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lobby - Page 2046

  • Les Nations Unies contre les communautés humaines

    Les organisateurs du nouvel ordre mondial ne veulent voir qu'une tête : celle de l'individu captif de ses plaisirs solitaires. Le totalitarisme moderne porte le masque du libéralisme.
    Naguère encore, l'expression : « c'est un homme du monde » désignait un monsieur qui savait se tenir en société. Il est à craindre que cette définition ne change du tout au tout, pour peu que l'anthropologie mondialiste qu'encouragent les grandes organisations internationales, à commencer par les Nations Unies, ne finisse par s'imposer. De cette « révolution anthropologique », Mgr Michel Schooyans, professeur émérite à l'Université de Louvain, a dressé l'édifiant état dans un ouvrage paru en 2006, sous le titre La face cachée de l'ONU : « l'homme n'est plus une personne, un être ouvert à autrui et à la transcendance ; il est un individu, voué à se choisir des vérités, à se choisir une éthique ; il est une unité de force, d'intérêt et de jouissance. Cette anthropologie, foncièrement matérialiste, entraîne aussitôt une conception purement empirique de la valeur. Il ne pourrait plus y avoir de place pour des normes morales objectives, communes à tous les hommes. » Cette description rappelle le texte de Jacques Attali, cité dans un précédent numéro de Monde et Vie (n° 872), dans lequel ce conseiller des présidents annonçait l'avènement d'une « humanité unisexe », composée d'individus occupés à satisfaire leurs désirs, « libres de toute contrainte et de tout engagement ». Autrement dit, aussi, de tout devoir.
    Une vision globale de la Terre
    La réalisation - largement commencée - de ce programme redoutable suppose toutefois que les nombreux liens naturellement tissés entre les êtres humains soient dénoués ou tranchés : tous les totalitarismes modernes ont ainsi tenté d'isoler l'individu face au système, au parti, au régime, à l’État… À cet égard, malgré les nouvelles formes qu'il adopte et les nouveaux masques derrière lesquels il se dissimule, le néo-totalitarisme instauré, de plus en plus rapidement, par l'ONU, ne diffère pas des autres. Les cercles communautaires, qui favorisent et fortifient les identités personnelles (et non pas individuelles) doivent donc être détruits.
    Les extraits, publiés par Michel Schooyans, du brouillon, rédigé en 2000, de la Charte de la Terre - charte qui devait devenir, selon le souhait de l'ancien président soviétique Mikhaïl Gorbatchev, le « décalogue de la nouvelle éthique globale » illustrent cette préoccupation. On y lit, parmi les « principes » fondateurs des nouveaux droits de l'homme : « Éliminer la discrimination sous toutes ses formes, telles que celles qui sont basées sur la race, la couleur, le genre, l'orientation sexuelle, la religion, la langue et l'origine nationale, ethnique ou sociale... » La « discrimination » sert ici d'alibi à la volonté de gommer toutes les différences, au bénéfice d'une humanité indéterminée et asexuée, qui correspond peu ou prou à l'annonce d'Attali et à ce que l'on voit actuellement se mettre en place, dans une conception holistique, autrement dit globale, de l'univers : « Reconnaître que la paix est l'intégrité créée par des relations correctes avec soi-même, d'autres personnes, d'autres cultures, d'autres formes de vie, la Terre et avec le tout plus grand, dont nous sommes parties », est-il exposé dans le dernier principe.
    Avortement, gender... tout y passe
    D'autres points appellent à « Assurer l'accès universel au soin de santé qui favorise la santé reproductive et la reproduction responsable... » : autrement dit, le contrôle et la planification des naissances, y compris par l'avortement et, dans certains pays, la stérilisation forcée ; à « Affirmer l'égalité et l'équité de genre comme pré-requis pour le développement durable... » : voilà 13 ans, les onusiens avaient donc déjà inscrit l'idéologie du genre parmi les principes de base de leur programme ; ou encore, à « Fortifier les familles et garantir la sécurité et l'éducation amoureuse de tous leurs membres » ce qui suggère évidemment que les enfants accèdent eux aussi à cette « éducation ».

    À peu près à la même époque (juin 2000) se tenait à New York une conférence de l'ONU intitulée « Women 2000 », qui insistait aussi sur l'idéologie du genre, sur l’ « orientation sexuelle », sur l'accès facilité à la contraception et à l’avortement, sur les différents « modèles familiaux » : monogamique, monoparentale, homosexuel, mis sur le même rang, ou encore sur l'éducation et la liberté sexuelles des adolescents, soustraites au contrôle des parents et inscrites « dans la perspective du "gender" et de "l'orientation sexuelle " », souligne Mgr Schooyans. Pour une fois, les promoteurs de la conférence - essentiellement les représentants des pays riches soutenus par les fonctionnaires de l'ONU, se heurtèrent à la résistance des pays pauvres.
    La suite a montré que cette déconvenue ne les a, hélas, pas découragés... Immédiatement après cet échec momentané, la Charte européenne des Droits fondamentaux a d'ailleurs couronné les mêmes principes, l'eurocratie bruxelloise campant sur les mêmes logiques et positions que les Nations Unies. Romano Prodi, alors président de la Commission européenne, estimait ainsi que « le modèle d'intégration européen (...) est un gisement à exploiter pour la gouvernance mondiale ». Car l'enjeu n'est pas moindre : il s’agit de bâtir, sur la ruine des corps intermédiaires et des communautés naturelles (à commencer par la famille et par la nation), le nouvel ordre mondial, qui récuse la diversité des hommes au noir du primat de l’individu.
    Eric Letti monde & vie 3 décembre 2013

  • Et Mélenchon, qui dénonçait la collusion des bonnets rouges bretons avec les cléricaux… Allez, Jean-Luc, joyeux Noël quand même.

    Les cheminots de Villefranche-de-Rouergue sont en colère. Touche pas à mes acquis sociaux ? Non, touche pas à ma crèche de Noël.

    Chaque année, au mois de décembre, les cheminots de Villefranche ont pris l’habitude de coller leur papier-rocher sur le comptoir et d’installer leurs petits santons. Mais mardi, une note envoyée par la direction régionale de Toulouse leur a demandé de « retirer la crèche au plus vite ». Un usager, « choqué de voir un signe religieux ostensible dans un lieu public », a en effet écrit à la direction. Alors les cheminots ont tendu une bâche sur l’objet du scandale et mis une pancarte bien en évidence sur la vitre du guichet : « Suite à la plainte d’un client, nous ne pouvons exposer la crèche. Crèche que la gare de Villefranche met en exposition depuis dix ans !! ».
    La direction de la SCNF régionale est bien ennuyée. Elle ne s’attendait pas à un tel barouf. Un cheminot en pétard, ce n’est jamais souhaitable, voyez-vous. Elle tente de « dédramatiser », d’ouvrir le « dialogue ». Qu’à cela ne tienne, elle va « questionner » sur cette « question de laïcité » « sa direction de l’éthique ». C’est important, ça, le délibéré des sages de la SNCF quant à l’épineuse question de savoir si exposer une crèche au moment de Noël est « éthique ». Les agents SNCF de Villefranche vont sûrement adorer. Non que ces cheminots-là soient plus grenouilles de bénitier qu’ailleurs. Non qu’ils aillent plus souvent à la messe que les autres. Mais cette crèche-là, avec son petit Jésus dans la paille, c’est ce qu’ils ont reçu dans le paquetage en débarquant sur cette terre, tout ce qui leur reste de la foi de leurs ancêtres. Un héritage impalpable. Qu’ils le délaissent, c’est un fait, qu’ils n’y pensent pas souvent, cela les regarde. Mais pas touche ! Que personne ne s’avise d’aller y poser ses pattes. Parce qu’ils savent aussi que si l’on commence à tirer le fil, la bobine est sans fin : soyons clairs, est-ce que faire bombance et échanger des petits présents précisément le jour de la Nativité n’est pas en soi une entorse grave à l’éthique laïque ? On pourrait promouvoir une autre date de festivité plus neutre, et le 25 décembre, ce serait désormais coquillettes et knacks pour tous. Knacks au poulet, s’entend, pour ne froisser personne.
    Gabrielle Cluzel
    La suite sur Boulevard Voltaire
    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Et-Melenchon-qui-denoncait-la

  • Dieudonné, ou la quenelle de la discorde…

    La prohibition entraine ipso facto un déplacement d’objet, une envie de goûter au fruit défendu. Depuis Ève, la chose est entendue.
    Bien fait pour eux ! Quand on sème la m…, on récolte l’ouragan ! La France d’en haut se prend un bon coup de quenelle dans la figure, ai-je songé en voyant lemonde.fr du 11 décembre faire sa une sur le geste antisystème inventé par Dieudonné. Parce que vient un moment, après que Yann Barthès ou Tony Parker se sont fait piéger en répétant le geste blasphématoire, où les médias ne peuvent plus faire l’impasse sur un phénomène de société.
    Cela fait des années que Dieudonné remplit des gymnases entiers de fans enthousiastes et rigolards chantant Shoananas, et la médiacratie a feint de l’ignorer. La vidéo Dieudonné répond à Valls, du 29 août 2013, a été visionnée près de 2 millions de fois ! Dieudonné y parle de résistance, casque de FTP vissé sur la tête, et appelle à la rébellion, en particulier au sein des forces armées. Le pouvoir a voulu museler l’amuseur à coups de procès, d’amendes et de redressements fiscaux, mais en vain. Alors la presse ne peut plus faire semblant d’ignorer le raz de marée et se penche sur le cas de la quenelle pour l’expliquer au troupeau hébété de ses lecteurs, sans jamais poser la question : pourquoi ?
    Stephan A. Brunel la suite ....

  • Les Hommens rallient la Marche pour la vie

    Par ce communiqué :

    "Les HOMMEN Protect Kids, radicalement du côté des enfants, défendent et continueront de défendre les droits des plus faibles. Depuis bientôt un an, des bénévoles de la résistance HOMMEN se sont levés aux quatre coins de France pour combattre les idéologies ambiantes à grand coup de réalités naturelles incontestables. Loin d'une opposition temporaire à un texte de loi ou d'une simple protestation, c'est un véritable combat qu'il s'agit de continuer activement. Vous êtes responsables.

    Les HOMMEN vous appellent à participer à la Marche pour la Vie le 19 janvier prochain à Paris. Tous les enfants doivent être défendus. Il est temps. Vous êtes les gardiens de la nature et de ses lois, vous êtes les soldats de la vérité, et les idéologies sectaires ne peuvent rien contre vous ! N'oubliez jamais que la victoire du mal, c'est l'inaction des hommes de bien ! La résistance du dimanche, c'est terminé. Venez. Nous, nous serons là. On vous attend."

    Leur site http://hommen-officiel.fr/

  • GPA : des magistrats en guerre contre Taubira

    Lu sur L'Opinion (1):

    "Des magistrats en guerre contre le ministre de la Justice, un greffier en chef qui part à la retraite trois ans plus tôt que prévu, la nationalité d'un enfant né dans le cadre d'une gestation pour autrui (GPA) en Inde, voilà les ingrédients d'une affaire aujourd'hui devant le Conseil d'Etat. Elle démarre en janvier 2013, lorsqu'un Français demande un certificat de nationalité pour un bébé de 4 mois, en arguant que la mère, indienne, avait de son côté renoncé à ses droits parentaux. Cette demande est parvenue au greffe du tribunal d'instance de Toulouse au moment même où était envoyée la désormais fameuse « circulaire Taubira » qui avait soulevé une vive polémique lors des débats sur le mariage pour tous. Celle-ci demande aux greffiers de ne plus refuser systématiquement la nationalité française aux enfants nés de mères porteuses. La GPA est pourtant interdite en France. Mais des couples stériles ou homosexuels se rendent en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, en Belgique ou en Inde pour pouvoir en bénéficier. Selon la circulaire, un simple « soupçon » de GPA ne peut suffire à opposer un refus de certificat de nationalité, si les actes d'état civil attestant de la filiation sont probants.

    Henri Valid, greffier en chef de Toulouse, a tout de même préféré mener une enquête avant d'accorder la nationalité française au bébé né en Inde. Le père de l'enfant lui avait indiqué qu'il avait eu recours à une GPA. Le greffier a donc écrit au consulat de France à Mumbai (ex-Bombay) pour savoir si tout avait été fait dans les règles. On peut comprendre sa méfiance lorsqu'on sait à quel point la procréation assistée est devenue une vraie industrie en Inde, encore très peu réglementée et donnant lieu à de multiples dérives. Le requérant ne cessant de harceler son adjointe, Henri Valid lui envoie un courrier dans lequel il lui rappelle plusieurs articles du code civil, les droits de l'enfant, etc... Bien mal lui en a pris. Il est convoqué peu après par le président et le procureur du tribunal d'instance de Toulouse. On lui fait comprendre en termes secs qu'il est sorti de son devoir de réserve et même si les mots ne sont pas prononcés, il sent bien la menace de sanctions disciplinaires. Puis, on lui demande de quitter le bureau sans aménité. Craignant d'être rétrogradé, ou muté loin de chez lui, Henri Valid, 62 ans, préfère en juin 2013 faire valoir ses droits à la retraite. Il avait reçu auparavant l'instruction du bureau de la nationalité au ministère de la Justice, de rédiger un certificat de nationalité... provisoire qui devra être revu à la majorité de l'enfant. Preuve sans doute que même au ministère, on commence à mettre des bémols à la circulaire.

    Celle-ci fait aussi l'objet d'une attaque par le syndicat syndicat FO magistrats. « C'est tout de même étonnant que ce syndicat défende les mêmes arguments que moi pour attaquer la validité de la circulaire, alors que j'ai subi des pressions d'autres magistrats pour l'appliquer », remarque aujourd'hui Henri Valid, amer. « La question se pose de la compétence de la Garde des sceaux de revenir par voie de circulaire sur des textes d'origine législative consacrée par une jurisprudence de la Cour de Cassation », peut-on lire dans le mémoire de FO magistrat. Pour envenimer encore la polémique, la Chancellerie soutient que le syndicat n'a pas intérêt à agir devant le Conseil d'Etat. « La circulaire est illégale parce qu'elle demande à des fonctionnaires de justice de taire leurs soupçons et de faire comme si de rien n'était, explique Emmanuel Poinas, secrétaire général du syndicat. En tant que magistrats, nous sommes chargés de mettre en œuvre la circulaire et il n'y a aucun motif de dénier notre capacité à agir. .» [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/
    (1)http://www.lopinion.fr/17-decembre-2013/gestation-autrui-magistrats-en-guerre-contre-ministre-justice-7263

  • EELV pour la dissolution de la France et des nations d'Europe

    La bobo écolo gaucho Emmanuelle Cosse d’EELV souhaite la dissolution de la France et des nations européennes. Les euro-mondialistes immigrationistes ne se cachent plus. Nous voyons le vrai visage au grand jour, ils veulent faire disparaitre les peuples européens et leurs cultures enracinées dans un grand Maelstrom décadent.
    http://www.youtube.com/watch?v=4_NdzyBw_RQ

  • Laurent Brayard: « La grande majorité des médias français sont contrôlés »


    Laurent Brayard,Français habitant en Russie et rédacteur pendant un moment à la Voix la Russie, raconte sur son blog (1) une histoire assez étonnante qui lui est arrivée avec un journaliste français. Intrigué, nous avons voulu en savoir plus et il a bien voulu répondre à nos questions tout en nous offrant un panorama de la presse russe par la même occasion.



    1) Laurent Brayard, pourriez-vous d’abord brièvement vous présenter aux lecteurs ?

    Bonjour à vous, je suis un journaliste indépendant mais aussi un historien et un écrivain. Je vis en Russie, à Moscou depuis quatre ans, j’ai 41 ans. J’ai longtemps vécu en Bourgogne, ma terre de cœur mais les hasards de la vie et une grande histoire d’amour m’ont conduit vers la Russie.



    2) Sur votre blog, vous racontez une histoire vraiment étonnante. Un journaliste français, que vous connaissiez depuis longtemps, vous a avoué récemment vous avoir retiré de ses contacts twitter parce que ce que vous écriviez n’était pas dans ligne des rédactions françaises et que son rédacteur en chef lui avait fait le reproche d’être en contact avec vous. Pourriez-vous nous en dire plus ?

    Je suis en France depuis quelques semaines, à cause d’un grave accident qui a manqué de me coûter la vie. Ce séjour forcé m’a fait penser un moment que je pourrais vivre à nouveau en France avec ma compagne. J’ai donc cherché du travail et j’ai écumé tous les médias nationaux et les régionaux proches de ma région. Ayant travaillé pour La Voix de la Russie, média public russe, je savais déjà que je porterais à vie une sorte d’étiquette du genre « Kremlin » sur le front ! Mais j’ai vite compris que cela serait pire encore que ce que j’imaginais. Je n’ai pas qu’un ami qui travaille dans le journalisme. J’ai été surpris de l’absence de solidarité, par les silences ennuyés à la fois de mes amis et des rédactions. L’ami dont je parle, est un ami d’enfance, il travaille pour un très grand journal régional, l’un des plus importants de notre pays. Je ne peux pas, sans lui créer des ennuis, le citer, au moins par fidélité à notre amitié et par principe, je peux seulement ajouter que le journal en question est Sud-Ouest… une très grosse boutique, le 2e quotidien régional français. La conversation que j’évoque a eu lieu dans un cadre privé, des retrouvailles entre vieux amis. Ma surprise fut grande d’entendre mon camarade pendant la moitié de notre rencontre, me marteler que je devais, supprimer mes réseaux sociaux, disparaître de la toile si je voulais un jour travailler dans le journalisme en France et vendre des livres… L’histoire que je raconte est vraie, il a été sermonné par sa rédaction pour m’avoir dans ses contacts Twitter et a dû rendre des comptes. Pendant les quelques heures de notre conversation, il a vainement tenté de m’expliquer qu’il fallait absolument que je reste dans la rédaction d’articles dans une ligne modérée centriste, le plus neutre possible et en évitant d’écrire contre la gauche et en particulier ce qui pourrait froisser les milieux gays, de gauche ou des pouvoirs en place.

    Marie -Madeleine Courtial Lire la suite.... =>http://medias-presse.info/laurent-brayard-la-grande-majorite-des-medias-francais-sont-controles/4166

    1) http://laurentbrayard.blogspot.fr/

  • « Religion et partage »

    La bourgeoisie "catholique" française a détruit la France rurale et le catholicisme populaire, a chassé les braves gens (les ringards, ceux qui aimaient les belles cérémonies) des églises en transformant la religion catholique en une secte scientiste d'adorateurs des embryons et des cellules embryonnaires, autorisant ainsi une inflation dans l'hypocrisie et l'affecté dans précédent dans l'histoire. Le monde peut crever, mais que vivent leurs larves, réelles ou fantasmées !
    Or cette bourgeoisie qui a déstructuré des milliers de villages, réduit à la pauvreté des millions de salariés, introduit l'horreur de l'élevage industriel, cette bourgeoisie qui utilise la religion comme radotage permettant de distancer et occulter les malheurs et les souffrances des hommes et des bêtes mais qui s'épanche et se pâme sur ses embryons, cette bourgeoisie d'une méchanceté innommable, gâteuse et radoteuse s'aperçoit soudain un beau jour de haine (c'est a dire un jour comme les autres) que certains homosexuels revendiquent le "droit au mariage" et peuvent devenir des concurrents sérieux pour l'accumulation et la transmission du capital.
    "Alerte, branle-bas de combat ! La civilisation est en danger ! Les pédés vont se marier, ils vont connaître toutes les ficelles et les magouilles de la transmission des héritages ! Ils vont avoir leurs notaires, leurs conseillers, il va falloir partager le terrain des magouilles avec des tapettes qui ne sont pas toutes du clan !
    En plus, tous ces branchés font énormément de fric dans les domaines où on l'on est hors jeu : mode, publicité, médias. Ça va être la fin du monde ! Alerte ! "
    Il ne s'agissait que d'un combat entre deux fractions de la bourgeoisie : l'une agonisante et vitrifiée s'égosille en crachant ses dernières méchancetés, l'autre en pleine ascension, plutôt rigolote finalement, vivante en tous cas et parfois politiquement intelligente.
    Que des braves gens aient été trompés et embrigadés par de tels faux-culs, je veux dire la bourgeoisie "catholique" adoratrice de l'argent d'abord, des embryons ensuite, c'est simplement triste.
    Mais le plus triste, c'est que cette mobilisation lamentable et grotesque d'une caste d'une cruauté inimaginable ait pu interférer avec les préoccupations des rares personnes qui cherchent sérieusement à comprendre notre déclin et à le contrer.
    Jacques-Yves Rossignol

  • 2.000 milliards d’euros de dette : de la folie furieuse…

    Que représente cette dette ? Près de 50 milliards d’intérêts à rembourser par an... plus que ne rapporte l’impôt sur le revenu !

    Le PIB et la dette, je confesse que je n’y pense pas tous les matins en me rasant, mais assez souvent quand même, notamment lorsque les contributeurs de Boulevard Voltaire nous signalent un nouveau gaspillage des deniers publics. Comme, par exemple, le papier de Marie Delarue qui nous révélait l’autre jour le coût de la dernière foucade de Fabius : « Il a décidé d’envoyer à l’autre bout de la planète [en Chine] la très symbolique Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix, mais le tableau est en mauvais état. Fabius s’en bat l’œil… Il a donc fallu concevoir un cylindre métallique adapté tant à l’avion qu’à la caisse, doté des instruments destinés à mesurer la pression… Soit une facture de quelques millions d’euros… »

    Après l’avoir lu, j’ai évidemment repensé à la relation PIB-dette. Pour mémoire, le PIB est le produit intérieur brut. En gros, il correspond à la production de richesse de la France : environ 1.800 milliards par an en 2012.

    Paul Veglio - lire la suite.... =>

  • Les associations qui soutiennent la Marche pour la vie

    Après les évêques, voici les membres de la société civile qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :

    Florence Allard, auteur de « Le traumatisme post avortement », Gynécologue
    Jean Christophe André Dumont président de Jurivie ( Belgique)
    Jean Paul André Dumont président de Pro Vita (Belgique)
    Bernard Antony président de l'AGRIF
    Jean Philippe Audouy président de l'Association Familiale Louis et Zélie Martin
    Rémy Bague président de la Life Parade
    Henri Blocher, Professeur & Doyen honoraire à la Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine
    Bourcier de Carbon, Démographe
    Béatrice Bourges présidente du Collectif pour l'Enfant
    Elisabeth Bourgois, Infirmière et écrivain
    Antony Burckhardt, porte-parole de la Marche pour la Vie de Bruxelles
    Carlo Casini, Président du Mouvement pour la Vie Italien et Député Européen
    Le Comité d'accueil de l'enfant et d'aide aux Futures Mères
    La Confédération Nationale des Associations familiales Catholiques
    Jean-Pierre Dickès, Président de l'association catholique des Infirmières (A.C.I.M.) et éditeur des Cahiers Saint Raphael
    Jacques Dupaquier, Membre de l'Institut, Historien
    Alain Escada, président du Collectif "Papa, maman et moi" (Belgique)
    Fédération Nationale de la famille Française
    Femina Europa
    Les Femmes et les enfants d'abord
    Secours aux futures
    Fondation Jérôme Lejeune
    François Foucart, journaliste à France Inter puis à Radio Notre-Dame
    Pierre Gastal, Femmes enceintes en difficulté
    Christophe Geffroy, Directeur de la Rédaction de La Nef
    Astrid Ghislain, Jeunes pour la vie
    Ivan Gobry, Professeur des facultés
    Pierre Goube de Laforest, Président du Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine
    Alain Guillo, UNEC
    Yves Guyomar, Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante
    Joël Hautebert, Président de l'association Objection, Professeur des Universités
    Jacques Hindermeyer, Institut national de réadaptation (fondateur) Professeur de médecine des facultés
    Bernard Huck Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine Doyen
    Institut d'études politiques Léon Harmel (IPLH)
    Wilbert Kreiss Professeur de théologie Luthérienne en retraite
    Henri Lafont Président de l'Association des Médecins pour le Respect de la Vie
    Jean Legrand, Association pour le développement démographique
    Birthe Lejeune, Vice-présidente de la Fondation Jérôme Lejeune
    Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune
    Denis Lensel Journaliste & écrivain
    Angela de Malherbe Centre d'Education pluridisciplinaire de la Personnalité Teen Star
    Patrice Martineau Auteur compositeur
    Roger Martineau Auteur compositeur
    Philippe Maxence, Rédacteur en chef du bimensuel L’Homme Nouveau et écrivain
    Rosny Minvielle, Professeur des facultés de droit
    Elisabeth Montfort, Conseil Régional d'Auvergne; Ancien député européen, Conseillère régionale
    Association Notre Dame de Kabylie
    Papa Maman et Nous
    Piero Pirovano, Président de Solidarité (Italie)
    Samuel Potier Président de Fidelis Santé
    Promouvoir
    Reconquète
    Michel Rouche, Professeur émérite à La Sorbonne
    Jeanne Smits, directeur de Présent
    SOS la Vie
    Liliane Stevenson, Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques
    Denis Sureau, Directeur de la Publication de « L'Homme Nouveau », « Chrétiens dans la Cité », « Transmettre »
    Anne Sophie Tampe, Jeunes témoins de la Vie Humaine
    Jean de Taurier, président du Pèlerinage Notre Dame de Chrétienté
    Jean Louis Thes, Institut de Politique Familiale
    Alain Toulza, Comité d'initiative pour la Dignité Humaine
    La Trêve de Dieu
    Union pour la Vie
    Paul Wells, Faculté de Théologie réformée d'Aix en Provence
    J C Willke, Président International Right To Life Federation
    Gero Winkelmann, Doctors for Life (Allemagne)

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/