Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2072

  • 20 plaintes contre la police pour atteinte à la liberté

     Avant-hier, pour avoir osé huer Mme Taubira à l'entrée du Théâtre du Rond-Point des Champs-Elysées, de nombreuses personnes ont été interpellées et emmenées au commissariat. Elles sont ressorties après quelques heures, sans aucun renseignement quant à leur arrestation : ni procès-verbal, ni mise en demeure ou je ne sais quoi.

    Il est tout à fait illégal d'arrêter des personnes, même pour une manifestation non déclarée. Pour cela, il faut "une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu'elle a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit puni d'une peine d'emprisonnement". Ce n'est pas rien.

    Ces personnes sont ressorties du commissariat libres, une par une. Sauf que...

    Un avocat les attendait à la sortie et leur a demandé de faire demi-tour pour... déposer plainte ! Pour délit d'atteinte arbitraire à la liberté individuelle (article 432-4).

    Le policier qui les a vu revenir a d'abord été surpris, a ensuite tenté de refuser d'enregistrer les plaintes, puis a finalement accepté. 20 plaintes ont été déposées.

    Michel Janva

  • Mauvaise nouvelle pour le gender : les cerveaux sont différents

    Lu ici :

    "Le cerveau a t-il un sexe ? Voilà une question qui a taraudé pendant très longtemps les scientifiques. Mais grâce à des années de recherches, ces derniers ont finalement réussi à prouver que c'était bel et bien le cas. Hommes et femmes présentent des capacités et aptitudes différentes et ceci, notamment parce que leur cerveau ne fonctionne pas exactement de la même manière. Aujourd'hui, une étude américaine apporte un éclairage supplémentaire : d'après elle, le cerveau des hommes et celui des femmes ne serait tout simplement pas connecté de la même façon. Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont scanné le cerveau de 949 adolescents des deux sexes (428 hommes et 521 femmes) âgés de 8 à 22 ans en utilisant une forme particulière d'imagerie par résonance magnétique (IRM). [...]

    Les cerveaux masculins ont montré des connections plus fortes à l'intérieur des hémisphères alors que les cerveaux féminins ont présenté des connections plus fortes entre les hémisphères. [...] Cette observation suggère que le cerveau masculin est plus optimisé pour les aptitudes motrices alors que le cerveau féminin est plus doué pour des aptitudes mentales. [...]

    "C'est assez frappant de voir à quel point les cerveaux des hommes et des femmes sont complémentaires", a ajouté Rubern Gur, co-auteur de l'étude cité par le Guardian."

    Nous sommes complémentaires ?! Bigre, voilà qui ne va pas faire les affaires des LGBT.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/mauvaise-nouvelle-pour-le-gender-les-cerveaux-sont-diff%C3%A9rents.html

  • Béatrice Bourges à Marseille

    L’association Culture Française, présidée par Michel Franceschetti, et le Cercle Isteon, animé par Olivier Burdeyron, se sont réunis pour organiser la réunion de vendredi 29 novembre avec Béatrice Bourges.

    La salle du centre de Marseille était véritablement comble pour écouter le porte-parole du Printemps Français.

    La conférence a emporté l’accord de l’auditoire qui a ovationné l’orateur. Après un très riche débat, Béatrice Bourges a signé ses livres et participé à un repas amical où les discussions se prolongèrent.

    Béatrice Bourges commença par constater que les Français subissent la dictature d’une idéologie qui veut mettre en place une société où l’homme serait le maître absolu. On crée une culture hors-sol et hors-sexe. Tout enracinement est supprimé.

    Mais on ne lâche rien. Nous devons nous insurger contre cette oligarchie et sa police de la pensée.

    Le mouvement contre la loi sur le mariage homosexuel est la preuve d’une vague de fond car nous sommes un peuple de résistants. La désobéissance civile s’impose quand on ne veut pas se renier. Sans attendre l’homme providentiel, chacun peut faire un effort, un petit pas de côté pour faire vivre la France.

    Mais, plus que ce bref résumé, l’enregistrement vidéo de cette soirée permettra de mieux comprendre la situation dangereuse dans laquelle se trouve notre société et l’espoir qui existe si chacun veut bien agir.

    Merci au blog de l’Action française Provence où vous trouverez des photos de la conférence.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Beatrice-Bourges-a-Marseille-Video

  • Niveau scolaire : la France en régression constante

    Selon une étude de l’OCDE à paraître demain, les résultats des élèves des établissements français en mathématiques sont de plus en plus déplorables.

    Conduite depuis 2000 tous les trois ans, l’enquête Pisa (Program for International Student Assessment) est l’étude sur laquelle se fondent tous les comparatifs entre les systèmes éducatifs.

    Ladite étude est conduite sur un échantillon d’élèves de 15 ans, dans 65 pays.
    En 2009, le positionnement de la France dans le palmarès mondial a de quoi réjouir tous les idéologues de la (dés)Education (anti)Nationale :

    Lecture : 21e ;
    Mathématiques : 22;
    Sciences : 27e.

    Évidemment, l’actuel gouvernement n’en a pas tiré les conclusions qu’il fallait revenir à des standards traditionnels d’instruction (et non pas d’éducation).

    Au contraire, s’appuyant sur un futur « choc PISA » (sic), Vincent Peillon, inénarrable Prophète de la Laïcité, a justifié la mise en place ces nouveaux rythmes scolaires et des nouvelles priorités données aux rectorats – notamment l’idéologie du genre.

    Dernière perle, les mesures prises suite à la précédente étude :
    « Un soutien a été mis en place en particulier pour les enfants et les jeunes issus de l’immigration. Avec succès. »

    Même eux font un lien entre chute du niveau et immigration…

    Source

    http://www.contre-info.com/niveau-scolaire-la-france-en-regression-constante

  • LA DESINFORMATION MEDIATIQUE

    « Penche-toi toujours sur ceux contre lesquels certains rameutent les foules et brandissent les mots d’où déteint l’infamie. Tu peux être assuré que quelque chose dort en eux qu’ils n’osent pas affronter, une vérité dont ils ont peur et qu’ils tentent d’éteindre sous la cagoule des calomnies et des injures »(Jean Brune)

    L’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du citoyen est ainsi libellé :

     « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit »

    Belle profession de foi que voilà, mais si le XXème siècle a été indiscutablement celui de l’information, il aura été, indéniablement, celui du mensonge par lequel tant de tragédies ont vu le jour…

    En 1997, V. Volkoff dans « Petite histoire de la désinformation » entreprenait de donner une définition précise : « La désinformation est une manipulation de l'opinion publique, à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés ».

    François-Bernard Huyghe définit, de son côté, la désinformation comme le fait de « propager délibérément des informations fausses en les faisant apparaître comme venant de source neutre ou amie, pour influencer une opinion ou affaiblir un adversaire » (« L’Ennemi à l’ère numérique », PUF 2001).

    La désinformation est donc un transfert d’information mais qui comporte en lui-même une transformation de l’information initiale.

    Jean-Yves Le Gallou, écrivain, journaliste et énarque, probablement l’un des meilleurs connaisseurs de la désinformation et du monopole du « politiquement correct » résume dans un ouvrage remarquable : « La tyrannie médiatique », les douze thèses sur la désinformation médiatique, dénonçant en cela les techniques multiples de désinformation telles que : Occultation de certains faits, répétitions à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants », novlangue (nouvelle langue épurée et politiquement correcte qui est imposée) et, bien sûr, le bel et bon bobard.

    Il est de notoriété publique que les principaux médias colportent des nouvelles délibérément mensongères et sans fondement (la plupart du temps à la « une ») avant de se rétracter discrètement (quand ils le font !) en toute dernière page (beaucoup plus tard) s'ils sont contredits. Dans ce cas, le principe est de mettre le mensonge sur les rails de la conscience collective. Ainsi quand le mensonge est découvert, il est déjà trop tard et une large partie de la population ne s'en apercevra pas ou ne prêtera pas attention à la vérité rapportée. La méthode porte un nom : « Mentir bruyamment, se rétracter discrètement ». Pas très honnête mais terriblement efficace !

    La presse française est tellement aveuglée par un prisme idéologique qui conditionne toute sa perception de la réalité et de la vérité, qu’elle est désormais devenue une caste, une corporation qui vit repliée sur elle-même, coupée de ses lecteurs dont elle n’a plus vraiment besoin tant les subventions pleuvent avec quelque quatre milliards d’euros… En outre –selon Jean-Yves Le Gallou- les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales : Rothschild à Libération, Lazard au Monde, le Crédit Mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1, Tapie à La Provence et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-Match, Télé 7 jours, Elle, Europe 1, etc…). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.

    Dès lors, les intérêts financiers et politiques primant, l’objectivité demeure un rêve inaccessible… La manipulation des nouvelles et opinions devient, quotidiennement, le reflet pervers d’une vision tronquée et manichéenne de l’information. Le regretté Serge de Beketch, journaliste de son état, vitupérait de la sorte : « Le journalisme ne permet pas de gagner sa vie. Ce qui permet de gagner sa vie c’est la prostitution journalistique. Mais c’est un autre métier. »

    Au temps de la guerre d’Indochine –déjà- le général Giap, chef de l’armée vietminh, disait après des combats perdus face aux soldats français : « Quand j’avais des doutes sur l’issue de nos combats, je lisais la presse parisienne… J’étais rassuré ». Les responsables du FLN, en Algérie, en firent autant et les Musulmans du Bled, rivés à leurs transistors, écoutaient « la voix de Paris » qui leur tenait un langage différent de celui des officiers français…

    Un machiavélisme féroce, irréfléchi et inconscient préside à l’élaboration du grand crime qui régit notre destinée… Les informations quotidiennes sont cyniquement dénaturées, des extraits tendancieux, des truquages perfides, des censures arbitraires en représentent seuls les pages les plus réalistes. La vérité est altérée par des récits orientés à l’excès et par omission systématique de tout ce qui conviendrait le mieux de mettre en lumière, tout cela afin de convaincre l’opinion publique –notamment quand le thème de l’immigration est abordé- que vouloir sauvegarder l’identité de sa patrie et de la civilisation dont elle fut le creuset n’est rien d’autre que du racisme. Par conséquent, rien de plus normal désormais que de voir la presse écrite et audiovisuelle répugner à donner l’identité des délinquants en fuite ou arrêtés. Autrefois on disait « un homme de type méditerranéen », maintenant on dit « un individu » sans autres commentaires…

    Benjamin Constant disait déjà que « l’Opinion française sait gré de l’hypocrisie comme d’une politesse qu’on lui rend ». Cela se vérifie journellement.

                Que l’on se souvienne de l’affaire Mohammed Merah, ce terroriste islamiste franco-algérien auteur des tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban. En trois expéditions, il avait assassiné sept personnes dont trois enfants et fait six blessés. A cette époque, la presse avait désigné un « tueur blanc aux yeux bleus », tout ça clairement identifié… sous un casque intégral. Des victimes de confession juive comptant au nombre des tués (dont les trois enfants), certains journalistes peu scrupuleux n’hésitèrent pas, sans honte aucune, à pointer du doigt l’extrême droite. Et quand le vrai visage du tueur fut dévoilé, l’un d’eux osa twitter : « Putain, je suis dégoûté que ce ne soit pas un nazi ! »

                Ce tragique fait divers aurait dû pourtant inciter ces mêmes délateurs à un peu plus de retenue dans leur jugement péremptoire en prenant pour justification cette sentence de Lénine : « Les faits sont têtus parce que ce sont les faits ! » Mais non ! Cette affaire n’aura pas réussi à leur ouvrir les yeux ! C’est ainsi que celle du « tireur fou » de BFM TV et de « Libération » aurait été une bonne occasion de renouer, sinon avec l’objectivité, du moins avec la prudence. Eh bien NON ! Bien que l’agresseur présumé portait une casquette ou un bonnet le rendant difficilement reconnaissable, certains journalistes (probablement les mêmes), étalèrent, sans la moindre pudeur, leur suffisance et leur morgue en présentant, 48 heures durant, l’agresseur comme « un homme de type européen, aux cheveux courts, voire rasés ». Au premier rang de ces  pseudos journalistes, la passionaria gauchiste, Caroline Fourest, militante lesbienne, un temps responsable du Centre gay et lesbien de Paris, n’hésita pas à jeter l’anathème sur l’extrême droite. Pour elle, « le tireur était un facho ! », sorte de Brejvik à la française !...

                En réalité, le tueur –également franco-algérien, dont le père, membre du FLN avait combattu la France- s'appelle Abdelhakim Dekhar, estampillé anti-fa, pour anti-fachisme, très connu dans les squats anarchistes ou d’extrême-gauche.  Le 4 octobre 1994, il avait fourni des fusils à pompe à Florence Rey et Audry Maupin qui avaient –lors de leur virée « anti-facho »- abattu, dans Paris, trois policiers et un chauffeur de taxi. Une fois son identité connue le mot d'ordre était désormais : « point d'amalgame, honte a ceux qui tenteraient de récupérer l'affaire ! »…  Cela s’adressait surtout à ceux qu’ils avaient lynchés médiatiquement auparavant, par crainte d’une réaction bien légitime…

                Cependant, de mot d’excuse, comme pour l’affaire Merah, il n’y en eut point. Dans n’importe quel autre pays, cette pseudo enquête journalistique aurait valu à Caroline Fourest d’être radiée de la profession tant les montages étaient grossiers et falsifiés. Mais NON ! Elle a été promue ! « Dites à plusieurs reprises un mensonge et il deviendra une vérité » confiait le ministre de la propagande du IIIe Reich…

                Et pourtant, les précédents n’ont pas manqué… Il  y eut les actes de vandalisme perpétrés, il y a une trentaine d’années, dans un cimetière israélite de Carpentras. Les auteurs de cet ignoble méfait ne pouvaient être –selon les médias- que le fait de néonazis patentés… Il n’en fut rien. Il s’agissait, en l’occurrence, d’enfants de Bourgeois par trop éméchés…  On pointa également l’extrême droite lors des attentas antisémites de la rue Copernic, de la rue Marboeuf et de la rue des Rosiers, à Paris. Ils furent le fait de terroristes Palestiniens d’extrême gauche...

                C’est la presse qui tient l’opinion et elle sait bien ce qu’il faut lui dire et ce qu’il vaut mieux réserver ; elle ne désire nullement affronter une vérité dont elle a peur et qu’elle cherche à étouffer sous la cagoule des calomnies et des injures… « On a recours aux invectives lorsqu’on manque de preuves », disait Diderot. Son obsession devrait consister, surtout, à « ne pas faire d’amalgame » entre « les uns et les autres » car il pourrait amener à des solutions plus radicales qui résoudraient le problème mais par là même remettraient en cause un discours bien rodé et orienté.

    Victor Hugo se plaisait à dire qu’ « une calomnie dans les journaux c’est de l’herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d’un beau vert. »

                Mais il appartient à tous ceux qui se réclament du monde libre de réagir. Rien n’est jamais achevé dans un temps qui se poursuit. La vérité et la justice mettent toujours longtemps à se lever sur le monde ; malheureusement quand elles sont enfin là, il est souvent trop tard.

    José CASTANO

    e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

    « Je connais une arme plus terrible et plus meurtrière que la calomnie, c’est la vérité ! » (Talleyrand)

    « La vérité, comme la lumière, aveugle. Le mensonge, au contraire, est un crépuscule qui met chaque objet en valeur »(Albert Camus)

  • Paranoïa et transgression

    Le dernier rapport Pisa de l’OCDE traitant de  l’éducation et publié ce matin, révèle que le classement de notre pays a encore chuté. Nous évoquions sur ce blog la précédente enquête dans laquelle la France était alors le pays développé qui dévissait le plus sévèrement, notamment en compréhension de l’écrit et en mathématiques. Vincent Peillon a cru utile de prendre les devants en annonçant dés le mois d’octobre que ce rapport Pisa indiquerait des  résultats catastrophiques. Et ce, sur fond d’inégalités croissantes entre élèves ayant accès aux bons établissements des centre-ville et les autres, disons moins épargnés par le multiculturalisme et la crise…Le niveau général de la classe politico-médiatique est lui assez inquiétant, si l’on en juge par les déclarations et petites manœuvres de ces derniers jours, toujours dans la même optique obsédante pour le Système : comment contrer l’ascension du FN ?

     Il y a ceux qui se servent du FN comme faire-valoir. A l’image d’Emmanuelle Cosse, ancienne présidente du groupuscule extrémiste Act-Up, chouchou de Cécile Duflot, élue dimanche non sans difficultés à la tête d’EELV en remplacement du très terne Pascal Durand. Alors que le courant écolo-gauchiste est au fond du trou électoral, Mme Cosse a assuré dans son discours d’investiture qu’«aux (élections) européennes, ce sera Front National contre Europe Écologie-Les Verts, ce sera l’extrême droite contre les écolos ».

     Un créneau de la lutte contre l’opposition nationale déjà portant bien embouteillé, puisque tous les partis proclament qu’ils sont le meilleur barrage contre les idées patriotiques et souverainistes, de défense de l’identité française,  portées par le Front National.

     A l’exception notable de la petite formation gaullo-souverainiste de Nicolas Dupont-Aignan, Debout la République (DLR). Pour autant, M. Dupont-Aignan vient de refuser la proposition d’une grande réunion publique commune pour les élections européennes formulée dimanche  par le vice-président du FN Florian Philippot. Un non  catégorique de l’intéressé :  « Philippot n’a pas le monopole de la patrie. Le FN pas le monopole de la France ! Aux européennes les patriotes auront le choix: DLR ou le FN » a répondu (s’est défaussé)  M Dupont-Aignan. Mais sa position devient de moins en moins tenable, cohérente et rationnellement explicable aux yeux des patriotes Français qui déplorent qu’il reste tétanisé par les oukases d’un Système qu’il dénonce pourtant avec force.

      Si la présidente du  Mrap des  Bouches-du-Rhône, Horiya Mekrelouf, proclamait samedi à la tête de son maigre défilé que le FN est le «terreau majeur sur lequel se greffe le racisme le plus abject», Aurélie Filippetti a embrayé sur RTL en affirmant elle aussi que « Le FN s’appuie sur un certain nombre de bas instincts et les flatte ». Elle en veut  pour preuve que «  la préférence nationale est par définition xénophobe ». Et dire que c’est  le ministre dit de  la Culture qui s’exprime ici, la baisse de niveau est en effet bien dramatique!

     Une   médiocrité conceptuelle  qui n’épargne pas l’appareil du PS. Le site du Monde évoque ainsi un guide tiré à 5000 exemplaires intitulé Pour en finir avec les manipulations du Front National,  édité par la fédération socialiste du Pas-de-Calais.

     La vice-présidente du Conseil régional, Cécile Bourdon, porte-parole du PS du Pas-de-Calais, «inquiète à l’idée de voir les villes d’Hénin-Beaumont, Liévin ou Harnes basculer dans les mains du FN », a donc rameuté ses troupes samedi était-il rapporté. Et pas n’importe où puisque, colossale finesse, c’est  «dans une salle de boxe de Cauchy-à-la-Tour, ville natale de Philippe Pétain », qu’a été présenté  aux plus motivés soit seulement «  une trentaine de militants et d’élus », « le document en cours de finalisation ».

     « Vincent Léna, l’un des quatre membres de la direction collégiale de la fédération socialiste du Pas-de-Calais indique le sens de sa démarche : « Le Front National nous attire dans la boue mais on ne peut pas se laisser manipuler. Nos militants sont paumés. ». M Léna milite beaucoup à l’évidence…

     « Pour être davantage percutants  pendant les municipales, les socialistes comptent fournir des réponses en une phrase, en s’appuyant sur les 26 fiches thématiques. Quitte à avancer des thèses simplistes. » « Simplistes oui, mais pas fausses (sic) précise Vincent Léna» qui confesse sans s’en rendre compte son mépris pour des électeurs appréhendés comme des crétins. Ça promet au moins une lecture distrayante, à défaut de remplir l’objectif visé…

     Le PS avouons-le, n’est pas le seul à sa vautrer dans le simplisme bête et méchant.  Un cas d’école nous est offert par les propos de l’actrice Véronique Genest qui a connu il y a quelques années le succès dans la série Julie Lescaut et qui est un soutien de l’UMP et de Nicolas Sarkozy.

     Invitée la semaine dernière sur le plateau de l’émission de Chakib Lahssaini , C’est quoi ce boucan ? sur France 4,  l’actrice y  a fait son mea culpa après ses déclarations de 2012, lorsqu’elle confessait qu’elle était «peut être »  « islamophobe» .

     Donc « raciste » (sic) lui a asséné le présentateur –lui aussi une pointure intellectuelle…Pour se racheter et peut être se faire réinviter dans les émissions d’Arthur, Véronique Genest a donc déclaré : « je hais le Front National, je ne supporte pas ce parti » ; « je suis prête à me lever et à prendre les armes face à ce parti ». Pourquoi? Le FN  serait-il plus « haïssable », plus  « extrémiste » que  l’amour de sa  vie, son  mari, le producteur  Meyer Bokobza ?

     « Abonné au site ultra-sioniste JSS News », rapportait le site musulman  oumma.com, M. Bobozka écrivait sur son compte facebook que la « reconquête de Jérusalem » n’était «pas finie». Il faisait état  de menaces que les musulmans font peser notamment sur Israël, soulignant et reprenant à son compte les mises en garde de Michel Poniatowski sur l’immigration massive, l’émergence en France d’une « société pluriethnique ».

     Le mari de Véronique Genest a même relayé «le texte édifiant d’un certain David Trauttman, remercié pour cette occasion » qui écrivait notamment : « Savoir quels sont les plus virulents contre nous – les français de souche ou les musulmans – n’est pas un débat passionnant. Tous se tiendraient la main pour nous envoyer de nouveau dans des convois. Les musulmans possèdent au moins la franchise de nous le dire ouvertement. »

     Sans paranoïa déplacé pour le coup, Bruno Gollnisch constate que le  Système a aussi la franchise d’annoncer son hostilité au FN. Cela apparaît clairement  avec la capacité des médias  à faire mousser le cas de trois ou quatre de ses  candidats qui sont sortis des clous, alors même que ce sont plus de 620 listes qui seront présentées en mars par le  FN/RBM.

     Dans un entretien à Reuters, le politologue spécialiste es FN et extrême droite Jean-Yves Camus, le précise avec honnêteté : « Après tout, rien ne dit qu’il n’existe pas de candidats d’autres formations aux municipales qui eux aussi tiennent des propos parfois osés ».

     Il pointe aussi une difficulté qui peut être réelle pour le FN, qu’il ne s’agit  donc pas de nier, à savoir  « l’ambiguïté fondamentale qui tient à ce que des gens y adhèrent (au FN, NDLR) en pensant que (la direction du FN, NDLR) les autorise à aller plus loin que ce qu’(elle) peut tolérer ». « C’est difficile dans un parti qui se veut antisystème. Car qui dit antisystème dit transgressif, et c’est bien la raison pour laquelle beaucoup de militants y adhèrent ».

     Certes,  mais loin de toutes scories contre-productives,  la transgression fondamentale affirme Bruno Gollnisch, à laquelle (pour laquelle)  tout le monde adhère au FN, c’est bien le refus d’une idéologie mondialiste déclinée sous ses différentes facettes par les partis de l’Etablissement. Et c’est à un vote  d’espoir tout aussi  transgressif pour les candidats FN que les Français sont conviés. Ne doutons pas qu’ils  répondront nombreux à l’appel de Marine, de l’opposition nationale,  les enjoignant à refuser de courber l’échine et à reprendre en main leur destin et celui de notre pays.

    http://www.gollnisch.com/2013/12/03/paranoia-et-transgression/

  • OGM : L’étude du professeur Séralini retirée de la publication (+réaction du CRIIGEN)

    Il y a un an, Gilles-Eric Séralini et son équipe avaient publié une étude sur le RoundUp dans la revue scientifique Food and Chemical Toxicology. Elle avait suscité une vive controverse.

    La revue, qui a intégré depuis quelques mois un ancien salarié de Monsanto, demande aujourd’hui aux chercheurs de retirer leur étude. Enjeu caché : l’autorisation de nouveaux OGM en Europe.

    Les auteurs de l’étude sont formels : on n’avait jamais vu cela en matière de publication scientifique. Par une lettre datée du 19 novembre, Gilles-Eric Séralini et son équipe ont appris de la très sérieuse revue Food and Chemical Toxicology leur demande de retirer leur étude publiée l’an dernier par cette même revue sur les effets du maïs transgénique NK 603 de Monsanto. Une étude pourtant relue et approuvée par des scientifiques avant publication, comme il est d’usage dans les revues scientifiques à comité de lecture.

    Il y a un an, cette étude a été présentée comme la première du genre sur les OGM (organismes génétiquement modifiés). Menée dans le plus grand secret pendant deux ans par le laboratoire du CRIIGEN (Comité de recherche et d’information indépendante sur le génie génétique), elle tend à démontrer la toxicité de ce maïs sur les rats de laboratoire. Lors de sa publication en septembre 2012, elle avait suscité une vive controverse.

    Hier jeudi 28 novembre, lors d’une conférence de presse à Bruxelles, Gilles-Eric Séralini a donné sa réponse : « Nous refusons le retrait de l’article. »

    Pour justifier le retrait de l’article, la revue explique dans sa lettre avoir réexaminé les données avec un panel de chercheurs. Puis elle cite deux raisons :
    - d’abord, le nombre de rats est insuffisant,
    - ensuite, la race de rats choisie, la Sprague-Dawley, est connue pour développer fréquemment des tumeurs : celles observées par l’équipe du Pr. Séralini n’auraient donc pas été provoquées par le maïs OGM.

    En se basant sur ces arguments, la revue explique donc que les résultats de l’étude qu’elle a publiée « ne permettent pas de conclure ».

    Ces arguments sont réfutés par le CRIIGEN. « Nous avons déjà répondu à ces critiques dans un deuxième article, lui aussi relu et publié par Food and Chemical Toxicology », rappelle Joël Spiroux à Reporterre.

    Le Criigen a publié un communiqué de presse à ce propos.

    Le groupe y rappelle qu’une étude commanditée par Monsanto, utilisant la même race et le même nombre de rats, mais ne portant que sur trois mois, a également été publiée par la revue. « Pourquoi cette étude là n’est pas retirée ?, interroge le docteur Spiroux. Nous demandons à Food and Chemical Toxicology de la retirer également ! »

    Pour Gilles-Eric Séralini et son équipe, la vraie raison de ce retrait est à chercher ailleurs : « En avril, M. Richard Goodman, qui a travaillé sept ans chez Monsanto, est arrivé dans l’équipe éditoriale de la revue. Il a pris la place de M. Domingo qui avait fait tout le suivi de notre article. Or peu après l’arrivée de M. Goodman, Food and Chemical Toxicology nous a encore une fois demandé les données brutes de notre étude », raconte Joël Spiroux. Avant d’ajouter : « Avant parution, il est normal que les relecteurs demandent à approfondir les données. Mais après publication, cela ne s’est jamais vu. »

    L’arrivée de Richard Goodman au comité scientifique de la revue aurait donc pu provoquer la remise en cause de l’étude du professeur Séralini. « Mais nous n’en avons pas la preuve », reconnaît Joël Spiroux. Les défenseurs de l’étude rappellent simplement que Richard Goodman a effectivement travaillé pour Monsanto de 1997 à 2004 et que sa nomination au comité éditorial de Food and Chemical Toxicology a suscité des débats, comme en atteste cet article du site internet américain Independant Science News, qui relève que Richard Goodman n’a jamais eu de relation avec la revue avant février 2013.

    Dans la conférence de presse de jeudi, la députée européenne Corinne Lepage n’a donc pas hésité à dénoncer « une prise de pouvoir des lobbies ».

    Reporterre.net

    http://fortune.fdesouche.com/336061-ogm-letude-du-professeur-seralini-retiree-de-la-publication-reaction-du-criigen

  • La destruction programmée des identités/ Plaidoyer pour la préservation de notre identité

    « La quête de l’identité fait partie des préoccupations humaines les plus importantes et les plus anciennes ».
    Un correspondant vient d’adresser à Polémia un texte dont le thème rejoint celui développé par Yvan Blot à l’Université du Club de l’Horloge des 23 et 24 novembre derniers (*) dont nous venons de publier la transcription.

    Dans un plaidoyer assez vif, Jean-François Luc dénonce certaines des nombreuses attaques, les plus voyantes, lancées contre l’identité et rappelle les différents fronts sur lesquels le combat est mené : la race, la langue, la famille, la confusion des sexes, la théorie du genre, la nation et la souveraineté nationale… A cette occasion et sur ces sujets, les lecteurs pourront se reporter aux différents articles que Polémia a produits sur son site (**).
    L’auteur clôt son analyse par une note optimiste en avançant les solutions nécessaires et réalisables pour résister à ces attaques .
    Polémia

    L’intégralité de la communication en format pdf de Jean-François Luc avait été publiée le 26/10/2013 et peut être consultée en cliquant  :  ICI

    Notes :

    (*) La négation des identités : principe originel du cosmopolitisme

    (**) Consultation à l’aide du moteur de recherche, pour les articles les plus récents à la rubrique « Rechercher sur le site » et pour les plus anciens sur celle en dessous « archives.polemia.com ».

    http://www.polemia.com/la-destruction-programmee-des-identites-plaidoyer-pour-la-preservation-de-notre-identite/

  • Offensive contre l'embryon à Bruxelles

    Offensive contre l'embryon à Bruxelles :
    retour de la résolution ESTRELA au Parlement le 10 décembre

    UN DE NOUS appelle à la mobilisation !

    Retour annoncé du texte polémique en séance plénière…

    Des observateurs des instances européennes tirent de nouveau le signal d'alarme : la résolution Estrela qui porte atteinte à la dignité et à la vie de l'embryon humain va être présentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen. Déjà, le 22 octobre, une première tentative a été déjouée grâce à une mobilisation massive des citoyens (BRAVO !) qui ont alerté leurs parlementaires obtenant ainsi un renvoi du texte en commission.

    … après un réexamen litigieux en commission

    La commission chargée des droits des femmes a expédié, mardi 26 novembre, l’examen du texte qui a été adopté à 19 voix contre 15. L’empressement des partisans de la résolution a conduit à bâcler la procédure : le service juridique du Parlement a souligné des vices de procédure que le Président de la commission a choisi d’ignorer !

    Le texte passera en séance plénière le 10 décembre, sauf mobilisation des députés… !

    AUJOURD’HUI et avant mercredi 4 décembre (date de fixation de l’ordre du jour de la séance plénière du 10 décembre), il est urgent de s'opposer de nouveau et avec force à cette résolution pour que l’examen en séance plénière soit sinon annulé au moins reporté pour vice de procédure. Pour cela, vous pouvez dès maintenant mener 3 actions simples et rapides :

    • Demander à Martin Schulz, Président du Parlement européen de retirer le projet de résolution de l'ordre du jour de la séance plénière car ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union et est entaché de plusieurs vices de procédure majeurs (standard du Parlement, +32 (0)2 2845 503, ou martin.schulz@europarl.europa.eu)
    • Demander au Parti Populaire Européen (droite démocratique) de rejeter le texte : joseph.daul@europarl.europa.eu ; +32 (0)2 2840 662 (Joseph Daul parlementaire français UMP président du parti PPE, susceptible de mobiliser contre cette résolution)
    • Interpeller les parlementaires français attentifs à la défense de l'embryon (ceux que vous connaissez comme s’étant opposés à la libéralisation de la recherche sur l’embryon en France)
    La proposition de résolution « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) sera présentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen : elle inclut le soutien et le financement de programmes détruisant l’embryon humain.

    Cette résolution excède les compétences de l'Union européenne qui doit laisser les Etats membres légiférer sur les enjeux bioéthiques. Les financements européens de recherche sur l'embryon et de politiques d'aide au développement incluant l'avortement posent problème.


    1 894 693 personnes en Europe sont signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne
    UN DE NOUS pour demander précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne des programmes menaçant l'être humain déjà conçu.


    Les députés européens ne peuvent ignorer cette mobilisation citoyenne massive à travers toute l'Europe, et inédite sur le sujet. Sous peine de déni de démocratie.

    Il y a urgence à se mobiliser d’ici mercredi.
    Mercredi, nous vous ferons connaître la décision du Président du Parlement
    et la suite ou non de la mobilisation.

    Un très grand merci à tous.
    L'équipe UN DE NOUS France

    L’Initiative UN DE NOUS est portée en France par quatre structures : Alliance Vita, Fondation Jérôme Lejeune, AFC, CPDH.