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  • [DERNIÈRE MINUTE] MARIAGE GAY : LA TRAHISON DE CHRISTIAN JACOB ET DE L’UMP

    Christian Jacob vient de l’avouer sur France Inter à 8 heures 40, ce mardi 5 février 2013, en réponse à une question posée par un auditeur : si la droite revient au pouvoir, elle ne remettra en cause ni le mariage homo ni l’adoption homo. La seule ligne rouge, ce sont la PMA et la GPA... Pour l’instant !

    Pour l’instant, puisque en cas d’adoption du mariage homo, l’Europe, à laquelle l’UMPS nous a soumise, nous imposera le PMA et la GPA !

    Bref, l’UMP est à terme favorable au mariage homo, à l’adoption homo, à la GPA et à la PMA  !...

    ...puisque la ligne fixée par François Fillon est bien la ligne officielle de l’UMP. Celle-ci trahit donc déjà ceux qui lui font confiance sur les questions dites « sociétales ». Comme Rajoy en Espagne.

    Dans ces conditions pourquoi font-ils mine de s’opposer aujourd’hui à une loi qu’ils sont décidés à conserver, AVEC TOUTES SES CONSÉQUENCES, en cas de retour au pouvoir ?

    DÉCIDÉMENT, IL N’Y A RIEN À ATTENDRE DE CE RÉGIME NI DE SON PERSONNEL.

    POUR CEUX QUI S’INTERROGEAIENT SUR LA SINCÉRITÉ DE L’OPPOSITION DES LIBÉRAUX-CONSERVATEURS FRANÇAIS !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Etienne Chouard sur la dette publique et le projet de Constituante (23 février 2012)

  • Marine Le Pen/banksters : « Vous les défendez Monsieur Cohn-Bendit, ça ne m’étonne pas »

  • Frédéric Lordon, imposteur.


    Non seulement la révolution ne sera pas télévisée, mais aucun révolutionnaire ne le sera. Dans un pays comme la France, la domination oligarchique du capitalisme-zombie est aujourd’hui trop fragile pour permettre la poursuite de la mascarade connue sous le nom de « liberté d’expression », c’est-à-dire de la « bonne vieille » censure par dosage et brouillage, qui laissait malgré tout, à des heures et dans des contextes peu propices à leur compréhension, d’authentiques dissidents s’exprimer et, par là-même, s’auto-neutraliser comme agents d’ignition d’une potentialité subversive. En période de Vigie-pirate social permanent, ces derniers sont désormais remplacés par des simulacres contrôlables, comme Frédéric Lordon.

    Non content de se dénoncer presque mensuellement par des apparitions télévisées, le contrefeu humain Frédéric Lordon publie. Corvée probablement aussi fastidieuse pour l’auteur Lordon que pour les pigeons qui le lisent, mais hélas nécessaire, dans la mesure où son expertise universitaire (source d’un prestige d’autant plus étrange que ses thuriféraires s’empressent aussitôt de préciser qu’il est la brebis galeuse de sa discipline, l’université (re)devenant ainsi source de crédibilité, mais uniquement à condition de s’en faire détester…) est le principal argument de la « narration » chargée d’expliquer aux michetons affolés la bien soudaine popularité médiatique de cet économiste fatal dénué du moindre parcours politique, militant ou associatif notable. Parmi les produits récents de cette activité justificatrice, on trouve l’essai intitulé Capitalisme, désir et servitude, que je me suis bien gardé de lire, mais dont l’auteur a eu l’imprudence de commenter le contenu sous la forme d’une interview filmée, donc visionnable parallèlement à des activités infiniment plus utiles et agréables que la lecture de Frédéric Lordon, comme l’épluchage de choux de Bruxelles et la confection d’une marinade au yaourt.

    Cette vidéo apporte à mon sens la confirmation en technicolor, un peu longuette, mais dispensant au moins de commander ses (soyons-en sûrs assommants) bouquins, de ce qu’on soupçonnait depuis longtemps : si on laisse parler ce type, c'est tout naturellement parce qu'il n'a rien à dire.

    Et pourtant, en dialoguant pendant 90 minutes face caméra avec une demeurée, Frédéric Lordon, contrairement à ses habitudes, et probablement à sa volonté, gagne pour une fois des titres à une gratitude objective de la dissidence française. Je pense ici avant tout à notre précieuse jeunesse – aux apprentis-penseurs de la dissidence, car la cuistrerie dont il épice l’ouvrage en question – consistant à aller déterrer Spinoza pour nous faire ni vu ni connu une resucée de Gramsci face à la faillite intellectuelle surconstatée du marxisme politique – présente néanmoins l'intérêt paradoxal (dont il a peu de chances d'être conscient, le pauvre) de leur faire gagner du temps dans un nécessaire processus de radicalisation : au lieu de s'égarer une fois de plus dans la complexité spéculaire et contradictoire de l'immense Marx, toujours à mi-chemin de partout (entre réaction et millénarisme, économie et politique, contemplation et action), autant comprendre une bonne fois pour toutes que le ver était dans le fruit le plus précoce : le déterminisme anti-axiologique de Spinoza posait bel et bien le décor pour l'entrée en scène de la main invisible. Monisme du conatus ou adoration du marché : il y a mille formules pour faire allégeance à Satan, dont le nom est légion, et aucune voie de retour.

    Un peu comme pour le port de jeans et de pulls Benetton, ou la fréquentation d'universités françaises, dont ce même pseudo-critique du capitalisme est aussi coutumier : idole cumularde pour révolutions cathodiques, qui seront bel et bien télévisées, puisqu'elles n'auront pas lieu.

    Comme toute apparition publique d’un contre feu humain, la vidéo en question a des vertus cathartiques. Après exhibition presque discrète de la marchandise (cet homme-là, homo ille, qui parle latin comme il respire, condescend à vous parler, à vous, pauvre mortel !), on passe par un moment de quasi-désespoir (« Marx avait raison, mais se trompait ; le mal est vraiment mauvais, mais la solution pire que le mal ; les utopies sont dangereuses », etc.) pour mieux savourer un happy end digne d’un happening FEMEN, au cours duquel ce sex-symbol lauréat des Mines, Apollon dégarni au-dessus du front sous l’effet d’une réflexion torride, mais bronzé au même endroit par les rayons d’un soleil qui l’est – faut-il donc croire – un peu moins, se laisse pour ainsi dire violer par la théâtreuse/journaliste/militante chargée de l’accoucher de la vérité révolutionnaire, laquelle finit, presque à son corps défendant, par gicler en jets bien drus des profondeurs les plus fertiles de sa pensée spinozienne : les affects joyeux pourraient finir par dominer les affects tristes, à condition que tout le monde maintienne son angle alpha optimalement ouvert, en dépit des injonctions immorales du néolibéralisme, culmination de l’indépassable capitalisme, encore plus mauvaise que le fordisme, mais qu’il devrait être possible, pour plus de convivialité, d’aménager ergonomiquement, selon l’adage latin « qui est incapable du moins, peut sûrement le plus ».

    Les populistes et autres conspirationnistes qui s’attendaient à l’entendre comme toujours, le rebelle, manger du banquier, resteront sur la faim éternelle du ressentiment crypto-antisémite : méprisé par sa corporation, l’économiste Lordon n’entre pas au couvent – bien entendu laïc – de la philosophie pour le souiller des haines de ce monde, mais pour y chanter la Jérusalem céleste, telle qu’elle peut, à de rares moments de grâce, s’incarner dans notre réalité peccamineuse, notamment sous la forme d’un théâtre autogéré par Ariane Mnouchkine, où « ce sont même les acteurs qui nettoient les chiottes ».

    Cette configuration discursive (avec viol et orgasme féminins en apothéose), ainsi que la référence à Mnouchkine, ne sont pas innocentes : sous couvert de « spinozisme » (en réalité réduit à un gramscisme qui pourrait, comme méthodologie d'action politique, être de bon aloi – comme l'a bien compris Alain de Benoît), Lordon nous ressort tout rondement l'idéologie du développement, sous prétexte de supériorité (d'ailleurs impossible à étayer en termes spinozistes, son interprétation de la dichotomie des affects « tristes » vs. « joyeux » étant, prenons tout de même le temps de le signaler au passage, un détournement à la limite du jeu de mots…) de la violence symbolique (féminine par excellence) sur la violence concrète – vieux refrain de tous les réformismes, et qui, dans une macrostructure impérialiste, trouve toujours preneur dans les rangs (d’ailleurs dûment féminisés) de ce que Lénine identifiait, en l’an 46 avant Lordon, comme « l'aristocratie ouvrière » métropolitaine. Dans l’ambiance plus virile de la périphérie, pakistanaise, péruvienne ou indonésienne, la question ne se pose pas : hors « omniprésence du fun », c’est-à-dire dans la plupart des pays de la plupart des continents, le capitalisme, c'est encore et toujours « marche ou/et crève ! ».

    Chantre du modèle japonais, véritable laboratoire du capitalisme zombie, l’économiste rebelle agréé France 2 Frédéric Lordon a, comme l’économiste rebelle agréé New York Times, le très nobel Krugman, les plus grandes difficultés du monde à voir l’hyperinflation mondiale créée par ledit capitalisme zombie, et pour cause : obnubilé par l’« omniprésence du fun » dans certaines multinationales canadiennes, Frédéric Lordon n’aperçoit pas les flottilles de B52 chargée de bombes à uranium appauvri braquées comme un pistolet sur la tempe de toutes les économies extractives pour prévenir les mouvements de mauvaise humeur inconsidérés dont les peuples insuffisamment civilisés sont généralement susceptibles quand ils constatent que le papier qu’on les oblige à accepter en échange de leurs énergies fossiles ne suffit pas à acheter le blé que leur vendent les pays importateurs de ces mêmes énergies, émetteurs de ce même papier… Du coup, forcément, il a du mal à prévoir l’évolution exacte du néolibéralisme et, partant, de l’ouverture du fatidique angle alpha ; il est donc condamné à l’expectative, comme Todd à l’attente du hollandisme révolutionnaire et du Messie (« whichever comes forth », comme disent les contrats de viager...).

    Intraitable avec le capitalisme, le « récommuniste » autogéré Frédéric Lordon retrouve, dans sa théorie de la monnaie, tout le mordant qu’avait Marx critiquant Proudhon – et retrouve d’ailleurs, au passage, les mêmes arguments : pourquoi en changer, au bout d’un siècle et demi de bons et loyaux services dans la querelle ritualisée des étatistes/collectivistes critiquant les utopistes/libertariens, qui se solde par des scores toujours variables, mais aussi par le bénéfice mutuel invariant d’un spectacle réussi, permettant à ses protagonistes d'acquérir et d’entretenir l'apparence de véritable opposants, c'est-à-dire d'occulter l'identité profonde des deux démarches dans l'horizon de l'individualisme et de la technique... et s'il restait à quiconque un doute à ce propos, sa description des économies du potlatch le soulève bien vite, puisqu'elle consiste en gros à dire : « du moment qu'on peut y analyser de la violence, c'est qu'elles ne sont pas hors-capitalistes, mais pré-capitalistes », en d'autres termes : « les autres civilisations = la civilisation occidentale + divers opiums du peuple ».
    Prestidigitateur de la vieille école, Frédéric Lordon, tout en hissant bien haut les couleurs de Spinoza (naturellement sympathiques pour ceux, fort nombreux, qui, faute de l’avoir lu, ont la plus grande estime pour Deleuze), s’en tire à la faveur d'un truc typiquement kantien : en déplaçant l'accent de l'éthique (politique) vers la morale (personnelle), de la critique de l'aliénation, dont les post-marxiens (par ex. situationnistes) avaient commencé à tirer des résultats intéressants (sans doute un peu trop intéressants pour la mesquinerie intellectuelle d'un économiste), vers celle de la « violence », qui est au fond un non-concept de la pensée politique : rendre à César ce qui est à César, renoncer à l'utopie d'une humanité sans violence : certes – et… ? ... Théologiquement, ça n'apprend rien au chrétien qu'il ne sache déjà, et surtout rien qui puisse dépendre de l’experte confirmation d'un économiste régulationniste ; politiquement, ça ne dit rien de ce que doit être César, où, quand, et pour qui. L'étudiant Lordon, avant de rendre copie blanche, y griffonne un petit crucifix cryptique avec des extrémités en marteau et faucille, pour se laisser un maximum de chances de gagner la sympathie d'un jury putatif envisagé dans sa moyenne statistique ...

    En résumé : économe de « la plus dure des sciences molles » au point de se résigner à la philosophie, Frédéric Lordon, dissident cathodique, prend un christianisme désacralisé, l'injecte frauduleusement dans une théorie politique qui devient ipso facto pseudo-universelle (le multiple César usurpant l'unicité de Dieu : les Lumières n'ont jamais rien proposé d'autre) et en déduit l'inévitabilité du type d'évolution caractérisant justement une partie du monde chrétien à partir de sa déchristianisation (idéologie du développement), ce qui lui permet ensuite de démontrer que l'utopisme (comprendre : le crime fasciste consistant à rêver d'histoires autres que celle, linéaire, du progrès indéfini) est la source de tous les maux historiques (qui lui « foutent les chocottes », version cool des « heures les plus sombres »), car entaché du péché originel de violence (« forcer l'imaginaire collectif ») – celui-là même dont il reconnaît cependant l'omniprésence tenace dans l'univers capitaliste libéral, nième façon d'affirmer tacitement que Dresde et Hiroshima valent mieux que Katin et Auschwitz, et pour cause : entre un Dresde irakien et un Hiroshima libyen, on conserve, en métropole, cette précieuse « liberté d'expression », signifiant fétichisé dont le seul référent concret est désormais le fait que F. Lordon passe à la télé. Avec, en bonus, le prestige de l'intellectuel, décerné ad nutum par une presstituée analphabète, et le charme du révolutionnaire, garanti par l'incroyable audace de dire (poliment) du mal de ses confrères Minc et Lévy, lesquels, en bout de parcours, sauront se contenter de cette distribution ingrate de bad cops, pendant que le nouveau-nouveau philosophe F. Lordon hérite de leur fond de commerce de la poudre conceptuelle aux yeux du gogo cathodique.

    Raoul Weiss http://www.voxnr.com

  • Immigration : Personne ne pourra dire «Je ne savais pas !»

    Elle pleure SA France perdue :
    "Dis Papy, pourquoi t'as laissé faire ça ?"
    Il y a des calculs qui devraient faire réfléchir.
    - En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants. Les musulmans en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population.
    - En 1988 la population française était de 56.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.
    - En 2009 la population française était de 67.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 8.000.000 soit 11,94% de la population ! (chiffres officiels, mais nous les savons tous en réalité bien plus important)
    Puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3.5, si cette progression n’est pas stoppée et même inversée, il est probable qu'en 2030 la population française sera de 70.000.000 d'habitants. Et que les musulmans en France seront 28.000.000 soit... 40 % de la population française.
    Donc, à ce rythme de vagues migratoires, dans 17 ans seulement, près d'un habitant sur deux serait musulman. Consternant pour un pays qui n'a aucune tradition musulmane, pas plus qu’il ne comptait de population arabe en 1930 ? Alors à quoi ressemblera la France dans bientôt 20 ans, puisque l'Islam est une religion conquérante qui refuse toute cohabitation avec d'autres religions ?
    - Des églises seront-elles incendiées comme on peut le voir dans certaines parties du monde ?... ça commence !
    - Verrons-nous des formations politiques de type HAMAS ou HEZBOLLAH s'implanter en France ?... ça commence !
    - La laïcité de l'État sera-t-elle remise en question ?... ça commence !
    - L'égalité des droits homme-femme existera-elle toujours, puisqu'elle n'existe pas dans les pays musulmans et qu'elle est déjà remise en cause aujourd'hui même en France dans les banlieues ?... ça commence !
    - La viande halal sera-t-elle obligatoire, avec toutes les souffrances que cela représente pour les animaux, égorgés vivants ?... ça commence !
    Une chose est absolument certaine : à ce train-là, la France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010... CE NE SERA DÉJÀ PLUS LA FRANCE !

    MIEUX QUE STOPPER CETTE IMMIGRATION,
    IL FAUT L’INVERSER AU PLUS VITE !
    Regardez seulement autour de vous...
    Écoutez les propos de certaines personnes (hommes, femmes et enfants) dans les rues, les transports en commun...
    Regardez et écoutez attentivement les bulletins d'informations (Télévisions et Radios)...
    Lisez la Presse, les pages "faits divers" et les autres...
    Maintenant, réfléchissez sereinement en ayant pleinement conscience de ce que sera alors la vie de nos enfants, de nos petits-enfants... quand nous ne serons plus là !
    Et si vous pensez que c'est utile, alors transférez cet article à un maximum de personnes autour de vous.
    Plus tard, personne ne pourra dire : « Je ne savais pas !... »


    http://www.francepresseinfos.com/

  • [Vidéo] Taubira s'attaque maintenant au nom de famille pour plaire aux LGBT ! Ça suffit !

    On marche sur la tête ! Avec l’adoption du mariage homo, ce sont désormais les "couples" homo, stériles par définition, qui vont imposer leur loi en matière de transmission du patronyme ! Voilà où on en arrive avec la filiation fiction. Et un nouveau mensonge de Taubira sur le caractère indolore du projet de loi pour les couples hétérosexuels (excusez le pléonasme) !

    Transmission du patronyme : ce que la loi sur le mariage pour tous changerait

    Le député UMP Hervé Mariton, fer de lance de l’opposition au mariage pour tous, est revenu, lundi 4 février, sur l’une des dispositions de la loi concernant le nom patronymique des enfants. Cette disposition, inscrite dans l’article 2 du projet, concerne la dévolution du nom de famille : en cas de désaccord ou d’absence de choix des parents, les noms de chacun d’eux, accolés dans l’ordre alphabétique, seront donnés à l’enfant, alors qu’actuellement c’est le nom du père qui est attribué.

    Pour M. Mariton, il s’agit d’une "révolution" qui "avance masquée". "Là où aujourd’hui un enfant s’appelle Durand, il s’appellera demain Durand-Martin, sauf si les parents demandent explicitement qu’il s’appelle Durand", a-t-il expliqué, précisant que cet accolement automatique des deux noms des parents concernera tous les couples, homosexuels comme hétérosexuels. [...]

    La suite sur Le Monde

    Lire également : Attention, les noms de famille de nos enfants vont changer !

    http://www.actionfrancaise.net

  • PMA-GPA : L’affaire dans l’affaire

     

    PMA-GPA : L’affaire dans l’affaire
    Le loi sur le « mariage pour tous » n’est pas encore votée, à peine les débats à l’Assemblée nationale ont-ils commencé, que la polémique qu’elle a suscité ne semble plus intéresser qu’une poignée d’opposants et guère plus de partisans.

    Pour tous, l’affaire semble entendue… « Dans le sac » ou « Dans l’c… », selon affinités. Les messieurs qui aiment les messieurs et les dames qui aiment les dames pourront convoler en justes noces devant Madame ou Monsieur le Maire. Du moins, pour celles ou ceux de ces élu(e)s qui le voudront bien. Sinon, ce sera leurs adjoints respectifs qui seront à la manœuvre… Et si personne ne veut s’y coller, la loi sera enfreint, mais en France, quelle importance ? Entre les milliers de lois votées dont on attend ad vitam aeternam les décrets d’application et les lois qui sont quotidiennement violées, un peu ou beaucoup, les scandales à venir des Premiers élus communaux réfractaires n’empêcheront certes pas la « société unisexe pour tous » de tourner…

    Non, le « Mariage pour tous » dont les débats vont sans doute s’éterniser quelques mois dans l’indifférence de plus en plus générale, est incontestablement une « affaire pliée »…

    La nouvelle affaire qui défraie la chronique, désormais, est celle de la PMA (procréation médicalement assistée) et de la GPA (gestation pour autrui)… À l’origine, l’une et l’autre devaient être votées dans la foulée du « Mariage pour tous », mais la levée de boucliers fut telle – un million de personnes dans la rue en janvier dernier, tout de même ! – que le gouvernement socialiste a jugé plus prudent de dissocier « l’affaire » de « l’affaire ».

    Chaque chose en son temps : la bague au doigt pour commencer, le « droit à l’enfant pour tous » pour après. Un peu comme pour le Pacte civil de solidarité (PACS), voté la dernière année du siècle dernier : pour le faire digérer, tout le monde jura, la main droite sur le cœur et l’autre où l’on pense, qu’il ne serait jamais question de mariage. Pensez donc ! Juré, craché, foi de politiciens !

    Jamais avant que la loi ne soit votée, en tout cas ! À peine celle-ci obtenue, le mot d’ordre fut lancé à gorge déployée : « Et maintenant, le mariage ! »

    Une douzaine d’année plus tard, on y est !

    La nouveauté, c’est le changement. Le fameux changement qu’un candidat élu nous a tant promis durant sa campagne présidentielle. Aujourd’hui, plus le temps de la « jouer fine »…

    Les plus virulents partisans de la PMA et de la GPA ne cachent même pas leur impatience… À quoi bon ! C’est l’époque qui veut ça ! On veut tout, tout de suite ! Pourquoi attendre ? Pourquoi épargner les susceptibilités de la France rétrograde qui n’a rien compris – le comprendra-t-elle un jour, d’ailleurs ? – au sens de l’Histoire des thuriféraires des droits-de-l’homme-moderne ?

    Quoique le terme « droits-de-l’homme » fleure de façon terriblement nauséabonde le totalitarisme machiste. Vivement que les « droits-de-l’unisexe » soient imposés ! Cela ne tardera plus guère, heureusement car aux âmes bien rouées, la cause n'a plus le temps d'attendre le nombre des années.
    Philippe Randa http://www.voxnr.com
  • VOTE DES ÉTRANGERS L'autre alibi du mondialisme

    L'accession des étrangers non européens au droit de vote aux élections locales bouleverserait les rapports entre nationalité, citoyenneté et souveraineté. Aperçu des enjeux juridiques du débat.
    Au-delà du serpent de mer qu'elle constitue, la question du droit de vote des étrangers non européens aux élections locales françaises n'en revêt pas moins un intérêt certain, notamment pour les problèmes concrets qu'elle pose au regard des principes de nationalité, de citoyenneté et, pourquoi pas, de souveraineté, voire d'identité. Cette question connaît même un regain d'intérêt à chaque échéance présidentielle, celle à venir ne faisant pas exception, le candidat du PS ayant même promis de la régler définitivement en accordant ledit droit de vote à tous les étrangers réguliers vivant sur notre sol (tandis que son principal adversaire, le président sortant, s'y oppose symétriquement, alors qu'il y fut favorable en d'autres temps).
    Principe et exceptions
    Mais par-delà les antagonismes de façade, eu égard au tropisme xénophile de nos élites qui, en première comme en dernière instance, pratiquent depuis plus de trente ans la préférence étrangère, une constante demeure, d'ordre politique et juridique celle-là, qui est la conditionnalité juridique des étrangers. Celle-ci s'étend de leur entrée à leur sortie éventuelle, en passant par leur séjour plus ou moins durable sur le territoire national. Ainsi, les droits revendiqués par les étrangers et leurs défenseurs se heurtent aux prérogatives de l'État, dont la théorie classique objecte les arguments de souveraineté que sont la nationalité et la citoyenneté. En France, le principe est bien celui de l'ouverture des étrangers aux fonctions publiques dont fait évidemment partie la fonction "politique" (droit d'élire et d'être élu). Mais on remarque aussi que les exceptions peuvent neutraliser le principe. Ainsi, l'exception de souveraineté reste, en France, symboliquement forte pour empêcher actuellement toute accession des étrangers au droit de suffrage.
    Que dit le droit ?
    Il existe à la fois une souveraineté dans l'État et une souveraineté de l'État, l'une comme l'autre étant en réalité indissociables car participant de la liberté de l'État de se donner ses propres lois. Partant, la liberté de l'État de fixer ses propres règles d'accueil et d'hospitalité des étrangers est une expression naturelle de sa souveraineté. L'article 3 de la constitution du 4 octobre 1958 dispose, par exemple, que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. [...] Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. » Et l'article L. 2 du Code électoral de reprendre en écho cet impératif constitutionnel : « Sont électeurs les Françaises et Français âgés de dix-huit ans accomplis, jouissant de leurs droits civils et politiques et n'étant dans aucun cas d'incapacité prévu par la loi. »
    Le triptyque "souveraineté-nationalité-citoyenneté" présenté nécessairement dans cet ordre, car chacun des éléments est la conséquence du précédent, s'applique d'autant plus aux élections locales que le Conseil constitutionnel n'a pas hésité à les qualifier d'« élections politiques », dans la mesure où elles servent « à désigner des électeurs qui à leur tour désignent les sénateurs, qui sont eux-mêmes des représentants car ils expriment la souveraineté nationale. En conséquence, seuls les nationaux français [peuvent] participer à la désignation des conseils municipaux. » Certes, le juge constitutionnel peut revenir sur ce qu'il a dit, le retournement de veste étant devenu sa principale spécialité depuis 2004. Il n'empêche, qu'en saine logique, l'exception de souveraineté subordonne donc le droit de vote à la possession de la nationalité française, celle-ci conditionnant l'accès à la citoyenneté.
    Le cas particulier des étrangers européens
    Une exception à cette exception de souveraineté réside, cependant, au sein de l'article 88-3 de la constitution de 1958 qui ouvre ainsi, « sous réserve de réciprocité [...], le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales [...] aux seuls citoyens de l'Union résidant en France », à la condition qu'ils ne puissent « exercer les fonctions de maire ou d'adjoint ni participer à la désignation des électeurs sénatoriaux et à l'élection des sénateurs ». Néanmoins, cette citoyenneté européenne sans nationalité n'est pas absolue. D'abord, elle reste subordonnée à la réciprocité, ensuite elle est contingente au traité sur l'Union européenne dans la mesure où si ce traité venait à n'être plus appliqué, la citoyenneté cesserait d'être octroyée.
    Dès lors, sauf à pratiquer la double pensée orwellienne et à inverser le sens des mots, la citoyenneté, quel que soit son mode d'acquisition (par naissance ou par naturalisation), suppose le préalable de la souveraineté, laquelle fait office d'instance refoulante de l'extranéité. Et le principe de souveraineté étant lui-même un principe constitutionnel, l'exclusion des étrangers du droit de suffrage est également, ipso jure, de nature constitutionnelle. On peut certes changer la Constitution, mais on ne peut modifier la souveraineté, sauf à l'aliéner totalement. Mais dans ce cas, nous ne pouvons plus parler d'État et les étrangers, les naturalisés et les natifs sont interchangeables et indifférenciés. Le patronat et l'UMPS poussent évidemment à cette indifférenciation dans une visée mercantile pour le plus grand profit de leur funeste idéologie mondialiste.
    Aristide Leucate L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 1er au 14 mars 2012

  • L’Occident n’accorde aucune importance aux Chrétiens de Syrie

    L'évêque chaldéen d'Alep, Mgr Antoine Audo, dénonce l'attitude de la communauté internationale vis-à-vis de la communauté chrétienne de Syrie. Il accuse les puissances occidentales d’être plus préoccupées par leurs intérêts économiques que par la présence chrétienne au Moyen-Orient.
    En Syrie, les chrétiens représentent 10% de la population du pays. Une minorité dont le sort n’a « aucune importance » aux yeux de l’Occident, a accusé l’évêque chaldéen d’Alep, Mgr Antoine Audo, qui est aussi le président de Caritas Syrie.
    Au début de la crise syrienne, des voix au sein de la hiérarchie chrétienne de Syrie ont défendu le régime de Bachar el-Assad. Mais l'évêque chaldéen d'Alep assure que les chrétiens ne sont pas la cible particulière des enlèvements ou des exécutions sommaires. Il dénonce par contre l’angoisse et la paupérisation à l’œuvre dans l’ensemble de la société syrienne.
    « Cet appel vient de quelqu’un qui exprime très bien la complexité de la situation, qui ne désigne pas un adversaire particulier, et qui dénonce les violences dans les deux camps, l’extrême souffrance du peuple syrien. C’est l’appel d’un homme pacifique », juge Jean-Claude Petit, président du réseau « Chrétiens de Méditerranée ».
    Monseigneur Antoine Audo n’en dénonce toutefois pas moins avec force la position de l’Occident vis-à-vis des chrétiens du Moyen-Orient. « L’Occident ne donne aucune importance à ces communautés chrétiennes. […] La priorité de l'Occident est la puissance économique, la société de consommation. Il ne voit pas l'importance historique de notre présence », a-t-il ainsi déclaré.

  • pour faire plaisir aux Américains, on ferme des usines Le cas Pétroplus

    Selon la société de veille économique Trendeo, quelques 266 usines ont mis la clé sous la porte en France en  2012, pour  seulement 166 créations. Seules la construction aéronautique et l’industrie du luxe tirent leur épingle du jeu, avec plus de 2.400 créations de postes. Le mois de janvier 2013 est considéré comme  « le plus mauvais »  par ce cabinet depuis qu’il collecte des données. Le rythme de fermeture progresserait de 42% et près de 1.087 usines ont disparu depuis 2009. Sans surprise, en l’absence d’un mécanisme de protectionnisme intelligent et de barrières douanières modulables, ce sont l’industrie manufacturière française et  l’industrie automobile qui sont les plus touchées, alors que les délocalisations se poursuivent  à vitesse grand V (41.994 emplois de moins depuis 2009), suivie de l’industrie pharmaceutique (-8.648 emplois). Viennent ensuite les secteurs des Transports et de la logistique et celui de l’Administration publique avec respectivement 60.854 et 57.790 emplois supprimés depuis quatre ans.

     Au total 23.897 emplois industriels ont été supprimés en 2012,  121.946 depuis 2009. Un bilan effroyable  qui pourrait s’alourdir du nombre des 470 salariés de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) qui  n’ont guère d’espoir de  voir leur entreprise survivre. Le délai pour les offres de reprise expire ce mardi à 17 heures. Pétroplus a déposé son bilan le 24 janvier 2012, mais a été autorisée plusieurs fois à poursuivre son activité par le tribunal de commerce de Rouen.

     « C’est un dossier difficile sur lequel l’Etat s’est beaucoup mobilisé mais les chances de succès sont limitées » a prévenu le cabinet de Jean-Marc Ayrault pour préparer les  esprits au pire. Même dramatique aveu d’impuissance  du chef de l’Etat, en janvier, qui  écartait toute nationalisation comme à Florange, tout en précisant lui aussi qu’il était  « difficile de trouver un repreneur. »

    Il convient de noter que l’intersyndicale de Pétroplus, par la voix de  son  porte-parole, le cégétiste   Yvon Scornet,  accuse le gouvernement socialiste d’avoir « tout fait pour écarter l’iranien Tadbir Energy Development Group » qui était un très sérieux repreneur  potentiel.

    « Je suis en colère a déclaré M Scornet, dans le sens où ce n’est pas seulement le fait qu’on refuse le dossier iranien, qui était très solide, mais on demande des comptes, par exemple sur Total, qui dit je me fous de ce que dit le gouvernement, en gros, c’est ça. Total n’a pas le droit d’acheter du pétrole iranien mais en achète par sa filiale coréenne. Le boycott de l’Iran affaiblit l’industrie française, pas iranienne : PSA est très affaibli. Doux vendait deux millions de poulets à l’Iran : ils sont où, Doux, maintenant ? On peut nous offrir le meilleur plan social, ça voudra dire qu’on aura perdu. Les gens vont partir avec de l’argent alors qu’il n’y en avait pas il y a un an. Et on s’est battus pour ça ? »

    « Le gouvernement poursuit Yvon Scornet,  a tout fait pour écarter toute offre de la part d’une société iranienne, alors que cette offre non seulement n’était pas contraire à l’embargo mais était une réponse aussi à d’autres sociétés françaises mises en difficulté actuellement. Il faudra que l’on nous explique pourquoi des sociétés américaines trouvent le moyen de contourner l’embargo, que des pays comme la Corée du Sud ont une dérogation, ce qui permet d’ailleurs à la filiale coréenne de Total d’acheter du pétrole iranien, et que nous, nous devrions accepter de fermer nos usines pour faire plaisir aux américains !»

    Rappelons que l’embargo sur le pétrole iranien, qui se voulait un moyen de pression sur Téhéran dans le  dossier du  nucléaire, et décrété il y a un an  par l’UE – environ 18% de ses exportations de brut- est sans  grande conséquence pour un pays qui ne manque pas de clients asiatiques en forte croissance économique et  gourmands en or noir.

    Il est vrai aussi que François Hollande met ses pas dans ceux de Nicolas Sarkozy également dans le domaine de la politique étrangère. Nous l’avons constaté lors du passage lundi du vice-président américain Joe Biden à Paris. Celui-ci a félicité le locataire de l’Elysée pour une  intervention militaire  au Mali qui défend aussi les « intérêts américains ». Il s’est réjoui  de la complète identité  de vue entre le président français, Barack Obama  et lui-même…ce qui n’est pas forcement rassurant. Rappelons que M. Biden prône clairement le renversement de Bachar el Assad en Syrie et a averti solennellement  l’Iran que «  la fenêtre diplomatique se referme »…

    Enfin, soulignons pour conclure, à l’adresse de M. Scornet et de tous les éternels cocus de la gauche au pouvoir, que ce n’est pas en votant pour les partis du Système que le sort des salariés français ira en s‘arrangeant.

    A cette aune, rappelle Bruno Gollnisch, nous n’oublions pas le rôle délétère qui est souvent joué par les petits marquis et autres chefs féodaux du syndicalisme français. Dans le cadre de la dernière campagne présidentielle, l’intersyndicale (CGT-CFDT-CFE/CGC) de Pétroplus avait ainsi invité tous les candidats pour débattre de leur sort…mais avait interdit à Marine Le Pen de venir…laquelle  arriva  en tête des votes  ouvriers quatre mois plus tard ! Ceci explique certainement  cela…

    http://www.gollnisch.com/