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lobby - Page 2037

  • Renaud Camus : Notre seul salut est d’établir ce qui est français et ce qui ne l’est pas !

    Entretien avec Renaud Camus sur Boulevard Voltaire

    L’affaire Dieudonné prend décidément toute la place dans l’actualité, « pain bénit » pour le gouvernement : c’est la nouvelle affaire Taubira ?

    Renaud Camus - J’avoue que je m’y intéresse peu et que j’aurais bien aimé n’avoir pas à m’en occuper du tout. C’est tout de même horriblement significatif du niveau du débat dans notre pays. Le président de la République dialogue par médias à peine interposés avec une collégienne diaboliquement demeurée, qui ridiculise sa fonction et la dignité de la France, et les principaux ministres paraissent n’avoir pas de souci plus pressant qu’un humoriste diaboliquement médiocre, dont tout l’humour prétendu est dans l’idiote transgression, cet hommage des obsédés aux puissances qu’ils prétendent nier. On peut toujours être plus grossier, on peut toujours être plus bas, il y aura toujours un public pour applaudir au record. Mais il s’agit de la France. Alain Finkielkraut et Christian Combaz ont tout à fait raison quand ils dénoncent le règne des humoristes et des Guignols.

    Le rapporteur public du tribunal administratif de Besançon a conclu, mardi 7 janvier, au rejet des requêtes déposées par la famille de Leonarda Dibrani en vue d’obtenir un titre de séjour en France. Une bonne chose ? [...]

    La suite sur Boulevard Voltaire

  • Manifester contre l’avortement n’est pas un combat perdu d’avance

    Cécile Edel, présidente de Choisir la Vie et co-organisatrice de la Marche pour la Vie 2014, répond au diocèse de Bayonne :

    E"En France, la loi sur l'avortement date de 1975 et, malgré les chiffres toujours élevés du taux d'avortements qui ne cesse d'augmenter, notamment chez les plus jeunes, malgré les conséquences dramatiques de cet acte sur les femmes, ce sujet reste très difficile à aborder et prisonnier d'une loi du silence. Ainsi, en complément des actions spécifiques et si précieuses que mène, tout au long de l'année, chacune des associations du collectif de la Marche pour la Vie, nous restons convaincus que la manifestation reste un des moyens privilégiés pour contribuer à lever le tabou qui entoure cet acte, à réveiller les consciences et porter témoignage sur la valeur de toute vie humaine. [...]

    Nous mesurons pleinement les pressions et les souffrances qui ont pu amener toutes ces femmes à refuser la Vie mais en aucune manière nous ne les jugeons. Au contraire nous souhaitons les accompagner afin qu'elles puissent se réconcilier avec elle et accueillir le pardon qu'elles attendent.

    En revanche, nous dénonçons  l'acte qui reste, quoiqu'il arrive, une atteinte profonde à la Vie et dénonçons le discours commun et mensonger qui est de faire croire que l’avortement est un acte banal, qu’il est un droit source de libération pour celle qui en use. Or la réalité c’est que l’avortement tue un enfant dans le sein de sa mère. Pour que les femmes puissent vraiment être libres, il est urgent d’informer : reconnaître la souffrance des femmes qui ont avorté, dénoncer les réalités sordides de l’avortement, accompagner les femmes, et les informer sur les alternatives possibles. Pour qu’un autre chemin soit possible pour elles à l’avenir. [...]

    Manifester contre l’avortement n’est pas un combat perdu d’avance. En atteste le changement culturel en Europe. Je pense bien sûr à l’Espagne, qui vient d’adopter le 27 décembre 2013 un projet de loi qui contribuera à limiter le nombre d’avortements. Cela a pu advenir grâce aux manifestations pro vie de 2009, sous le gouvernement Zapatero. Rajoy avait compris l’ampleur de la mobilisation et avait fait de la limitation de l’avortement un thème central de son projet de campagne qui l’a ramené au pouvoir aux dernières élections.

    En France, il faut être courageux pour se dire contre l’avortement tant nous croyons qu’il est impossible de revenir dessus. C’est pourquoi, confortés par l’exemple espagnol, les citoyens français ont un rôle clé à jouer dans le soutien aux députés qui s’apprêtent à s’opposer à la réforme qui s’annonce. Venir en nombre marcher pour la vie le 19 janvier est aussi susceptible de faire s’interroger certains élus qui se laisseront interpeller par cet évènement. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Républicains, vous avez dit républicains ?

    Tribune libre de Claude Picard
    La plupart des partis politiques se prétendent républicains et les élites médiatiques leur accordent volontiers ce qualificatif. Mais sont-ils vraiment républicains ?
    C’est quoi, être républicain ? Selon la définition des dictionnaires en usage, c’est être « partisan d’un régime politique  dans lequel le peuple exerce la souveraineté directement ou par l’intermédiaire de délégués élus. ». Donc, être républicain pour un élu de la Nation,  c’est logiquement respecter le mandat que lui a conféré le peuple. Bien !… Mais alors, cette définition n’est plus légitime pour nos partis se déclarant républicains puisque nos politiciens, UMP et PS en tête, suivis de peu par l’UDI et les Verts, n’ont-ils pas passé outre la décision du peuple qui avait voté  « NON » au projet de Constitution européenne en 2005, pour ensuite ratifier, sans référendum et sans mandat du peuple, le Traité de Lisbonne en 2007 ? Traité, qui n’est que la copie conforme du projet rejeté par les Français…
    Rappelons que le parlement européen exerce trois pouvoirs fondamentaux : le pouvoir législatif, le pouvoir budgétaire et le contrôle politique des institutions européennes. Cette entité supranationale, fédéraliste et centralisatrice, résulte d’une association de nations qui lui a délégué tous les pouvoirs de décisions. Une sorte de république européenne. Enfin, pas encore. Mais nos « républicains » ont déjà légalisé l’effacement de notre Nation et la perte de sa souveraineté. Dans cette situation, il ne reste plus qu’un petit pas à franchir.
    Et ces partis, UMP, PS et consorts, continuent bassement à nous prendre pour des benêts en déclarant à tous vents, la main sur le cœur : « Nous sommes républicains, nous ! ». Jusqu’à l’essoufflement, ils déclinent cette formule magique dans tous les styles et les modalités. Selon les circonstances, nous avons droit au : « Pacte républicain », une autre fois aux : « Valeurs républicaines » ou encore à la : « République sociale » … La République Française est sociale ! C’est rédigé dans l’article 1 de notre Constitution : «  La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale ».
    Ces « Tartuffes du patriotisme », ces donneurs de leçons, osent s’accaparer la République alors qu’ils la foulent aux pieds sans relâche. Pour eux, les valeurs de la République ne s’inscrivent plus que dans un catalogue d’idées calibrées sans significations réelles. La Laïcité ? Ils la contournent lâchement selon leurs besoins électoraux. La Liberté ?  Ils ne savent même plus ce que cela veut dire : elle est détournée au profit de minorités subventionnées ne représentant qu’elles-mêmes et qui revendiquent, toujours et avant tout, la liberté individuelle d’exercer les vices les plus tordus et les plus confus. La Fraternité ? Elle doit être « positive », vague expression en référence à leur fameuse « discrimination positive » envers les « minorités visibles ». Comme si une discrimination pouvait être positive… on nous prend vraiment pour des naïfs. Leur fraternité n’a qu’un seul but : nous imposer une population de remplacement moins aguerrie et plus perméable à leur idéologie. L’Egalité, des droits et des devoirs ? Que nenni ! On néglige les devoirs en les adaptant aux besoins des petits copains coquins et aux besoins des petits caïds de banlieue ou des remarquables « minorités visibles ». Par contre, les précités ont tous les droits (logements, aides sociales multiples, retraites sans avoir travaillé dans le pays d’origine, etc.) qui, normalement, ne devraient être accordés en priorité qu’aux nationaux (la majorité des pays applique le principe de la priorité nationale) et aux citoyens dignes, respectueux des valeurs républicaines – surtout pas aux délinquants ! Mais non, nos « républicains » prônent avec une compassion imbécile défiant tout entendement, la préférence des autres, tous les autres. S’ils pouvaient accueillir tous les misérables et tous les dévoyés du monde …
    Ils en oublient la Nation, cette Nation dont les données objectives (le territoire, l’ethnie, la langue, la religion, la culture, l’Etat) supposent l’existence d’une volonté durable de vivre au sein d’un même ensemble, en inventant – ça vient de sortir et c’est du dernier chic – « l’inclusion » ! Autrement dit, le multiculturalisme officialisé. Le  contraire de l’assimilation ou de l’intégration. Cette assimilation à la française qui a tellement bien prouvé son efficacité et qui a fait, depuis longtemps déjà, le ciment de notre République.
    Ce fameux rapport sur l’intégration – qui préconise « l’inclusion » – commandé par le gouvernement devrait s’appeler « Rapport sur la désintégration ». Ce serait plus juste.
    Ils en oublient la Patrie sous prétexte que ce symbole incarne le repli sur soi. Etre patriote, foncièrement et profondément, dans sa chair et dans son cœur, c’est être rabougri ? Etre fier de son identité, de sa culture, de ses valeurs, de son histoire et de ses racines, c’est être étriqué ?
    C’est sûr que ce concept, Nation-Patrie, doit paraître un peu étroit à nos idéologues et politiciens européistes, internationalistes et mondialistes. Pourtant ils se rendent bien compte que de plus en plus de Français veulent à nouveau s’approprier leur nation et leur patrie. Ces symboles indissociables qui définissent si parfaitement, un peuple.
    Que nos chers « républicains » arrêtent de nous échauffer les oreilles avec leurs cris d’orfraies devant l’inévitable montée du patriotisme en France et en Europe, mais qu’ils nomment pour faire peur, « populisme » ou « fascisme », selon leurs aigreurs du moment.
    Nous ne sommes plus dupes. Et qu’ils arrêtent leurs leçons de républicanisme : c’est indécent.
    Ça suffit !
     Claude PICARD, 7/01/2014
    http://www.polemia.com/republicains-vous-avez-dit-republicains/

  • Appel au trouble de l’ordre public d’Arno Klarsfeld ? Dieudonné Nantes quenelle main d’or ldj

  • Levée de boucliers contre la règle du « je » de Valls

    La très grande majorité des Français n’attend  plus grand-chose, si ce n’est un surcroît d’avanies, de mépris et d’impôts, de ce gouvernement lamentable, structurellement, intellectuellement  incapable d’emprunter un autre chemin que celui d’un euromondialisme qui nous conduit à la catastrophe. Ainsi depuis le 1er janvier, Bulgares et Roumains (cela concerne aussi bien évidemment les millions de  Roms vivant des ces deux pays) sont autorisées à s’installer en France pour hypothétiquement y travailler, sans restrictions ni quotas. Cela ne trouble pas outre mesure «l’opposition» UMP, dont les parlementaires ont systématiquement voté, comme leurs collègues socialistes, en faveur de l’élargissement de l’Union européenne. Il est vrai aussi que Nicolas Sarkozy avait tenu à poser en compagnie de François Hollande à la Une de Paris-Match pour appeler à voter Oui à la constitution européenne, quel beau symbole…Pourtant ce sont ces irresponsables là qui donnent à tour de bras, sourires méprisants aux lèvres, des leçons d’économie, de bonnes gestions et de sérieux  à Marine Le Pen et aux dirigeants du Front National.

     Ce sont les mêmes cadors de l’UMPS qui, au nom du refus du « repli sur soi », fustigent ceux qui ne veulent plus de l’Europe folle sans frontières des délocalisations et des flux migratoires. Les mêmes qui balayent d’un revers de la main les piètres résultats de leur politique conjointe : officiellement 11% de chômeurs…ce dont nous sommes priés de nous en réjouir eu égard à la situation de nos voisins espagnols.

     Et ce, dans une France déjà submergée par une  immigration non européenne qui selon l’étude du Professeur Yves-Marie Laulan, président de l’Institut géopolitique des populations(IGP), coûte déjà aux contribuables français,  70 milliards d’euros par an

     Dans ce contexte,  Manuel Valls, qui s’est fait copieusement hué hier par de manifestants lors de son arrivée à la gare de Rennes, agite le danger Dieudonné comme un chiffon rouge pour  sidérer l’opinion, la détourner des vrais enjeux. Est-ce que ça fonctionne ? Pas vraiment.

     Selon le sondage en ligne réalisé par Canal Plus le 6 janvier auprès de ses auditeurs, près de 80 % de ces derniers étaient contre l’interdiction des spectacles de l’humoriste.

     L’enquête CSA pour le site Atlantico, réalisée du 7 au 8 janvier par internet indique que seulement 28% des personnes interrogées se disent « très favorables » à l’interdiction ( 24% « plutôt favorables»). Dans le détail  69% des sympathisants du PS y sont favorables (56% de ceux d’EELV, 54% de ceux de l’UMP), 69% des sympathisants du FN y sont opposés (ainsi  que 57% des sympathisants du Front de Gauche).

     64% des sondés estiment plus globalement, notamment ceux qui  doutent  du prétexte avancé par Valls et ses amis, que cette interdiction ne serait « pas du tout  (28%) ou «plutôt pas efficace» (36%) pour lutter contre l’antisémitisme.

    Manuel Valls peut cependant se consoler avec le  soutien inconditionnel d’officines vivant du communautarisme, ou encore de la revue La Régle du jeu de Bernard-Henry Lévy, ce qui certes, est extrêmement  rarement un gage de sérieux et de crédibilité.

    Outre le pipo(le) BHL, sur le site de la Règle du Je(u), «l’écrivain» (sic) David Gakunzi, affirme que le ministre de l’Intérieur a raison de combattre Dieudonné car « Laisser son rire se répercuter sans entraves à l’infini comme un flot de paroles haineuses,  reviendrait à laisser le dernier mot au crime des crimes ».

    Très en pointe dans le combat mené pour faire chuter l’actuel régime laïc en Syrie, Bernard Schalscha, sur ce même site, explique qu’ « Internet aidant, des dizaines de milliers de nouveaux SA et SS virtuels parsèment dorénavant le territoire français (…). Assez de tergiversations métaphysiques à deux sous. Il est temps de faire souffler sur ce pays un grand vent d’air frais pour éliminer les vapeurs nauséeuses des nostalgiques de Hitler ».

    Un constat qui même au PS, paraît singulièrement déconnecté du réel, éminemment partial, extraordinairement délirant et paranoïaque à beaucoup. Le site du Figaro relaye d’ailleurs les jugements sévères des petits camarades  de M. Valls sur sa décision d’interdire les spectacles de l’humoriste via sa fameuse circulaire.

    En effet est-il rappelé, «la plupart des précédentes interdictions de spectacles prononcées à l’encontre de Dieudonné, systématiquement contestées par l’humoriste, ont finalement été invalidées par les tribunaux administratifs et le Conseil d’État. Lesquels se réfèrent au principe constitutionnel de liberté d’expression ainsi qu’à la loi de 1881, qui garantit la liberté de réunion.»

     L’ancien ministre de l’Intérieur Pierre Joxe, «proche de Christiane Taubira», a affirmé que «l’interdiction du spectacle de l’humoriste (…)  n’est pas viable juridiquement. «J’avais de meilleurs conseillers juridiques que lui», a-t-il ironisé, jugeant que le droit actuel semble «offrir toutes les garanties pour intervenir à l’égard des délits reprochés à Dieudonné».

    Même avis de Jack Lang : «Je suis convaincu que (la circulaire Valls, NDLR) n’est pas conforme au droit. La liberté [d'expression] est la règle dominante et pour lui porter atteinte il faut de vraies raisons et le Conseil d’État pose des restrictions très rigoureuses.»

     «Je crains les fragilités du dispositif qui, si elles étaient confirmées, nous affaibliraient», affirme le député de Seine-Saint-Denis,  Razzy Hammadi.

    Secrétaire national du PS à la Culture,  Frédéric Hocquard  se félicite de ce «  que l’arsenal juridique actuel, renforcé par la loi Gayssot, est suffisant pour envoyer Dieudonné en prison». « Mais Si Dieudonné monte sur une caisse à ,savon à l’extérieur du Zénith et s’adresse en martyr de la liberté d’expression à des milliers de personnes, on aura gagné quoi? (…) L’interdiction n’est pas une réponse adéquate.»

    Enfin, l’activisme d’un Valls visant le fauteuil de l’actuel premier ministre,  et qui n’est pas sans rappeler celui de Sarkozy au même poste sous Chirac et Raffarin, n’est pas du goût de tout le monde. « La réaction dans Le Parisien du député de Seine-et-Marne, Olivier Faure, très proche de Jean-Marc Ayrault, en dit long sur l’agacement de Matignon à ce sujet: Ce n’est pas au ministre de l’Intérieur de dire quand on peut ou ne pas rire».

    Journaliste d’investigation courageux (affaire clearstream), écrivain, Denis Robert a publié un long texte sur cette affaire ,relayé sur le site de Inrocks,   très sévère sur l’attitude de M Valls. Il y voit peut être « un plan de communicants. Une rouerie à la Stéphane Fouks ou à la Alain Bauer (ses deux potes de l’ombre qui lui collent aux escarpins après avoir collé à ceux de Dominique Strauss Kahn ou de Nicolas Sarkozy).»

    « Si Valls avait joué la collectivité, l’idéal de justice en faisant confiance au droit et aux institutions, s’il avait laissé faire la justice et attendu que la sentence tombe, je n’aurais rien à dire » écrit-il encore. « Là, il reproduit exactement ce qu’aurait pu faire Sarkozy. Je ne vois aucune différence entre eux. Quand Valls dit qu’il va faire interdire les spectacles de Dieudonné ou que ce salopard n’est pas un humoriste mais un homme politique haineux et raciste, il incarne la loi, décide de ce qui est juste, de ce qui est un spectacle ou un meeting, avant que la cause ne soit entendue ou débattue. Il se moque du monde ».

    « Manuel Valls, comme Nicolas Sarkozy – se ressemblent. Même poids plume, mêmes communicants, même manière d’exhiber sa femme dans Paris Match, agit en ce moment en sniper sans s’en remettre à la loi, au droit, à la justice. Il se la joue frère et protecteur  de la communauté juive (c’est lui qui le dit et utilise ces mots). C’est une posture minable, une attitude de cours de récré ».

    « En montant en épingle à des fins politiques un événement qui ne le méritait pas, Valls –et maintenant le gouvernement- joue avec des allumettes. Dieudonné est devenu une vraie rock star. La rock star des pauvres et des désorientés… » affirme Denis Robert.

    Et des pauvres et des désorientés, mais aussi des citoyens éveillés  ayant compris la réalité de ce Système et en dissidence avec celui-ci,  après des décennies de co-gestion UMPS, de mensonges, d’affaissements à tous les niveaux, ce n’est pas ce qui manque constate Bruno Gollnisch.

    http://gollnisch.com/2014/01/09/levee-de-boucliers-contre-la-regle-du-je-de-valls/

  • Tentatives de censures sur Wikipedia

    Une demande de suppression des pages wikipédia de Ludovine de la Rochère, de Béatrice Bourges et du Salon Beige a été faite. Le motif invoqué serait que Mmes Bourges et de la Rochère ainsi que votre blog préféré auraient une notoriété insuffisante et uniquement passagère pour bénéficier d'une page wikipédia. Rappelons que Le Salon Beige est depuis plusieurs mois numéro 1 des blogs société du site ebuzzing.

     

    Quand on sait que la page du militant LGBT Nicolas Gougain à la notoriété, elle, vraiment passagère, et de certaines personnalités quasi inconnues du sport, de la musique ou de la télévision ou même de la politique (certains députés sont il faut le reconnaitre de quasi inconnus en dehors de leur circonsciption et du Palais Bourbon) sont toutes déclarées conforme au site, il ne fait nul doute que derrière cela se cache encore une tentative de désinformation et de rabaissement de la contestation.
    Pour s'opposer à celà il faut vite aller s'inscrire sur Wikipédia, se rendre sur les pages indiquées, cliquer sur "donner son avis" à propos de la demande de suppression et apporter la preuve via des articles ou vidéos de presse de la notoriété suffisante.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/tentatives-de-censures-sur-wikipedia.html

  • L'apprentissage contre le chômage : la preuve par la Suisse, sur France 2

    Eh, oui, on ne cesse de s'en plaindre, car c'est un scandale : le "monde journalistique", en France, est à gauche et à l'extrême-gauche, à 80, 85% voire plus; et, trop souvent, les journalistes font passer, à l'antenne, leur carte de parti avant leur carte de presse. C'est vrai, ce n'est pas normal, c'est même intolérable, et on l'a dit mille fois ici.

    Cependant, à lafautearousseau, on n'est pas grognon, on n'a pas mal au foie, et on tâche d'être juste : on prend son bien où et quand on le trouve et, de David Pujadas à Gilles Bouleau, à chaque fois qu'à la télé un journaliste nous offre du réel et du vrai, on s'en réjouit et on le signale...

    Ainsi, lundi dernier, 16 décembre, c'est à France 2 qu'est revenue la palme du bon reportage : Le miracle suisse, c'est sous cet intitulé que la chaîne a consacré la 43ème édition de son émission documentaire Un oeil sur la planète. Les Suisses en ont, d'ailleurs, été ravis, et ils n'ont pas tardé à le faire savoir, ce qui est bien naturel :

     http://www.bilan.ch/node/1010863

    Suisse : l'apprentissage vaut de l'or :

    https://www.facebook.com/20H.France2#!/photo.php?v=660384...

    C'est l'un des pays les plus riches d'Europe : très haut niveau de vie, chômage inférieur à 4%. Quel est son secret ? les banques ? Pas seulement... les Suisses ont aussi l'apprentissage. Là-bas, deux tiers des élèves deviennent apprentis à l'adolescence. Tout le contraire d'une voie de garage : une voie royale.

    La recette anti-chômage

    De telles performances expliquent que le taux de chômage soit l’un des plus faibles au monde. Mais c’est aussi la réussite du système de formation. Plus des 2/3 des petits Suisses quittent l’école à 15 ans pour entrer en apprentissage. Cela donne une main d’œuvre bien formée, bien payée et motivée car l’ascenseur social fonctionne toujours. Et la minorité qui fait des études bénéficie de conditions de rêve dans des établissements ultramodernes… (Un reportage de Julien Duperray et Annie Tribouart)

    Une vraie démocratie

    L’une des clés du miracle suisse tient en deux mots : démocratie directe. Le peuple suisse se mêle de tout, tout le temps et ça marche. A l’échelon local, cantonal ou fédéral, les citoyens suisses peuvent faire entendre leurs voix grâce aux votations et référendums. Loin d’être un frein à l’initiative, ces votes à répétition donnent une démocratie moderne et vivante. (Un reportage de Jérôme Tournier et Didier Dahan)

    Et nous, pendant ce temps-là, q'uest-ce qu'on fait ? Nous, c'est-à-dire ce Système, cette République idéologique qui nous abaisse, qui nous ruine, qui nous déclasse inexorablement ? Eh, bien c'est simple : elle fait exactement le contraire ! Vincent Peillon vient de supprimer la possibilité de l'apprentissage à partir de 14 ans ! Là où les Allemands (deuxième "bon" exemple, après la Suisse) ont un million d'apprentis, la France n'a jamais réussi à dépasser les 200.000. Et on va encore aller plus bas, alors que Suisse et Allemagne ont - grâce à l'apprentissage - un taux de chômage en général, et de chômage des jeunes en particulier très largement inférieur au nôtre. Mais, de cela, Peillon s'en fiche ; ce qu'il veut, c'est garder les enfants à l'école le plus longtemps possible pour les formater, pour les endoctriner, pour configurer leur esprit à sa nouvelle religion républicaine. En terme crus, pour leur "bourrer le crâne"...

    Alors, une seule solution : être révolutionnaires de ce Système nuisible, perfide et qui va directement à l'encontre des intérêts des Français.

    Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !... 

    vincent peillon ecole.JPG 

     Depuis 1798 et 1875, avec l'instauration de la République idéologique qui en est l'héritière, l'idéologie destructrice est préférée aux réalités...
  • Valls redit sa confiance à la Garde des Sceaux en remettant à sa place le général Soubelet

    Le général Bertrand Soubelet, grand patron des opérations et de l’emploi à la Direction générale de la gendarmerie nationale, a fait parler de lui ces derniers temps en osant dire tout haut, devant la commission de l’Assemblée Nationale de lutte contre la sécurité ce que les gendarmes pensent tout bas. Il a évoqué la lourdeur des procédures judiciaires dont les délinquants savent bien se servir. Il a dit l’inquiétude des gendarmes de voir les victimes moins bien traitées que les coupables. Il n’a pas hésité à dire : « Évidemment, l’insécurité et le sentiment d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée… Les auteurs d’atteintes aux biens (cambriolages, vols…), les plus importantes numériquement, bénéficient d’un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités. » Des propos totalement assumés puisque le général savait que les journalistes étaient présents dans la salle.

    Lors de ses vœux à la gendarmerie, le ministre de l’Intérieur Valls n’a pas manqué de faire allusion à cette sortie remarquée : « Je n’ai aucun doute de l’adhésion et de la loyauté de la gendarmerie. Les ministres de l’Intérieur et de la Justice concourent pleinement à l’autorité de notre Etat. Les forces de l’ordre et la justice doivent partager les mêmes buts. Avec la Garde des sceaux, nous sommes sur la même longueur d’onde. Je demande de poursuivre le travail dans le même état d’esprit et je ne tolérerai aucun manque à cette ligne de conduite sur le cap, la direction et la manière de travailler ensemble car l’engagement et la loyauté sont indispensables. »

    Lire la suite .....