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  • De quoi « leur » art « contemporain » est-il le nom ?

    En 2008 « l’artiste conceptuel   américain, Paul Mc Carthy, 69 ans, avait érigé à Berne (Suisse) une énorme sculpture gonflabe représentant une crotte de chien de plusieurs dizaines de mètres qui s’était envolée faute d’être bien arrimée. C’est cette fois Place Vendôme à Paris qu’il avait dressé sa sculpture, elle aussi gonflable, en toile plastique verte baptisée Tree. Excellent coup marketing pour la Foire Internationale d’art contemporain (FIAC) à  l’origine de son installation sur cette célèbre place  parisienne, cette oeuvre a été vandalisée dans la nuit de vendredi à samedi. L’artiste a même reçu une paire de claques jeudi dernier de la part d’un parisien n’appréciant pas à sa juste valeur son génie. L’Afp et le site de Libération ont expliqué qu’elle «représente en théorie un arbre de Noël mais fait aussi penser à un plug anal, ces sex-toys utilisés pour se donner du plaisir par l’orifice arrière ». « L’artiste, adepte des formes ambiguës, laisse cependant la porte ouverte ». «Tout est parti d’une plaisanterie: à l’origine, je trouvais que le plug anal avait une forme similaire aux sculptures de Brancusi, a-t-il expliqué au Monde. Après, je me suis rendu compte que cela ressemblait à un arbre de Noël. Mais c’est une œuvre abstraite. Les gens peuvent être offensés s’ils veulent se référer au plug mais, pour moi, c’est plus proche d’une abstraction.»

     En l’occurrence l’obsession de Mc Carthy dans ses œuvres pour les matières fécales ou sa  mise en scène d’un  acte zoophile impliquant un enfant sont des réalités bien concrètes perceptibles par tous.

     Bien sûr le maire de Paris Anne Hidalgo a affirmé que c’est la culture qu’on assassine en s’en prenant à l’œuvre de Paul Mc Carthy : «Paris ne cèdera pas aux menaces de ceux qui, en s’en prenant à un artiste ou à une œuvre, s’en prennent à la liberté artistique» a-t-elle affirmé.

     Le ministre de la Culture, la Youg Leader Fleur Pellerin  a logiquement apporté son soutien à l’artiste, condamné cette dégradation… et fait immédiatement référence au nazisme. Dans un tweet  elle écrit ainsi : « Curieux… On dirait que certains soutiendraient volontiers le retour d’une définition officielle de l’art dégénéré »

     Si M. Mc Carthy est là a contrario certainement  pour régénérer l’art français et nos compatriotes trop débiles pour s’esbaudir devant son talent, Libération nous apprend que fort heureusement nous aurons droit à une séquence de rattrapage. En effet « Pour sa réouverture, prévue le 24 octobre, la Monnaie de Paris présentera une grande exposition sadico-anale de Paul McCarthy, dont le titre, Chocolate Factory (usine à chocolats), fleure déjà bon »…

     Nous avons évoqué sur ce blog les protestations suscitées par  l’exposition des œuvres de Takashi Murakami et de Jeff Koons au Château de Versailles ;  l’émoi engendré par celle d’une œuvre du photographe new yorkais Andres Serrano  représentant un petit crucifix en plastique immergé dans un verre rempli d’urine, intitulé «Immersion piss christ ».

     Nous avions aussi relayé la mobilisation  notamment de l’élue régionale FN Françoise Grolet contre l’exposition atroce « l’Infamille » par le Fond régional d’art contemporain, ( Frac )de Lorraine. Une exposition financée avec nos impôts, ouverte aux collégiens et lycéen  mettant en scène  des mutilations, évoquant la nécrophilie, le viol, la sodomie,  montrant  des scènes d’incestes en vidéo,  des artistes Gina Pane, Patty Chang et  Eric Pougeau.

     Le directeur de campagne de la liste FN-RBM pour les élections municipales à Reims,  Jean-Claude Philipot, s’était aussi élevé contre la politique d’achat du Frac de Champagne-Ardenne ou l’exposition dans les rues de Reims des « oeuvres » de Christian Lapie .

     Hier, à Dijon,  ce sont les élus régionaux du Front National qui ont décidé de quitter symboliquement les bancs de l’assemblée,  choqués par l’exposition d’une croix ornée de clous, œuvre de Louis Calaferte. «  A l’heure où beaucoup de chrétiens sont exécutés parce qu’ils sont chrétiens, pensez-vous qu’il soit utile de promouvoir le blasphème ou le sacrilège? », s’est interrogé l’élu FN de Saône-et-Loire Christian Launay.

     Nous le notions il y a quelques années ce prétendu «art contemporain », cette culture à la mode reflètent la pathologie d’une civilisation en déclin. Art contemporain qui ne prospère que grâce au matraquage idéologique médiatique, à l’application proprement subversive, au domaine de l’esthétique et de l’Art du principe Tout égale tout. Un véritable terrorisme intellectuel, relayé et pratiqué par un microcosme parisien érigé en intelligentsia, et qui prétend régenter, selon ses fantasmes,  l’ensemble des goûts de la communauté populaire.

     Pablo Picasso « le précurseur » lui-même en fit l’aveu à Giovanni Papini qui le cite dans « Libro Nero » (1952) : «dans l’art, le peuple ne cherche plus consolation et exaltation ; mais les raffinés, les riches, les oisifs, les distillateurs de quintessence cherchent le nouveau, l’étrange, l’extravagant, le scandaleux. Et moi-même depuis le cubisme et au-delà, j’ai contenté ces maîtres et ces critiques avec toutes les bizarreries changeantes qui me sont passées en tête, et moins ils me comprenaient,  plus ils m’admiraient. A force de m’amuser à tous ces jeux, à toutes ces fariboles, à tous ces casse-tête, rébus et arabesques, je suis devenu célèbre, et très rapidement.»

     « Et la célébrité ajoutait Picasso, signifie pour un peintre ventes, gains, fortune,  richesse. Et aujourd’hui, comme vous  le savez je suis riche. Mais quand je suis seul avec moi-même, je n’ai pas le courage de me considérer comme un  artiste dans le sens grand et antique de ce mot. Ce furent de grands peintres que Giotto, le Titien, Rembrandt et Goya ; je suis seulement un amuseur public, qui a compris son temps et a épuisé le mieux qu’il a pu l’imbécilité, la vanité, la cupidité de ses contemporains. Cet une amère confession que la mienne, plus douloureuse qu’elle ne peut sembler, mais elle a le mérite d’être sincère».

     Nous rapportions les propos d’E. Marsala qui notait à propos de « la grande mystification de l’art contemporain» que ce qui «distingue fondamentalement » celui-ci de « toutes les formes artistiques antérieures, c’est qu’il n’existe pas sans un copieux discours justificatifs sur ses dogmes, ses rites et ses divinités principales.»

     «Un Caravage, un Titien, un David, un Courbet n’avaient pas être expliqués pour s’imposer à tous, Courbet n’avaient pas à être expliqués pour s’imposer à tous, non seulement comme de l’art, mais comme des chefs-d’œuvre. En revanche sans ces discours grotesquement érudits sur l’intention de l’artiste, sa vie, son parcours, ou sa place supposée dans l’histoire de la modernité, un urinoir de Duchamp, une conserve de caca de Piero Manzoni, un aspirateur de Jeff Koons ou une armoire à pharmacie de Damien Hirst ne sont rien d’autre qu’un urinoir, une boîte à merde, un aspirateur et une boîte à pharmacie »…

     Cette défense-promotion  par les autorités culturelles françaises de cet art contemporain  là n’est pas pour nous surprendre. Selon sa définition première, la culture  est l’ensemble des façons de penser, d’agir, de sentir, en un mot d’être au monde, d’un peuple ou d’une communauté.  Le concept de culture  universelle est une contradiction  dans les termes puisque toute vraie politique culturelle implique un refus du principe d’homogénéisation et du déracinement, elle est une affirmation positive des frontières.

     Or, nos dirigeants, et comme le notait Bruno Gollnisch  cette mafia des cultureux sont les promoteurs et les gras bénéficiaires d’une  culture mondiale de masse, d’essence mondialiste, qui est aujourd’hui la norme.

     Celle-ci se caractérise par « deux grands traits majeurs, deux traits qui interdisent toute politique culturelle nationale à tout peuple qui en participe : l’économisation  de la culture et le cosmopolitisme. La culture dans notre civilisation tend à devenir un département de l’économie mondiale organisée » (Guillaume Faye).

     Dans « L’imposture de l’art contemporain », le peintre Antoine Tzapoff relève que ce marché est « un marché capitaliste basé sur la promotion-spéculation d’un petit nombre d’élus qui doivent faire allégeance à ceux qui les promeuvent. Un  marché promu par la gauche à vocation universaliste, et ce qu’on appelait la droite (…) par  un courant libéral, économiste, à vocation mondialiste » pour qui «l’art est devenu un moyen de spéculation ».

     « Pour réussir à capter l’attention » poursuit-il, «  on a absolument tout fait : des toiles blanches ou monochromes, des déjections de n’importe quoi. (…) À présent cela va encore plus loin, puisqu’on égorge des animaux dont on balance les tripes, les organes, sur le public, et c’est ce barbouillage sur le public qui devient l’œuvre d’art (…) Nous avons donc à faire avec un art basé sur l’éphémère, le hasard, soit l’antithèse complète de l’art traditionnel qui lui en revanche s’appuie sur la réflexion, le savoir-faire, la construction, l’expérience, l’esthétique ».

     « D’ailleurs Gramsci lui-même considérait que dans l’élaboration d’un processus révolutionnaire, l’art devait s’attaquer aux valeurs traditionnelles. (…) Salvador Dali d’ailleurs avait dit que l’art contemporain se définissait comme une entreprise universelle de crétinisation ».

     « Ont été également mises en scène les décompositions de corps humain, les automutilations… (…)Je ne comprends pas comment un quelconque écrivaillon peut encore trouver une justification artistique à ces manifestations qui drainent des gens qui auraient beaucoup plus besoin d’échanger leur carton de vernissage contre un rendez-vous chez un psychiatre ».

     « (…) Comme le sexuel est devenu une banalité, qu’il commence à s’essouffler sérieusement, il faut aller plus loin dans le sado-maso. Maintenant, c’est le sadisme qui doit procurer de l’émotion. Jusqu’où cela ira-t-il, je n’en sais rien! C’est une espèce de course vers la destruction, vers l’abîme, le suicide culturel. Je pense qu’il y a des décideurs, des lobbies assez puissants qui y voient beaucoup d’intérêt, se disant que cette humanité qui se croit branchée, leur sert de cobayes. C’est un laboratoire qui permet de voir jusqu’où le conditionnement peut pousser l’humanité dans les limites de la stupidité et de l’acceptation de l’horreur… ».

     Encore un autre aspect de ce culte de l »inversion, de cette idéologie   mondialiste qui prospère sur la perte de nos essentielles  valeurs civilisationnelles  helléno-chrétiennes.

    http://gollnisch.com/2014/10/21/art-contemporain-il-nom/

  • Nouvelle campagne du Bloc identitaire contre les islamistes présents en France

    campagne_djihadistes-2014.jpg

    Depuis une douzaine d’années, le Bloc identitaire est en pointe contre l’islamisation de la France et d’Europe. Il le prouve avec sa nouvelle campagane d’autocollants : “C’est aussi chez nous qu’il faut lutter contre les islamistes !” Dans un communiqué, le Bloc identitaire explique cette campagne :

    Avec 2.000 combattants engagés dans l’État Islamique ou les autres groupes djihadistes en Irak et en Syrie, le nombre le plus important parmi tous les pays européens, la France est directement concernée par une menace qui peut aussi frapper – à tout moment – chez nous. Dans une nouvelle vidéo de l’État Islamique diffusée sur internet depuis quelques jours, un djihadiste francophone déclare :“Nous allons lancer des appels à tous les frères qui vivent en France pour tuer n’importe qui, civils, vous serez jamais à l’abri”

    Mohammed Merah et Mehdi Nemmouche nous l’ont prouvé : les futurs ou ex-djihadistes sont autant de bombes à retardement et le risque d’attaque meurtrière n’a jamais été aussi élevé sur notre territoire.

    Mais surtout :

    Le Bloc Identitaire tient à rappeler que c’est aussi, et surtout, en France, que doit se mener la lutte contre l’islamisme – qu’il s’inspire du salafisme ou des Frères Musulmans, comme dans le cas de l’UOIF, que cela soit dans les quartiers, les prisons, ou les mosquées. Il est grand temps aussi d’en finir avec la bienveillance envers le Qatar qui assure le financement des groupes djihadistes qui nous ont déclaré la guerre.

    Car l’émotion suscitée par l’assassinat d’Hervé Gourdel doit désormais laisser la place à l’action, le Bloc Identitaire lance une grande campagne militante intitulée : “C’est aussi chez nous qu’il faut lutter contre les islamistes !”

    >>Pour commander les autocollants

    http://fr.novopress.info/177075/nouvelle-campagne-du-bloc-identitaire-contre-les-islamistes-presents-en-france/
  • Nos quartchiers ont du talent

    Il n’y a pas à dire, la France sait vivre. Si, dans les couloirs feutrés de nos institutions, on sent nettement que la tension liée à une situation globale pas facile-facile oblige les uns et les autres à raser les murs et les dorures républicaines en serrant les fesses, le petit peuple français, de son côté, n’hésite pas à vivre avec l’exubérance qui lui est coutumière. Et cette exubérance permet de ramener quelques pépites journalistiques, grumeaux de faits divers dont l’intérêt n’est pas toujours où l’on pense.

    Et pour illustrer mon propos, je voudrais évoquer le temps d’un billet quelques uns de ces quartiers sensibles qui font régulièrement les meilleures pages des faits divers dans les journaux à tirages médiocres de nos localités désœuvrées. Ici, par quartiers « sensibles », on n’entend pas, comme l’adjectif tendrait à le faire croire, des quartiers émotifs, charnels ou sentimentaux, mais plutôt pénibles ou douloureux pour qui s’y aventure sans connaissance de cause.

    oh noes !Par exemple, le Cours Victor Hugo à Bordeaux fut l’objet, il y a quelques semaines, de quelques articles dans la presse régionale, où l’on découvrait que sa situation y est devenue, en plus de cinq mois, ingérable, que les plaintes s’accumulent (tapage diurne et nocturne, trafics de toutes sortes, vols), émanant de commerçants et de riverains. Pire, les terrasses des cafés et restaurants sont devenues infréquentables à certaines heures. Des punks à chiens traînent mollement dans le coin et, comme le note Alexandra Siarri, l’adjointe aux affaires sociales, avec la diplomatie habituelle de la politicienne rompue à l’exercice communicationnel pas choquant-padamalgam-bisou compatible, « le sentiment d’insécurité progresse sur ce secteur ».

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  • Au nom des pouvoirs financiers : la déshumanisation de la maternité

    La nouvelle paraît à peine perceptible. Pourtant elle est terriblement significative de l’évolution de plus en plus évidente vers la marchandisation du corps maternel. Facebook et Apple ont décidé de payer la congélation des ovules pour leurs employées. De quoi s’agit-il ? Depuis longtemps il est possible de congeler dans de l’azote liquide les ovules et les embryons. Il existe d’ailleurs une autre technique qui est celle de la vitrification moins connue.

    Le principe est le suivant. Madame (ou mademoiselle) a une bonne place chez Apple avec un profil de carrière attrayant. Mais elle voudrait bien avoir un enfant. Entre les deux mon cœur balance. Que faire ? Apple leur propose de se faire prélever des ovules qui seront stockés et implantés quand l’intéressée se décidera. C’est l’entreprise qui payera les frais. Avantage, à quarante ans, Madame bénéficiera de ses propres ovules prélevés à 25 ans. Que penser de tout cela ? En réalité il s’agit d’une annonce de propagande qui est irréaliste pour le moins dans notre pays. Elle est aussi tout autant immorale et antinaturelle.

    Irréaliste. Notons d’abord que de tels stockages sont déjà effectués depuis belle-lurette. Cela s’adresse en priorité à des personnes devant reporter une grossesse pour des raisons médicales alors que la fécondation est compromise. Le cas le plus fréquent est celui de femmes devant subir un traitement anticancéreux qui leur détruira les ovaires. Par prudence leurs ovules sont récupérés auparavant pour être utilisés après guérison éventuelle. Certes, le cas proposé par Apple and Co n’est pas explicitement prévu dans la loi française ; laquelle a d’ailleurs été transgressée largement par ce qui se nomme l’acharnement procréatif multipliant les fécondations in vitro « hors nomenclature » des actes médicaux.

    Par ailleurs le désir d’enfant est souvent compulsif et n’a que faire des situations professionnelles. En outre, la législation française est telle que les femmes enceintes ne perdent ni leur salaire ni leur place pour cause de grossesse.

    En définitive, pour se décider à entamer un processus long et douloureux afin de différer une grossesse, les futures mères ne se bousculeront pas au portillon. Stimulation ovarienne, suivi échographique de la maturation ovulaire, intervention chirurgicale de prélèvement de l’ovule. Un vrai parcours du combattant au résultat incertain.

    Antinaturelle. Est-ce qu’une femme raisonnable va suivre un tel parcours alorsque la nature a depuis toujours assuré la reproduction humaine ? D’autant que l’ovule stocké devra faire l’objet d’une fécondation in vitro dont les résultats sont plus qu’aléatoires. Rappelons que les équipes les plus performantes arrivent à un succès de 23 %. Mieux vaut tenir que courir… De plus, ces manipulations font de la grossesse qui est naturelle, une maladie ; ce que soulignent avec raison certaines féministes.

    Enfin, reporter l’âge de la grossesse aboutit inévitablement à une limitation pratique des possibilités de procréer dans le temps. Le tout pérennisant et aggravant une crise démographique mettant un peu plus en danger tout le système de retraites.

    Immorale. Bien sûr ces manipulations de la fécondation et de la vie elle-même ne sont guère admissibles, allant contre la loi naturelle. Prenons le cas d’une femme tuée lors d’un accident de la circulation. Ses ovules resteront stockés puis détruits ; ou bien serviront par exemple à la procréation médicalement assistée au profit de couples homosexuels. Ce qui bien sûr brise littéralement la filiation. Nous entrons de plein pied dans le Meilleur des mondes de Huxley dans lequel les fécondations se font en fonction des impératifs économiques de la société et la notion de famille est honnie. Apple and Co estiment certainement qu’un tel processus évite de payer les crèches aux tout petits.

    Finalement il faut poser une simple question. Au nom de quoi des entreprises se permettent-elles de se mêler de la vie privée des gens ? Tout simplement au nom de leurs propres profits financiers.

    De telles mesures nous mènent directement à la procréation médicalement assistée (PMA) et à terme à la grossesse par mère porteuse (GPA).

    Dr Jean-Pierre Dickès

    http://medias-presse.info/au-nom-des-pouvoirs-financiers-la-deshumanisation-de-la-maternite/16620

  • Xavier Raufer : « Les Français issus de l’immigration surreprésentés dans les chiffres de la déliquance »

    À vous croire, le gouvernement mentirait sur les chiffres réels de l’insécurité. Est-ce dû à la seule politique « angélique » de Christiane Taubira ?

    Le gouvernement ne ment pas, stricto sensu. Tous mes chiffres proviennent de sources officielles, services de police ou de gendarmerie, offices centraux divers, accessibles à qui les recherche. Mais le gouvernement « vend » comme une vraie baisse, à des journalistes toujours plus incompétents ou complices, de simples effets de déplacement – par exemple entre les cambriolages de résidences principales, en baisse, et des maisons de campagne; et là, ça augmente fort.

    Or, la baisse serait réelle si à la fois les cambriolages diminuaient à la ville et dans la France rurale. Sinon, c’est de la poudre aux yeux. Donc, côté officiel, on a de petits mensonges par omission, divers effets de com’ et diversions destinés à berner le public – mais pas de trucage des chiffres eux-mêmes.
    Quant à Mme Taubira, on est loin de l’angélisme. Elle est dans l’application fanatique de toutes les pires recettes de la « politique de l’excuse », qui consiste à avoir pour les victimes le plus souverain mépris, et à considérer les criminels comme de pauvres victimes de l’exclusion et du racisme.

    Ce que prône madame Taubira a échoué partout ailleurs – récemment, en Grande Bretagne, où les taux de récidive chez les condamnés non incarcérés étaient effarants (voir références plus bas) et cela échoue bien sûr en France. Actuellement, notre pays est au pillage – racailles autour des villes, nomades criminalisés à la campagne – et les force de l’ordre s’épuisent à arrêter des voyous, relâchés dans la foulée. J’ai donné de cela cent preuves – jamais le ministère de la Justice n’a pu objecter à ce que je démontrais.

    Suffirait–il de rendre quelques prérogatives aux forces de l’ordre pour que cette criminalité puisse être endiguée ? Le malaise est–il plus profond ?

    Il n’y a rien à changer – ni un homme ni un euro de plus. C’est une pure et simple affaire de volonté politique. Prouvons-le. Plus de 80 % des violences insupportables aux Français adviennent dans 26 départements métropolitains. Là, l’essentiel des infractions est le fait de noyaux durs d’individus archi-connus de la police, déjà interpellés, voire condamnés maintes fois.
    Dans le respect des règles de droit, mettons ces malfaiteurs hors d’état de nuire et la criminalité s’effondrera. Et qu’on m’épargne le coup de « oui, mais d’autres bandits les remplaceront ». Car la loi des rendements décroissants joue aussi dans ce cas : après deux ou trois « écrémages », les volontaires se font rares… Il y a cent exemples de cela.

    Enfin, démanteler ces noyaux durs ne remplit pas les prisons, puisque au maximum, cela concerne quelque trois mille voyous hyperactifs pour la métropole.

    À juste titre, la multiplication des crimes et des délits peut susciter nombre de fantasmes, principalement quand des adolescents issus de l’immigration s’y retrouvent surreprésentés. Qu’en est–il exactement ?

    Voici les données fournies par « L’Essor de la Gendarmerie » de juillet 2015, toutes issues des statistiques de cette arme. Qui a commis l’essentiel de la criminalité en France métropolitaine sur quinze mois en 2013–2014 ? Je cite les divers rapports remontés du terrain :

    • Dans la périphérie des villes : « Néo–banditisme des cités », « Bandes criminalisées des cités » (Île-de-France)… « Banditisme local lié aux pays du Maghreb » (Aquitaine, Midi-Pyrénées)… « Banditisme local issu des cités sensibles » (Centre, Poitou-Charentes, Limousin)… « Bandes criminelles des cités » (Bretagne, Haute et Basse-Normandie, Pays-de-la-Loire)… « Groupes criminels issus des banlieues » (Nord-Pas-de-Calais, Picardie)… « Bandes des cités sensibles » (Alsace-Lorraine, Champagne-Ardenne)… « Banditisme des cités » (Bourgogne, Franche-Comté, PACA)… « Gangs issus des cités sensibles » (Auvergne, Rhône-Alpes). Faut–il un dessin pour saisir qui cela concerne ?

    • À la campagne : « Organisations criminelles de langue roumaine »… « Membres de la communauté des gens du voyage » (sédentarisés ou non). Là aussi, c’est clair.

    La catastrophe engendrée par les « Taubira britanniques ».

    Exemples britanniques de politique à la Taubira : pour 2012 (Angleterre et pays de Galles), sur 1.641 auteurs d’un vol à main armée, seuls 350 ont été incarcérés ; sur 12.309 individus condamnés pour une infraction violente, 988 ont été emprisonnés. Crimes sexuels : 15.900 condamnations, 5.483 incarcérations, etc.
    [Source, Daily Express, 20/10/2013] : de juillet 2012 à mars 2013, des individus condamnés à des peines alternatives à la prison (bracelet électronique, travaux d’intérêt général…) ont commis 93.600 infractions (inenvisageables s’ils avaient été incarcérés), une toutes les six minutes ; dont 472 agressions sexuelles, 5.800 infractions violentes et 4.500 cambriolages.

    Durant l’année 2012, 56 homicides et 111 viols ont été commis par des condamnés non incarcérés.

    Source

    http://www.thomasjoly.fr/

  • Pour avoir des subventions, il faudra propager la théorie qui n'existe pas

    Le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes propose deconditionner les financements publics, accordés notamment aux médias audiovisuels, à la lutte contre les stéréotypes de sexe.

    Cette méthode doit être appliquée à trois champs prioritaires: les médias, la communication institutionnelle et l'éducation, préconise ce rapport remis aux ministres Marisol Touraine (Affaires sociales) et Pascale Boistard (Droits des femmes).

    Le Haut conseil a défini des grilles pour aider à mesurer les stéréotypes de sexe, notamment dans les fictions télé, et propose de s'en servir pour moduler la contribution à l'audiovisuel public. Des indicateurs devraient également être utilisés pour les émissions d'information, de divertissement et de téléréalité.

    L'Etat et les collectivités territoriales devraient aussi s'engager à respecter des critères pour que leur communication institutionnelle soit dépourvue de stéréotypes de sexe.

    Michel Janva

  • Port du voile : que dit la loi ?

    On avait appris voici quelques jours qu'une spectatrice voilée intégralement avait été priée de sortir de l'Opéra Bastille le 3 octobre, en vertu de la loi de 2010 qui interdit la dissimulation du visage dans un lieu public. Certains choristes avaient refusé de chanter tant qu'uns solution n'aurait pas été trouvée. La spectatrice avait dû quitter les lieux.

    Ouest France revient sur l'évènement et pose donc la question : que dit la loi ?

    "Selon la circulaire de mars 2011, sont interdits, « le port de cagoules, de voiles intégraux (burqa, niqab...), de masques ou tout accessoire ou vêtement ayant pour effet, pris isolément ou associé à d'autres, de dissimuler le visage ». [...]

    Où le voile est il interdit ?

    Sur la voie publique, le visage masqué sera interdit dans les transports en commun, mais pas dans un véhicule particulier, assimilé à un espace privé. Un conducteur ou une conductrice masqué risque toutefois de se faire sanctionner pour manquement aux exigences de sécurité imposées par le Code de la route...

    Le voile est interdit dans les « lieux ouverts au public » dont« l'accès est libre » : « plages jardins, promenades publiques... » et ceux dont « l'accès est possible, même sous condition », comme les cinémas ou les théâtres. Cafés, restaurants, magasins, gares, banques, aéroports font partie de ces espaces où le visage doit être visible.

    Les femmes voilées peuvent se voir également sanctionner dans les« lieux affectés à un service public », il s'agit de « l'ensemble des institutions, juridictions et administrations : mairies, préfectures, tribunaux, hôpitaux, bureaux de poste, écoles, lycées, universités, musées, bibliothèques... ».[...]

    Que risque-t-on en portant un voile ?

    Les contrevenants encourent une amende de 150 euros qui peut être accompagnée ou remplacée par un stage de citoyenneté.

    Mais celui qui force quelqu'un à l'enfreindre – par exemple un homme qui obligerait sa femme ou sa fille à porter le voile – risque, lui une lourde amende (jusqu'à 60 000 €) et une peine de prison."

    Marie Bethanie

  • Nul n'a droit en sa peau qu'il ne la défende

    Ce vieux proverbe français me semble plus actuel que jamais. Car, de toute évidence cela s'impose face à l'islamisme totalitaire, puisqu'il nous fait la guerre. Et dans la situation actuelle l'hypocrisie et la lâcheté révoltantes de la plupart des dirigeants de nos pays ne peut rien produire de bon.

    Observons ainsi les images du rassemblement place de la république le 11 octobre à Paris. Aux côtés des manifestants pro-Kurdes, plus de 5 000 personnes, le monopole de la parole est exercé au profit de personnalités d’extrême gauche comme Olivier Besancenot, qu'on espérait à la retraite.

    Tous appellent le gouvernement français à protéger le peuple kurde face aux djihadistes de cet abominable "État islamiste". Celui-ci au départ ne représentait qu'une organisation terroriste parmi d'autres. Désormais, ses ramifications se révèlent et se consolident, de plus en plus tentaculaires. Les ralliements vont jusqu'au Pakistan, du Nigeria à l'Ouzbékistan. L'urgence s'affirme, indiscutable.

    On aimerait, par conséquent, savoir quand même quels moyens ces généreux esprits suggèrent de mettre au service de leurs incantations.

    On pourrait rêver, dès lors, qu'ils demandent, dans les débats parlementaires de fin d'année, un renforcement du budget militaire de notre pays. Incidemment, s'il existait une plateforme de discussion, on pourrait mettre l'accent sur les périls effectifs, donc de demander un effort supplémentaire en faveur de la Défense, sur l'arme désormais cruciale du Renseignement et pas seulement sur l'emploi dans les arsenaux et les villes de garnison etc.

    Inutile d'entretenir le lecteur dans un espoir aussi chimérique.

    Le secrétaire national du PCF, le camarade Pierre Laurent jouait de l'éloquence. "La France, clamait-il, doit cesser son jeu trouble avec la Turquie et dire clairement qui elle soutient". Et d'exiger "le retrait du PKK de la liste des organisations terroristes."

    Malheureusement, dans la séquence actuelle, quand le chef du parti communiste, en vieux professionnel de l'émeute, prend le micro c'est évidemment et uniquement pour des fins de politique intérieure : il s'agit d'accuser François Hollande et son gouvernement de ne pas en faire assez pour les Kurdes. Et rien d'autre.

    Sans soutenir ici le p. de la r., pour lequel très peu de lecteurs de L'Insolent ont voté en 2012, – mais qui a bénéficié des voix du camarade Mélenchon et de celles des communistes – constatons qu'il ne semble pas en mesure d'en faire beaucoup plus. Pierre Laurent "soutient-il" donc Barack Obama ?

    Ne nous dissimulons pas non plus que, si, dans les coordinations kurdes, les forces militantes penchent naturellement du côté des sympathisants de gauche voire d'extrême gauche, elles représentent aussi des seules forces qui combattent le totalitarisme islamiste, sont tenues à l'écart par les trop prudentes administrations diplomatiques de nos pays.

    L'illusion d'un régime d'Ankara, membre de l'OTAN, et de ce fait, bastion de la liberté, s'efface.

    Et, bien entendu, pendant ce temps les commentateurs agréés s'accrochent à des demi-vérités, des ambiguïtés qui ne devraient pourtant tromper personne.

    En particulier, la culpabilité turque quand il s'agit d'écraser les Kurdes dans le sud est anatolien. Le premier ministre Ahmet Davutoglu prétend encore que "personne ne pourra prouver" l'implication de son gouvernement. Il s'agit d'une manière de se moquer du monde.Cette évidence se retourne contre sa roublardise.

    Car personne n'ignore, sauf lui peut-être, qu'il s'agit de l'argumentaire constant des criminels, celui de tous les bons films policiers, et même dans les mauvais.

    On se demande alors comment un pays qui se prétend démocratique et pro-occidental peut soutient une réalité aussi sauvage et sanguinaire que "Daesh", sigle commode pour évacuer, en partie, en partie seulement, dans son aspect subliminal, son caractère islamiste.

    Cette violence totalitaire de l'islamisme n'est pas arrivée à l'automne comme une poussée de champignons. Elle repose sur des bases historiques que définit le salafisme.

    Cet adversaire ne s'est jamais fait faute de se déclarer décidé à combattre et à détruire l'occident en général. Au nombre de ses cibles il met en bonne place la France. Il l'a toujours située au nombre des "Croisés", et nous fait ainsi honneur, n'en déplaise à M. de Villepin, ce nostalgique si notoirement désintéressé de l'ancienne politique arabe du Quai d'Orsay. (1)⇓ Ceci d'ailleurs vaut aussi bien pour d'autres pays comme la Russie, en délicatesse avec les États-Unis, qu'elle accuse de connivence avec les islamistes…

    L'engrenage, en fait, avait été mis en marche par d'autres, dès l'origine de la religion mahométane.

    Lutter pour la liberté religieuse, celle que bafoue l'islamisme totalitaire, c'est aussi lutter pour la liberté de la recherche sur l'histoire des sociétés musulmanes et sur l'héritage de Mahomet. on peut rêver d'une étude sociologie historique plus générale sur l'apogée des empires musulmans. L'islam pourrait bien apparaître dès lors, dans les pays qu'il occupa de l'Espagne à l'empire Ottoman, comme religion, au départ, des seuls conquérants militaires, très minoritaires au sein de pays conquis, qui restèrent majoritairement non-musulmans, longtemps, pendant des siècles et qui s'effondreront quand les musulmans auront converti, au moins superficiellement, après les avoir opprimés, ceux qui faisaient bouillir la marmite, les dhimmis, et les femmes.

    Mais comme le souligne notre travail en introduction à "Qui était Mahomet", "Mahomet fut-il sincère ?" se demandait Henri Lammens, ce débat historique souligne "l'actualité d'une antiquité". (2)⇓

    JG Malliarakis

    Lammens-mahometApostilles

    1.  Certains prétendent le contraire. Mais je n'en crois rien. Cf. "Pourquoi le Qatar donne-t-il beaucoup d’argent à l’avocat débutant Villepin ?" . Quelle mauvaise foi !
    2.  Les Éditions du Trident rééditent "L'Islam croyances et institutions" 225 pages 20 euros, et "Qui était Mahomet ?" par Henri Lammens ("Mahomet fut-il sincère ?" avec en introduction "Actualité d'une Antiquité") 128 pages 15 euros.
      Un prix spécial de lancement des deux volumes est proposé aux lecteurs de l'Insolent  : 28 euros port compris. Commandes à passer sur le site Internet des Éditions du Trident ou, en dressant un chèque de 28 euros par correspondance aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.
  • DJIHADISTE CALIBRE 14, VERSION BRIGADISTE CLASSE 36’ – par Pieter KERSTENS

    Il est recruté en France, au Danemark, en Belgique ou en Grande-Bretagne entre-autres. Nos chefs d’État et leurs ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l’Intérieur devraient tous faire amende honorable et effectuer leur autocritique lors d’un Journal Télévisé.

    Parce que depuis plus de 20 ans, l’Union Européenne, à la remorque des USA et de leur bras armé, l’OTAN, ne cesse d’empiler les fiascos : d’abord en Irak en 1991, puis en Afghanistan, à nouveau en Irak et en Lybie, en ayant gaspillé des milliards d’euros en pure perte (milliards ayant pu être investis dans l’achat de matériel hospitalier par exemple).

    Qui peut prétendre aujourd’hui que la pendaison de Saddam Hussein (après un simulacre de procès), la destitution des Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, l’ignoble assassinat de Muammar al- Kadhafi, aient apporté un bien-être aux populations locales, une relation harmonieuse entre les communautés ou l’instauration d’un début de commencement de « démocratie » telle que rêvée par les valets de l’euro-mondialisme ?

    Plus grave ! Après les fameuses « Révolutions de Jasmin », plusieurs ministres et haut responsables européens ont publiquement appelé à l’élimination physique du président syrien, Bachar al-Assad. L’Europe, les USA et les Rois du pétrole ont recruté, entraîné, armé et payé des volontaires musulmans étrangers, pour abattre le dirigeant alaouite. Des milliers de « conseillers » militaires sont sur le terrain depuis plusieurs années, malgré les dénégations des États concernés.

    C’est donc avec convictions et la foi en Allah que des milliers d’européens se sont engagés dans les brigades islamistes, à l’exemple des socialo-marxistes qui avaient rejoint les Brigades Internationales en Espagne. Les partis politiques et les syndicats encourageaient ces volontaires dans la certitude d’accomplir leur devoir d’aller combattre Franco de 1936 à 1939. Héros ici, terroristes là-bas ?

    Et pourquoi se plaindre maintenant ? Parce que les « gentils petits islamistes modérés » -version ASL- sont devenus d’affreux barbares sanguinaires ? Parce que quelques têtes blondes tombent de temps à autre ? Il est tout de même curieux de constater que les otages et les décapités sont toujours des blancs et que cela ne concerne pas des asiatiques, des noirs ou des amérindiens…

    La secte politico-médiatique abuse de la désinformation, du devoir d’oubli, de l’émotivité et de la sensiblerie pour faire pleurer Margot.

    En Indochine, les Japonais ont aussi décapité des centaines d’Européens et armé les « terroristes » d’Oncle Hô, au nom de « l’Asie aux Asiatiques ». En Algérie, dès 1945 et surtout avec le massacre de Melouza le 28 mai 1957 (301 hommes tués et 150 blessés), les fellaghas, qu’ils appartiennent au MNA, au FLN ou à l’ALN, ont eux aussi décapités, émasculés, démembrés et massacrés des femmes, des enfants et des vieillards, par dizaines de milliers, pour parvenir à leurs fins et bien après 1962.

    Comme l’avait d’ailleurs officiellement déclaré Hocine Aït Ahmed, l’un des chefs historiques de la guerre d’Algérie, le 29 novembre 2000 lors du Congrès du PS français à Grenoble : « Durant ce débat sur la torture, sur les exécutions sommaires, sur les disparitions, ….on découvrira aussi qu’il y a eu des tortures du côté du FLN….il y a eu des dépassements de l’armée de libération. »

    L’Histoire récente est jalonnée de massacres et de barbaries, mais curieusement, dans l’arc musulman (de la Mauritanie aux Philippines) on ne parle que rarement des chrétiens martyrisés depuis plus de 40 ans ! Silence, on tue… Et peu d’analystes évoquent la guerre de religion entre les sunnites et les chiites, permanente depuis quatorze siècles.

    Maintenant, il est légitime de s’inquiéter en conséquence de ce qui pourrait se produire à l’avenir dans nos banlieues. Ces 751 Zones Urbaines Sensibles et ces 64 Zones de Sécurité Prioritaires, en France, où des dizaines de milliards d’euros ont été déversés depuis 20 ans, au nom de la « Politique de la Ville » ou du « Vivre Ensemble » par des ministres imbéciles qui, de Bernard Tapie à Najat Vallaud-Belkacem, pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers… Mais qu’en sera-t-il, lorsque quelques « têtes brûlées » décideront d’imiter Merah ou Nemmouche, pour la plus grande gloire d’Allah ?

    Quand on n’est pas capable chez nous, de maintenir l’ordre dans les quartiers, on ne va pas là-bas, bombarder les barbus, chez eux !

    Et pour ceux (ou celles) qui croient encore aux étrennes apportées par Saint-Nicolas ou par le Père Noël, voici un message de paix, d’amour et de tolérance en provenance directe des islamistes :

    « La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés », a déclaré Abou Mohamed al-Adnani, dans un message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014.

    « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif, ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le », poursuit-il.

    C’est pourquoi et dès aujourd’hui, vous regarderez trois fois avant de traverser la rue !

    http://www.francepresseinfos.com/2014/10/djihadiste-calibre-14-version.html

  • Valls s’en prend à Zemmour

    Heurté par le contenu du nouveau livre d’Éric Zemmour, Manuel Valls s’en est pris, sans le nommer, au journaliste du Figaro.

    Venu donner des gages aux derniers alliés de son gouvernement, les franc-maçons du PRG (Parti radical de gauche), le Premier ministre a promis aux Radicaux le maintien de la moitié des conseils départementaux (ces derniers autrefois nommés conseils généraux, devaient, au départ, baisser drastiquement suite à la refonte de la carte des cantons, mais auraient privé certains rentiers de la politique de leurs petits fiefs). Une future loi sur l’euthanasie est aussi dans les cartons afin de satisfaire les frères du PRG.

    Rassuré sur le maintien des amis de Jean-Michel Baylet (ndlr : le président du PRG) au sein de la majorité, Valls en a alors profité pour fustiger l’auteur du Suicide français :

    « Qu’aujourd’hui, dans le débat public, on puisse considérer comme normal, comme un élément du débat, qu’on puisse considérer que Vichy, son régime, ait sauvé des juifs, sans que cela ne suscite pas d’indignation du fond du peuple montre bien que nous avons un combat majeur à donner. »

    Scandalisé que le peuple ne se soulève pas pour demander la tête de Zemmour, Valls appelle à la mobilisation contre « les adversaires de la République » et à ceux qui « prospèrent aujourd’hui » en tenant des « discours sur le déclin de la France, un discours qui rabaisse notre pays, qui voudrait nous ramener à une France qui aurait été heureuse dans les années 1950, qui nie ce qu’est la réalité du monde ».

    Totalement en apesanteur, l’ancien maire d’Évry a fustigé une vision « triste, enfermée sur elle-même, rance, qui n’est pas celle de la France » et tenu des propos d’une vacuité digne d’un militant du MJS en demandant que l’on oppose [à cette vision du pays] « les valeurs de la République, une France ouverte sur le monde, une France généreuse de l’égalité, la liberté et la fraternité ». « Prophète », il a également lancé qu’il fallait « mener une bataille d’idées dont on n’a pas encore pris la mesure ».

    On ignore si à la fin de sa prise de parole, il a dû ordonner qu’on l’applaudisse ou si son auditoire, rasséréné par leur protecteur, s’est livré à une ovation spontanée...

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Valls-s-en-prend-a-Zemmour-28620.html