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lobby - Page 2071

  • Les candidats du FN « fliqués » par l’UMP

    FN-MPI

    Un communiqué de presse du Front National dénonce « les méthodes de flicage » mises en place par l’UMP pour analyser le pédigrée de chaque candidat du Front National aux élections municipales.

    « Jean-François Copé aurait manifestement doté l’UMP d’une cellule chargée de fliquer les candidats du Front National ». Il s’agit selon les explications de l’UMP «d’une équipe internet, chargée de passer au crible les nouveaux candidats du Front national : leur vie, leurs fréquentations, leur passé sur les dix dernières années.»

     Selon le communiqué du FN, « l’UMP et ses dirigeants ont choisi de continuer à jouer les supplétifs des socialistes, traquant le Front National avec un zèle qu’on ne rencontrait plus qu’à SOS Racisme. »

    Une attitude qui ne favorisera certainement pas le report des voix en cas de second tour PS contre UMP.

    http://medias-presse.info/les-candidats-du-fn-fliques-par-lump/3606

  • Manuel Valls tente de faire disparaître cette vidéo !

  • Réprimer les dérapages verbaux ne règle rien…

     

    « Roms, l’unique objet de mon ressentiment », semblent dire les uns après les autres les maires de Cholet, de Croix ou de Roquebrune-sur-Argens. Ces « dérapages » verbaux, épinglés par les médias et sanctionnés ou au moins désavoués par les partis de rattachement, sont faciles à stigmatiser.

    Il est plus intéressant d’analyser le processus dans lequel ils se situent. La présence inopportune, non souhaitée et dérangeante des Roms est de plus en plus mal supportée par les riverains des campements insalubres dans lesquels ils s’installent illégalement, en suscitant de nombreux soupçons sur leurs activités et l’origine de leurs ressources. Les élus locaux, parfois détenteurs de mandats nationaux, sont souvent dans la situation schizophrénique de tenir des discours « politiquement corrects », c’est-à-dire hypocrites dans leurs interventions officielles, et de se laisser aller à des boutades démagogiques dans la chaleureuse ambiance des réunions de proximité : un bon mot, un excès de langage ou un coup de colère qui rencontrent l’adhésion de l’assistance par le rire ou les applaudissements sont des tentations difficiles à éviter.

    La liberté d’expression est un indicateur de l’opinion qu’il faut prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard.

    Cette question est celle de la tolérance. Lorsque la passivité à l’égard de l’illégalité, voire de la délinquance, accompagne la répression de la parole indignée contre elles, alors c’est la société qui dérape et devient injuste aux yeux de la plupart des citoyens. Spinoza écrivait : « Il est impossible d’enlever aux hommes la liberté de dire ce qu’ils pensent. » Si on les en empêche, ils n’en penseront pas moins, jusqu’au moment où la pression de l’inacceptable deviendra telle que faute de parole, on passera aux actes.

    La liberté d’expression est donc à la fois une libération salutaire, une « catharsis » et un indicateur de l’opinion qu’il faut prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard. Une sorte de désobéissance civile « à blanc ». Toutes les désobéissances ne se valent pas. Lorsqu’une poignée de farfelus estiment posséder la vérité qui leur donne le droit de saccager un magasin ou un champ expérimental d’OGM, c’est doublement inacceptable, puisqu’aucune censure ne frappe leur discours et que leurs victimes sont dans la plus parfaite légalité. En revanche, comme le dit encore Spinoza : « Une mesure provoquant l’indignation générale a peu de rapport avec le droit de la Cité. » Autrement dit, lorsque l’opposition à une situation, même protégée par le droit, soulève les foules, comme on le voit en Bretagne, il est nécessaire de lui trouver une solution politique et non judiciaire.

    Les dérapages verbaux ne sont que des signaux annonciateurs. Les réprimer aveuglément revient à casser le thermomètre lorsque la fièvre monte. Actuellement, les Roms sont nombreux à venir et à revenir en France, à s’y installer dans des conditions déplorables, à se livrer pour certains à la mendicité et à des activités délictuelles. Ils seront plus nombreux demain si l’on intègre leurs pays d’origine – assez incertains, comme l’affaire Leonarda l’a montré – dans l’application du traité de Schengen. La lenteur de la justice, la volonté et les moyens de l’État, le droit et l’idéologie de l’oligarchie européenne irritent davantage encore l’indignation. Comme beaucoup d’autres en ce moment, il faut l’écouter, entendre un peuple qui pense à 88 % que les gouvernants ne s’intéressent pas à ses problèmes.

    Christian Vanneste dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/reprimer-les-derapages-verbaux-ne-regle-rien_92477.html#more-92477

  • Face à la répression de la Manif pour Tous, la résistance s'organise

  • Passe moi ta montre je te donnerai l’heure

    Konk.jpgLa formule fait florès, est reprise dans tous les médias, le stade de Soweto sera  aujourd’hui « le centre du monde »,  « le nombril de la  planète », puisque l’hommage à Nelson Mandela  s’y déroulera   en présence d’une centaine de chefs d’Etat.  Deux d’entre eux seront invités à prendre la parole.  D’abord  le vieux dinosaure communiste Raul Castro, au nom de la solidarité marxiste que l’Etat cubain a manifesté  de tout temps aux révolutionnaires de l’ANC.  M. Mandela, qu’ « Amnesty international, pourtant d’une extrême indulgence à l’égard des militants  progressistes  avait toujours refusé de l’adopter comme  prisonnier de conscience du fait qu’il ne rejetait pas la violence » (Le Bulletin d’André Noël ), fut aussi un  des dirigeants  clandestin du PC sud africain, malgré ses dénégations. Outre le dirigeant communiste cubain, prendra également la parole à Soweto  Barack Obama, à la tête d’une première puissance mondiale se voulant  elle aussi  arc-enc-ciel, président  symbole du mondialisme métissé qui serait notre avenir indépassable  et le modèle commun « planétarien » obligatoire. La boucle  est bouclée,  le symbole assez transparent…

     Les polémiques financières se sont invitées en France  dans le cadre de cet hommage, notamment sur le coût du déplacement de François Hollande et de Nicolas Sarkozy (en tant qu’ancien président) en Afrique du Sud.  Une facture salée dont a pris prétexte le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, pour  ne pas se rendre aux funérailles de Nelson Mandela.

     Le dirigeant d’extrême droite est en effet déjà  sous le feu des critiques  dans son pays  du fait des dépenses  occasionnées aux contribuables israéliens pour l’entretien de ses différentes résidences. Or  le prix du voyage en RSA  et de la sécurité sur place de M. Netanyahu, s’élèverait à 1,45 million d’euros.

     Mais les médias de l’Etat hébreu ont surtout insisté sur le fait que l’extrême droite israélienne, quand elle fut au pouvoir, noua dans le passé des relations solides avec le régime afrikaner. Et que Benyamin Netanyahu   ne souhaitait pas rendre hommage à un Mandela qui soutint de longue  date les revendications des Palestiniens et critiqua vivement la « politique d’apartheid » que mènerait Israël à leur égard. 

     Si ce souci d’économie cache donc d’autres motivations, notons qu’en France même, la classe politicienne sait être généreuse avec les défenseurs de la démocratie et du pluralisme. Déjà financé dans le passé  par le super capitaliste Lagardère, l’amendement 410, du 03 décembre 2013 de l’Assemblée nationale nous apprend ainsi que le quotidien communiste  L’Humanité sera une nouvelle fois renfloué avec l’argent des contribuables.

     L’Huma, le quotidien sans lecteurs  déjà le plus subventionné,  ne disparaîtra pas car est-il indiqué dans cet amendement, « les créances détenues sur la Société nouvelle du journal L’Humanité au titre du prêt accordé le 28 mars 2002, réaménagé en 2009 et imputé sur le compte de prêts du Trésor n° 903‑05, sont abandonnées à hauteur de 4 086 710,31 euros en capital. Les intérêts contractuels courus et échus sont également abandonnés» est-il écrit.

     Bref,  au motif que les débiteurs communistes ne peuvent plus payer, l’Etat abandonnerait ses créances sur le journal… comme c’est pratique ! Cette justification ne manquera pas d’interpeller nos compatriotes, les entrepreneurs, commerçants,  artisans qui croulent sous les charges et les impôts et  n’ont jamais droit à aucune mansuétude

     Un internaute nous faisait part  de cette étude de l’Institut Coppet qui rappelle qu’à la fin de l’Ancien Régime, les Français travaillaient 18 jours par an pour financer les dépenses de l’État, alors qu’aujourd’hui, un salarié  travaille  du 1er janvier au 26 juillet pour l’État. La formule désignant  naguère le calamiteux système communiste constate Bruno Gollnisch,  s’applique  de plus en plus à notre Etat socialo-européiste confiscatoire:  « passe moi ta montre je te donnerai l’heure ».

     L’historien Nicolas Delalande (auteur du livre Les Batailles de l’impôt) rappelait récemment qu’autour de 1900, le taux d’imposition représentait environ 10 % de la richesse nationale, aujourd’hui, « le niveau des prélèvements se maintient entre 42 % et 46 % du PIB ».

     Or, souligne t-il, le consentement à l’impôt vient d’un pacte entre le citoyen-contribuable et l’Etat pour que celui-ci assure trois fonctions régaliennes fondamentales, indispensables: l’État protège l’intégrité du territoire protégé par des frontières ; l’État bat monnaie (garantissant l’indépendance de la nation),  l’État rend la justice (impartiale, au nom et dans l’intérêt du peuple français).Pourtant, aujourd’hui, «l’État a ouvert les frontières, l’État ne bat plus monnaie, et l’État rend une justice politique servant des lobbies et/ou des idéologies contre le peuple».

     Voilà la conséquence directe de la soumission de notre classe politicienne à l’idéologie euromondialiste affirme Bruno Gollnisch.  Français qui ne fêteront pas demain constate-t-il encore,  le vingtième anniversaire (11 décembre 1993)  de l’adoption par les douze pays alors  membres de l’UE du  Livre Blanc de Jacques Delors,  qui devait  relancer la croissance et lutter contre le chômage en Europe.

     Nous en voyons les résultats dans notre pays : plus de trois  millions de chômeurs, huit millions de pauvres, nos industries détruites sur l’autel de la mondialisation et de l’ultra libre échangisme sans   frontières ni protections, une  croissance en berne, une  balance commerciale durablement plombée,  2 000 milliards d’euros de dettes publiques…

     Face aux mensonges, à  l’autisme de l’UMPS, à l’incapacité des partis euromondialistes à changer de logiciel, le FN représente une alternative sérieuse dont les Français  doivent se saisir dés 2014. Il est encore temps.

    http://www.gollnisch.com/2013/12/10/passe-moi-ta-montre-je-te-donnerai-lheure/

  • Répression politique contre les Mères Veilleuses

    Pour faire suite aux photos, la vidéo :

  • L'agenda qui va donner des cauchemars à Taubira en 2014

     

    Grégoire Boucher, le directeur des éditions TerraMare, explique à l'Homme Nouveau les raisons qui ont conduit à proposer cet agenda militant :

    A"Notre objectif depuis l’origine, il y a cinq ans, avec l’agenda Benoît XVI, était de nous opposer aux médias du système qui déversaient chaque jour des tombereaux d’ordures et d’injures sur l’Église et sur le Saint-Père. Cela devenait intolérable et il fallait réagir, afin d’apporter la contradiction par les faits et par les textes, d’éclairer les esprits et les consciences et convertir les sceptiques, les ignorants ou les opposants. Avec cet Agenda pour tous 2014, la démarche reste la même : militante et apostolique. Toucher les cœurs restés froids depuis un an, malgré tous nos efforts, ou réchauffer les cœurs qui se seraient refroidis, par fatigue ou découragement.

    À qui s’adresse-t-il ?

    À tous ! Tous ceux qui ont besoin de se nourrir pour ne pas se décourager, ceux qui vont l’utiliser pour faire de l’apostolat auprès de ceux qui n’ont pas encore compris l’importance de ce combat pour notre civilisation de la vie contre la culture de mort que veulent nous imposer tous ces croque-morts qui nous gouvernent.

    Comment s’est opéré le choix des contributeurs ?

    De manière totalement subjective ! Nous avons choisi de donner la parole aux acteurs dont l’action ou la réflexion a contribué, pendant l’année 2013, à éclairer les consciences et à faire grandir cette petite fille Espérance partout en France. Nous nous sommes interdits tout parti pris, volontairement, pour être fidèles à l’esprit de ce grand mouvement populaire qui n’appartient à personne. Dans cet esprit, nous avons même sollicité Virginie Tellenne, alias Barjot, dont le rôle est indéniable, malgré ses derniers dérapages, mais elle a décliné l’invitation. À l’inverse, nous nous sommes refusés à y convier ceux qui avaient trahi leurs engagements ou pire, leur parole, comme Jean-François Copé ou Hervé Mariton et tous les champions de la récupération politique et du retournement de veste.

    « On ne lâchera rien, jamais » est un engagement sérieux et définitif, qui s’adresse à ceux pour qui une parole donnée a un sens. Beaucoup d’appelés, peu d’élus…

    Comment analysez-vous cette année 2013 ?

    C’est une année historique qui aura, à terme – long ou court – un poids aussi considérable, mais a contrario, que Mai 68. Il y a cinquante ans, les fils de la révolution marxiste, matérialiste et individualiste ont gagné une bataille, dont nous subissons encore les derniers soubresauts. Toutes les lois mortifères sur l’avortement, la peine de mort, le divorce, le quotient familial, l’ouverture des frontières, la perte des pouvoirs régaliens, l’euthanasie, la marchandisation des cellules souches et des embryons, l’extermination des enfants atteints de maladies génétiques, le pourrissement planifié et obligatoire de nos enfants dès la maternelle, voulu tant par les très sarkozistes Luc Chatel ou NKM que par l’idéologue Peillon ; sans oublier l’ouverture de salles de shoot et le projet de dépénalisation de la drogue… tout cela n’est pas seulement dans le roman prophétique de George Orwell, c’est devenu l’effrayante réalité imposée en France et partout dans le monde par les valets d’une mondialisation destructrice de la nature humaine, et qui veut faire de l’être humain un objet, un bien de consommation. Mais ce château de cartes va s’effondrer, comme se sont toujours effondrées les idéologies mortifères. Et 2013 marquera dans l’Histoire cet élan de vie, de survie même, qui une fois de plus sera issu de notre belle terre de France et aura été porté par un « peuple de géants ». [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Moulins] CR de la conférence du Printemps Français du 7 décembre à Moulins

    "Comme annoncé, Résistance Bourbonnaise à tenu ce weekend, à Moulins, sa première conférence sur le thème de la Résistance. Nous pouvons nous féliciter tant de la qualité des interventions de Béatrice Bourges et de Frédéric Pichon que de la forte mobilisation du public (70 personnes). D’autres conférences sont d’ores et déjà programmées. "

    Résistance Bourbonnaise

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Moulins-CR-de-la-conference-du

     
  • L’Histoire de France à la poubelle

    Les Soviétiques n’avaient pas fait pire que ce qu’a entrepris depuis des décennies ce qu’il est convenu de nommer l’Éducation nationale de France : dilapider l’héritage de ‘’notre’’ histoire, la découper en tranche et rejeter ce qui ne correspond pas à la vision idéologique qu’elle cherche à imposer à la jeunesse française, tout autre chose que la simple vérité.

    Car l’histoire de la France, notre patrie, ne lui appartient pas : elle ‘’nous’’ appartient’’, elle est l’âme de ce peuple que nous sommes, comme l’est également sa langue. Notre droit à notre histoire est absolu et la ‘’massacrer’’ – comme l’écrit Fabrice Madouas dans Valeurs actuelles de cette semaine – est à la fois un viol et une sorte de génocide culturel. (La nullité de l’enseignement général comme de la langue française en particulier participe au même crime dont l’État français est responsable ‘’et’’ coupable.) [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

  • Classes prépa : les excellents propos de Jacques Julliard

    L’AF 2873 avait épinglé Jacques Julliard : aussi est-elle d’autant plus libre de saluer les excellents propos, libres de toute démagogie, tenus par l’éditorialiste de Marianne sur les classes prépas dans le numéro du 7 décembre 2013.

    Malheureusement pour le magazine, Marie Huret (p.42 du même magazine) se livre à cette "vindicte de tous les médiocres" dénoncée par Julliard (p.12). L’honneur de Marianne est sauf !

    " Sous prétexte d’en faire profiter les enseignants des zones défavorisées, on a entrepris de réduire dans des proportions importantes, de l’ordre de 10 %, la rémunération des profs de prépa, c’est -à-dire des classes préparatoires aux grandes écoles. Comme c’est une des rares choses qui fonctionnent bien dans le système scolaire français, rien n’est plus urgent qu’y mettre le bazar. Il y a longtemps que les profs de prépa et les prépas en général sont l’objet de la jalousie mesquine et de la vindicte de tous les médiocres, de tous les besogneux, qui sont légion dans l’administration et dans la secte pédagocratique. Au nom de l’égalité ! Comme si les pays démocratiques n’avaient pas besoin d’une élite du savoir ! Pourquoi, en si bon chemin, ne pas aligner le traitement des directeurs de l’administration centrale sur ceux des instituteurs débutants, qui font un métier non moins utile et même plus fatigant ? Il est curieux que, dans leur zèle justicialiste, les premiers n’y aient pas pensé... "

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Classes-prepa-les-excellents