Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2237

  • IMMIGRATION ET CONFLIT AU MOYEN ORIENT

    Dans les années 85-86... les juifs de France défendaient les immigrés musulmans en faisant le pari qu'ils se protégeaient eux-mêmes en défendant les immigrés. C'était l'époque de SOS Racisme qui flamboyait avec Harlem Désir et Bernard-Henri Lévy. Actuellement on peut se demander si avec le conflit israëlo-palestinien, la communauté juive se sent protégée par la présence d'une importante communauté musulmane qui ne fait que croître. Les Juifs de France ont aussi joué avec le feu sur l'immigration. On annonce sans cesse des incendies de synagogues dans les banlieues sans que cela ne mette la France entière dans la rue alors qu'avant, il suffisait qu'un skinhead dessine une croix gammée sur une synagogue pour que tous les médias s'emparent de l'affaire, avec manifestations dans les rues, et interventions politiques et syndicales dans les écoles...
    Dans la série chère à Bernard Stasi « l'immigration : une chance pour la France », on s'aperçoit qu'à chaque conflit existant sur la planète cela donne prétexte à toutes sortes de communautés de s'étriper sur la place publique devant des Français ébahis.
    Le conflit israëlo-palestinien est aussi riche en enseignements pour la France. Lorsque 20 % d'une population (pourcentage des Palestiniens en Israël) ne fait pas corps avec le pays dans lequel elle vit cela se retourne toujours contre ce pays. On est hélas en France dans une situation similaire. Les Palestiniens peuvent difficilement se sentir chez eux en Israël dans un pays fait uniquement par des Juifs pour des Juifs. Les Palestiniens de Gaza et de la Cisjordanie ont naturellement été solidaires de leurs frères.
    En France, vue la juxtaposition de communautés différentes, le service militaire n'a plus de sens et on l'a donc supprimé. On ne pouvait pas apprendre pendant le service militaire à tuer et à saboter dans les commandos de l'armée française et instruire ainsi de jeunes islamistes de banlieues. On a donc stoppé le service pour tous, jugé trop dangereux.
    Certains à juste titre ne croient pas à la guerre entre Israël et les Palestiniens car le rapport de forces est trop disproportionné (lance pierres et quelques pétoires contre une armée organisée avec chars et hélicoptères blindés). Pour se battre, il faut être deux partenaires de force comparable ce qui n'est pas le cas. Il faudrait alors qu'un pays arabe puissant accepte d'envoyer ses soldats mourir au service de la Palestine. Le conflit ne pourra donc qu'être un harcèlement perpétuel dans le but de gêner Israël et de faire pression sur ce pays et la communauté internationale. La seule force «guerrière» des Palestiniens est d'être (très) pauvres et de n'avoir donc rien à perdre. Cette situation de guérilla pourrait exister en France dans les banlieues. Au lieu d'attaquer les droites nationales et de voir la main de l'extrême droite partout, ce qui est commode, les dirigeants français feraient mieux de réfléchir et prévoir, plutôt que de nous servir une fois de plus un discours bêlant. Comme si le vocabulaire creux et vide de Chirac « indignation, actes inacceptables, valeurs républicaines... » changeait le cours des événements et avait la moindre prise sur les jeunes Arabes des banlieues.
    La culpabilité vis à vis de la seconde guerre mondiale ne joue absolument pas.
    Le général Sharon a compris que la paix est plus dangereuse pour son pays que la guerre. Car vue l'évolution démographique, un peuple riche et embourgeoisé comme le sont devenus les Israéliens ne peut être qu'appelé à disparaître. Sharon a donc décidé de casser le processus de paix pour de nouveau aguerrir son peuple. La petite promenade sur l'esplanade des mosquées a été bien calculée. La similitude avec la France existe. Dans un contexte où l'on parle sans cesse de construction européenne qui garantit la paix et de prospérité économique, le peuple français engraissé et totalement anesthésié disparaît à petit feu. Depuis cinquante ans la paix sur le sol français a infiniment plus détruit le peuple français et même les peuples européens que n'importe quelle guerre. Selon les démographes, il y a environ six millions de musulmans en France, chiffre qui double tous les vingt ans. Donc au milieu du XXIe siècle, la religion musulmane sera la première religion de France. On ne peut que souligner la lâcheté des dirigeants français qui cachent la vérité aux Français. Le réveil s'il existe sera d'autant plus brutal. Il faut souhaiter que l'homme blanc finisse par se réveiller au bord de la tombe.
    par Patrice GROS-SUAUDEAU  2000

  • Avec vos impôts, la France finance les lobbies LGBT en Côte d'Ivoire

    Lu ici

    "La Coopération française a octroyé une somme de 30 millions FCFA à une ONG ivoirienne pour la promotion de l’homosexualité. Une importante somme d’argent destinée à encourager les efforts fournis par ce pays dans le cadre de l’intégration des homosexuels dans sa société. Un modèle de référence qui vaut aujourd’hui à la Côte d’Ivoire l’appellation de « terre d’asile des homosexuels »

    30 millions FCFA (45.735 euros), tel est le montant dégagé le 25 juin par la Coopération française pour promouvoir et vulgariser les droits des homosexuels en Côte d’ivoire. Selon La dépêche d’Abidjan, la convention a été signée au siège de l’ONG Alternative Côte d’Ivoire, sis à Cocody-Angré entre cette ONG, présidée par Touré Claver, lui-même homosexuel, et la France.

    Selon le journal, le financement des activités des homosexuels de Côte d’Ivoire n’est pas nouveau. Le programme d’urgence du programme des États-Unis pour la lutte contre le sida (Pepfar) finance déjà les activités des minorités sexuelles".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Racket des automobilistes : Hollande poursuit la politique de Sarkozy

    Le périphérique parisien se dote de huit nouveaux radars

    Les associations d’automobilistes s’indignent de ces implantations, qu’elles estiment injustifiées.

    Une surprise attend les automobilistes franciliens cet été. Huit nouveaux radars vont être installés sur le périphérique parisien, doublant le dispositif mis en service en 2004. Ingrid Attal, avocate de l’association 40 millions d’automobilistes, s’indigne : « ce double parc de radars est inutile, le taux d’accidents sur le périphérique n’a jamais été aussi bas ». En effet celui-ci a baissé considérablement ces dernières années. Selon les chiffres de la préfecture de police (PP), 2012 a vu le nombre d’accidents diminuer de 8% et celui des blessés de plus de 9%. Une tendance qui se confirme sur les cinq premiers mois de l’année 2013 : les accidents reculent en effet de 14.8% et le taux de blessés de 10.6%.

    D’après la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (FNAUT) ce sont justement les radars qui ont contribué fortement à inverser la tendance car « ce genre de mesure est assez forte symboliquement pour obliger les automobilistes à ralentir » estime Fabrice Michel, un porte-parole de l’association. C’est aussi l’avis de la Préfecture qui annonce une mesure « pour poursuivre la bonne tendance enregistrée ces derniers mois ». Cependant, avec quasiment un radar installé à chaque porte du périphérique, Ingrid Attal se demande si « le véritable but est vraiment d’améliorer l’aspect sécurité ». Même interrogation de Maître de Caumont, avocat en droit de l’automobile, qui dans des termes plus virulents dénonce une « pompe à fric destinée à renflouer les caisses de l’état ». Sans compter que de plus en plus de petits excès de vitesse sont flashés alors qu’ils ne sont pas à l’origine de gros accidents », insiste Ingrid Attal.

    Mais davantage que le double parc de radars en lui-même, c’est plutôt l’orientation de ceux-ci qui provoque des interrogations. « Ils flashent de dos », nous explique Maître de Caumont, « ce qui rend plus difficile la contestation de l’infraction. Ces radars sont donc bien un piège à fric et non un outil mis au service de la sécurité routière. » En 2012, les 4047 radars fixes déployés sur le territoire ont généré 750 millions d’euros de recette. Une centaine d’engins supplémentaires doivent être mis en service d’ici la fin de l’année.

    Le Figaro   http://www.actionfrancaise.net

  • Le mariage pour tous et la Fin de l’Histoire

    Le mariage pour tous, les Google babies, le tout-robotique, la dissolution des nations et des sexes montrent au moins une bonne chose : l’espèce humaine est à bout de souffle et se sent, à l’exception de la minorité chrétienne, dans la nécessité d’être remplacée. C’est pourquoi je ressens le besoin de reprendre la plume pour évoquer à nouveau Kojève et sa "Fin de l’Histoire".

    En dépit des guerres et des crises financières qui nous menacent de tous côtés, l’expression Fin de l’Histoire a fait le tour du monde. Elle n’est pas de Francis Fukuyama, mais de son inspirateur, un russe blanc émigré à Paris, Alexandre Kojève, esprit universel du niveau de Nabokov, professeur de sanscrit et auteur des meilleurs commentaires de la philosophie de Hegel. Fonctionnaire à la CEE vers la fin de sa vie, choix qui relevait chez lui d’un apostolat, Kojève s’est efforcé de comprendre pourquoi nous allions vivre des temps si ennuyeux. Voici comment il définit la Fin de l’Histoire dans ses notes célèbres sur Hegel, écrites en 1946.

    « En fait la fin du Temps humain ou de l’Histoire signifie tout simplement la cessation de l’Action au sens fort du terme. Ce qui veut dire pratiquement : - la disparition des guerres et des révolutions sanglantes... Mais tout le reste peut se maintenir indéfiniment ; l’art, l’amour, le jeu, etc., etc. ; bref, tout ce qui rend l’Homme heureux. -Rappelons que ce thème hégélien, parmi beaucoup d’autres, a été repris par Marx. »

    Ce bonheur de l’homme de la Fin de l’Histoire a aussi été prédit par Nietzsche dans "Zarathoustra" (« le dernier homme qui a inventé le bonheur ! ») et par Tocqueville dans des pages célèbres et magnifiques : « Je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. »

    Kojève ne nie pas le danger inhérent à cette Fin de l’Histoire : l’homme risque en effet de devenir un petit animal heureux, « un oiseau construisant son nid ou une araignée tissant sa toile ». Il redeviendrait même un jeune animal joueur, comme dans les films de Walt Disney ! Par une vision géniale, Kojève pressent même le devenir de l’espèce humaine livrée à la technologie, au téléphone et aux réseaux. C’est un avenir d’insecte communiquant.

    « Les animaux de l’espèce Homo sapiens réagiraient par des réflexes conditionnés à des signaux sonores ou mimiques et leurs soi-disant "discours" seraient ainsi semblables au prétendu "langage" des abeilles... Car il n’y aurait plus, chez ces animaux post historiques, de connaissance du Monde et de soi. »

    Sur le plan historique et en pleine guerre froide, Kojève remarque plus tard que finalement Russes et Américains ne s’opposent pas. Or on est en 1959 ! Le but est le même, le confort matériel et le bonheur de tous. Pour lui les jeux sont faits depuis Napoléon et la Révolution française. Ce n’est pas pour rien que Kant avait troublé sa promenade à l’annonce de la prise de la Bastille, ni que Hegel avait parlé d’âme du monde à la vue de l’empereur en 1806.

    « En observant ce qui se passait autour de moi et en réfléchissant à ce qui s’est passé dans le monde après la bataille d’Iéna, j’ai compris que Hegel avait raison de voir en celle-ci la fin de l’Histoire proprement dite. Dans et par cette bataille, l’avant-garde de l’humanité a virtuellement atteint le terme et le but, c’est-à-dire la fin de l’évolution historique de l’Homme. Ce qui s’est produit depuis ne fut qu’une extension dans l’espace de la puissance révolutionnaire universelle actualisée en France par Robespierre-Napoléon. »

    Kojève relativise alors tout le vécu moderne, même le plus tragique : la colonisation, les deux guerres mondiales, le nazisme, le communisme, la décolonisation, le tourisme, l’ONU, le centre commercial, tout annonce la réalisation de la Fin de l’Histoire ! Cette Fin de l’Histoire suppose un triomphe du modèle américain, mais pas pour des raisons politiques. Car pour Kojève l’Amérique est la terre de la Fin de l’Histoire et même la réalisatrice du marxisme ! C’est le feuilleton Happy days !

    « On peut même dire que, d’un certain point de vue, les Etats-Unis ont déjà atteint le stade final du "communisme" marxiste, vu que, pratiquement, tous les membres d’une "société sans classes" peuvent s’y approprier dès maintenant tout ce que bon leur semble, sans pour autant travailler plus que leur coeur ne le leur dit... J’ai été porté à en conclure que l’American way of life était le genre de vie propre à la période post-historique, la présence actuelle des Etats-Unis dans le Monde préfigurant le futur "éternel présent" de l’humanité tout entière. »

    L’expression d’éternel présent a été reprise par Guy Debord et les situationnistes pour caractériser la société spectaculaire contemporaine. Plus loin Kojève ajoute même ces lignes propres à choquer un marxiste-léniniste des années 1950 : « les Russes et les Chinois ne sont que des Américains encore pauvres, d’ailleurs en voie de rapide enrichissement. »

    Il fallait le dire, en plein maoïsme !

    Le seul (petit) salut qui viendrait à l’homme, si l’on voulait éviter cette entropie de la médiocrité et du petit bonheur, serait le modèle japonais. Pour Kojève en effet le modèle japonais avait connu trois expériences de Fin de l’Histoire. Au cours de ces périodes le Japon avait développé une civilisation harmonieuse, une culture artistique très personnelle : et Kojève de citer le théâtre Nô, la cérémonie du thé et l’art des bouquets de fleurs. Presque optimiste, Kojève prévoit alors un devenir-artiste de l’Humanité en 1959 :

    « Ce qui semble permettre de croire que l’interaction récemment amorcée entre le Japon et le Monde occidental aboutira en fin de compte non pas à une rebarbarisation des Japonais, mais à une "japonisation" des Occidentaux (les Russes y compris). »

    Kojève, que je soupçonnerais presque d’être un agent de la CIA, de l’impérialisme et du Mikado (!!!), théorise donc un futur en deux branches : un futur animal de consommation de masse, de type américain ; et un autre de type aristocratique et artistique, de type nippon. La fin du communisme économique en Chine, en Russie et dans le reste du monde, l’américanisation culturelle et technologique de la planète, le développement de la communication et de l’individualisme festif, la culture du snobisme universel (prophétisée sous Victoria par Thackeray) ont donné raison à ses analyses étonnantes.

    Ce bonheur d’homme creux est-il supportable ? Car l’humanité adulte vue par Kant et par Hegel retombe en une festive enfance en vieillissant très vite. Et on comprend pourquoi elles avaient suscité, ces prévisions, une forte hypocondrie chez Hegel, entre sa vingt-cinquième et sa trentième année. Et Kojève de terminer sur ces lignes tristes et belles :

    « Mais, finalement, Hegel a surmonté cette "Hypochondrie". Et, devenant un Sage par cette acceptation dernière de la mort, il se réconcilie définitivement avec tout ce qui est et a été, en déclarant qu’il n’y aura jamais plus rien de nouveau sur terre. »

    Allons bon ! L’oncle Sam, faute d’envoyer un nouvel homme dans l’espace, lâchera bien une bombe sur Téhéran ! Mais pour Kojève, ce sera toujours de la Fin de l’Histoire. Le show américain, ce n’est plus de l’Histoire.


    Alexandre Kojève, "Introduction à la lecture de Hegel", Gallimard.
  • Une vision alternative de ce qui se joue en Syrie

  • L'ONU affirme qu'il n'existe pas de "droit" à l'avortement

    Bonne nouvelle rapportée par C-Fam, l'ONG pro-famille présente à l'ONU :

    "Dans une importante résolution sur les femmes, la paix et la sécurité, le Conseil de sécurité de l’ONU a opposé une fin de non-recevoir aux suggestions selon lesquelles les victimes de viol en temps de guerre seraient titulaires d’un droit à l’IVG. [...]

    Le Conseil de sécurité a également refusé d’inclure les droits des personnes homosexuelles dans sa résolution. Les institutions onusiennes ont invariablement refusé de reconnaître l’existence de droits spéciaux pour les personnes homosexuelles."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • JM Le Pen prédit l’arrivée de 50 000 Roms à Nice en 2014

    Le président d'honneur du FN, Jean-Marie Le Pen, venu présenter jeudi à Nice la candidate nouvellement investie pour les municipales, Marie-Christine Arnautu, a qualifié la présence de Roms dans la ville d'"urticante" et "odorante" et prédit que "50.000 Roms" allaient venir s'y installer en 2014.
    "Nous sommes dans un contexte national extrêmement dangereux et Nice ne sera pas une oasis dans le désert français, son sort sera lié au sort de la France", a indiqué JM. Le Pen lors d'une conférence de presse dans la cinquième ville de France, qui compte 345.000 habitants.
    "Je vais vous faire un pronostic: vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Roms qui ont dans la ville une présence urticante et disons... odorante. Ceci n'est que le petit morceau de l'iceberg", a estimé le député européen du Sud-Est.
    "Je vous annonce que dans le courant de l'année 2014, il viendra à Nice 50.000 Roms au moins puisqu'à partir du 1er janvier, les 12 millions de Roms qui sont situés en Roumanie, en Bulgarie et en Hongrie auront la possibilité de s'établir dans tous les pays d'Europe", a-t-il poursuivi, estimant que la politique gouvernementale vis-à-vis de cette minorité avait "un effet de recrutement fantastique".
    "Tout le monde est dans les starting-blocks, exactement comme dans les films du Far-West" retraçant la conquête de l'Ouest américain, "c'est à cela que nous allons assister", a-t-il encore prédit.
    "Je suis sûre que Nice a besoin d'une liste de salut public" car c'est une "ville extrêmement menacée", a elle aussi estimé Marie-Christine Arnautu, présentée par JM. Le Pen comme la "Mme Préférence nationale" du FN.

  • Egypte : chute de « l’islam politique » pour Bachar al Assad

    DAMAS (NOVOpress) – Le président syrien Bachar al Assad, combattu par les rebelles islamistes depuis plus de deux ans, a estimé mercredi que la destitution du président égyptien Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, signifiait l’échec de l’islam politique. « Le résumé de ce qui se passe en Egypte, c’est la chute de ce que l’on appelle l’islam politique », estime le chef d’Etat syrien. L’armée égyptienne a annoncé dans un message télévisé mercredi soir avoir écarté Morsi, suspendu la Constitution et annoncé la tenue d’une élection présidentielle anticipée en Egypte. La branche syrienne des Frères musulmans joue aujourd’hui un rôle crucial dans le coalition nationale de l’opposition syrienne en exil.

     

    L’Egypte est un pays sunnite, de même que la plupart des rebelles syriens hostiles au régime de Bachar el-Assad. A la lumière des événements égyptiens, Bachar al Assad a ajouté : « Quiconque se sert de la religion dans le champ politique pour favoriser un groupe aux dépens d’un autre tombera où que ce soit dans le monde ». Une réponse claire et nette au slogan « L’islam est la solution » des Frères musulmans. Car à la différence de l’Egypte, les chrétiens ne sont pas persécutés par l’Etat en Syrie mais par les terroristes islamistes. Des villages chrétiens sont exterminés, tandis que 1.700 églises ont été profanées ou détruites par les « révolutionnaires » islamistes en Syrie.

    http://fr.novopress.info/

  • Contre le « Système à tuer les peuples et à créer du chaos » – par Gérald Pichon

    PARIS (NOVOpress)  Ayant décidé de « jeter un pavé dans la vitrine du système », Gérald Pichon, l’auteur de « Sale Blanc », s’insurge contre les récupérations politiciennes de la haine anti-blanche, dernier tabou que les médias ne peuvent plus taire. Une levée d’un tabou pourtant utilisée par certains pour continuer à incriminer les nôtres…

     

    Après avoir pendant des années passé sous silence l’existence de la haine anti-blanche, les ligues de vertu anti-racistes, les médias (même TF1 en parle !)  et la classe politique commencent à évoquer ce phénomène de société de manière récurrente. A première vue, en tant qu’auteur d’un livre « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas » (Editions Idées) dénonçant la duplicité de ce « Système à tuer les peuples » (collusion entre la classe politique et économique) sur le racisme anti-blancs, je devrais être le premier à m’en réjouir, mais ce n’est pas le cas.

    Le « Système à tuer les peuples et à créer du chaos »
    En effet, je vois poindre au delà de la récupération politique(1) et associative (Pourquoi le racisme anti-blancs est-il désormais au cœur du combat de la Licra ? par Gérald Pichon) un mouvement de fond plus vaste s’inscrivant dans la logique même dans ce je dois nommer dorénavant, après la relecture du philosophe suisse Eric Werner, le « Système à tuer les peuples et à créer du chaos ».

    Un même constat et des solutions différentes : éviter ou créer la balkanisation de la France
    Désormais, à de rares exceptions près, plus personne n’ose nier l’existence de la haine anti-blanche, la réalité a rattrapé l’opinion. Le constat est donc le même pour tout le monde, ce qu’ils appellent « le racisme anti-blancs » existe. Mais c’est sur les solutions que les choses divergent. Si j’ai écrit mon livre, c’était pour évoquer la balkanisation de l’Europe, en évitant de tomber dans le piège de la guerre raciale des « White » contre « Black  Power » et en proposant des solutions : la réidentarisation des individus (qu’ils soient européens ou non), seul antidote contre le poison de la sous-culture mondialiste, et la remigration dans la dignité des peuples extra-européens (pour vivre leur identité sur leur terre et éviter l’explosion ethnique qui nous guette). Au lieu de cela, que font la classe politique, les médias et les ligues de vertus ? Tout l’inverse, en mettant en place le Grand Remplacement  (entre 8 à 10 millions d’extra-européens présents sur le sol français) en pleine crise économique, en inoculant le poison de la Haine (de la France, et des Français de souche) et celui de Détestation (de soi, de son identité), en diffusant le mensonge du « vivre-ensemble » et en maintenant une chape de plomb sur la haine anti-blanche pendant plus de 30 ans. Le pire aurait pu être évité s’ils l’avaient voulu mais ce n’était pas leur but. Leur but est justement de créer cette situation du pire…

    La mèche du racisme anti-blancs sur la bombe à fragmentation communautaire
    Comme le village d’Astérix, toute la France se communautarise, mais un dernier bastion fait de la résistance, c’est celui justement de la majorité invisible, des Français de souche à qui on a appris à être individualistes, à se culpabiliser en permanence et à faire son mea culpa antiraciste quotidien. La situation a évolué au cours des dernières semaines : le raciste reste l’ennemi intérieur, mais sa couleur de peau n’est plus seulement blanche et l’on voit apparaître des nuances plus sombres. Car le « Système à tuer les peuples et à créer du chaos » est entré dans une nouvelle phase de fragmentation de la France en voulant asseoir un peu plus sa domination dans cette phase de fortes turbulences économiques propices à créer une situation révolutionnaire. Le philosophe Eric Werner a bien analysé cette situation dans son livre « L’avant-Guerre civile » : « un Etat multiculturel balkanisé est beaucoup plus facilement gérable qu’un état culturellement homogène non-balkanisé. Un peuple organiquement Un (ce qu’était autrefois l’Etat-nation) est capable de tenir tête à ses dirigeants, de leur résister et de leur faire front. » Il ne faut pas être naïf car les « dirigeants européens sont naturellement au fait de l’évolution démographique », ils savent que « la population d’origine extra-européenne a toute chance de devenir à relativement brève échéance majoritaire en Europe. » Pour maintenir leur hégémonie, « il leur suffira d’adapter leur stratégie traditionnelle aux nouvelles données de la société “multiculturelle”, en jouant telle ethnie contre telle autre. »

    A mesure que la crise économique avance, le « Système à tuer les peuples et à créer du chaos » garde sous la main l’option d’allumer la mèche du racisme anti-blancs de la bombe à fragmentation communautaire pour garder son pouvoir. Alors méfions-nous des faux-semblants et surtout des faux amis même si leurs discours semblent séducteur au premier abord. Il nous appartient de déjouer ces plans en gardant le cap inflexible de la non-violence, de la dignité et de l’identité.

    Gérald Pichon http://fr.novopress.info/

    1 – « Désormais, le Système à tuer les peuples ne peut plus maintenir cette chape de plomb sur la haine antiblanche. Cette réalité a malheureusement rattrapé un grand nombre de Français de souche comme le montre un sondage du quotidien Le Monde (pour 57% des personnes interrogées, le racisme antiblancs est un phénomène assez répandu). Et pour éviter que la vérité éclate sur le fait que les Blancs sont les principales victimes de la haine raciale et que les victimes sont considérées comme un mal nécessaire dans la stratégie du Grand Remplacement, il cherche à emmener ce thème sur une voie de garage en tentant de le récupérer, comme le montre le thème du prochain congrès de la Licra, ou en faisant émerger un interlocuteur “antiracistement correct”. Il est quand même incroyable que des personnes comme Tarik Yaldiz (auteur d’un recueil de témoignages sur le racisme antiblancs) ou Jean-François Copé soient les seules personnes interrogées sur ce sujet de société brûlant ! La création d’un SOS Racisme antiblancs n’est pas, à mon avis, prévu. On se dirige plutôt par une tentative de prise en main de la haine antiblanche par le courant néo-conservateur français afin de l’intégrer dans une défense plus globale de l’Occident (Etats-Unis + Israël + Europe) et de ses valeurs (consumméristes, individualistes et anti-identitaires). Soit la prise en main des petits Blancs par ceux-là mêmes qui apprennent aux bandes ethniques à les détester ! » (Entretien avec Gérald Pichon, auteur de “Sale Blanc”)