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Je connais mes classiques rassurez-vous. Je connais le “Si vis pacem para bellum” si tu veux la guerre prépare la guerre. Mais cette locution latine parfaitement juste n’est qu’une partie, une petite partie de l’équation que j’appelle “guerre & paix”. Vous pourriez ajouter utilement l’Art de la Guerre de Sun Tzu ouvrage militaire le plus ancien puisque datant du 6ème siècle avant JC. Pour Sun Tzu la victoire ultime qui doit être recherchée est celle qui s’obtient à moindre coût et la plus belle des batailles est celle qui peut être évitée. Pas à tout prix bien évidemment.
Voilà ces femmes, les sourcils en accent circonflexe, expliquer qu’on les brime, qu’elles ne peuvent pas porter leur voile religieux pendant les épreuves en compétition et les entraînements et qu’ainsi elles sont discriminées, le tout selon un processus toujours identique qui consiste à hurler à la mort, chaque fois que les sociétés occidentales ne plient pas sans broncher devant leur religion, exogène rappelons-le. On a envie de leur dire, comme toujours, que ce soit à l’université, dans le sport ou lors d’un entretien d’embauche : « Puisque ce voile pose problème, vous n’avez qu’à l’enlever ». Non, ce serait trop simple, elles se discriminent elles mêmes et accusent les autres de les discriminer. Il n’est pas rare en Europe, qu’il y ait un « dress-code » en entreprise, on n’occupe pas n’importe quel poste dans n’importe quelle tenue et cela ne choque personne, s’applique à tout le monde, sauf à elles.
Quand vous montez dans un avion, que souhaitez-vous ? Arriver en toute sécurité.
Et vous vous moquez de savoir si le pilote est un homme, une femme, un trans, un Blanc, un Noir, un Asiatique, un Arabe ou je ne sais quoi.
Avec le wokisme aux Etats-Unis, le racisme anti-Blancs a touché également les plus grands cabinets d’avocats américains – qui peuvent réaliser plus d’un milliard de dollars de chiffre d’affaires – et qui sont de véritables machines de guerre juridiques.
À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.
Dis-moi qui tu hais et ce qui te scandalise… Ce 26 mars, Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard exécutent, sur le réseau X, un numéro d’indignation coordonné dans la plus pure tradition de la gauche morale. Nos deux incendiaires sont choqués, et Dieu sait s’il leur en faut ! « Les ministres Retailleau et Valls vont donc participer, ce soir, à un meeting organisé par le lobby pro-israélien Elnet et financé par le milliardaire d’extrême droite Pierre-Édouard Stérin », s’étrangle le député LFI Manuel Bompard. Sur le même ton, deux heures plus tard, l’imam caché du parti joue la surprise sur le ton inquisitoire qui lui est familier : « Bayrou a-t-il autorisé ses ministres Retailleau et Valls à participer, ce soir, à un meeting de soutien à Netanyahou organisé par le comité de soutien Elnet et financé par le milliardaire d’extrême droite Pierre-Édouard Stérin ? », interroge Mélenchon. Dupond et Dupont ont le scandale réglé comme un numéro de ballet russe.
Mise à jour du 27 mars 2025 : Le texte visant à supprimer les ZFE, ces zones urbaines dont l’accès est réservé aux véhicules les moins polluants, a été adopté en commission. Il faut encore que la loi « simplification » soit votée en séance publique.
Souvenez-vous, il y a un an, le 10 mars 2024, je faisais une vidéo consacrée à la loi de programmation militaire qui revoyait profondément le code de la défense pour intégrer des mesures inédites permettant à l’Etat de réquisitionner tout ce dont il pourrait avoir besoin.
Ici le conditionnel est important.
Ce n’est pas que l’Etat va forcément tout prendre. C’est que l’Etat s’est réservé la possibilité et le droit de le faire à travers un régime d’exception qui ne nécessite pas, par exemple, l’activation de l’article 16 mieux connu sous le vocable “pleins pouvoirs” toujours politiquement délicat, surtout… sans majorité à l’Assemblée nationale.
Silence on pense pour vous. C’est en substance le message délivré par Le Point, qui fustige les officiers de l’armée de Terre qui s’expriment en faveur de la Russie, ou du moins qui n’épousent pas le narratif belliqueux et hors sol du pouvoir. Le journal va jusqu’à publier une liste de noms. Renouant avec une tradition de collaboration et de dénonciation de triste époque, dont on aurait pu espérer qu’elle n’aurait plus droit de citer. L’hebdomadaire se vautre dans la délation au motif que la posture du régime de Macron est la guerre à tout prix, la haine de la Russie et qu’à ce titre, on ne saurait penser différemment du grand timonier. Le visage de cette presse, organe de propagande, sous perfusion d’argent public, ne se cache plus. Sont-ils conscients de l’image qu’ils donnent d’eux-mêmes ? Se voient-ils intouchables à vie, exonérés de devoir un jour rendre des comptes sur leur attitude et leur position non mesurée? Car en quoi avancer des arguments pour la paix ou simplement faire le constat des responsabilités connues de tous, sauf de ces équipes éditoriales visiblement, pourrait s’assimiler à une forme de trahison, quand à côté, nous avons un président qui est lui responsable des ventes des turbines nucléaires aux USA, de l’abandon de Verney-Caron et de bien d’autres fleurons de l’industrie stratégiques ou militaire à l’étranger ? ! Est-ce pire de penser que de céder par morceaux les éléments de notre indépendance énergétique par exemple ?
À Poitiers, les livreurs réclament leur régularisation, soutenus par la gauche qui est... leur premier client.
Dans l’époque que nous vivons, il n’est pas rare que le « faire-savoir » prenne le pas sur le savoir-faire. Autrement dit, la com’ est aussi importante que l’action. C’est pourquoi un collectif de livreurs, soutenu par la CFDT, la Cimade (association de soutien aux migrants) et diverses organisations locales, a choisi le 21 mars – Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – pour adresser une demande de régularisation au préfet de la Vienne.