Alors que les États-Unis assouplissent les restrictions sur la liberté d’expression, l’Europe semble prendre le chemin inverse. Entre lois de surveillance, censure numérique et pressions politiques, le continent durcit son contrôle de l’information, soulevant des inquiétudes sur l’avenir du débat démocratique. Dans ce contexte, il est essentiel de s’interroger sur la nature et l’étendue de cette menace, ainsi que sur les réponses possibles des institutions européennes et des gouvernements nationaux pour préserver l’intégrité de la liberté d’expression. C’est dans cette démarche que Dragana Trifković, directrice du Centre d’études géostratégiques de Belgrade, s’inquiète dans l’article suivant – écrit initialement en anglais – d’une dérive liberticide sur le continent européen.
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Dragana Trifkovic : « Fin de la censure aux États-Unis, l’Europe s’acharne »
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81 milliards d’euros pour entretenir la bureaucratie : la dérive folle des agences d’État
Alors que les députés examinent un projet de loi visant à simplifier l’action publique, la question du coût faramineux des agences d’État revient sur le devant de la scène. En 2023, ces structures ont englouti 81 milliards d’euros d’argent public, dans une opacité quasi totale.
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Fabrice Ribère : «L’état-major français ne comprend rien à cette guerre»
par Dialogue Franco-Russe
avec Fabrice Ribère, ancien militaire, spécialiste du renseignement militaire dans l’Armée de Terre
01:15 – Les drones ont changé complétement le cours de la guerre
03:10 – L’opération «POTOK»
05:51 – Les renseignements américains
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Trump impose sa guerre contre le « wokisme » aux entreprises françaises : Washington exige la fin des politiques anti-discrimination sous peine de rupture de contrat
Selon Le Figaro, l’administration Trump a adressé une lettre officielle à plusieurs entreprises françaises collaborant avec le gouvernement américain, leur intimant d’abandonner toute politique de diversité, équité et inclusion (DEI), sous peine de perdre leurs contrats. « Le décret 14173 […] s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du Gouvernement américain, quelle que soit leur nationalité », stipule la missive envoyée par un certain Stanislas Parmentier, présenté comme « agent contractant » de l’ambassade américaine à Paris.
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Il fallait un budget à tout prix… paraît-il…
La dette de la France est désormais de 3305 milliards d’euros, et dans le « en même temps », si cher à Macron, ce dernier annonce une aide supplémentaire de 2 milliards à l’Ukraine. Nous avions écrit il y a peu qu’il fallait renverser Bayrou parce que son budget était mauvais et qu’il ne répondait pas aux exigences du moment. Mais nous avions eu les tenants d’un budget à tout prix pour nous apporter la contradiction, et dire que c’était folie, car nous avions besoin d’un budget. On ne pouvait pas censurer systématiquement tous les gouvernements qui se présentaient, qu’il fallait être responsables quand même… Face à l’absurdité de l’argument, il ne restait plus qu’à laisser faire et attendre. La catastrophe que nous annoncions arrivent encore plus vite que prévu. Mais nous avons un budget et pour les chantres de la stabilité c’était là l’essentiel. Ils doivent être aux anges en ce moment. Souvenez-vous, l’idée que Bayrou puisse sauter, déclenchaient chez eux une forme d’hystérie, et ils n’hésitaient pas à agiter le spectre du chaos institutionnel, de l’instabilité politique qui allait nous entraîner dans un désordre sans nom, avec cette image désastreuse d’une nation sans gouvernement.
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Zemmour, le grand-père d’Émile, le Jarl, Depardieu : quatre symboles qui doivent disparaître
J’ai envie de vous parler de quatre dossiers d’actualité sur lesquels il y a forcément un lien à faire. La condamnation d’Eric Zemmour, la garde à vue de 48 heures du grand-père du petit Emile, la fermeture de la boite du Jarl avec les procès qui vont lui tomber dessus, et le procès de Depardieu, quoi qu’on pense de l’acteur et surtout de l’homme. Ils incarnent tous les quatre, avec leurs particularités, des symboles d’une France que nos ennemis veulent faire disparaître par tous les moyens.
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Zoom - Claude Chollet : L’ARCOM représente l’extrême-centre liberticide !
Claude Chollet, président de l’Observatoire du journalisme, est également l’animateur de l’émission hebdomadaire "Portraits piquants", diffusée sur YouTube et en fin de magazine "I-Média", présenté par Floriane Jeannin et Jean-Yves Le Gallou.
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TF1, BFM TV, 20 minutes… ces médias qui n’aiment pas les enfants
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Occupation de la Gaîté Lyrique : chronique d’un naufrage culturel et politique en plein Paris
Pendant plus de trois mois, une salle culturelle emblématique de la capitale a été transformée en camp illégal de migrants, avec la complicité active ou passive de ses dirigeants. Retour sur un scandale révélateur du désarmement idéologique et institutionnel des pouvoirs publics face au militantisme immigrationniste. Retour sur ces évènements, notamment grâce au travail effectué dessus par Fdesouche.
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Edouard Bina (La Cocarde étudiante) : « Expulsons les agitateurs gauchistes des facs, ceux qui bien trop souvent sont des éternels étudiants plus occupés à manifester qu’à travailler » [Interview]
À l’occasion des dix ans de la Cocarde étudiante, mouvement étudiant enraciné se réclamant d’une droite assumée et militante, nous avons interrogé Édouard Bina, 22 ans, président de l’organisation depuis avril 2024 et étudiant à Sciences Po Lyon. Il revient pour Breizh-info.com sur son engagement, les combats portés par la Cocarde face aux syndicats étudiants traditionnels, la liberté d’expression sur les campus, les tensions avec l’extrême gauche, et les ambitions de son mouvement dans les années à venir. Une parole libre et tranchante, à rebours du politiquement correct qui domine encore trop souvent les amphis.