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lobby - Page 2142

  • Paris : obligation de déclarer les regroupements de 2 vélos

    La préfecture de police de Paris refait parler d'elle

    "Comme l'appel au rassemblement (sans volonté de bloquer la circulation) n'était pas déclaré en Préfecture (il aurait sans doute été refusé), les responsables de l'association Vélorution ont été convoqués mercredi 2 octobre à la Préfecture de Police de Paris. Vélorution nous a indiqué s'être vu rappelé à l'ordre pour avoir "organiser des 'randonnées' sans les déclarer au préalable auprès de la Préfecture".

    Et pourtant, Camille Carnoz de Vélorution dénonce : "Il n'y a pas de désobéissance, car nous respectons le Code de la route. Au contraire, nous cherchons à démontrer toute notre légitimité à circuler sur cet espace public. Notre action est légale : nous avons le même droit que les voitures à constituer le trafic routier en ville".

    Du coup, l'association a demandé des précisions sur la définition exacte d'une randonnée, d'un groupe de cyclistes et les obligations de déclaration d'un parcours.

    Ils sont eu la réponse suivante :

    • une unité constituée de cyclistes commence à partir de deux
    • toute unité constituée de cycliste est une randonnée
    • toute randonnée doit faire l'objet d'une délaration préalable.

    "C'est évidemment absurde" s'insurge Camille Carnoz de Vélorution.

    Cela signifie, qu'en théorie, tout regroupement qui compte au moins deux cyclistes devrait faire l'objet d'une déclaration préalable en Préfecture..."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le haut conseil à l'intégration produit un document qui ne plaît pas à Matignon. Il est dissous.

    Le 5 août 2013, Le haut conseil à l'intégration rend un document intitulé "Projet d'avis expression religieuse et laïcité dans les établissements publics de l'enseignement supérieur en France".

    Le 3 septembre 2013, apparaît sur le site de la dite institution le message suivant : 

    "depuis le 24 décembre 2012, le président et les membres du collège du HCI ne sont plus en fonctions. A compter de cette date et en l'absence de collège, le HCI n'est donc plus en situation d'émettre des avis, ni de publier des rapports".

    Mais alors, d'où provient ce document d'août 2013 et pourquoi avoir attendu 8 mos pour faire apparaître ce message? L'explication du Monde

    "Difficile de croire qu'il ait fallu plus de huit mois aux services de Matignon, dont dépend le HCI, pour avertir le public et les contribuables que cet organisme, qui dispose d'un secrétaire général, de quelques salariés et de locaux à Paris, ne pouvait plus exercer ce pour quoi il est précisément fait : "émettre des avis et publier des rapports".

    La précision publiée début septembre coïncide avec la divulgation au mois d'août dans nos colonnes de l'ultime rapport de la mission laïcité du HCI, consacré à la neutralité religieuse dans l'enseignement supérieur. Adoptant un ton alarmiste, il y préconisait, entre autres, d'interdire le port de signes religieux dans "les salles de cours" à l'université. Cette approche a fortement déplu à Matignon et au président du nouvel Observatoire de la laïcité,..."

    Notez qu'il est aussi suggéré dans cet avis de ne pas toucher aux fêtes chrétiennes en France

    "Les membres de la mission Laïcité estiment fondamental de rappeler, à ce stade de la réflexion et avant de formuler toute recommandation, que si certains jours fériés en France ont, certes, une origine religieuse, ils sont depuis longtemps fériés pour l’ensemble des citoyens et des personnes vivant sur le territoire français et ont, au fil du temps, revêtu une signification historique et sociale bien plus large.
    La reconnaissance de ces dates est donc normale puisqu'il s'agit d'une survivance de cette tradition, de l'histoire commune du pays. En outre, ces jours fériés, à l'instar du repos dominical, ont connu depuis longtemps un processus de sécularisation et ont aujourd'huiperdu pour l'immense majorité des citoyens leur caractère religieux. Accepter, au niveau national, des jours fériés consacrés à un culte -juif, musulman ou autre- reviendrait à reconnaître que les populations concernées ne s'identifient que par une religion, coupées du reste de la société. Rappelons qu'il existe des jours protégés (cf. encadré ci-dessous) qui permettent de répondre à certaines grandes célébrations, mais que ces derniers ne visent que les personnes concernées, alors que les jours fériés au niveau national englobent l'ensemble de la population vivant en France et rappellent son unité qui ne peut se faire que sur la base de principes communs et d'une histoire héritée. De plus, l'introduction de journées fériées, au niveau national, liées aux différentes religions, reviendrait à redonner au calendrier issu de la chrétienté un caractère sacré et, ce faisant, à inverser le processus de sécularisation.
    Au demeurant, la proposition faite par la commission Stasi en 2004, de prendre deux journées sur les congés scolaires pour rendre fériées, pour tous, les dates correspondant à deux grandes fêtes religieuses, l'une musulmane et l'autre juive, n'avait pas été retenue. La mission Laïcité du HCI ne la retient pas davantage aujourd'hui.
    Rappelons également que chaque fois qu'il a été question de remettre en cause le caractère férié de certaines de ces journées au caractère originel religieux largement estompé, elles ont toujours été défendues par les organisations syndicales comme autant d'acquis sociaux (ce fut le cas, voici quelques années encore, lorsqu'il fut question de ne plus considérer comme chômé le lundi de Pentecôte)
    Cet éclairage paraît indispensable afin de lutter contre l'idée reçue que l'empreinte chrétienne du calendrier civil français est encore prédominante et que la laïcité républicaine discriminerait les autres religions dans la comptabilité des jours fériés".
    De plus, la notion de « jours protégés » permet d'attirer l'attention des présidents d'université et des enseignants, ainsi conviés à éviter de programmer des examens les jours des principales fêtes religieuses autres que catholiques. Les élèves ou étudiants, comme l'ensemble des personnels concernés, peuvent demander à s'absenter à ces dates. Chaque année, lors de la publication officielle de ces dates au Journal Officiel, la circulaire précise « L’institution scolaire et universitaire, de son côté, doit prendre les dispositions nécessaires pour qu’aucun examen ni aucune épreuve importante ne soient organisés le jour de ces grandes fêtes religieuses ».

    Idéologie quand tu les tiens! Ceci dit, je ne pleure pas le HCI...

    (Télécharger l'avis du HCI ici)

    Lahire

  • Riz amer pour les paysans colombiens, otages des brevets…

    Le film «9.70», du nom d’une loi qui interdit aux agriculteurs d’utiliser une partie de leur récolte comme semence, met la Colombie en émoi.

    A l’heure qu’il est, elles sont probablement réduites en compost. Mais même ainsi, les plus de 60 tonnes de riz triturées et enterrées par les autorités colombiennes sous les dents d’une pelleteuse, il y a deux ans, semblent refaire surface pour mettre le pouvoir en difficulté. 

    Il y a quelques semaines, l’Institut colombien agricole (ICA) avait annoncé dans un communiqué avoir détruit des graines «non certifiées» dans le département du Huila. Il s’agissait de riz récolté par des agriculteurs pour le replanter l’année suivante. Les paysans avaient protesté, la police anti-émeute les avait éloignés, et les sacs avaient été éventrés dans une décharge sans que l’opinion publique ne s’en émeuve. L’utilisation de ces semences non normées, justifiait l’administration, aurait «favorisé la propagation de maladies et de mauvaises herbes qui limitent la production de riz».

    Aujourd’hui, l’affaire provoque un véritable débat national depuis la diffusion d’un reportage de la Colombienne Victoria Solano, visionné plus de 750 000 fois en un mois sur Internet. La vidéo, 9.70, porte le nom du texte qui a permis la destruction des graines.

    (…)

     Pour lire la suite, cliquer ICI

    Un article de Michel TAILLE, publié par liberation.fr et relayé par Guillaume C pour  SOS-planete

    Voir aussi :

    Agriculture biologique : la France autosuffisante à 75 % (Agence bio)

    http://lesmoutonsenrages.fr/2013/10/05/riz-amer-pour-les-paysans-colombiens-otages-des-brevets/#more-52662

  • Lorant Deutsch dans la polémique : il a osé évoquer Charles Martel dans son nouveau livre !

    Choc : dans son tout nouveau livre, Lorant Deutsch ose évoquer cet épisode horrible de xénophobie qu’est la victoire de Charles Martel à Poitiers, sur les Sarrasins qui venaient simplement profiter de cette terre d’accueil qu’a toujours été la France, paraît-il…

    « Le grand public mérite mieux en guise d’histoire que ce récit identitaire, jouant sur les fantasmes les plus caricaturaux » : dans une tribune publiée le 30 septembre sur Le Huffington Post, trois prétendus « historiens » – mais vrais militants de gauche – remettent ainsi en cause le travail de Lorànt Deutsch dans son ouvrage « Hexagone« , paru chez Michel Lafon quelques jours plus tôt et disponible ici.
    Le comédien a répondu aux critiques jeudi 3 octobre dans l’émission « C à vous » sur France 5 :

    Les « historiens » gauchistes dénoncent « une étrange corrélation entre le discours et le vocabulaire de Deutsch sur cette bataille, et celui de l’extrême droite la plus dure » (sic).
    En fait, pas si étrange : c’est peut-être parce que Deutsch fait preuve d’objectivité ?

    http://www.contre-info.com/

  • Les veilleurs à Nantes

    Les Veilleurs nantais se réunissaient hier soir sur le thème de l'éducation. "L'éducation, c'est la famille qui la donne ; l'instruction, c'est l'état qui la doit" disait Victor Hugo.

    VL'étude de ce thème se poursuivra demain au cours d'un colloque :

    N

    Michel Janva

  • 222 500 avortements réalisés en 2011 en France

    De Pierre-Olivier Arduin dans La Nef :

    N"Dans une indifférence quasi générale, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) a rendu publics cet été les derniers chiffres sur l’« interruption volontaire de grossesse » en France. Sans surprise, on y apprend que le nombre d’avortements reste l’un des plus élevés des États européens avec 222 500 IVG réalisées en 2011. Les auteurs peinent une nouvelle fois à interpréter ces statistiques : « Le nombre d’IVG, y compris chez les plus jeunes, ne s’explique pas par un défaut de couverture contraceptive » (p. 3). Et pour cause, selon le dernier Baromètre Santé du ministère de la santé, 91 % des Françaises « sexuellement actives » utilisent une méthode contraceptive tandis que plus d’un million de pilules du lendemain et du surlendemain – dont le mécanisme antinidatoire équivaut à un avortement précoce de l’embryon – ont été vendues en 2011. [...]

    Seconde information capitale du rapport de la Drees, la part prise par la technique abortive dite « médicamenteuse » (par RU-486) qui représente dorénavant 55 % de l’ensemble des IVG. 13 % des avortements sont même exécutés selon cette procédure en cabinet libéral (chez le gynécologue et le généraliste) sans que la femme soit obligée d’être hospitalisée, un chiffre considérable qui montre que l’« avortement à domicile » est en train de se banaliser à toute allure."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Marché juteux de l'eugénisme et de la PMA : des Américains déposent un brevet

    et des chercheurs européens critiquent la méthode, mais pas la finalité naturellement : 

    ""Il est clair que sélectionner des enfants de la manière préconisée par la méthode brevetée par la société 23andMe est hautement discutable sur le plan éthique", écrivent les quatre auteurs d'un commentaire publié jeudi par la revue Genetics in Medicine (qui fait partie du groupe Nature).

    Après cinq ans d'attente, la société 23andMe a réussi à faire breveter une méthode de sélection des gamètes des donneurs basée sur des calculs génétiques réalisées par ordinateur.

    La méthode décrite dans la demande de brevet prévoyait de sélectionner les donneurs d'ovules ou de spermes de manière à améliorer les chances de produire un bébé ressemblant aux caractéristiques souhaitées par le couple bénéficiaire.

    Parmi celles-ci, peuvent figurer la taille, le sexe, la couleur des yeux, certains traits de personnalité ou encore les risque de développer une dégénérescence maculaire liée à l'age (DMLA) et certains types de cancer.

    La société 23andMe reconnaissait toutefois que la méthode n'était pas infaillible et qu'il s'agissait seulement de faire en sorte que le bébé aient des chances "accrues" d'avoir les traits souhaités dans le cadre d'une procréation médicalement assistée (PMA).

    "L'utilisation du diagnostic préimplantatoire pour éviter l'implantation d'embryons porteurs de graves anomalies génétiques est en passe de devenir une pratique courante [sic. NDL], mais l'utilisation d'un programme informatique pour sélectionner les donneurs de gamètes afin d'aboutir à un bébé ayant les traits souhaités par ses parents semble avoir des implications beaucoup plus vastes, car ce processus implique la sélection de traits qui n'ont aucun lien avec une maladie" écrivent les chercheurs, dirigés par Sigrid Sterckx, de l'Institut de bioéthique à Gand en Belgique".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Tony Anatrella : L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée

    L’Éducation nationale met en place un vaste programme pour banaliser les orientations sexuelles. La dictature des moeurs arrive !

    Les activistes de la lutte contre l’homophobie s’inquiètent de l’augmentation des témoignages de personnes se plaignant de discrimination du fait de leur orientation sexuelle.

    Il faut dénoncer ces actes, mais il est injuste de prétendre que les débats autour du “mariage pour tous” en sont la cause. Elle est davantage à chercher dans le système politique qui se met en place au nom des orientations sexuelles. Depuis quand les pulsions partielles devraient-elles gouverner la société ?

    L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée et masque les enjeux de l’homosexualité. Exemple. Un garçon de 15 ans a confié à l’un de ses copains qu’il était bisexuel et lui fait des propositions. Lors d’un match de foot, il se montre si maladroit que le copain qui a refusé ses avances révèle devant les autres son inclination, lui attirant les remarques désagréables du groupe. On peut le regretter, mais s’agit-il d’homophobie, pour autant que ce mot ait un sens ? Ou n’est-ce qu’une réaction classique d’un garçon face à un comportement aguicheur contraire à ses intérêts psychiques qui s’articulent sur l’altérité sexuelle ? L’adolescent se demande pourquoi il attire ce type de personnalité ; il en est troublé et irrité. En réalité, il réagit pour ne pas régresser dans la phase du miroir qui le collerait au même que soi, ni être entraîné dans l’indifférenciation première où l’autre n’est que le prolongement de soi, ni douter de son désir.

    Dans la psychologie sexuelle de l’enfant comme de l’adolescent, la logique qui fonde l’unité interne de son lien sexuel se réalise dans l’altérité des sexes. Cette unité concourt, dans le meilleur des cas, à affermir la confiance en soi, à donner de la cohérence au self et à être authentique.

    Cette dynamique psychique se comprend au moment où, à l’adolescence, le sujet va intégrer son corps sexué qui se modifie dans la cohérence de son identité sexuelle. Une opération psychique à un moment fragile lorsque l’enfant, à l’identité pubertaire hésitante, cherche à consolider son inscription dans la différence sexuelle. La fixation infantile aux premières identifications narcissiques peut être la cause d’incertitudes identitaires à travers la bisexualité, d’échec du remaniement de ces identifications qui achemine vers l’homosexualité ou encore du refus d’intérioriser son corps sexué en valorisant le corps de l’autre sexe. La recherche de l’égalité est un leurre : au lieu de penser la sexualité en termes d’identité, sous l’influence de la théorie du genre, on l’impose en termes d’orientations sexuelles, ce qui n’est pas la même chose. [...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tony-Anatrella-L-homophobie-est-un

  • La Grèce, laboratoire du mondialisme

    Depuis la crise de 2008, la Grèce sert de laboratoire au mondialisme.
    Pour la finance tout le monde a relevé que la prise de pouvoir en Grèce par les mandataires des bulldozers mondiaux de la finance internationale et de l'Union, qui étranglent le peuple grec, sont en fait une expérimentation pour voir jusqu'où on peut aller trop loin en la matière.
    Ce qui est beaucoup moins relevé, c'est que l’arrestation d'une quinzaine  de responsables et d'élus du mouvement Aube dorée entre parfaitement dans ce schéma.
    En effet, un chanteur d'extrême gauche ayant été assassiné par un individu se réclamant du mouvement aube dorée, c'est toute la direction de ce parti qui a été arrêtée.
    Peu importe à quoi appelait ce rappeur, mort et d'extrême gauche, à l'instar de Meric, ce ne peut-être qu'un saint ripoublicain.
    Pourtant a-t-on vu tous les imams et islamistes militants arrêtés lors de l'assassinat de Pim Fortuyn ?
    Les Pays bas ont-il expulsé l'ambassadeur du Maroc à cette occasion ?
    Chaque fois que les antifas tabassent et agressent un prétendu fasciste, trouve-t-on Besancenot ou Mélanchon au trou ? Que nenni. Au contraire, ils paradent .
    Il s'agit bien de briser toute résistance nationaliste baptisée pour l'occasion "neo-nazie", même pas néo-fasciste  — ce qu'elle est peut-être —  non, néo-nazie.
    Regardons bien la Grèce c'est l'Europe de demain que l'on voudrait pour nous.

    Frise grecque antique . Ouh les vilains nazis !

     

    Emblème d'Aube Dorée. Ce n'est rien d'autre qu'un élément de frise bien moins "nazi" que son lointain précurseur. .

    http://polemiquepolitique.blogspot.fr/2013/09/la-grece-laboratoire-du-mondialisme.html

  • Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir…

    Dans son ouvrage Sale Blanc ! Gérald Pichon livre une enquête sur ce qu’il considère être aujourd’hui la haine raciale la plus répandue en France, et dans le même temps la plus niée. Il y décrit aussi la haine de soi-même d’une société tout entière, incapable de reconnaitre que l’autre n’est pas forcément une victime. Il y assène une démonstration rigoureuse et foisonnant de chiffres et d’exemples. Entretien avec l’auteur :

    Minute : Tout d’abord, Pourquoi avoir demandé à Pierre Sautarel de préfacer votre ouvrage ?

    Gérald Pichon : Tout simplement parce qu’il est le principal animateur du site Fdesouche, incroyablement vilipendé alors qu’il a largement contribué à faire émerger dans le débat public la question du racisme anti-Blancs et/ou anti-Français. Je pense d’ailleurs que c’est une des principales raisons de son succès.

    Et qu’est-ce qui vous a poussé à écrire cette enquête ? Avez-vous vous-même été confronté au racisme anti-blancs que vous décrivez dans votre ouvrage ?

    Ce qui m’a poussé à écrire Sale Blanc! c’est d’abord et avant tout l’envie de faire connaître cette réalité occultée par les médias et l’immense majorité de la classe politique. Ils nous ont menti pendant des décennies sur le prétendu racisme des Français de souche, dépeints le plus souvent comme d’affreux xénophobes incapables de s’ouvrir à la « diversité », alors que – comme s’efforce de le démontrer mon enquête – ce sont au contraire les « petits Blancs » qui sont les principales victimes de la haine raciale en France.

    Le plus grave, c’est que la classe politico-médiatique préfère se taire alors qu’elle est très bien informée des agressions, des meurtres, des viols ou des insultes qui touchent les Blancs à cause de leur couleur de peau! Sans doute considère-t-elle que ces milliers de victimes sont le prix à payer pour achever de transformer la France en société multiraciale. Ayant vécu dans les banlieues de l’immigration, j’ai vu comment cette fracture ethnique s’est développé et comment ils ont tout fait pour étouffer cette réalité.

    Français ou Blanc, pour les bandes ethniques, c’est pareil !

    Racismes anti-Blancs, anti-Français, anti-Occidental sont souvent traités d’un même bloc dans votre enquête, entretenant une certaine confusion. Pensez-vous que ces sentiments reposent sur les mêmes ressorts ?

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    Gérald Pichon

    Ces trois haines, car je préfère parler de haine envers les Blancs dans mon ouvrage, n’ont pas précisément, ou pas toujours, les mêmes ressorts idéologiques. Cette confusion est plutôt entretenue par les médias, la justice et souvent les victimes elles-mêmes. Car il faut être franc: plus de trente ans d’idéologie antiraciste à la sauce Harlem Désir empêche le plus souvent les agressés de comprendre les motivations raciales de leurs agresseurs.

    Il y a un tel décalage entre la propagande quotidienne sur le mon de merveilleux du « vivre en semble » et cette réalité du racisme anti-Blancs que les victimes ont du mal parfois à se dire que la seule couleur de leur peau peut susciter la haine. Alors, elles vont broder des explications fumeuses, préférant trouver des excuses à leurs bourreaux, plutôt que de regarder la vérité en face. Les bandes ethniques, elles, voient seulement un petit Blanc, donc une proie facile car sans communauté pour le protéger et sans réflexe de préservation identitaire.

    Selon vous, pourquoi cette forme particulière de racisme est-elle si peu condamnée (moralement, politiquement, et même dans les tribunaux) ?

    Elle n’est pas condamnée car elle va à l’encontre du dogme voulant que les victimes du racisme en France, en Europe et dans le monde soient les extra-Européens, et donc que le raciste est forcément un hétérosexuel blanc, accessoirement misogyne et « beauf ».

    Il y a depuis un an, avec les déclarations de Jean-François Copé puis la « nouvelle donne » voulue par la Licra, un timide revirement sur le traitement du racisme anti-Blancs. Il faut savoir que lors de son dernier congrès, en février 2013, la Licra a affirmé vouloir prendre en compte la « nouvelle donne » antiraciste en évoquant le racisme venant des populations issues de l’immigration. Je considère cela plutôt comme une grossière tentative de récupération mais surtout, encore plus pervers, comme un moyen d’amener ce sujet sur une voie de garage.

    Puisque cette réalité est devenue si criante désormais qu’ils ne peuvent plus la nier, alors ils vont tout faire pour la minorer. Les tribunaux commencent à s’occuper, timidement aussi, de cette haine mais on est très loin de la réalité des faits. Car condamner c’est laisser une trace statistique, et si la police et la justice s’occupaient de toutes les affaires où les Blancs sont victimes de haine raciale, les rapports officiels seraient obligés d’expliquer à l’opinion publique que ce sont les « visages pâles » que l’on attaque en très grande majorité à cause de leur couleur de peau, et non l’inverse.

    Propos recueillis par Marc Bertric

    * Sale Blanc ! de Gérald Pichon, éditions IDées, 110 pp., 12 euros. A commander sur : editions-idees.com

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 2 octobre 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    http://fr.novopress.info/141921/visage-pales-en-danger-cachez-ce-racisme-que-je-ne-saurais-voir/