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lobby - Page 2239

  • Les dissolutions de la peur

    Utilisant le prétexte de la mort de Clément Méric, le gouvernement socialiste a engagé plusieurs procédures de dissolution à l’égard d’organisations nationalistes qu’il avait dans le collimateur depuis un certain temps. Même si « l’affaire Méric » se dégonfle de jour en jour – les preuves et témoignages accablants se succèdent, démontrant que le petit roquet antifasciste et sa bande de voyous d’extrême-gauche étaient les agresseurs lors de la rixe où il est accidentellement décédé – nos gouvernants n’en ont cure.

    Alors pourquoi cet acharnement et cette hâte à dissoudre des « groupuscules extrémistes » comme ils se plaisent à les décrire ? Parce que ceux qui nous gouvernent ont peur, tout simplement.

    L’ampleur de l’opposition à la loi sur le mariage homosexuel qui a débouché sur un véritable « Printemps français » les terrorise. Ils sont morts de trouille parce qu’ils n’arrivent ni à manipuler ni à canaliser cette légitime révolte populaire qui gronde et qui dépasse le cadre du refus de l’infâme loi Taubira. La féroce répression policière, totalement disproportionnée, ainsi que les condamnations judiciaires iniques, ne fonctionnent pas. Les faux-opposants acquis aux dogmes de la République franc-maçonne, de l’UMP à Marine Le Pen en passant par Frigide Barjot, ne parviennent pas à briser cet élan populaire de la France des terroirs et des clochers en tentant de replacer le débat public dans un cadre « conventionnel » où tout est contrôlé.

    Alors on s’agite en haut-lieu et on tente de museler, affichant sa pusillanimité au grand jour, les organisations non-conformistes qui tiennent depuis toujours un discours révolutionnaire appelant à mettre à terre un Système vermoulu dont les Français se méfient de plus en plus.

    Ces dissolutions sont l’aveu éclatant d’une fébrilité typique des régimes en bout de course. Cette hargne est celle de la bête acculée, dos au mur, qui sent que son temps est compté.

    Le France charnelle et millénaire n’est pas encore dissoute dans le mondialisme consumériste et métisseur. L’espérance française face aux menaces qui pèsent sur notre civilisation est en train de renaître. Et les ultimes soubresauts liberticides d’une Ripoublique agonisante n’y changeront rien.

    Thomas JOLY

    Secrétaire général du Parti de la France

    http://fr.altermedia.info

  • La répression, aujourd’hui comme hier…

     

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    Zentropa

    Pour la première fois depuis bien longtemps, le « peuple de droite » est, depuis plusieurs mois (avec une notable accélération ces dernières semaines), victime de ce qu’il appelle ordinairement de ses vœux : la répression policière et la rigueur judiciaire. Cruel retour de bâton, les jeunes militants et activistes du « printemps français » et de la « manif pour tous » se retrouvent aujourd’hui confrontés aux mesures sécuritaires et liberticides qu’une large part d’entre eux applaudissait dans le passé, lorsqu’ils les pensaient destinés à d’autres « publics ». Car, il convient de le rappeler et de le répéter sans relâche, la généralisation du test ADN – qui vaut au pauvre Nicolas une part de son inique incarcération - n’est pas une invention de la prétendue « dictature socialiste » mais une mesure prise et imposée en 2003 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur et égérie des milieux « droitiers ». D’ailleurs, si ces tristes événements et le sort injuste réservé à Nicolas et aux autres, avaient au moins le mérite de conduire ces milieux à adopter un regard critique, mesuré et prudent vis à vis des discours et législations prétendument « sécuritaires », tout cela n’aura pas été vain. Car l’augmentation de l’arsenal répressif de l’Etat ne sera jamais qu’une arme politique supplémentaire aux mains d’un Pouvoir qui change régulièrement de coloration « idéologique » mais conserve toujours pour seuls véritables ennemis les individus et les mouvements contestant la toute puissance de la globalisation et du Marché, que ce soit, hier, les militants anti-mondialistes, les écologistes radicaux ou aujourd’hui les opposants à la marchandisation de la procréation et de la parentalité. Il est indispensable, pour être efficaces et cohérents, de sortir de l’aveuglement partisan qui consiste à se réjouir de la répression lorsqu’elle touche ses « adversaires » (ou du moins ceux que le Système lui a présenté comme tels) avant de pleurnicher et de hurler au scandale lorsque celle-ci se retourne contre soi. On n’a pas beaucoup entendu les actuels sourcilleux défenseurs des droits des militants politiques s’insurger après la mort de Carlo Giulani à Gênes, l’emprisonnement de « faucheurs volontaires » anti-OGM ou la manipulation politico-judiciaire dont furent victimes Coupat et le « groupe de Tarnac »…Il convient aussi de se souvenir que la répression anti-nationale et anti-patriote, cette infâme disproportion des peines et des faits, ne date pas d’aujourd’hui mais que malheureusement peu de gens s’en souciaient lorsque ses victimes étaient issus de milieux sociaux et militants jugés « vulgaires » ou « sulfureux ». Ainsi si l’on voit actuellement les soutiens d’Esteban faire circuler les appels à la la solidarité au profit de Nicolas, l’inverse ne crève pas les yeux…

    Au contraire de la justice étatique, notre solidarité ne dois pas être à géométrie variable ! Pas plus de solidarité de classe que de justice de classe !

    Source: Zentropa

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Un gouvernement qui se réfugie dans la violence est en perdition

     

    D'Yves de Kerdrel dans Valeurs Actuelles :

     

    E"C’est la première fois depuis les événements d’Algérie que la France compte un prisonnier politique. Un gamin qui n’a commis aucun acte de délinquance et dont le seul tort est d’avoir exprimé une opinion contraire à celle du gouvernement. Si cette affaire mérite d’être soulignée, c’est parce qu’elle est très grave. Sur le plan juridique, politique, et même philosophique.

    Juridique d’abord. Car Nicolas n’a pas été jugé en droit, mais en circonstances. Parce qu’il fallait au pouvoir la nécessité de “faire un exemple”. Mais quelle est donc cette justice qui met au cachot un jeune usant du droit constitutionnel de manifester, et qui dans le même temps vient de relaxer dix-neuf voyous qui ont attaqué en mars dernier une rame de RER, aspergeant une trentaine de passagers de gaz lacrymogène avant de repartir avec leurs téléphones et leurs portefeuilles ? Cette justice politique fait peur. Elle fait écho aux pages les plus terribles de notre histoire. Et ce n’est pas par hasard si un nombre croissant de magistrats commencent à s’en inquiéter.

    Bien sûr l’injustice faite à Nicolas pose aussi un problème politique. Elle témoigne d’un gouvernement qui voit le sol se dérober sous ses pieds. Son échec est désormais patent sur tous les plans. Son impopularité est à un niveau record. Chaque scrutin partiel est un signe supplémentaire de la colère des Français. Et comme il est démuni, il se réfugie dans des actions de basse police. D’abord en nourrissant les gazettes, qui lui trouvent encore des excuses, de pseudo-affaires sorties des poubelles sur les personnalités du précédent quinquennat. Ensuite en muselant petit à petit tous ceux qui sont prêts à “ne rien lâcher”, tous ceux qui ont choisi le camp de la légitimité contre celui de la légalité politique, et tous ceux qui ont pris le parti de la résistance.

    Cette incarcération montre enfin ce que nombre de grands auteurs, de Suétone jusqu’à Alain en passant par Montesquieu, nous ont enseigné : un gouvernement qui se réfugie dans la violence est un gouvernement en perdition. Comme l’écrivait le philosophe Vladimir Jankélévitch : « La violence n’est rien d’autre qu’une force faible. » Et Lacordaire de rappeler que « l’injustice appelle l’injustice et la violence engendre la violence ». Voilà de beaux arguments pour tous les élèves de terminale S qui devaient répondre la semaine dernière à la question : “Peut-on agir moralement sans s’intéresser à la politique ? ”

    Car que va-t-il rester de tout cela ? Un Nicolas qui sortira dans deux mois de prison en héros d’une révolution morale et pacifique. Un mouvement non violent qui voit se rallier à lui des milliers de pétitionnaires. Un ras-le-bol contre tous ces ex-soixante-huitards qui proclamaient il y a quarante-cinq ans “il est interdit d’interdire” et qui veulent aujourd’hui davantage régenter la sphère privée que restaurer l’ordre et la sécurité dans le pays. Et enfin une exaspération qui va enfler jusqu’à faire descendre dans la rue des Français de tous bords qui ne demandent qu’une chose : qu’on les laisse vivre, agir et penser comme ils l’entendent."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • A l’attention des résistants d’hier et indignés d’aujourd’hui.

    Dans le Figaro, Jean-Marc Leclerc, spécialiste des sujets policiers et judiciaires, attire notre attention sur les contradictions de plus en plus visibles du système judiciaire en France. A propos du jeune Nicolas condamné à de la prison ferme pour avoir refusé de donner ses empreintes digitales et un prélèvement ADN alors que d’autres y échappent allègrement.

    Pourquoi ? Ils étaient de gauche, et syndiqués. « Quand je pense à tous les casseurs d’extrême gauche que nous avons remis dehors à l’issue de leur garde à vue, alors qu’ils refusaient de donner leur ADN ! », confie un préfet au journal. Le journaliste rappelle qu’à Roanne, en mai dernier, trois militants CGT condamnés pour « dégradation en réunion » avaient refusé le prélèvement ADN. Verdict ? Convocation en novembre prochain devant le tribunal correctionnel de la ville… On est bien loin de l’incarcération immédiate imposée au jeune Nicolas. « Le 18 avril dernier, à Tours, le président d’un club de promotion du cannabis en voie de dissolution a ainsi été condamné à du simple sursis pour refus de prélèvement de son patrimoine génétique », précise Jean-Marc Leclerc. Enfin, en 2009, les CGTistes coupables de voies de faits, courent toujours en liberté, malgré leur refus du fichage ADN. Pour Nicolas, c’est curieusement un autre traitement qui a été concocté par nos « Fouquier- Tinville au petit pied. « Si seulement il avait été syndicaliste ! », conclut le journaliste. Comme pour les casseurs du Trocadéro, non seulement on peut constater que notre police est une police politique, mais encore pour compléter le tableau totalitaire, notre justice de gauche dont le syndicat de la magistrature ne cesse de proclamer l’indépendance, est en réalité totalement inféodée au pouvoir idéologique. Pour mémoire le pôle juridique de la Manif pour tous précise que, 1000 arrestations et 600 gardes-à-vue parmi lesquelles nombreuses étaient celles qui dépassaient 24h, ont été enregistrées en quelques mois…Non seulement on est dans l’Idéologie sectaire et dominante, mais on est aussi dans une posture mesquine. Il ne fait pas bon être albatros au royaume des crabes si on ne garde pas suffisamment d’altitude.

    Il ne s‘agit pas ici, une fois de plus de se positionner dans le débat national escamoté autoritairement par le gouvernement, mais de se rappeler comment en 1940 quelques français amoureux de la liberté et de leur pays ont su prendre des décisions courageuses, alors que le pouvoir de l’époque leur enjoignait de rester sagement chez eux. La répression sauvage qui s’abat sur notre jeunesse de France manifestant avec le drapeau de la patrie en tête, semble particulièrement démesurée, tandis qu’il y a peu, les casseurs de la manif « Anti fa » du 26 juin à Paris semaient sur leur passage : bris de vitrines, chaos, haine et violence…Vous avez dit deux poids deux mesures ? Ce n’est pas ceux, qui étaient la jeunesse du pays, ardente et audacieuse, qui ont refusé de se soumettre à un pouvoir abusif en 1940, ceux qui se sont engagés avec la France libre étant aussitôt condamnés à mort par contumace pour haute trahison, qui accepteront les agissements de ce gouvernement vacillant et sectaire contre notre jeunesse d’aujourd’hui. Ce n’est certes pas eux, qui ont montré l’exemple, qui iraient frileusement se cacher derrière les convenances pour laisser maltraiter une jeunesse qui de toute évidence aime sa patrie. Nous vivons en effet un temps étonnant, où l’on voit des milliers de jeunes entonner la Marseillaise (qui n’est pas mon hymne préféré) et se faire charger par les CRS. J’en appelle aux anciens combattants, aux anciens volontaires, aux anciens résistants à ceux qui ont toujours placé la liberté de leur patrie au dessus de leur propre vie. Ces anciens qui sont une apostrophe permanente à nos contemporains. J’attends aussi de voir s’élever les voix des émules de Stéphane Hessel, de BHL, des associations de défense des droits de l’homme. Où sont-ils les démocrates attachés aux libertés fondamentales ? Ces bonnes consciences tarifées seraient elles influencées par les enjeux idéologiques ? Cela voudrait il dire que les droits humains ne s’appliquent qu’à ceux qui ont l’heur de « bien penser » ?

    Vous ne seriez en réalité que des donneurs de leçons sectaires à la solde d’une idéologie ?

    Allons messieurs les amateurs de « phrases historiques », qu’attendez-vous pour vous indigner ?

    Olivier Perceval http://www.actionfrancaise.net

  • Violation des libertés publiques : L’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe rappelle à l’ordre la Turquie, la France et la Suède

    Lors de la procédure dite de débat d’urgence, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a adopté ce 27 juin 2013 par 106 voix contre 15 et 14 abstentions une Résolution intitulée « Manifestations et menaces pour la liberté de réunion, la liberté des médias, et la liberté d’expression » (doc. 13258).

    Cette résolution dont l’objet initial était de dénoncer la répression des manifestations en Turquie a été étendue à la situation française et aux évènements ayant eu lieu à Stockholm. Par cette Résolution, « L’Assemblée déplore les récents cas de recours excessif à la force pour disperser les manifestants et réitère son appel aux autorités de veiller à ce que l’action de la police, si elle est nécessaire, reste proportionnée » ; elle demande en outre à ces Etats de respecter les droits et libertés.

    L’introduction dans cette résolution de la situation française fait suite à l’audience publique organisée le 26 juin 2013 à l’APCE à l’initiative du Parti Populaire Européen et du European Centre for Law and Justice, en présence notamment de Luca Volontè, député, de Ludovine de la Rochère, Présidente de la Manif pour Tous, de Béatrice Bourges, du Printemps française et de Madeleine et Jean-Baptiste, des Veilleurs. Durant cette audience fut présenté notamment un rapport présentant des témoignages de victimes de répressions policières.

    Addendum 15h : Le texte final de la résolution est publié. Le texte final est disponible sur le site de l’APCE.

    Lire ici le texte du projet initial de Résolution

    Le Salon Beige

  • Communiqué de Serge Ayoub

    Communiqué de Serge Ayoub
    Suite à la campagne d’incitation à la haine et à la violence contre Troisième Voie lancée par le Premier ministre Ayrault qui parle de nous « tailler en pièces » et du ministre de l’Intérieur Valls qui cautionne et justifie la violence des antifas, « qui luttent d’une manière ou d’une autre » contre les idées considérées d’extrême droite, nous, patriotes, subissons de la part de l’extrême gauche une avalanche de violence contre les nôtres.

    Ce week-end, près d’Agen, nos anciens militants de Troisième Voie, qui dans un dernier baroud d’honneur avant la dissolution effective de notre mouvement, collaient leur restant d’affiches, ont été attaqués par une bande de nervis sortis d’un festival punk, ivres d’alcools et confortés par les provocations d’Ayrault. Ces brutes alcoolisées ont agressé à huit les trois colleurs et leurs deux compagnes.
    ...
    Heureusement le courage et la justice ont eu raison de la haine et du nombre, mais depuis les médias se déchainent contre ceux qui n’ont fait que se défendre d’avoir collé des affiches et de refuser de se laisser battre.

    Malheureusement la campagne de haine et de violence se propage et se généralise sur toute la France : il y a trois jours le local de nos camarades dans la Somme, à Estrées-Mons recevaient plusieurs impacts de balles sur la façade et essuyait dans la nuit un cocktail molotov. Pire à Picquigny, la nuit dernière : un autre local, identifié comme accueillant des patriotes, a subi un incendie criminel, et tout cela dans l’indifférence générale.

    La violence systématique des antifas s’exerce en toute impunité, sur tout le territoire et contre tous. La semaine dernière, le local du Front national à Nantes était mis à sac ; ce dimanche, c’est Paris qui était livré à des bandes armées et masquées qui ont vandalisé le centre de la capitale au vu et au su de tous ; aujourd’hui c’est au tour de la permanence du PS du XXème à Paris d’être mise à sac par les antifas !

    Quand le gouvernement réagira-t-il ? Quand les violences et la haine seront-elles stoppées ? Faudra-t-il un nouveau drame ?

    Serge Ayoub, le 24 juin 2013 http://www.voxnr.com

  • Quand Taubira viole les droits de l’homme

    La Manif Pour Tous dénonce les conditions d’incarcération détestables de Nicolas devant le Conseil de l’Europe et soutien les parlementaires inquiets qui ont rendu visite ce matin à Fleury Mérogis

    Nicolas Bernard-Buss, déjà victime d’une condamnation particulièrement lourde pour les faits qui lui sont reprochés et disproportionnée pour un jeune de 23 ans sans casier judiciaire, a subi des conditions d’incarcération détestables.

    Depuis son incarcération et jusqu’à hier, Nicolas a été totalement isolé, coupé de tout contact humain, si ce n’est lors des deux fouilles quotidiennes, faites dans des conditions humiliantes. Il a été privé de toute hygiène - toilette, changement de vêtements, etc. - et privé de toute possibilité de s’aérer le corps et l’esprit pendant 9 jours. Ni promenade quotidienne, ni lecture de livre, ni aucune autre activité n’a été possible pour lui à part la lecture des lettres adressées par des milliers de français indignés.

    La Manif Pour Tous travaille en étroite collaboration avec Me Benoit Gruau, l’avocat de Nicolas Bernard-Buss, depuis qu’il a été interpellé et incarcéré à la prison de Fleury Mérogis. Informée de la dégradation du moral de Nicolas, La Manif Pour Tous a immédiatement alerté des parlementaires, dont M. le député Hervé Mariton, afin qu’ils puissent peser au plus vite sur les conditions de détention de Nicolas. Hervé Mariton s’est ainsi rendu ce matin à la prison de Fleury Mérogis, accompagné des députés Philippe Houillon, Xavier Breton, Damien Meslot, Véronique Besse et du sénateur Bruno Retailleau. Grâce à cette pression des élus et aux nombreuses manifestations de soutien qui ont déjà eu lieu, Nicolas a été transféré dans une aile de la prison où ses conditions de détention ont été améliorées

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, a été auditionnée en début d’après midi devant le Conseil de l’Europe à Strasbourg pour dénoncer ce scandale indigne de la France, pays des droits de l’homme, et plus largement, la répression policière et judiciaire qui s’abat sur les opposants à la loi Taubira et à ses conséquences (PMA pour tous, GPA, enseignement obligatoire du gender). Près de 1000 interpellations et 500 gardes à vue ont été constatées depuis le mois de mai !

    Cette répression, tout comme la condamnation et les conditions de détention de Nicolas, vise à étouffer et mettre un terme à la mobilisation contre la loi Taubira. Il est un fait que, en France aujourd’hui, les libertés de pensée et d’opinion ne sont plus respectées par les autorités.

     

     

    Outre le soutien qu’elle apporte à Nicolas, La Manif Pour Tous a lancé dès le soir de sa condamnation une pétition pour sa libération. Celle-ci sera adressée à M. François Hollande et Mme Christiane Taubira.

    Des manifestations ont déjà eu lieu partout en France, et une nouvelle action de La Manif Pour Tous, prévue dimanche 30 juin en fin d’après-midi à Paris, sera annoncée dans les heures qui viennent.

    La Manif Pour Tous ne relâche pas la pression car lorsqu’un peuple a conscience qu’il se bat pour une juste cause, il triomphe toujours !

    La Manif Pour Tous est un mouvement spontané et populaire qui, au-delà des sensibilités religieuses, partisanes et sexuelles, dépasse toutes les diversités pour préserver l'unité paritaire de la filiation humaine garantie par le mariage civil dans le droit français, les repères fondamentaux de notre société et pour combattre toute forme d'homophobie.

    http://www.lamanifpourtous.fr

  • Veilleurs interpellés cette nuit à Paris : La Vidéo

    Suite au post de Michel, voici une vidéo des interpellation de certains veilleurs cette nuit :


    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Novlangue, LQR : La propagande du quotidien

    De modernité à gouvernance en passant par transparence, réforme, crise, croissance ou diversité : la Lingua Quintae Respublicae (LQR) travaille chaque jour dans les journaux, les supermarchés, les transports en commun, les «20 heures» des grandes chaînes, à la domestication des esprits. Comme par imprégnation lente, la langue du néolibéralisme s’installe : plus elle est parlée, et plus ce qu’elle promeut se produit dans la réalité.

    Créée et diffusée par les publicitaires et les économistes, reprise par les politiciens, la LQR est devenue l’une des armes les plus efficaces du maintien de l’ordre. Ce livre décode les tours et les détours de cette langue omniprésente, décrypte ses euphémismes, ses façons d’essorer les mots jusqu’à ce qu’ils en perdent leur sens, son exploitation des «valeurs universelles» et de la «lutte antiterroriste».

    Désormais, il n’y a plus de pauvres mais des gens de condition modeste, plus d’exploités mais des exclus, plus de classes mais des couches sociales. C’est ainsi que la LQR substitue aux mots de l’émancipation et de la subversion ceux de la conformité et de la soumission.


    Novlangue - LQR - La propagande du quotidien par rikiai

    http://fortune.fdesouche.com

  • Les gauchistes ces héros qui attaquent dans le dos

    130627Les grands moyens de désinformation ont mis trois semaines à comprendre. La mort de Méric s'est produite à l'issue d'une "bagarre qui a mal tourné", comme le dit la radio d'État.

    Tout le monde le savait deux jours après le drame. Le virage décisif fut apporté par le juge d'instruction s'écartant, au bout de 48 heures, des réquisitions du parquet. La bande vidéo de la RATP circule depuis hier sur tous les sites internet. Elle accable l'agresseur qui n'est pas celui qu'on pense. Le héros attaque dans le dos.

    Elle était, évidemment, disponible pour les enquêteurs dès le début. L'autopsie permettait rapidement aussi d'écarter l'hypothèse du coup de poing américain. "Le Monde", toujours aussi fielleux, sème le doute dans l'esprit de ses lecteurs : "rien ne prouve pas" l'utilisation de cette arme. Et pourquoi pas celle d'une kalashnikov?

    Tout le reste n'est que fariboles, légendes de journalistes, rumeurs, insignifiants remugles.

    Il faut donc s'interroger enfin sur les bandes en train de s'organiser impunément: les prétendus "antifascistes" venus de la survivance de l'Allemagne de l'est d'abord ; les islamistes radicaux également. On va bientôt découvrir qu'ils bénéficient de la même latitude de développement, n'étant interpellés que beaucoup trop tard, c'est-à-dire seulement quand les réseaux terroristes se sont mis en place et ont commencé à frapper.

    Tous ces gens disposent d'une extrême latitude d'entraînement, de recrutement, de prédication, encouragés par l'idéologie médiatique. Ils sont supposés appartenir au camp des "bons". Le camp des "mauvais" peut leur servir de cibles. Les grandes consciences applaudissent, même si les supposés héros frappent et attaquent dans le dos.

    http://www.insolent.fr/