Les deux chiffres officiels sont tombés le même jour, 25 février. L'un concernait un chômage en plein boom - + 90 200 demandeurs d'emploi en janvier, avec une augmentation de 23 % pour les jeunes de moins de 25 ans -, l'autre l'immigration, elle aussi exponentielle : 119 965 titres de séjour de plus d'un an délivrés en 2008 à des étrangers par la seule préfecture de police de Paris, 185 150 premiers titres de séjour pour toute la France, également submergée de clandestins, Africains et Chinois notamment, si coûteux en terme de santé et de sécurité publiques.
On nous dira que le rapprochement est simpliste. Mais comment oublier que depuis l'instauration en 1976 du regroupement familial, qui a donné lieu à tant de dérives, la France n'a jamais renoué avec le plein emploi, même en période faste ?
Pour remédier à la hausse record du chômage, le Premier ministre a aussitôt organisé une « réunion de suivi des mesures du sommet social » et annoncé que le Fonds d'investissement social sera « abondé par l'État autant que nécessaire », Mais comment l'État, dont Sarkozy nous prévenait dès janvier 2008 que « les caisses sont vides » - et le sont toujours plus puisque, selon le cabinet du ministre du Budget Eric Woerth, « la crise économique a conduit à des moins-values fiscales de plus de 11,5 milliards d'euros en 2008 » -, pourra-t-il continuer à jouer les cornes d'abondance, sous peine d'accroître encore le déficit public, qui a dépassé l'an dernier le cap des 56 milliards d'euros ?
Soit 3,2 % du Produit Intérieur brut, avec une prévision de 5,5 % cette année de l'aveu même du Premier ministre confirmant le 3 mars que « toute l'année 2009 sera une année de crise ».
Il est vrai que comme nous l'a aussi dit François Fillon, se voulant rassurant, « le gouvernement n'a pas encore utilisé tous les outils des politiques classiques de traitement social du chômage » et qu'il s'y emploiera avec « sang-froid et courage », Pourrait-on dès lors lui suggérer aussi, alors que s'effondrent - toujours en raison de la crise - les industries du bâtiment, de l'automobile, du textile et de l'hôtellerie, d'organiser d'urgence le retour chez eux de tous les allogènes si nombreux dans ces secteurs ? C'est ce que font actuellement la Chine, les Émirats, la Thaïlande et même la République tchèque qui préside l'Union européenne. Un excellent exemple à suivre.
D'AILLEURS, n'est-ce pas un certain Sarkozy, candidat de l'UMP à l'élection présidentielle, qui affirmait le 3 avril 2007 que « la maîtrise de l'immigration est une obligation pour sauvegarder notre pacte social, sinon il va exploser » ? « Depuis 30 ou 40 ans, déclarait-il à Paris ce jour-là, on a subi une immigration familiale qui a fait venir en France des gens qui n'avaient pas de formation, pas d'emploi et qui a créé des ghettos... Qui ne voit qu'il y a un lien évident entre la politique d'immigration non maîtrisée depuis 30 ou 40 ans et l'explosion sociale dans nos quartiers ? Si on laisse venir tout le monde, comment on va financer notre politique sociale, comment le pacte social va-t-il y résister ? C'est sans doute très généreux de dire qu'il faut que tout le monde vienne mais c'est totalement irresponsable. »
ON NE le lui fait pas dire. Le candidat est devenu président, et même hyper-président. Qu'attend-il pour se montrer enfin "responsable" et tenir ses promesses d'avril 2007 ? Inverser la courbe de l'immigration est le seul moyen d'inverser celle du chômage, dont on ne redira jamais assez qu'il est certes une catastrophe économique et sociale, mais surtout humaine, qui détruit les individus comme les familles. Or, qu'il y réfléchisse bien, c'est de sa capacité à faire respecter le droit au travail des Français, et des Français d'abord, et non de ses incessantes prises de parole (une trentaine de discours en deux mois) et de ses auto-invitations sur le petit écran, que dépendront sa popularité, et donc ses chances de reconduction à l’Élysée alors qu'après une brève accalmie, les sondages sont pour lui désastreux. Mais non, c'est dans la direction contraire qu'il s'obstine. Le 13 février, à l'occasion de la remise des Médailles de la Famille française, on apprenait que la législation en vigueur, instaurée en 1920 et nécessitant donc un "dépoussiérage", un décret venait d'être soumis au Conseil d’État : il vise à supprimer la condition de nationalité pour les mères "méritantes".
Le chômage a de beaux jours devant lui.
Camille Gallic, RIVAROL
lobby - Page 2146
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Résorber le chômage ? D'abord l'immigration (arch 2009)
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La mafia des syndicats qui s'en mettent plein les poches
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220e anniversaire de la promulgation du décret du 1er octobre 1793 d'extermination légale
En ce 1er octobre, jour qui marque le 220e anniversaire de la promulgation du décret du 1er octobre 1793 d'extermination légale des Vendéens, décret toujours en vigueur en France aujourd'hui, vous êtes invité :
- à 18h : à la conférence exceptionnelle de Reynald Secher, Docteur d'Etat ès lettres et sciences humaines, sur les Guerres de Vendée, salle des Mariages de la mairie du 7e arrondissement de Paris, 116 rue de Grenelle.
- à 20h, place Paul Claudel, devant l'entrée du Sénat, à l'appel de l'Association Vérité pour la Vendée, pour la défense de la mémoire vendéenne.
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Voici comment l’État obèse dépense vos impôts
Vu ici :
Pour 100 euros d’impôts :
- 42 euros vont aux salaires et pensions des fonctionnaires (salaires = 27 euros pensions = 15 euros)
- 6 euros pour leurs frais de fonctionnement
- 22 euros pour les aides sociales
- 4 euros pour les investissements (routes, infrastructures…)
- 16 euros pour les intérêts de la dette contractée par l’État obèse qui dépense toujours plus que ce qu’il encaisse.
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Peut-on censurer au nom de la science ?
« La science est réfutable par essence et toute théorie, même la plus éprouvée par l’expérience, peut être remise en cause à tout moment si une expérience la prend en défaut. »
« Popular Science », l’un des plus anciens journaux de vulgarisation scientifique du monde, vient de décider de supprimer ses commentaires, par crainte des « trolls », ces commentateurs obsessionnels, dont l’influence serait excessive. Sur le blog Passeur de sciences, Pierre Barthélémy s’interroge : « Peut-on censurer la science ? », notamment pour éviter trop de commentaires critiques de la théorie de l’évolution, contestataires de la thèse de l’origine du réchauffement climatique, ou doutant de l’histoire officielle à base d’arguments révisionnistes.
Poser la question c’est y répondre : du point de vue scientifique, seul peut être dit vrai ce qui peut être librement contesté. Ce qui n’est pas contestable relève de la vérité de nature religieuse, non de la vérité de nature scientifique qui suppose une remise en cause permanente. L’article de Pierre Barthélémy n’en est pas moins intéressant parce qu’il révèle des préjugés de notre époque comme de l’efficacité pratique des commentaires sur Internet. Nos lecteurs le trouveront ci-dessous. PolemiaC'est une information qui donne à réfléchir. Dans un article publié en ligne mardi 24 septembre, Suzanne LaBarre, rédactrice en chef du site Internet de Popular Science, un des plus anciens journaux de vulgarisation scientifique du monde, a annoncé sa décision d’appuyer sur le bouton « off ». De désactiver la fonction « commentaire » de son site Web. D’empêcher les lecteurs de dire ce qu’ils pensent au sujet des articles publiés.
Suzanne LaBarre explique que « cette décision n’a pas été prise à la légère » et qu’il est une conséquence directe de ce que j’appellerai l’ »effet crado » (« the nasty effect » en anglais). Cet arrêt des commentaires est une réaction directe à la pollution des sites d’information par les trolls, qu’ils soient humains ou robotisés, organisés par des lobbies ou pas. Trolls qui déversent dans les commentaires des textes à l’argumentation parfois préfabriqués et copiés-collés, destinés, dans le cas de l’information scientifique, à instiller le doute dans l’esprit des internautes, qui sur la réalité du réchauffement climatique, qui sur la validité de la théorie de l’évolution, qui sur l’innocuité des vaccins, etc. Bref à utiliser l’outil du commentaire pour manipuler l’opinion.
Comme le souligne Suzanne LaBarre, ces commentaires ont vraiment le pouvoir de modifier la perception que le public se fait d’une nouvelle dans le domaine des sciences. L’ « effet crado » a été mis en évidence il y a quelques mois dans une étude publiée par le Journal of Computer-Mediated Communication. Pour résumer, les auteurs ont soumis plus d’un millier de personnes, échantillon représentatif de la population américaine, à un article fictif sur Internet rendant compte d’une découverte dans le domaine des nanotechnologies. Une partie des « cobayes » voyait l’article accompagné de commentaires lançant certes un débat contradictoire mais sur le mode cordial et ouvert. L’autre partie avait accès à une discussion tout aussi contradictoire, qui prenait cependant la tournure musclée, péremptoire et parfois méprisante qui est la marque de fabrique des trolls. Cette dialectique avait un effet significatif, qui polarisait davantage le lectorat et, surtout, modifiait la perception de l’information en altérant la capacité d’adhésion à la technologie présentée. L’effet « crado » est la version Internet du « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ».
Pour Suzanne LaBarre, les conséquences des agissements des trolls sont évidentes : « Les commentateurs façonnent l’opinion publique ; l’opinion publique façonne les politiques publiques ; les politiques publiques décident si la recherche est financée, comment elle l’est et quel type de recherche l’est – vous commencez à voir pourquoi nous nous sentons contraints d’appuyer sur le bouton “off”. » A cela il faut ajouter le contexte américain de « guerre » contre la science que j’ai plusieurs fois évoqué dans ce blog (lire ici, ici, là ou encore là). Les Etats-Unis sont certes les champions du monde au palmarès des prix Nobel scientifiques mais il s’agit aussi d’un pays dont un des deux principaux mouvements politiques, le parti Républicain, est ouvertement en croisade contre la science soit parce que celle-ci s’attaque aux puissances industrielles qui financent ce parti (cf. le climato-scepticisme), soit parce qu’elle offre une vision du monde qui remet en cause les représentations traditionnelles des électeurs américains les plus conservateurs. A ce titre, entendre Sarah Palin dire en 2008 que les hommes avaient côtoyé les dinosaures il y a 6 000 ans (date supposée de la création de l’Univers par Dieu), n’était au fond guère étonnant…
Si l’on interprète correctement ce que dit Suzanne LaBarre, publier sur le site Internet d’un journal de vulgarisation scientifique des commentaires disséminant volontairement des contre-vérités ou se faisant les relais des marchands de doute dénoncés par Naomi Oreskes et Erik Conway, revient à se tirer une balle dans le pied, à desservir la cause de la science. D’où la conséquence « logique », la fermeture desdits commentaires. Qu’on aime ou pas Popular Science, pareil choix venant d’un monument de la vulgarisation scientifique, qui fêtera dans quelques années son siècle et demi d’existence, pose bien des questions. La première consiste à se demander si ce renoncement, cet aveu d’impuissance, ne signe pas par contraste la victoire suprême des trolls. Certes ils disparaîtront du paysage, ils ne se serviront plus du média comme d’un porte-voix pour leur propagande… mais les autres internautes n’auront plus d’espace d’expression, ceux qui veulent sincèrement et honnêtement participer au débat sur tel ou tel aspect de l’actualité de la recherche.
La deuxième question est celle qui donne son titre à ce billet : peut-on censurer au nom de la science ? La science est un perpétuel processus d’erreurs et de corrections. Elle est réfutable par essence et toute théorie, même la plus éprouvée par l’expérience, peut être remise en cause à tout moment si une expérience la prend en défaut. La science est aussi une agora dans laquelle chacun soumet ses arguments aux critiques des autres avec l’espoir qu’en débattant, on percevra mieux le visage de la vérité. Si l’on s’en tient à ce résumé, la censure est donc à l’opposé du fonctionnement de la recherche. Mais, sur le plan pratique, cela n’est valable que si tous les participants acceptent les règles du jeu.
C’est là le point le plus important du débat. Les trolls ne jouent pas le jeu. On les reconnaît soit parce qu’il font intervenir de faux experts, soit parce qu’ils pratiquent la sélection de données pour ne retenir que celles qui les arrangent, soit parce qu’ils mettent sans cesse sur le tapis des arguments et des travaux qui ont été maintes fois réfutés pour des erreurs factuelles, des biais méthodologiques ou des conflits d’intérêts. Et, bien sûr, il leur arrive de faire tout cela en même temps. C’est ce que j’ai coutume d’appeler le négationnisme scientifique, même si j’ai parfaitement conscience que la connotation historique très forte du mot «négationnisme » rend l’expression exagérée. Certains préfèrent celle de « déni de la science » La question « peut-on censurer au nom de la science ?» revient donc à se demander ce qu’on doit faire avec ceux qui ne jouent pas le jeu selon les règles. En général, la réponse est l’exclusion de la partie. Le problème avec l’option radicale qu’a choisie Popular Science, c’est qu’elle revient à donner un carton rouge à tous les joueurs de l’équipe quand un seul a fauté.
Pour terminer sur une touche plus personnelle, la décision de « Pop Sci » invite le blogueur scientifique que je suis à s’interroger sur ses propres pratiques de « modération ». Il m’est en effet arrivé de voir Passeur de sciences pris dans la déferlante des trolls à l’occasion de tel ou tel billet, qu’il soit sur le créationnisme en Turquie ou aux Etats-Unis, sur le réchauffement climatique ou encore sur les théories du complot. Très souvent, ces internautes ne s’embarrassent guère de fioritures, se contentant de changer de pseudonyme pour faire croire à un « effet masse », à une réaction collective, mais oubliant de modifier l’adresse IP à partir de laquelle on peut identifier les commentateurs… Les premières fois, on tente d’être ouvert à la critique, de répondre posément aux remarques, de rectifier ce qu’on prend pour des erreurs alors qu’il s’agit de mensonges manifestes. On apprend vite l’adage « Don’t feed the troll », ne pas nourrir le troll, lequel n’est jamais aussi heureux que quand il vous a attrapé dans ses filets. Sur ce point, je suis d’accord avec Suzanne LaBarre : tout le temps perdu à répondre aux trolls de manière raisonnable est du temps volé à l’information, à la réflexion, à l’écriture et aux autres lecteurs, ceux qui sont de bonne foi.
La charte des blogs du site Internet du Monde n’est pas toujours d’un grand secours car elle reste assez générale. Elle précise néanmoins plusieurs choses, notamment que sont proscrits « la violence ou l’incitation à la violence, politique, raciste ou xénophobe, la pornographie, la pédophilie, le révisionnisme et le négationnisme (…) ; le détournement du service de blogs pour faire de la propagande ou du prosélytisme, à des fins professionnelles ou commerciales (prospection, racolage ou prostitution) et à des fins politiques, religieuses ou sectaires ». Elle dit aussi qu’il appartient à chaque blogueur « de surveiller et de censurer son contenu, notamment les commentaires que les internautes seront susceptibles d’y publier. Le Monde interactif lui donne la possibilité de supprimer tout commentaire ajouté par un internaute sur son blog. »
Face aux trolls qui sont d’une insolente mauvaise foi, j’ai souvent été gagné par le découragement ou la colère et tenté d’adopter la solution de Popular Science. De fermer les commentaires et d’avoir la paix dans mon espace. Et puis, à chaque fois, je me suis dit que ceux que j’appelle par ironie les courageux anonymes seraient trop contents d’une telle réaction. Je n’ai pas voulu oublier que, pour un journaliste, l’atout d’Internet par rapport au journal papier est ce contact quotidien avec ceux qui le lisent, cette possibilité de se parler, d’échanger des idées et des informations car il arrive souvent qu’un commentaire enrichisse le billet que j’ai écrit. J’ai donc tenu bon en choisissant simplement, impitoyablement, de clouer le bec aux menteurs patentés, à ceux qui font profession de semer le doute. Ils ont beau jeu, ensuite, de crier ensuite à la censure sur les forums où ces groupuscules aiment à cracher sur les médias, mais peu m’importe. Ce qui compte à mes yeux, c’est que leur propagande et leurs mensonges ne soient pas passés par chez moi. Cela implique de relire tous les commentaires avant leur publication. Avec plus de 24 000 commentaires laissés sur ce blog depuis sa création en décembre 2011, je laisse le lecteur imaginer le temps que j’ai passé à la modération. C’est pour ne pas perdre tout ce temps que Popular Science a opté pour une solution radicale que je regrette tout en la comprenant.
Pierre Barthélémy
passeurdesciences.blog.lemonde.fr
26/09/2013http://www.polemia.com/peut-on-censurer-au-nom-de-la-science/
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La mentalité primitive et ses expressions modernes
Qu'un Européen peu scrupuleux leur apporte un tonneau de tafia, et aussitôt, sans perdre une minute, ils se jettent sur ce poison pour s'en gorger jusqu'à tomber ivres morts. Crédules, obscènes, frivoles, paresseux, menteurs, ils déshonorent l'espèce humaine.
Charles Richet.
Nous vivons sur le cadavre putréfié de la France de jadis. Sidérés par le syndrome du bougisme hystérique, abrutis par des stimuli alimentaires, sexuels, pornographiques et stupéfiants incessants, administrés par la très aliénante télévision (objet par excellence de l'assujettissement des individus scotchés sur leur canapé de mort), les Français (à la francité inconsciente) ne se rendent même plus compte des conditions de l'effroyable écosystème dans lequel ils vivent. Comme assis sur un tas de détritus ou sur la dépouille d'un animal suintant de pus, l'individu sous neuroleptiques télévisuels avale sans broncher les poisons psychiques déversés par leurs maîtres. Il se complaît dans la fange produite par un Système qui englobe tout, qui salit tout, qui altère tout, qui empoisonne tout. Progressivement déféqués, les excréments au milieu desquels baignent les Hexagonaux sans âme provoquent chez eux, d'une manière indolore, anosmie, agueusie et cécité. Les voilà fin prêts pour disparaître, déjà étouffés, dissous par le méconium du monde-prison qui vient. La télévision et les outils annexes de propagande servent en premier lieu de tampon entre l'individu (la personne nécessairement esseulée par ce Système jaloux) et les métamorphoses monstrueuses subies par une société au point de rupture. Bref, les moyens de diffusion propagandistes sont tout à la fois incitateurs de décadence et chloroforme embrumant les effets de ladite décadence, un peu comme ces psychopathes appréciés des cinéastes torturant atrocement leurs victimes en leur susurrant de gentils mots... de réconfort. Chaque jour est-il bon de s'interroger sur les effets réels et profonds de leur infernale télévision décortiquant le cerveau de ses innombrables victimes. Combien de temps le régime politique en place survivrait-il à la disparition de la télévision ? Et le Système ? Et son Engeance mortifère ? Combien de temps ? Combien de temps l'autochtone mettrait-il pour se réveiller ? Combien de temps supporterait-il ainsi le monde hideux qui l'entoure sans cet objet maléfique, totem des foyers, destiné à distordre la réalité ? Regardons froidement autour de nous et estimons à sa juste proportion le nombre de jeunes gens, de chômeurs ou de retraités qui recherchent inconsciemment les effets anxiolytiques de la télévision qui ruinent littéralement les capacités critiques et de réaction de l'indolent téléphage. Le sourire de telle présentatrice demeurée apaisera l'automobiliste mis en danger dans la journée par un chauffard d'origine incontrôlée. La propagande ethno-masochiste du 20h fera digérer les blessures, les vexations quotidiennes qui ont mortifié le cœur et souvent le corps de Français sans défense à la merci d'exotiques tortionnaires. Les explications alambiquées d'experts certifiés conformes persuaderont, souvent tard le soir, au paroxysme de la fatigue du téléspectateur, la petite ménagère pâle estomaquée devant des comportements bizarres et violents, que tout s'arrangera avec le temps et que les incivilités des Autres ne sont rien comparées à l'extrême souffrance qui habite ces gens « un peu » différents...
Le développement fulgurant de la mentalité primitive
Étonnant phénomène qui gangrène la France, hier si "cartésienne" (dans le sens vulgaire du terme), spirituelle, fine, intelligente. Celui du développement de l'irrationalité tribale telle que cette grossière imbécillité dépeinte au début du siècle dernier par le sociologue juif Lucien Levy-Bruni (cousin d'Alfred Dreyfus et esprit relativement libre jusqu'à l'avènement de l'anti-fascisme intellectuel dans la première moitié du vingtième siècle) dans son fameux ouvrage La mentalité primitive. Un livre dans lequel le savant prétend démontrer la spécificité remarquable de l'esprit des "Sauvages" d'Afrique ou d'Océanie qui se caractériserait donc par une irrationalité fondamentale expliquant cette propension tribale à tout corréler à la magie et aux forces telluriques mystérieuses pour le moins conjecturelles. On pensait cette façon de penser disparue, l'idolâtrie révolue... Las, nous assistons aujourd'hui à une lamentable avancée de l'irrationalité brute et axiologique. Étrange évolution ou plutôt involution sociologique dans un indigénat judéo-maçonnique qui assène à tous les petits élèves de l'école salement républicaine les slogans laïcards les plus violents et qui s'échine incessamment à ringardiser la religion et la "crédulité" de nos ancêtres. Leurs "Lumières", leur psychanalyse, leur civisme, leur "science", leurs idéologies ne sont-ils pas utilisés (et parfois créés dans ce sens) pour casser religion et appartenances religieuses ? Leur but avoué fièrement tout récemment par un Jacques Attali euphorique ? Transformer en lupanar postmoderne les nations du monde et en particulier la France, cible et proie de choix. « La France doit devenir un hôtel...». Une zone de transits nomades où tout est relatif, tout est démonétisé dans un monde désenchanté. Un territoire intégralement dévolu à la consommation, à la prostitution, au mélange des races... et à la violence d'importation. L'objectif d'Attali n'est plus très loin : l'esprit de nos aïeux se meurt dans une France ouverte aux quatre vents violentée chaque jour un peu plus par ceux qui prétendent la diriger. Mais la mentalité primitive, d'importation celle-là, s'amplifie. Ici observe-t-on la multiplication d'espèces de rituels Vaudou, ailleurs des fausses messes au cours desquelles des corps boudinés et enfiévrés s'agitent en danses macabres. Là encore, de ténébreux individus s'adonnent à la pratique du sacrifice et à l'écoulement du sang humain pendant que d'autres énergumènes (qui sont censés être sensés... et nos égaux !) cuisinent des pénis de je ne sais quelle bestiole africaine ou sniffent de la poudre de gonades de zébu dans l'espoir d'accroître magiquement leurs sacro-saintes capacités sexuelles. D'autres, enfin, n'ont pour désir que la possession de la femme autochtone, rousse ou blonde de préférence.
La prolifération de la cigale au détriment de la fourmi
La mentalité primitive se caractérise-t-elle également par une puérilité persistante (à l'âge adulte), une insouciance invétérée et un manichéisme réflexif mis en exergue il y a un siècle par le prix Nobel de médecine Charles Richet ? C'est parfois ce que l'on peut penser en observant attentivement les comportements spontanés des populations "banlieusardes" ou néo-parisiennes et primo-arrivantes à la suite d'événements subjectivement heureux ou malheureux effleurant leur épiderme. On se rappelle à ce propos des incroyables scènes de liesse collective dans certains squats de l'Est parisien à la suite de l'intervention militaire française au Mali où l'on voyait alors des allogènes pratiquer la danse du ventre pour exprimer leur soulagement... Performance relativement esthétique accompagnée des cris hystériques de grosses femmes joviales et exaltées à l'écoute desquels l'on discernait (sans l'accent) des « Merci la France, merci la France »... Cette même France (sans l'accent) qui fut hier encore, à Joué les Tours, tour à tour abhorrée puis louée par de drôles agités arborant des drapeaux fort exotiques. En août dernier, une vidéo équivoque procédait à la victimisation de deux jeunes femmes africaines qui auraient été maltraitées par la police dans cette localité. Rien n'est alors dit (et ne sera dit) sur les circonstances de cette échauffourée... Le but étant, encore une fois, de stigmatiser la France blanche. Illico presto les demoiselles, sous le statut de victime, portaient plainte contre les agents responsables d'un "racisme" insondable et apparaissaient aux yeux du média complice comme des anges du vivre-ensemble républicain. Aussitôt les familles, les amis, les voisins, les frères et les sœurs des plaintives s'approprièrent les rues de Joué les Tours pour faire partager leur joie aux locaux. En faisant visiblement mouche puisque l'on aperçoit dans un reportage journalistique (entendre propagandiste) immortalisant cette liesse colorée quelques autochtones se trémousser au rythme du tamtam des djembés ghanéens.
Une criminalité ludique ?
L'été sera chaud, pronostiquaient quelques météorologues (et sociologues) il y a quelques mois. Il le fut. C'est pourquoi, tout naturellement, les Lyonnais (ou résidents lyonnais) se sont précipités dès le début du mois de juillet dans les piscines municipales ou communautaires de Lugdunum et de sa région afin de fuir les morsures du soleil estival. Les baigneurs pensaient faire preuve de sagesse en fréquentant ces complexes aquatiques où ils espéraient trouver une fraîcheur et une quiétude salvatrices. Grossière erreur et naïveté puérile... La majorité des piscines publiques du Rhône furent contaminées par de gros bacilles enragés qui agressèrent les familles placides et les adolescents caucasiens. Je ne sais cependant si l'on perçoit correctement les éléments violents en question sur les clichés publiés par le journal antiraciste Le Monde du 4 août dernier, où l'on constate par ailleurs de jeunes Africains courir aux abords de la piscine ; ce qui est formellement interdit pour des raisons évidentes de sécurité, soit dit en passant. Les autorités ont doublé le nombre d'agents de sécurité, augmenté d'un tiers les effectifs en maîtres-nageurs, incité la police nationale à visiter davantage les alentours des piscines, mais rien n'y fit. Les violences s'intensifièrent jusqu'aux premiers rafraîchissements climatiques qui mirent (provisoirement) fin aux véritables émeutes insufflées par des chances pour la France. Ainsi en juillet et août, des dizaines de jeunes « très nouvelle France » attaquèrent à plusieurs reprises des piscines municipales ! Attaques indubitablement organisées puisque les belligérants prirent d'assaut plusieurs complexes en lançant des centaines de cailloux de taille non négligeable sur des bassins en plein air ! Le 6 juillet, les policiers durent utiliser leur Flash-Ball pour protéger une population pâle prise en otage par une prolifique violence. Trois jours plus tard, une centaine de délinquants juvéniles (que l'on ne présente plus) refusa de quitter les bassins de la piscine du Rhône traumatisant des employés peu préparés à ce genre de guérilla urbaine. La mesure principale préconisée par les petits politiciens locaux dans l'espoir de combattre efficacement la délinquance aquatique nous laisse sans voix : l'augmentation des tarif s pour dissuader les baigneurs extérieurs... Alors que la plupart des néo-barbares visés ici resquillent toujours d'une manière ou d'une autre pour faire trempette !
Décidément, on a du mal à appréhender cette mentalité et à l'accepter même lorsqu'elle ne nous touche pas directement. Il y a quelques jours dans un supermarché de la belle ville de Colomiers une saynète extraordinaire (à nos yeux tout du moins) témoignait de cet étrange fonctionnement cérébral. Une fillette d'origine gabonaise de 10 ans à qui la maman avait demandé d'aller chercher très vite les courses manquantes dans le magasin courut le long des caisses quand elle croisa le « compagnon de la cousine de sa mère » (sic), lui-même gabonais, soudainement irrité... Sans raison, par jeu, il frappa à sept reprises le crâne de la gosse devant une clientèle abasourdie. Assommée, il la releva en la tirant par une oreille... Le tribunal bouleversé par le chômage du boxeur ne lui infligea que quelques mois de sursis. Peut-être que notre clémente institution a-t-elle également jugé bon de ne point juger ce qu'elle ne comprenait pas ?
Ces agitations simiesques ne sont bien sûr rien comparées aux événements qui ensanglantent depuis des mois et des années la nouvelle Necropolis, Marseille et ses environs. Les commentateurs maquillés parlent de règlements de compte, de spirale de la violence, de crimes organisés, évoquent les conditions socio-économiques désastreuses de la cité phocéenne (quid de son immigration à croissance exponentielle épinglée dès les années 1930 par Lucien Rebatet ?), la drogue, l'argent facile... Certes, ces éléments sociologiques participent-ils à nourrir le phénomène de l'ultra-violence qui touche une grosse partie des Bouches-du-Rhône, et probablement ont-ils joué un rôle dans sa genèse, mais leurs effets sont démultipliés par un phénomène qui a déjà été étudié dans les quartiers afros et latinos états-uniens : le goût du crime pour le crime cultivé dans une configuration idoine. « Pour la première fois, déclarait l'ancien juge d'instruction et nouveau romancier André Fortin dans Le Monde du 22 août, je me demande s'il n'y a pas un phénomène d'émulation criminologique à Marseille », ou en d'autres mots (et d'ailleurs la plupart des derniers assassinats marseillais ne seraient pas spécifiquement des règlements de compte) si cette succession de crimes et de canardages n'était tout simplement pas l'expression d'une mentalité primitive mise à nue par de longues années de violence glorifiée. Heureusement, cette mentalité spécifique (pour ne pas utiliser un autre adjectif) peut engendrer des comportements plus doux comme à Trappes ou à Saint-Denis où les autorités de notre indigénat pensent encore qu'avec le couvre-feu de 20 heures, "on" peut calmer la masse des quartiers... Un nouvel habitant de Saint-Denis témoignait le 28 août dernier pour le journal Le Parisien : « On voit des groupes déjeunes, des verres de vodka à la main, passer quasiment toute la nuit dans des salons de coiffure (sic) »... Pendant que des merlans et des maquereaux d'un nouveau genre absorbent les fumées magiques de leur crack à quelques encablures de là... Tout allait bien jusqu'à ce couvre-feu qui, selon le sociologue Christian Mouhanna possédant, au moins, cette faculté de nous faire rire, « risque de casser la vie sociale »...
François-Xavier Rochette Rivarol 5 septembre 2013 -
Pétition pour avoir le droit de tenir un autre discours sur l'avortement
Aux ministres Touraine & Vallaud-Belkacem : après les affaires Médiator et pilules 3G, ne faites plus de négationnisme sur l’avortement et arrêtez de museler vos opposants !
Les sites qui, comme ivg.net, apportent des bémols sont, eux, qualifiés de « biaisés » parce qu’ils osent inciter les femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Curieusement, aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.
Plus récemment, les gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe ainsi que la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié en mars 2012 une tribune dans Libération pour rappeler que bien qu’ils soient défenseurs de l’IVG dès la « première heure », ils ne voulaient pas laisser dire n’importe quoi ! Ils fustigent littéralement la tendance actuelle qui voudrait faire croire que le recours à l’IVG n’aurait aucune incidence sur la vie des femmes :
"Nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.
Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité. (…) La santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques.
Nous, cliniciens favorables aux droits des femmes à interrompre une grossesse et à avoir une sexualité sans risque de grossesse non voulue, nous n’acceptons pas pour autant la banalisation de l’IVG. (…) Nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.
Demandons à Mmes Vallaud-Belkacem & Touraine:
- D’avoir au moins une position neutre en matière d’IVG,
- De prendre en compte comme le demande le Pr Nisand, la « souffrance psychologique » des femmes et ne plus «banaliser l’IVG »,
- D’avoir une position responsable et volontariste dans la prévention de l’IVG,
- D’arrêter de nier les dangers médicaux et psychologiques de l’IVG,
- De promouvoir des enquêtes médicales sérieuses sur les conséquences de l’IVG.
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Le système tue tout le monde, pas seulement les pauvres - Par Massimo Fini
En Suisse, en l'espace de quelques semaines, deux grands managers se sont suicidés : Pierre Wauthier, 53 ans, directeur financier de Zurich, un colosse de l'assurance, et Carsten Schloter, 49 ans, leader de Swisscomm Telecomunications. Wauthier était tendu, stressé par son chef qui le pressait d'atteindre des objectifs toujours plus élevés, jusqu'à ce que, n'y tenant plus, il se suicide. Le cas de Schloter est encore plus significatif, il a en effet laissé le mot suivant : « On ne peut pas rester connecté au travail 24h sur 24, rayer totalement la famille, les enfants, on ne peut pas oublier de vivre. »
Le modèle de développement actuel a réussi la misérable prouesse de faire se sentir mal même ceux qui vont bien. Alors, imaginons ce que c'est pour les autres. Tout part de la compétition économique, un concept hérité de la Révolution industrielle, parfaitement inconnu auparavant, et dont les effets dévastateurs ont été amplifiés par le phénomène de la globalisation. Ce dernier a lui aussi débuté vers le milieu du XVIIIe siècle, et est arrivé à pleine maturation aujourd'hui avec l'adoption du modèle de développement occidental par presque tous les pays dans le monde.
Compétition entre individus, compétition entre entreprises, compétition entre États, tout cela en massacrant la personne humaine. Nous admirons et redoutons la croissance chinoise, mais depuis que le boom économique a commencé sur les terres de Confucius, le suicide est devenu la première cause de mortalité parmi les jeunes, et la troisième parmi les adultes. Dans les usines chinoises, où l'on assemble les composants des produits Apple et où les ouvriers travaillent 16 heures par jour, ils ont dû tendre des filets de sauvetage pour empêcher les pauvres bougres de se jeter du toit et de se tuer. Peut-être vivaient-ils mieux lorsqu'ils se contentaient de leur bol de riz.
Les auteurs classiques de l'économie libériste, Adam Smith et David Ricardo, soutenaient que la compétition est une bonne chose, car elle faire baisser les prix et profite donc au consommateur (ce personnage sinistre qui a émergé lui aussi à notre époque moderne). Il ne me semble pas que cela se soit produit. Les prix des biens essentiels, la nourriture, l'habillement, le logement n'ont fait qu'augmenter, même en tenant compte de l'augmentation des salaires ; les seules choses dont le prix a diminué sont les objets inutiles, dont personne n'avait jamais ressenti le besoin avant. Mais il y a surtout cette innovation psychologique qui est étroitement liée à la compétition économique, et que Ludwig von Mises, renversant 20 siècles de pensée occidentale et orientale a parfaitement résumée par cette phrase : « Ce n'est pas bien de se contenter de ce que l'on a. » Et cela a jeté les bases, comme s'il y en avait besoin, de l'insatisfaction et du malheur de l'homme. Car ce que l'on ne possède pas est sans limites ; une fois atteint un objectif, il faut un autre – contraints que nous sommes par ce mécanisme inéluctable qui nous domine et sur lequel s'appuie le système -, et encore un autre, et ainsi de suite, jusqu'à ce que l'on éclate, et que l'on suit remplacé par quelqu'un d'autre.
En fait, les chômeurs se trouveraient dans la position idéale s'ils n'étaient pas taraudés par le besoin d'avoir ce qu'ils n'ont pas et que les autres possèdent. Vivre sans travailler a toujours été le rêve de tout homme, tant qu'il a eu un cerveau pour réfléchir.
Voilà quelques années, par une sombre journée d'octobre, je me trouvais sur l'une des splendides plages d'Agrigento (dommage qu'à 100 m de là se trouve la sortie des égouts). La plage était déserte. Il y avait seulement un garçon à quelques mètres de moi. J'engageai la conversation. Il me raconta qu'il avait travaillé les quatre mois d'hiver comme maçon à Turin, et le reste du temps il le passait dans sa ville natale à vivre de ce qu'il avait gagné en pouvant compter sur la partie de sa famille qui était restée dans le Sud. « Bien-sûr, disait-il, je ne peux pas m'acheter une Porsche, mais ce que j'ai, c'est le temps ». Je lui répondis : « cher jeune homme, tu ne le sais peut-être pas, mais tu es un philosophe. » Et nous au contraire, nous sommes tous de savants crétins.
Il Fatto Quotidiano, 7 septembre 2013
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Visitez le site français du Mouvement Zéro de Massimo Fini
Antony Drumel http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/actu-site-et-amis-du-site/1118-le-systeme-tue-tout-le-monde-pas-seulement-les-pauvres-par-massimo-fini -
François Hollande accueilli à Cherbourg
Ouest-France évoque quelques petits heurts avec les défenseurs de la famille. Sur son blog, Fikmonskov conteste ces "heurts" et publie quelques photos.
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Racket par les radars : la plupart des flashés ignorent être en excès de vitesse
40 Millions d’Automobilistes vient d’effectuer un nouveau sondage pour comprendre pourquoi autant d’automobilistes français se font flasher chaque année : rien qu’en 2012, pas moins de 21 millions de PV dressés à la suite d’un flash radar ont été comptabilisés.
Parmi les automobilistes flashés pour un excès de vitesse de moins de 20 kilomètres / heure, 61% d’entre eux déclarent qu’ils ne connaissaient pas la vitesse limite autorisée à l’endroit du flash.
Sur ces 9185 participants au sondage, 27% d’entre eux déclarent s’être faits flasher de cette façon en roulant sur autoroute, 27% sur une 2×2 voies, 25% en agglomération et 19% sur une voie secondaire.
Bref, une bonne moitié sur des zones pas spécialement dangereuses.Et l’insuffisante signalisation des vitesses limite ne résulterait-elle pas d’une volonté de racketter toujours plus les gens, à commencer par ces proies faciles que sont les automobilistes ?