
Le Parisien publie ce jour un long article consacré à la tragédie de Crépol, censé relativiser la position des victimes, et le rôle des agresseurs. A bien des égards, cet article est plus idéologique que ceux qu’il prétend dénoncer.
Tugdual Denis, de Valeurs actuelles, explique pourquoi :
Commençons par le début, le chapeau “Les investigations des gendarmes (…) apportent de premières réponses sur l’origine du drame et révèlent des surprises sur les responsabilités. Loin des fantasmes.” En évoquant des “fantasmes”, on accrédite la thèse de gens qui se pourlèchent de cette tragédie. Personne ne fantasme: tout le monde pleure une société partie à vau-l’eau. A moins que certains fantasment le fait que d’autres fantasment…