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23 juin : manifestation devant la Préfecture de Lyon à 18h
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Communiqué de l'Action française : Nicolas, prisonnier politique
Quand le sectarisme le dispute à la haine.
On ne cesse de le répéter, nous sommes sous le joug d’un Etat totalitaire qui utilise la justice comme une arme de répression. Il ne suffisait pas que les « inspecteurs la bavure » sévissent sur nos trottoirs matraquant et gazant tout ce qui de près ou de loin ressemble à un manifestant anti-Taubira.
Maintenant on est passé au degré supérieur : vous êtes patriote, vous êtes catholique, ? Allez tout droit en prison sans passer par la case départ.
La justice, comme son nom l’indique, est censée analyser les situations, examiner le contexte, être juste quoi.
Non, naïfs que vous êtes, ça c’est fini, c’était avant.
Le changement c’est maintenant.
Nicolas, jeune homme de 24 ans en marge de la manif devant les locaux de M6, sans casier judiciaire, a eu le malheur de prendre la fuite devant une dizaine de flics (en civil) armés de « tazer » et de matraques, et de se réfugier dans un restaurant. Il a été frappé à terre devant les clients de l’établissement horrifiés.
Comme il fallait justifier une telle violence complètement gratuite, il a été déféré, jugé et immédiatement incarcéré. Deux mois de prison ferme et une amende.
Tandis que pratiquement dans le même temps, la bande qui a attaqué le RER D et dévalisé les voyageurs est relaxée.
Si on ne voit pas que notre justice s’intéresse plus au délit d’opinion qu’à la délinquance crapuleuse, que notre république a remplacé nos juges par des accusateurs publics, c’est que ce régime de terreur a déjà fait son œuvre dans les esprits, devenus lâches, résignés ou contaminés par la haine distillée par le pays légal contre les Français sans doute jugés trop honnêtes pour être honnêtes.
Désormais, les choses sont claires. Il n’y a plus d’Etat, plus de justice, une police de « tontons Macoutes ». On n’attend plus que Duvalier pour oindre notre président normal.
Nous disions résistance et on nous disait outranciers.
Les donneurs de leçon, méprisants et/ou bigleux ne voient pas plus loin que leur assiette de « fastfood »
Mais, qu’on me permette cette échappée grandiloquente, ils ne voient pas « le vol noir du corbeau sur nos plaines », ils n’entendent pas « le cri sourd du pays qu’on enchaîne ».
Cela veut dire, petit père, que nous sommes appelés à résister et, de fait, dans une certaine radicalité, puisque le pouvoir use de la force sans modération, comme ferait une armée d’occupation si elle avait à mater les plus dangereux : ceux qui défendent les valeurs constitutives de la patrie.
Alors debout armée de l’ombre, apprêtons nous au combat, sans arme, puisque nous avons choisi la non-violence, mais sans faiblesse.
On ne lâche rien.
Le Centre Royaliste d’Action Française http://www.actionfrancaise.net
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Des magistrats dénoncent la condamnation de Nicolas
Non que ces magistrats soutiennent la Manif pour Tous, mais ils s'inquiètent d'une dérive, d'un glissement, d'une certaine partialité, d'une justice aux ordres. Ces hauts fonctionnaires ne se reconnaissent pas dans les interpellations et condamnations des manifestants anti-mariage pour tous. Et certains affirment être entrés en résistance face à cette dictature. Une défiance qui ne saurait être un bon signe dans une société crispée et fragile. Le Point.fr publie le courrier anonyme d'un magistrat.
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[Vidéo] Les racailles d'Argenteuil, elles, n'iront pas en prison !
Sur FdeSouche : 2013 : Argenteuil, en France
La vidéo permet en outre de voir quelques images (vues de l’intérieur de la mairie) d’une information restée quasiment confidentielle et diffusée uniquement par le site web de M6 et quelques sites spécialisés : ...
...l’agression du commissaire de police d’Argenteuil par une trentaine de jeunes qui lui ont « asséné coups de poing et coups de pied. Les policiers ont dû être exfiltrés dans la mairie » (M6) (montage photo ci-dessous) (voir aussi reportage audio France Bleu ici)
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La digue anti FN…
Après Marion Maréchal, membre du groupe parlementaire d’amitié France-Russie, qui s’était rendue à Moscou en décembre dans le cadre d’un forum international organisé par la Douma; après Bruno Gollnisch reçu le mois dernier à ce même parlement russe dans le cadre des travaux de la commission des doits de l’homme dirigé par Yaroslav Nilov ( président de la Commission parlementaire pour les organisations sociales et religieuses) et pour un entretien avec la vice-ministre de la justice de Vladimir Poutine, Marine Le Pen est également cette semaine en Russie . Après un passage en Crimée et avant une halte à Saint-Pétersbourg, la présidente du FN était reçue hier (en compagnie du Vice-président Louis Aliot et du conseiller Ludovic de Danne) par le président de la Douma, Sergueï Narychkine. Elle tient aujourd’hui une conférence à l‘Institut d’Etat des Relations internationales de Moscou (MGIMO).
Au moment ou Vladimir Poutine, lors de la réunion du G 8 la semaine dernière en Irlande, est resté intransigeant sur sa volonté de ramener la paix en Syrie en refusant notamment toute idée d’armer les miliciens soutenus par Washington, l’UE, l’Otan et les fondamentalistes islamistes, Marine Le Pen a réitéré à l’occasion de ce déplacement son souhait d’un «rééquilibrage » des relations entre la Russie et l’Europe .
« Aujourd’hui a-t-elle déclaré aux journalistes, « j’ai quand même le sentiment que l’Union européenne mène une sorte de Guerre froide à la Russie »
«Je pense a-t-elle ajouté que nous avons des intérêts stratégiques communs, je pense que nous avons aussi des valeurs communes, que nous sommes des pays européens». «La Russie est présentée sous des traits (…) diabolisés». «Ce serait une sorte de dictature, un pays totalement fermé. Cela n’est pas objectivement la réalité», a-t-elle précisé.
Alors que la Douma a voté en deuxième lecture un projet de loi interdisant l’adoption d’enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe, la présidente du FN a souligné que «la Russie ne sera pas la seule à prendre cette décision ». « Probablement, beaucoup de pays dans le monde vont prendre la décision de supprimer l’adoption pour les parents français. C’est bien regrettable mais ce sont des choses qu’il faut intégrer avant de faire voter une loi»
Télescopage des dates, tandis que la présidente du Front faisait entendre la nécessité de relations fructueuses entre la Russie, l’Europe et la France, une nouvelle offensive était menée contre un Front National qui défend la cause des peuples libres, des identités et des souverainetés nationales.
Mercredi, la commission des Affaires juridiques du Parlement européen (onze voix pour, une contre et quatre abstentions) a adopté un rapport (concocté par l’élue « libérale », immigrationniste et théologienne suédoise Cecilia Wikström, membre du Groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe), qui recommande la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen.
Comme cela avait été déjà le cas dans le passé à l’encontre de Jean-Marie Le Pen et de Bruno Gollnisch, cette entité bruxelloise a donc validé le vœu transmis fin novembre au Parlement européen par le ministère de la Justice du gouvernement Ayrault . Ce texte sera soumis au vote en session plénière le mardi 2 juillet prochain à Strasbourg.
En cause, nous l’évoquions sur ce blog, les propos de Marine, en décembre 2010 lors de son passage à Lyon dans le cadre de la campagne interne, évoquant les prières de rue de certains groupes musulmans. « Je suis désolée avait-elle dit, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde guerre mondiale , s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c’est une occupation du territoire (…) Certes il n y’a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants ». Les habituelles officines communautaires, faisant commerce d’antiracisme, subventionnées avec nos impôts et soutenues par l’UMPS se sont elles senties visées?
Les avocats du FN soutiennent que la plainte est irrecevable, et Bruno Gollnisch, très en pointe dans la défense de Marine au Parlement, rappelle aussi, comme il l’avait fait lorsqu’il fut pareillement harcelé par la « justice » bruxelloise que l’immunité parlementaire couvre justement des propos tenus en dehors du Parlement européen puisque, selon les textes, les déclarations d’un député dans l’hémicycle ne peuvent donner lieu à des poursuites.
Excommunication et procès en sorcellerie que l’UMP mène aussi de concert avec la gauche et ses soutiens. En pleine promotion de son film Né quelque part (qui fait un bide retentissant), le « comique » Jamel Debouze comme Valérie Pécresse, NKM, Laurent Wauquiez ou Xavier Bertrand, a déclaré à l’adresse de Marine Le Pen que « L’immigration, c’est pas un problème, c’est une solution ». Avant d’ajouter, y aurait-il un lien de cause à effet ?, que « bientôt, l’Afrique va mettre une claque à l’Europe »…
Dans le même temps, Jean-François Copé annonçait l’exclusion d’Olivier Lapierre, ancien maire UMP de Saint-Gilles (Gard), coupable d’avoir confessé que Gilbert Collard était « un ami de longue date » et qu’il le soutiendrait si celui-ci se présentait aux municipales.
Un communiqué diffusé par le Bureau politique de l’UMP souligne implicitement que M. Copé entend permettre aux socialo-communistes de garder autant que faire se peut leurs fiefs électoraux et le contrôle des assemblées.
Il a ainsi rappelé qu’ «aucun accord d’aucune sorte ne sera accepté avec le Front National et que tout membre UMP qui viendrait à passer un accord avec le FN ou qui soutiendrait une candidature se placerait immédiatement en situation d’être exclu de l’UMP ».
Est-il étonnant note Bruno Gollnisch, que cette digue anti FN, cette alliance pour faire perdurer le partage du gâteau ripoublicain entre les dirigeants de la droite et de la gauche euromondialistes, soit tout naturellement la même que celle que l’on retrouve au niveau de l’Europe bruxelloise entre libéraux et socialistes? Elle s’expose crûment au travers de la politique de l’entité européiste, trop souvent servilement alignée sur celle du Nouvel ordre mondial, comme dans le voeu délirant de priver Marine Le Pen de son mandat parlementaire.
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PRIORITÉ À LA JEUNESSE QU'IL DISAIT ! IL A TENU PAROLE
OUI, RAPPELEZ-VOUS SES FIERS ENGAGEMENTS DE CAMPAGNE, en 2012 ! ses 60 propositions...
"Je veux remettre l’éducation et la jeunesse au cœur de l’action publique.... Mes trois priorités : le redressement des comptes publics et de l’industrie, la justice et la jeunesse...
"Je veux donner confiance dans l’avenir et retrouver la promesse républicaine, et d’abord pour notre jeunesse. "
Il ne fait plus rire personne !
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Nous sommes des résistants, pas des délinquants : solidarité avec Nicolas !
Manifestation générale, ce dimanche 23 juin 20h place Dauphine Paris 1er.
Le Printemps Français dénonce de façon catégorique la condamnation à deux mois de prison fermes de notre compagnon Nicolas, arrêté illégalement dimanche soir à Paris alors qu’il n’avait commis aucun délit, passé à tabac par la police et accusé faussement de rébellion. Condamné ce mercredi 19 juin à deux mois fermes et deux mois avec sursis, Nicolas a refusé de se soumettre au prélèvement de son ADN destiné à le ficher parmi les délinquants.
Mais Nicolas n’est pas un délinquant : il a toujours manifesté son opposition à la loi Taubira à visage découvert de manière non violente, là où les délinquants se cachent pour commettre leurs délits et leurs agressions. Si la justice de Taubira consiste à traiter un manifestant comme un délinquant, elle fait de nous tous des rebelles. A partir de ce jour, il n’y a plus la Manif pour tous, le Printemps Français, les Hommens, le Camping pour tous, Ni à vendre ni à louer, les Antigones, les Veilleurs ou les Mères veilleuses… Il n’y a plus que des citoyennes et des citoyens français dressés face à la violence policière et à la répression idéologique.
Ce 19 juin 2013 restera le jour où François Hollande a fait condamner un jeune homme à de la prison ferme pour délit d’opinion. En cherchant à intimider les défenseurs du mariage, de la famille et des enfants, le pouvoir a franchi une nouvelle étape qui nous éloigne de l’Etat de droit.
Pour dénoncer l’arbitraire idéologique, le Printemps Français en appelle au rassemblement de toutes les composantes du mouvement né de la société civile contre la loi Taubira. Cette union est la manière indispensable de clamer notre indignation et de refuser toute complicité avec cette condamnation injuste. Quand la justice cède à l’idéologie, la résistance devient un devoir moral et la solidarité devient l’expression de la démocratie.On ne lâche rien!
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Une hypocrisie mise à nu par Georges FELTIN-TRACOL
Le 26 avril 2013 s’est tenu à Paris le premier procès en correctionnel du racisme anti-blanc. Fait surprenant et révélateur, l’officine vertueuse subventionnée nommée L.I.C.R.A. y participait au titre de partie civile. Certes, l’accusé était d’origine européenne tout comme la victime. Mais c’était une nouveauté judiciaire : on a assisté à l’effondrement d’une muraille sémantique. Il y a à peine dix ans, mentionner le racisme anti-blanc relevait de la seule « extrêêêêêêêêêêêêêêême droite », ce qui disqualifiait le propos tant auprès des médiats officiels que des politiciens et des juges. À l’encontre de toute réalité, ils s’évertuaient à dénier toute existence manifeste à ce racisme-là. Suite à la campagne novatrice des Identitaires, reprise ensuite par le Front national, puis entérinée pour des raisons uniquement électoralistes par le politicard Jean-François Copé dans le cadre d’une soi-disant « droite décomplexée » (magnifique attrape-nigaud pour droitards sans cervelle), le racisme anti-blanc a enfin accédé à une visibilité certaine. Cette expression désigne dorénavant des faits vécus depuis plus d’un quart de siècle par des Français de racines européennes qui souffrent de ce phénomène odieux.
Maison d’éditions du Bloc Identitaire basée à Nice, IDées vient de publier un ouvrage de Gérald Pichon consacré à ce racisme toujours minoré par le cloaque politico-médiatique. Il est préfacé par Pierre Sautarel, l’animateur principal du site français le plus consulté de l’Hexagone, Fdesouche, malgré l’omerta médiatique permanente et les incessantes tracasseries judiciaires, administratives et policières.
Le livre de Gérald Pichon ne peut que soulever la colère du lecteur envers les sycophantes et les négateurs d’une atroce réalité. Étayé par une solide bibliographie d’ouvrages, d’articles, de discours, de sites, de thèses universitaires, d’études, de rapports officiels, de films, de reportages et même d’émissions de radio, ce travail démontre qu’en 2013 le racisme le plus présent dans l’Hexagone ne s’en prend pas aux juifs, aux musulmans, aux Noirs, aux Roms et encore moins aux homosexuels, mais aux Européens, aux Blancs, aux chrétiens !
Par un appareil de notes précises et référencées, Pichon apporte des preuves irréfutables, ce qui l’empêchera d’être invité aux émissions traquenards de Ruquier ou de Lapix. Le « Moulag » médiatique préfère pour la circonstance se taire sur la banalisation éhontée de ce racisme glorifié via des feuilletons, des téléfilms et des reportages. Le sujet est d’ailleurs sensible. Hormis l’A.G.R.I.F. de Bernard Antony qui porte en justice les actes anti-blancs et/ou anti-chrétiens sans grand succès du fait de la partialité de juges militants au très progressiste Syndicat de la magistrature, seuls deux résistants reconnus au conformisme intellectuel, Hervé Ryssen en 2011 et Henri de Fersan en 1997, avaient osé s’en emparer.
Dans l’Hexagone en 2013, les autorités occultent, minimisent ou déforment cette triste situation de crainte que sa médiatisation n’engendre de vives tensions communautaires. Les autochtones de France sont, chez eux, les principales victimes d’une haine tenace de la part de populations étrangères immigrées. Attisée pour des raisons différentes par les médiats et les politicards, cette leucophobie garantit non seulement l’impunité aux agresseurs, mais stigmatise et écarte les pauvres victimes blanches. Peu à peu s’instille alors dans les esprits formatés l’impression qu’être agressé par une « Chance pour la France » résulte d’un comportement guère repentant de l’agressé ! Car, bien entendu, les Français d’origine européenne, ces « Gaulois », ces « Fromages blancs », sont responsables de leurs malheurs. En ne montrant pas qu’ils condamnent l’action de leurs ancêtres, en n’acceptant pas la « discrimination positive », en refusant la « mixité sociale » par des déménagements vers des espaces péri-urbains, ils mécontentent les catégories allogènes chéries des médiats du Système.
Pour l’hyper-classe mondialiste favorable à la « diversité » faussée, outre le fait de terroriser les Blancs à l’école, dans l’entreprise, dans les loisirs, dans la rue, au cinéma, il importe d’effacer toute appartenance enracinée, gage de pluralité ethnique humaine, au profit d’ensembles consuméristes fictifs, mouvants et éphémères. Pour mieux retirer aux Européens toute conscience communautaire résolue, on pénalise désormais sous le sceau frelaté de l’anti-racisme la moindre intention discriminante. C’est de l’ethnomasochisme. Ainsi Pichon remarque-t-il que « dans la musique, pour chaque style allant du métal à la pop, en passant par la variété, les chanteurs et les groupes ne sont jugés par les maisons de disque, non pas selon leur talent, mais selon leur degré de soumission à l’idéologie de l’oligarchie financière qui les produit. Quel que soit le style musical, on retrouve la même idéologie francophobe avec parfois quelques nuances suivant les publics visés. Aux Gaulois, on donne pour modèle le chanteur de rock à midinettes, à l’instar d’un Raphaël (Bleu Blanc Rouge), d’un Saez (Fils de France) ou d’un Bénabar (Politiquement correct), qui n’ont de cesse de dénigrer leur pays et les Français de souche (p. 66) ».
Les exemples abondent dans des domaines variés. Le fameux – et fumeux – « Vivre ensemble », véritable tarte à la crème d’une société multiraciale et – contrairement à ce que l’on pense – monoculturelle, car régie par l’idéologie marchande, est en fait invivable. Cette bêtise favorise plutôt les tensions raciales. Cela permet de cette manière l’avènement d’une idéologie sécuritaire défendue par un État-Moloch des libertés publiques et privées. Et puis, comment un « vivre ensemble » collectif est-il viable au moment où tant de couples se déchirent et divorcent ?
L’essai de Gérald Pichon relate donc « une haine qui n’existe pas » officiellement. Stimulées par l’acuité croissante de la crise, les prochaines années risquent d’accroître les rivalités interethniques en Europe et en France. Pour des Européens dénués de toute solidarité communautaire s’imposera inévitablement l’impérieuse nécessité d’abandonner l’individualisme et de renouer avec une impersonnalité active. Avec le fol espoir de reconstituer une communauté conquérante, la communauté des Albo-Européens !
Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/
• Gérald Pichon, Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, préface de Pierre Sautarel, IDées, Nice, 2013, 106 p., 12 €.
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ET MAINTENANT LA PRISON, par l’abbé Guillaume de Tanoüarn
Alors que Nicolas vient d’écoper de deux mois de prison ferme à Fleury Mérogis, avec les délinquants et les criminels de tout acabit, nous pouvons nous demander ce qu’est cette Révolution chrétienne qui, hier et aujourd’hui fait des martyrs. Car il faut appeler les choses par leur nom.
Un chrétien qui écope d’une condamnation judiciaire ferme parce qu’il a défendu l’institution du mariage, d’une manière ou d’une autre c’est un martyr. Manuel Gaz fait des martyrs. Cela vous étonne ?
Pour les inquiets, je précise que le seul tort de Nicolas est d’avoir été repris après une première garde à vue et d’avoir refusé la procédure inquisitoriale qu’on lui imposait, après avoir été arrêté à l’intérieur de la Pizza Pino, sur les Champs Elysées par des policiers en civil (qui l’ont tellement abîmé qu’ils ont eux-même dû acquitter 1300 euros d’amende. 1300 euros ? Ce que vaut la gueule d’un jeune catholique français).
Nous sommes devant un gouvernement terroriste, au sens précis où il utilise la terreur des gardes à vue abusives d’abord, le tabassage et des condamnations à la prison ferme (m’est avis que cela ne fait que commencer) ensuite, pour éviter le débat public (et éventuellement le referendum) sur la question du mariage homosexuel. Pas de débat. Mensonge d’Etat à tous les étages sur l’ampleur de la réaction populaire (300 000 pour un million). Mépris. Tout pour casser le contrat social ou ce qu’il en reste. Cette manière de mépriser le Contrat social est significative : nous n’avons plus affaire à un gouvernement de gauche, mais à un gouvernement simplement nihiliste, décidé à casser par tous les moyens ce qui reste de la dernière institution chrétienne : la famille. [...]
"Nicolas, un martyr"
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Argenteuil à l’épreuve de la stratégie islamiste – Manip médiatique, agitation…
Il ne s’est rien passé à Argenteuil. En tout cas pas ce qu’on nous a raconté. Dans cette charmante bourgade du Val-d’Oise, des islamistes ont, en fait, utilisé un banal fait divers pour soulever la population et tester la résistance des autorités. A la manœuvre : un agitateur islamiste connu depuis vingt ans !
A Argenteuil, Nicolas Sarkozy (encore ministre de l’intérieur mais déjà en campagne) avait promis aux habitants de les « débarrasser » des « bandes de racailles ». Avec le succès que l’on sait… A Argenteuil aussi, Jean-Marie Le Pen – voulant justement doubler Sarkozy – avait tenté la réconciliation avec les « Français de branche » en venant assurer les immigrés ou enfants d’immigrés du quartier de toute sa sympathie. Là aussi, le score de 2007 l’a démontré, le succès ne fut pas vraiment au rendez-vous.
C’est donc dans cette ville symbolique que mardi dernier, le simple contrôle d’une musulmane en niqab a tourné à l’émeute. L’affrontement a fait deux blessés parmi les policiers qui ont été amenés à utiliser flash-balls et bombes lacrymogènes pour se tirer d’affaire face à une meute de 80 assaillants. Et voici que deux jours plus tard seulement, deux individus dépeints comme des « skins » auraient agressé une jeune femme voilée en plein cœur de la même ville d’Argenteuil. Et eux s’en seraient sortis sans aucun souci. Alors que l’affaire est pour le moins étonnante, les associations communautaires – ou carrément islamistes – n’ont pas hésité à sauter immédiatement sur l’occasion.
Une ville à ne pas mettre un facho dehors…
Autant il n’apparaît pas franchement surprenant d’entendre parler de femmes voilées à Argenteuil, ville illustrant bien le remplacement de population que subit la France, autant il ne semble pas a priori qu’on y croise énormément de skinheads en goguettes.
Les deux étant peut-être liés me direz-vous. On peut tout de même s’interroger sur la durée de vie éventuelle de skinheads arborant leurs couleurs au milieu de la population d’Argenteuil, surtout si ceux-ci viennent de s’en prendre à une « sœur » en lui arrachant son voile…
Mais depuis l’affaire Méric, les skins – qui ont fait le bonheur des reportages télé à sensation de la fin des années 1980 – ont vu leur cote médiatique remonter en flèche!
Même nos bien-aimés confrères de « Libération » leur ont consacré une couverture.
Alors du coup, quand les associations musulmanes ayant pris en main la victime parlent de skins, tout le monde reprend sans sourciller.
Philippe Doucet, maire socialiste d’Argenteuil, semble, lui, en savoir encore bien davantage puisqu’il n’hésite pas dans un communiqué à évoquer « les agissements d’activistes d’extrême droite qui viennent, de l’extérieur, à Argenteuil pour alimenter les peurs, monter les habitants les uns contre les autres et salir l’image de notre ville ». Et de condamner comme il se doit « leur acte islamophobe ».
Or il se trouve que la victime elle-même ne parle pas de cette « islamophobie » dans sa plainte. Et les sources judiciaires se montrent un peu plus sceptiques: « La jeune femme a d’abord parlé de deux crânes rasés… avant d’évoquer un homme avec une mèche rouge […] Il n’y a aucune image de vidéosurveillance et pas de témoin et l’examen médical n’a toutefois pas permis de découvrir de traces de coups. Il faut être très prudent. »
Caroline Fourest propage une photo bidon !
Une prudence à laquelle n’a pas souscrit l’essayiste Caroline Fourest qui, en ce moment, est décidément en grande forme. Sur les réseaux sociaux, elle a commenté l’affaire en écrivant « Homophobes, musulmanophobes… Lâches », le tout assorti d’une photo de jeune femme voilée au visage tuméfié (voir image en Une)
Photo qui viendrait contredire les enquêteurs affirmant qu’il n’y a pas de traces de violences… s’il ne s’agissait pas de la photo d’une femme agressée en 2010 à Gaillac dans le Tarn ! Oups la boulette !
Caroline Fourest n’avait pas besoin d’aller chercher aussi loin. Fin mai, à Argenteuil toujours, une autre jeune fille voilée avait affirmé avoir été attaquée par deux individus que son père décrivait comme « typiquement skinhead, bombers noir et bonnet blanc » dans une vidéo publiée sur le site oumma.com. Décidément, c’est à Argenteuil que les amis de Méric devraient mener leur « chasse aux skins », pas dans les ventes privées parisiennes!
Hormis la présence – réelle ou fantasmée – de skinheads, il est un point commun entre ces deux affaires: l’intervention de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie.
Ce CRI est celui des islamistes les plus radicaux
Derrière cette Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI), on retrouve un militant islamique chevronné: Abdelaziz Chaambi.
En 1992, il est l’un des fondateurs du Collectif des musulmans de France (CMF). En 2005, c’est à la fondation du Mouvement des indigènes de la République qu’il participe, en réaction à la loi de 2004 sur l’interdiction du port de signes religieux à l’école. Particulièrement impliqué dans le soutien à la cause palestinienne (et aujourd’hui dans celui aux révolutionnaires syriens, après avoir soutenu aussi les révolutionnaires tunisiens), on le retrouve en janvier 2009 repoussé manu militari par les gendarmes alors qu’il cherche à perturber la tenue du dîner du Crif à Lyon.
Cet activiste n’hésite pas à revendiquer sa proximité idéologique avec les frères Ramadan (ce fut notamment le cas dans un débat avec la Fourest, qui manifestement ne lui en veut pas puisqu’elle relaie docilement cette affaire). On trouve d’ailleurs sur la page Facebook de la section Ile-de-France du CMF plusieurs citations de Hassan Al Banna, fondateur des Frères musulmans. Pour la blague, signalons qu’il fut l’un des instigateurs de la Manif Pour Tous s’étant déroulée à Argenteuil…
Manifestation qui fut un bide retentissant, la population locale s’intéressant manifestement davantage à la question du voile qu’à la réforme du Code civil d’une République dont ils se vivent déjà en marge.
Une tendance musulmane concurrente est aussi intervenue, affichant notamment sa présence lors du rassemblement de vendredi dernier devant la mairie. Il s’agit des sympathiques salafistes. Ainsi, lorsque le responsable du CMF Ennabil Nasri, proche de Chaambi, affiche sur internet son mécontentement quant aux débordements ayant eu lieu pendant cette manifestation, il se fait durement attaquer dans les commentaires par des internautes affichant dans leurs photos le drapeau noir du jihad.
Enfin, troisième tendance venant se superposer et interagir dans cette affaire, ceux que l’on pourrait qualifier de « crypto-soraliens » (du nom de l’intellectuel ayant navigué du PCF au FN et animant maintenant sa propre petite chapelle) avec le site « Islam et Info » ou le blog « la Taverne des Pirates ». Les deux ont appelé dès jeudi soir les musulmans à se regrouper à Argenteuil pour « se défendre » ou même « faire justice ».
La palme du délire revient sans doute à « la Taverne des Pirates » qui a déniché le repère d’une trentaine de skins (si, si, carrément une trentaine!) dans un hangar dont l’accès aurait été interdit aux jeunes musulmans en colère par… la police. Sur leur page Facebook, une courte vidéo mise en ligne ne nous présente malheureusement pas cet épisode épique mais un simple con trôle d’identité sur un groupe de jeunes réunis, disent-ils, pour partir à la recherche de ces fameux skinheads.
Le commissaire se réfugie dans la mairie…
Toute cette joyeuse troupe ne s’en est pas tenue à l’alerte médiatique mais est donc descendue dans la rue, avec des intentions plus ou moins pacifiques. Ainsi une manifestation ayant réuni plus de 500 personnes a été organisée (à l’initiative de la fameuse Coordination contre le racisme et l’islamophobie) devant la mairie d’Argenteuil vendredi, soit le lendemain de l’agression présumée.
L’horaire de cette manifestation – 15h30, un jour de semaine – pourrait surprendre. En fait, c’est à la sortie de la prière la plus importante de la journée que les musulmans ont été invités à venir se rassembler, certains sortant directement de la mosquée. Au sein du groupe se côtoyaient djellabas et survêtements, porteurs de casquettes et barbus.
Après avoir dans un premier temps cherché à annuler ce rassemblement (notamment en se rendant à la rencontre des fidèles dans les deux grandes mosquées d’Argenteuil), le maire a tenté tant bien que mal de prendre la parole et de calmer les esprits, récoltant huées, sifflets et tirs de boulettes de papier sur la tête. Heureusement, Abdelaziz Chaambi est venu à sa rescousse et a pu, lui, s’exprimer tranquillement.
Le basculement de l’ordre républicain vers une nouvelle forme de pouvoir est une fois de plus démontré… D’autant que le maire a finalement été contraint de rentrer dans la mairie sous escorte. Une mairie bunkerisée dans laquelle un commissaire de police et un autre fonctionnaire ont rapidement rejoint l’édile socialiste… après avoir été agressés par une trentaine de jeunes à coups de poing et de pied!
L’agitateur refuse la loi de la République !
Alors que mardi dernier (soit deux jours avant l’agression présumée) à Argenteuil, le contrôle d’une femme en niqab a viré à l’émeute, alors que le même scénario s’est produit à Marseille jeudi dernier (le jour même de l’agression présumée) et que ce type de résistances face à l’application de la loi contre le port du voile intégral se démultiplient, voilà une agression « islamophobe » qui tombe à point.
Quelles étaient les revendications qu’Abdelaziz Chaambi a portées lors du rassemblement devant la mairie d’Argenteuil? Une fois rapidement évoqués les habituels appels à l’arrestation des agresseurs et à des peines sévères, Chaambi a basculé sur un tout autre sujet en réclamant que « les responsables de la bavure de l’intervention de Sofia soient suspendus jusqu’à ouverture d’une enquête à leur sujet ».
De qui parle-t-il? Des policiers ayant fait face à 80 jeunes lors du contrôle d’une femme voilée! Ils auraient donc commis une « bavure » en appliquant la loi! Mais les revendications ne s’arrêtaient pas là, l’agitateur musulman réclamant aussi une « assistance personnelle du maire […] aux interpellés et recherchés à tort », et là c’est des émeutiers ayant agressé les policiers dont on parle. Vous trouvez que ça fait beau coup? Attendez la suite.
Abdelaziz Chaambi (déclarant s’exprimer au nom des habitants d’Argenteuil) continuait en de mandant tout simplement la suspension par la police des contrôles de femmes voilées, avant de conclure en exigeant que le maire « s’engage solennellement contre les lois antimusulmanes déjà votées ou en préparation, demandant à l’Assemblée nationale en tant que député un moratoire sur ces textes n’engendrant que stigmatisation et violence ». A défaut de quoi, bien entendu, « si rien n’est fait, nous nous désolidariserons alors de fait avec la politique engagée par notre mairie ». Une menace que le maire d’une ville aussi islamisée qu’Argenteuil aura sans doute reçue avec attention, à moins d’un an des élections municipales.
Une résistance de plus en plus évidente face à l’application de la loi; une agression étrange relayée par des médias naïfs et toujours prompts à traquer la bête immonde; une victimisation immédiatement sui vie de revendications très claires; une association islamique qui impose un rapport de force avec les autorités légitimes (élus, police). Nous voici dans la plus parfaite réalisation concrète de la stratégie islamiste.
Lionel Humbert
Article de l’hebdomadaire “Minute” du 19 juin 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.