistes commettent des attentats sanglants contre des musulmans ou d’autres ”au nom” de leur religion. On ne serait pas en droit de se poser certaines questions ?

    Cette situation ressemble à celle du communisme : les crimes commis en son nom (Staline, Mao, Pol-Pot, Fidel Castro, etc.) ont été découplés par l’intelligentsia occidentale du marxisme communiste, dont l’essence était supposée pure et sympathique. De même aujourd’hui, on découple les crimes commis au nom de l’islam de l’islam lui-même. C’est un peu facile. A-t-on découplé les crimes du nazisme hitlérien d’une idéologie nationale-socialiste supposée innocente ? Hitler et l’hitlérisme étaient coupables, mais pas les nazis, pas le national-socialisme ? Staline et les staliniens étaient coupables mais pas le communisme marxiste ? Ce genre de sophisme, utilisé aujourd’hui pour innocenter l’islam, ne passe plus auprès du bon sens populaire. 

    Naïvetés républicaines

    Manuel Valls a déclaré, à l’occasion de cette première réunion de l’ ” instance de dialogue ” avec l’islam : « c’est un grand défi des années qui viennent : démontrer que l’islam est totalement compatible avec la démocratie, la République, l’égalité des hommes et des femmes ». Il a dû oublier de lire le Coran, comme Juppé. C’est la méthode Coué, le déni total du réel. On pourrait dire aussi que le marxisme communiste est totalement compatible avec la libre entreprise, que le christianisme est totalement compatible avec l’athéisme, que le judaïsme est totalement compatible avec l’antisémitisme, que le nazisme est totalement compatible avec le judaïsme et que les chats sont totalement compatibles avec les souris.

    Mais le Front national, vis-à-vis de l’islam, montre une semblable naïveté. La députée Marion Maréchal – Le Pen a affirmé : « les imams voulant prêcher en France devraient signer un charte sur la liberté d’expression, l’égalité hommes-femmes, les pratiques démocratiques, la supériorité de la loi française sur la loi islamique, la liberté de religion. » Elle s’imagine qu’une telle charte est possible ? Elle ignore la nature de l’islam ? L’égalité entre les sexes et la liberté de religion sont complètement contraires à la charia, la loi islamique. Et cette dernière s’affirme, théologiquement, supérieure à toutes les lois profanes qu’elle entend à terme abroger et remplacer.

    Commentant les résultats de la première réunion de cette ” instance de dialogue avec le culte musulman ”, Jean-Marie Guénois (Le Figaro, 15/06/2015) suggère qu’il s’agit d’un « moulin à vent » qui cacherait une « approche électoraliste » des musulmans de France. Il écrit : « pourquoi en effet, aucun d’entre eux (les participants) n’a voulu ni osé poser la question […] de la montée d’un radicalisme salafiste chez certains jeunes musulmans français ? ”Hors sujet ,dit-on. Mais n’est-ce pas ce drame (les attentats de janvier 2015) qui a suscité cette instance ? ”Pour ne pas stigmatiser l’islam”, ajoute-t-on. […] Comment le pays des droits de l’homme peut-il ainsi se taire à propos d’une idée religieuse extrémiste qui programme chaque jour des jeunes Français pour tuer ? » La réponse est : par un mélange de calcul électoral, de lâcheté et de déni idéologique de la réalité.

    Prolifération de mosquées

    En attendant, les mosquées s’implantent sur le territoire français à grande vitesse, en proportion de l’inflation démographique des musulmans. On dénombre 2.500 mosquées et salles de prière en France, dont 1.000 ont été édifiées depuis quinze ans. En 1985, il y avait 500 mosquées. C’est la progression la plus spectaculaire dans tout l’Occident, un record pour un pays qui se veut le champion mondial de la ”laïcité”. La communauté musulmane de France exige de parvenir à terme à 5.000 mosquées – chiffre que Dalil Boubakeur a relayé. 300 moquées sont actuellement en construction. La réticence des maires et des populations est de plus en plus forte, signe que ce dossier va devenir explosif.

    Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, faux laïc mais vrai soutien de l’islamisation de la France, a menacé, au cours de la réunion précitée : « je n’accepterai pas que des projets de constructions de mosquées soient bloqués par des élus par des prétextes à finalité politique ». La République ”laïque” impose donc aux Français une accélération de l’implantation de l’islam, tout en facilitant l’immigration de masse en majorité musulmane. De son côté, le faux modéré, spécialiste en double discours, Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et président sortant du CFCM, a suggéré sur Europe 1 le 15 juin que les églises vides puissent être transformées en mosquées…Avant de se rétracter. Mais le plus incroyable sont ces propos de Mgr Michel Dubost, évêque d’Évry : « sur le principe, je préfère que les églises deviennent des mosquées plutôt que des restaurants ». Les chrétiens d’Orient, persécutés par l’islam, dont les églises sont dynamitées ou transformées en mosquées, apprécieront ces propos en provenance d’un Église de France aux prélats décérébrés. Autant que les dirigeants ”républicains”.

    http://www.gfaye.com/laveuglement-gouvernemental-face-a-lislam/

  • La Dissidence Française défie Tel-Aviv sur Seine !

    Cette semaine la Mairie de Paris, représentée par Anne Hidalgo, organisait sur les Quais de Seine un évènement d’une indécence rare : Tel-Aviv sur Seine ! Objectif ? Recréer « au coeur de Paris l’ambiance de la ville israélienne »…

    La république des partis, des loges et des lobbies ne dissimule même plus ses allégeances, elle les proclame, elle les assume, elle nous les impose, au coeur même de notre capitale !

    Hier soir, la Dissidence Française a donc entrepris d’organiser la riposte à cet évènement délirant : nos militants se sont ainsi rassemblés sur les Quais de Seine pour y déployer une grande banderole « La France contre la République », défiant ouvertement le Régime cosmopolite qui ne représente ni la France, ni les Français.

    Mais manifestement, nous étions attendus… Moins de 20 minutes après le déploiement de notre banderole, plusieurs fourgons de police sont arrivés, précédés par au moins 3 agents en civils que nous avions rapidement repéré.

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